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Les spectacles et manifestations au programme de la prochaine saison du théâtre d’Auxerre seront dévoilés au public le vendredi 10 septembre, veille de l’ouverture de la billetterie. Autre rendez-vous notable, les 01, 02 et 03 juillet, pour le festival éponyme, entièrement gratuit. Il se déroulera selon la météo sur l’esplanade, au foyer bar ou dans la grande salle du théâtre.

AUXERRE : « Tout, tout, tout, vous saurez tout…» sur les spectacles de la saison prochaine au théâtre d’Auxerre ! Mais, le plagiat de l’ami Pierre PERRET s’arrête là ! Car, il faudra patienter jusqu’au vendredi 10 septembre, pour voir le rideau se lever sur la nouvelle programmation, concoctée par son directeur, Pierre KECHKEGUIAN.

Pas moins de 88 spectacles ou évènements culturels à l’affiche, parmi lesquels une partie de ceux qui, déjà programmés l’an passé, n’ont pu se tenir, après que les portes du théâtre, à l’instar de tous les autres lieux culturels, se soient refermées le 30 octobre dernier, dans le cadre du plan sanitaire mis en place pour lutter contre la pandémie.

Autant de pépites à découvrir promet Pierre KECHKEGUIAN, qui a voulu une programmation aux multiples facettes, mêlant le théâtre à la musique, mais aussi à la danse, aux marionnettes ou au cirque, « en jouant à la fois sur l’excellence artistique, l’hyper proximité et la convivialité ». L’objectif affiché étant de toucher un public le plus large possible, en réponse à la mission d’éducation artistique et culturelle dévolue à la scène auxerroise de la rue Joubert, dans la droite file de la « Maison du Peuple » qu’elle fut naguère à sa création en 1935.

 

 

L’humoriste Constance et le « chanteur » François MOREL comme plats de résistance…

 

Deux spectacles ont échappé aux arcanes et à l’embargo sur la saison à venir et pas des moindres, avec la venue annoncée de Constance et François MOREL. La première foulera les planches du théâtre samedi 02 octobre, pour présenter son spectacle « Pot-pourri », déconseillé aux chastes oreilles ! Un « foursitou » de l’humour décoiffant, déjanté, loufoque, à l’image de celle qui, avec sa chronique décapante, fait les belles heures de France Inter dans l’émission de Charline VANHOENACKER à 17 h.

Est-il encore nécessaire de présenter François MOREL ? Faux naïf à la verve poétique, à la fois humoriste, chroniqueur, auteur, comédien, mais aussi chanteur confirmé. C’est dans ce registre, qu’il viendra à Auxerre, samedi 04 décembre, pour transporter le public dans un voyage musical à travers la vie et l’œuvre d’Yves-Marie LE GUIVINEC, poète et marin disparu en mer à l’âge de trente ans. Nul doute : il y aura foule pour embarquer sur le bateau et il faudra se presser pour y trouver place ! La réservation pour la nouvelle saison, en placement libre, sera possible à compter de samedi 11 septembre à 10 heures : sur place à l’accueil du théâtre ou par téléphone au 03.86.72.24.24., mais aussi en ligne sur www.auxerreletheatre.com.

L’occasion de découvrir un site Internet entièrement rénové, avec de nouvelles fonctionnalités, comme la possibilité de composer son abonnement en quelques clics, mais aussi tous les détails des spectacles, des informations sur les créations en cours, les artistes en résidence, ou encore, les actions menées à l’extérieur avec les écoles et associations.

 

 

Le « 1, 2, 3 Festival » pour bien débuter la période estivale…

 

Avant que ne s’ouvre le bal des vacances, le théâtre d’Auxerre propose trois jours de festival gratuit, les 01, 02 et 03 juillet prochains, en lien avec la programmation qui était prévue cette année.

Une belle façon de clôturer la saison et rappeler aux spectateurs que « le théâtre est toujours là et bien là », souligne son directeur, Pierre KECHKEGUIAN. Au programme : de la danse, du théâtre, de la musique classique, du jazz, de la poésie… Un cocktail de spectacles vivants intergénérationnels à déguster sans modération qui se déroulera en fonction de la météo, sur l’esplanade du théâtre, au foyer bar ou sur la grande scène.

