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Douze ans, déjà, pour les Rencontres Auxerroises du Développement Durable ? Comme le temps passe ! Mais, l’intérêt autour de l’amélioration de notre environnement, lui, ne s’est pas estompé. Via des kyrielles d’initiatives, de judicieuses interventions de structures associatives, d’entreprises et de collectivités qui ont pris fait et cause pour la biodiversité et la protection de notre patrimoine environnemental. Cet opus 2022  ne déroge donc pas à la règle. L’intelligence animale en sera le pôle de réflexion cette année…

 

AUXERRE : Chaque année, les organisateurs de cette pertinente manifestation intellectuelle remettent le couvert. Avec sa thématique spécifique, son lot d’orateurs de premier choix et ses innombrables questionnements dans le public qui tentent de trouver enfin des réponses claires et concises. Chaque année, les RADD nous reviennent sur un rythme de croisière bien huilé, depuis 2008, avec cette régularité de métronome. Sauf quand la COVID vient en perturber les règles !  

Mais, jamais depuis son apparition dans le paysage associatif de notre territoire, les RADD n’ont failli à leur mission première : faire réfléchir les citoyens que nous sommes tous sur les enjeux de ces grandes thématiques que sont le devenir de notre planète, l’organisation de la cité, les échanges internationaux – bien malmenés dans le contexte actuel – et la durabilité de l’espèce humaine.

Le douzième rendez-vous s’inscrit donc dans cette louable continuité. Son thème en sera la biodiversité, vue sous le prisme de l’intelligence animale. Ce lieu de rencontres et de découvertes que sont les RADD, toujours présidées par Denis ROYCOURT, va une nouvelle fois s’articuler autour de conférences, de visites, de tables-rondes, d’ateliers participatifs, de projection-débat autour de films, d’interventions d’artistes.

 

 

Un plateau de choix du côté des intervenants…

 

Les meilleurs spécialistes de la connaissance animale ont donc donné leur accord favorable pour venir à Auxerre débattre et discuter avec ce public, petit et grand, fait de béotiens mais aussi de spécialistes, durant ce long week-end de l’Ascension, profitable à la réflexion.

Les capacités cognitives des animaux, leur façon de penser, les découvertes, récentes, obtenues en éthologie, ou la mémoire animalière offriront des opportunités pour faire toute la lumière sur le règne animal. Histoire que l’humain prenne enfin conscience de la réalité de la nature ?

Face à l’auditoire, des intervenants de qualité, on s’en doute. Emmanuelle POUYEDAT, directrice au CNRS et au Muséum d’Histoire Naturelle, Emmanuelle GRUNDMANN, primatologue, Laurent TESTOT, journaliste scientifique spécialisé dans l’histoire de l’environnement ou encore le régional de l’étape, Jean-François DORTIER, chef de file de « Sciences Humaines ». Trois journées intenses de plaisir intellectuel où le monde du vivant va nous apparaître bien différent…  

 

 

En savoir plus :

 

Les RADD 2022 se déroulent du 27 mai au 03 juin à Auxerre au Silex et à la MJC.

Les temps forts :

Vendredi 26 mai à 20 heures au Silex : le Studio Evi’Danse présente son ballet : « Urgence Nature ».  Il est interprété par les élèves de l’école auxerroise, avec une chanson originale : « Terre ».

Conférence de Jean-François DORTIER de « Sciences Humaines », sur la thématique : « A quoi pensent  les oiseaux et autres animaux ? ».

« Plumes, Poils, Ecailles » : une série de contes pour petites et grandes oreilles avec les récits enchantés de la conteuse Claudine CREACH, accompagnée par la musique du guitariste Samy JEGARD.