La programmation est à retrouver sur le site Internet du théâtre : www.auxerreletheatre.com
Début des spectacles à 19 h jeudi 01er juillet, à 18 h 30 vendredi 02 juillet et à 16 h 30 samedi 03 juillet, dans la limite des places disponibles.

 

Dominique BERNERD

 

 


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A ce jour, il ne manque que deux cents signatures. L’objectif de la pétition, mise en ligne sur « Change.org », est d’atteindre à minima la barre des mille cinq cents paraphes. Un chiffre symbolique, selon la plateforme, pour que les médias daignent s’emparer largement de l’affaire en la relayant le plus possible dans leurs colonnes. Un ultime recours, pour que les salariés de MBF Aluminium (Jura) puissent sauver leurs têtes après la liquidation judiciaire de leur entreprise ?

 

SAINT-CLAUDE (Jura) : Triste nouvelle qui s’est abattue sur les épaules des 270 salariés de la fonderie jurassienne, ce mardi 22 juin. Le tribunal de commerce de Dijon a rendu son verdict sur un dossier dont la décision semblait irrévocable : la liquidation de MBF Aluminium, fleuron de la sphère industrielle de la contrée franc-comtoise dans les grandes années.

Un constat jugé « inacceptable » pour celles et ceux qui y travaillent. Parfois en famille. L’information ne pouvait pas plus mal tomber, au plan calendaire, juste dans l’entre-deux tours des échéances régionales où l’emploi et le développement économique tiennent pourtant le haut du pavé des arguments politiques de la plupart des candidats.

Depuis mardi, une pétition de soutien a été mise en ligne. L’initiative émane des salariés de l’entreprise mais aussi de la population de Saint-Claude qui voit d’un très mauvais œil la possible fermeture de ce site industriel. Une catastrophe aux retombées économiques multiples et certaines pour la localité et son bassin qui n’ont pas besoin de cela.

 

Dépasser la barre des 1 500 signataires pour médiatiser le plus possible…

 

Dans les faits, en l’espace de quelques heures, le compteur de signatures de la plateforme « Change.org » qui accueille ladite pétition s’est emballé. A date, 1 294 personnes ont déjà apposé leurs griffes dans le rectangle spécifique à cette consultation de soutien populaire à la préservation d’une entreprise.

Il en faudrait deux cents de mieux, selon les spécialistes de l’intermédiaire numérique, afin de dépasser la barre des 1 500 signataires pour que les relais vers la presse régionale et nationale se fassent naturellement. Histoire de médiatiser sans relâche ce dossier dont bon nombre de représentants de la presse se sont déjà fait l’écho, y compris au niveau de l’Hexagone.

L’inadmissible de la décision tient en quelques arguments dans cette épineuse affaire. D’une part, parce que le pays ne peut se passer d’une industrie aussi stratégique que peut l’être la fonderie. A l’heure où bon nombre de politiques parlent de réindustrialiser la France après les pénuries flagrantes liées à l’absence manufacturière durant la pandémie de la COVID. Sans omettre notre dépendance à la production industrielle asiatique.

 

 

D’autre part, parce qu’un projet de reprise, soutenu par la Région, a bel et bien été proposé pour sortir de ce marasme pesant sur les 270 salariés que compte la structure, très inquiets pour leur avenir.   

Enfin, parce que des transferts suspects de fonds auraient eu lieu vers une holding britannique malgré une alerte faite auprès des services de l’Etat. Celle-ci est demeurée sans suite quant aux réactions.

 

 

Exiger la suspension immédiate du processus liquidateur…

 

Dès lors, les instigateurs de cette pétition digitalisée exigent la suspension sine die de ce processus liquidateur. La décision de justice peut être prise soit par le président de la Cour d’appel. Soit par le procureur de la République. Au nom de la responsabilité gouvernementale.

Parmi les explicatifs, ceux-ci ne manquent pas d’interpeller : « Le gouvernement a accordé plusieurs milliards d’euros à RENAULT tout en étant actionnaire de la société à 15 % pour l’empêcher de délocaliser sa production et ses approvisionnements. Or, cet argent pourrait servir à l’emploi et à la consolidation de la filière automobile en proie à de sérieuses difficultés en France… ».

Enfin, il est précisé que « les millions d’euros nécessaires pour relancer MBF Aluminium doivent être fournis par la Banque Publique d’Investissement (BPI) et du crédit bancaire pour consolider la proposition de reprise avancée par la Région ».

Apparue au sortir du second conflit mondial, MBF Aluminium, véritable institution industrielle dans le Jura, conçoit des carters de moteurs et pièces de boîte de vitesse pour le secteur automobile. La PME avait été placée en redressement judiciaire en novembre 2020, ne pouvant rembourser ses dettes. Le tribunal de commerce de Dijon a statué en refusant l’offre de reprise proposée par un entrepreneur français. Les premiers licenciements seront prononcés d’ici deux à trois semaines. Les salariés ont la ferme intention de déposer leur recours pour faire appel de la décision de liquidation de leur entreprise avant le 04 juillet. Ils s’en remettent, en attendant, au soutien populaire par le prisme de cette pétition…seule arme disponible pour faire entendre leurs voix.

 

Thierry BRET

 


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C’est une question d’équilibre entre partenaires. En filigrane, le maître mot, justifiant la signature de cet accord de coopération entre Paris et le territoire de l’Yonne. Une convention faite de réciprocité, de partage de valeurs qui augure de réelles perspectives à moyen terme pour ses signataires. Ainsi que les filières qu’ils représentent. L’agriculture, fournisseur de denrées alimentaires, et le tourisme dont il sera louable de consolider la promotion dans la capitale…

 

JOIGNY : Ce n’est pas tous les jours qu’un accord de partenariat valide le rapprochement entre la capitale de l’Hexagone et les organismes institutionnels qui défendent les intérêts économiques de l’Yonne.

Ce n’est pas tous les jours, non plus, que l’édile de Paris se déplace sur notre territoire, au demeurant si peu éloigné de la première métropole hexagonale. Surtout, pour y parler développement de projets et d’économie.

Autant dire que la visite de Madame le maire de Paris, Anne HIDALGO, revêtait d’un caractère très particulier à la limite de l’évènementiel. Il suffisait pour s’en convaincre d’observer l’aéropage d’élus et de personnalités présents dans le salon d’honneur de l’hôtel de ville de JOIGNY. Au premier rang desquelles siégeait l’ancien président du Conseil départemental et ministre de la Coopération, Henri de RAINCOURT. Un élu aux appétences LR.

Conviée par Nicolas SORET, maire mais aussi président du PETR Nord-Yonne (Pôle d’Equilibre Territorial et Rural) et de la Communauté de communes du JOVINIEN, Anne HIDALGO ne s’était jamais rendue de manière officielle dans le centre de l’Yonne. L’opportunité lui en a été donnée ce 24 juin. Elle y a paraphé l’important document qui lie désormais la ville monde que représente la capitale à notre territoire.

 

 

Des lentilles vertes à la conquête des cantines parisiennes…

 

De quoi s’agit-il précisément avec la présence de cette liasse de papiers ? De renforcer tout bonnement les relations économiques entre les deux instigateurs de ce partenariat.

La Ville de Paris, via la compagnie « Eaux de Paris », est propriétaire de champs favorisant la captation de l’eau dans l’Yonne, et ce, depuis longtemps. Ne dit-on pas, volontiers, que quatre Parisiens sur dix boivent de l’eau en provenance de notre département ?

L’Yonne possède des vertus nourricières envers la métropole voisine et ses 2,2 millions d’habitants. Grenier fruitier et légumier séculaire de la capitale, le territoire du nord de la Bourgogne a toujours entretenu des relations privilégiées avec sa puissante voisine. Le bois, les céréales, le vin, le lait transitent immuables vers Paris au gré de la rivière et de ses bateaux lourdement chargés. Celle qui coule jusqu’à Montereau, avant de se muer en un fleuve, la Seine.

Effet gigogne en guise de bon procédé : bon nombre de structures industrielles quittent la capitale pour s’installer dans cette partie de la province dans les années 1950 sous l’impulsion de Charles de GAULLE. C’est donc à une vieille histoire d’amour perdurant entre Paris et la terre icaunaise que nous avons à faire avant que celle-ci ne s’altère au début des années 1980.

Entraînant une trop longue période d’oubli.