Projet du film « Lynx » de Laurent GESLIN au cinéma d’Auxerre le lundi 30 mai à 19 heures.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Prise de la température, à vingt-quatre heures de la première des deux confrontations qui opposera dès jeudi le dix-huitième de Ligue 1, l’Association Sportive de Saint-Etienne, au troisième de Ligue 2, l’AJ Auxerre. Voilà à quoi servait l’antépénultième conférence de presse de la saison, un exercice où le coach auxerrois à la fameuse casquette rivée sur la tête, Jean-Marc FURLAN, excelle. Que les supporters du club icaunais soient rassurés : « le moral est bon et tout va bien ! ».

 

AUXERRE : L’échéance a beau être hyper importante pour l’avenir du club bourguignon – son accession parmi l’élite après dix ans de purgatoire et d’attente -, Jean-Marc FURLAN ne déroge jamais à son attitude habituelle en conférence de presse : arborer un large sourire avant que ne démarre la prise de parole et plaisanter comme un gamin fier de ses blagues afin de détendre l’atmosphère.

Pourtant, cela ne l’empêchera nullement de parler technique et de stratégie avec beaucoup de sérieux en pesant chacun des mots employés, d’évoquer le plan de bataille mis en exergue afin que ses protégés soient le plus compétitif possible avant de se lancer dans le grand bain.

Lui, des remontées en Ligue 1, il en a déjà quelques-unes dans sa besace. Avec Brest ou aux côtés de Troyes. Mais, là, ce qu’il vit au contact du public en liesse de l’Abbé Deschamps depuis plusieurs semaines, c’est totalement différent. Il l’avoue lui-même, entre deux commentaires qui encensent la gloire passée de l’équipe adverse, les « Verts » de la prestigieuse Saint-Etienne, ce n’est pas pareil.

A Auxerre, la passion du football se vit à fond, se respire par le moindre des pores, presque en communion.

 

Moins de tension pour le coach que face à Amiens ou à Sochaux…

 

« On entend cela toute la journée depuis bientôt dix ans, lâche-t-il un brin amusé devant le micro du pupitre où il dévoile ses derniers états d’âme d’entraîneur avant le rendez-vous du jour J, les Auxerrois veulent que le club fétiche accède à la Ligue 1. Ici, c’est juste fantastique, l’enthousiasme et la joie des supporters… ».

Donc, à l’occasion de ce double rendez-vous, en aller et retour à l’extérieur – la VAR sera requise, tout comme le but valant double -, Jean-Marc FURLAN ne veut pas décevoir ce public de fidèles. Sans trop le marteler, mais cela on le savait sans même lui poser la question, tout sera mis en œuvre pour que les Auxerrois soient au top durant ce long week-end de l’Ascension, qui pourrait se clore par une accession !

L’état des lieux à H-24 est simple : le groupe de titulaires, les tombeurs du FC Sochaux, sera au complet. Donc, tout va bien ! Le coach, lui-même, offre le visage d’une sérénité tranquille à ses interlocuteurs médiatiques. « J’aborde cette rencontre avec beaucoup moins de tension que face à Amiens ou à Sochaux, explique-t-il, les joueurs ont réalisé quelque chose d’exceptionnel cette saison. Leur progression est constante depuis deux ans. Je suis plus détendu avec ce match contre le dix-huitième de Ligue 1 que durant les trente premières journées du championnat ! ».

 

Jean-Marc FURLAN incarnerait-il une nouvelle forme de force tranquille ?

 

En tout cas, vu de l’extérieur, l’attitude est rassurante et ne peut que mettre en confiance des joueurs qui n’en manquent pas, visiblement.

Bon, c’est sûr, le coach de l’AJA aurait préféré une qualification directe en Ligue 1, en terminant à l’une des deux premières places du classement. Mais, Toulouse et Ajaccio en ont décidé autrement !

Face à de tels adversaires que sont Saint-Etienne (même si la saison aura été particulièrement chaotique), Auxerre ne se livrera à aucun calcul, avant d’aborder ces deux rencontres. L’idéal est de gagner à domicile, dès ce jeudi en fin d’après-midi, et avec la manière si possible, avant de se rendre dimanche dans le « Chaudron » de Geoffroy-Guichard pour y préserver le résultat. Un scénario plausible ?