 

 

 

Mais, le Conseil de Paris a une autre idée en tête. Elle prend corps, en partie, grâce à la maturation du temps. Premier aspect : l’Yonne et la capitale expérimentent l’installation d’agriculteurs bio. Ils produisent des lentilles vertes de très belle facture sur les terrains que possède la métropole lui servant de zone de captation de l’eau. L’expérience enregistre d’excellents résultats. Une fois récoltées, ces lentilles sont ensuite servies directement dans les cantines du XIème arrondissement, sans un quelconque intermédiaire.

Les professionnels de la filière, ceux de la Terre d’Othe, se frottent les mains. Non seulement, leurs produits nourrissent les jeunes têtes blondes scolarisées de la capitale, mais l’initiative, encourageante, augmente la rémunération des producteurs. Un constat positif, à l’origine de l’accord de coopération entériné ce jeudi 24 juin.

 

 

Agriculture et tourisme : les secteurs avantagés par ce contrat commercial gagnant/gagnant…

 

Il y a douze mois, le Conseil de Paris vote à l’unanimité la ratification de cet accord. Il en est de même chez ses deux partenaires icaunais, lors d’assemblées délibératives, le PETR Nord-Yonne, instance présidée par Nicolas SORET, et le PETR du Grand Auxerrois, dont le premier vice-président n’est autre qu’Etienne BOILEAU, signataire ce jeudi.  

Toutefois, un bénéficiaire de cette convention hautement stratégique suit avec moult  intérêts l’évolution du dossier. La Chambre d’Agriculture de l’Yonne qui en a étroitement défini les fondements.

L’organe consulaire, présidé par Arnaud DELESTRE, aurait eu tort de se priver de ces tractations dont il est profitable. L’accord offre, en effet, une immense opportunité pour les producteurs de l’Yonne d’ouvrir grandes les portes du juteux marché parisien. Avec en sus, une garantie de volumes et de prix sur plusieurs années !

 

 

 

Le contenu de ce premier rapprochement qui en appelle peut-être d’autres à terme s’articule autour de trois axes principaux : primo, la fourniture de denrées alimentaires à la ville de Paris ; secundo, la fourniture de matériaux issus de produits renouvelables destinés à la rénovation des logements parisiens ; tertio, l’aide que va apporter les structures ad hoc de la capitale à la promotion des richesses patrimoniales et touristiques de l’Yonne.

En résumé, l’agriculture et le tourisme devraient être les secteurs économiques largement avantagés par ce contrat gagnant/gagnant qui ne demande qu’à se développer très vite.

Une cerise vient aussi se rajouter sur ce gâteau aux subtilités déjà succulentes : la visibilité offerte aux producteurs. Ceux-ci pourraient toujours réinvestir dans des outils de transformation qui leur permettraient de créer de la valeur ajoutée dans notre département.

Un vœu, cher à Nicolas SORET, qui se satisfait pleinement d’engager un travail concret avec le monde agricole…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une simple signature sur un morceau de papier peut-elle changer le cours d’une relation économique ? Si l’on en croit tous les interlocuteurs qui se sont exprimés en ce milieu d’après-midi à Joigny, la réponse est affirmative ! Désormais, la coopération entre la capitale de l’Hexagone et le territoire de l’Yonne devrait s’optimiser et connaître des jours meilleurs…    

 

JOIGNY : Tout sourire, l’édile de Paris Anne HIDALGO appose sa griffe au bas des documents soigneusement rangés dans le parapheur posé devant elle. Son plus proche voisin de table, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny, Nicolas SORET, en fait de même. Un sourire à l’identique sur le visage…

Le ticket politique médiatique de ce jeudi 24 juin sera accompagné dans la démarche par le troisième signataire de cet accord aux réelles perspectives économiques pour la filière agricole, entre autres, soit le premier vice-président du PETR du Grand Auxerrois Etienne BOILEAU.

 

 

La convention de coopération actée entre la capitale de l’Hexagone et l’un des acteurs politiques du département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté augure de réelles opportunités à terme puisqu’il prévoit la fourniture de denrées alimentaires et de matériau bio-ressourcés à la ville de Paris ainsi qu’une promotion à la découverte touristique de l’Yonne.

Un partenariat dont nous dévoilerons les enjeux et les impacts dans un article à paraître ce vendredi…

 

Thierry BRET

 

 


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Lauréats du Prix du gouverneur militaire de Metz, à la troisième place, les élèves de la section Bac Pro Métiers de la sécurité (MS) du lycée de Sens ont reçu leur récompense en présence d’élus municipaux, de Patrice MOURNETAS, président du Comité d’Entente des anciens combattants du Sénonais, et du corps militaire dont le colonel Hubert TISSIER, délégué militaire du département de l’Yonne.

 

SENS : En 2020, le général Christian BAILLY, gouverneur militaire de Metz, propose la création d’un concours à destination des lycées, collèges et classes de défense et de sécurité globale. Le ministère des Armées a donc lancé un appel d’offres à destination des établissements des dix-huit départements de la zone de défense et de sécurité Sud-Est pour un travail collectif mémoriel sur deux thèmes au choix.

Onze d’entre eux ont accepté de participer à ce concours. Au final, dix projets ont été présentés (l’un d’eux s’étant désisté) dont trois qui ont choisi de traiter le cinquantenaire de la disparition de Charles de GAULLE. Sept ont osé disserter sur les 150 ans de la guerre de 1870, un sujet plus difficile à cerner.

Les élèves des métiers de la sécurité du lycée de Sens, seul établissement de l’Yonne de cette promotion 2021, faisaient partie de ces audacieux, déterminés à mener des travaux sur l’un des évènements les plus déterminants de l’histoire de l’Europe : le conflit de 1870.

 

Naissance d’un prix consacré au devoir de mémoire…

 

Depuis le départ du 28ème Groupe géographique, unité unique en son genre spécialiste du recueil et de l’exploitation de l’information géographique de Joigny en août 2010 vers Hagueneau (Alsace), l’Yonne, comme la Nièvre, est dépourvu de garnison.

Néanmoins, le département n’est pas oublié pour autant par les hautes instances transférées à Metz en 2015. L’Armée de Terre continue de rayonner notamment par la présence de la DMD (Délégation Militaire Départementale) de l’Yonne dont le colonel Hubert TISSIER est aujourd’hui la plus haute autorité.

Le délégué militaire précise également que le ministère des armées mène de nombreuses politiques dédiées à la jeunesse avec le même objectif d’engagement au niveau départemental et de maintien du lien entre l’armée et la société civile.

 

 

Parmi elles figurent des activités telles que des visites, des séjours dans les bases navales ou encore des concours tels que le Prix du gouverneur militaire de Metz. Lancé en 2020 pour une promotion 2021, ce dernier est une avant-première.

« On essaie de diffuser l’esprit de défense et de sécurité à travers ces activités, de développer le lien armée-nation et de développer l’esprit de citoyenneté » explique le colonel Hubert TISSIER. L’objectif de ce concours était aussi d’insuffler dans l’esprit des jeunes la notion de devoir de mémoire.

 

Une position du lycée de Sens plus qu’honorable…

 

Le lycée de Sens a obtenu la troisième place sur le podium lors de ce concours. Un résultat apprécié par le proviseur Philippe GOUT. Pour lui, c’était l’occasion d’amener les élèves « à réinterroger un peu le passé, à tirer quelques enseignements et travailler sur l’histoire du pays mais également la façon dont elle se décline au niveau du département ». Puisque la guerre de 1870 a impacté l’Yonne.

Au départ, les élèves affichaient clairement une préférence pour le thème du Général de Gaulle. Mais leur choix s’est finalement porté sur la guerre de 1870, poussés par les deux enseignants en charge du projet, Nathalie MIELLE et Sébastien LORILLON. Ils sont d’ailleurs parvenus à s’approprier le sujet, qu’ils trouvent « plus intéressant ».

La classe de dix-huit élèves, divisée par groupes de trois ou quatre pour traiter les différents aspects de la guerre, disposait d’environ un mois pour les préparatifs, le travail de recherche et la constitution du dossier. Les jeunes admettent que le défi était difficile à relever compte tenu d’un manque de connaissance à combler. Mais ils sont plutôt ravis d’avoir vécu cette expérience.

« Ça va nous ouvrir des portes » lance l’un d’eux. Le fait est que ce prix « apporte une certaine notoriété » comme le confirme le colonel TISSIER. Il permet en effet aux trois premiers lauréats d’entrer dans les rouages administratifs de l’armée jusque dans les services de Metz.

 

Floriane BOIVIN

 


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