« Il faut être capable de transcender les joueurs et d’être sur une réelle dynamique de victoire tout en respectant le protocole de jeu propre à notre projet. Celui-ci doit être solide et il ne faut surtout pas rentrer dans des détails de calculs… ». Un trop aléatoire au goût de Jean-Marc FURLAN, plus enclin à déjouer les pièges tendus par les lois du jeu !

Mais, pour le coach, l’abord de ce match repose sur la motivation de ses joueurs qui doivent être capables de gagner à domicile un adversaire même coriace avant de confirmer trois jours plus tard à l’extérieur. L’équation n’est guère aisée, sur le papier, mais l’apport du mental sera de toute façon prédominant dans cette rencontre à vivre comme une finale.

Que les aficionados de l’AJA se rassurent : de l’avis de Jean-Marc FURLAN, les fondations du groupe qu’il dirige sont solides avant cette rencontre de barrage. Pour autant, sont-elles suffisantes pour accéder à la Ligue 1 ?

Sourires du coach qui répond par une pirouette où il évoque la qualité de la cohésion du groupe et l’excellente dynamique qui y règne. « Mais, pour le reste, ajoute-t-il plus sérieusement, il faut encore du travail ».

Un travail répété encore et encore lors des ultimes séances d’entraînement avant que ne se déroule enfin le premier des deux rounds pouvant donner le trousseau de clés, qui mène au paradis. Ce n’est plus qu’une histoire d’heures, désormais…

 

Thierry BRET

 


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Pour lui, c’est très clair : « la politique n’est pas un métier ». Ironisant le trait quand il ajoute que cette occupation n’est pas à réserver aux personnes en manque d’activités. A 54 ans, le candidat Les Républicains (LR) de la troisième circonscription de l’Yonne brigue un premier mandat à la députation car il souhaite répondre à la fonction initiale de cette mission : l’engagement. Histoire de prendre son destin en main et d’en assumer pleinement ses responsabilités…

 

JOIGNY: Sitôt la séance photographique avec la presse terminée, Gilles PIRMAN n’a qu’une hâte : enlever la cravate bleue foncée qui confère à la solennité de l’instant. Même si la prise de vue se réalise sous l’ombre bienfaitrice d’un arbre – un arrière-plan plus architectural témoigne que ce cliché n’a pas été pris au beau milieu d’une zone champêtre ! -, le candidat des Républicains feint ne pas trop souffrir d’une chaleur déjà suffocante, sous le coup de midi.

Prolixe dans ses propos, il vient d’achever une longue conférence de presse, en configuration petit déjeuner, accueilli dans un restaurant de la ville. Soucieux du moindre détail et de la préséance dans ses relations publiques.

Le personnage, décontracté, est à l’aise face aux multiples questionnements des journalistes qui l’entraînent à la fois vers des rivages purement politiciens – la présence étrange et contradictoire de plusieurs listes de droite sur la circonscription, un coup de pouce fait au Rassemblement National ? -, plus personnels quant à sa propre vision de la chose politique dans le contexte si particulier que nous vivons et vraiment très stratégiques sur les plus-values qu’il peut apporter à son territoire de prédilection, lui l’homme rôdé aux pouvoirs publics, en cas d’élection au soir du 19 juin.

 

La politique : un engagement au service des autres…

 

La politique ? « Je ne vis pas que de cela ! », confie-t-il tout de go dès les premiers instants de cet entretien à bâton rompu où ses coreligionnaires – le premier cercle de son équipe de campagne – l’écoutent quasi religieusement sans piper mot.

D’ailleurs, il le précise sans ambages : s’il n’obtient pas les suffrages nécessaires des électeurs au terme du second tour de ce scrutin, capital pour sa formation en quête d’un véritable rebond après le naufrage des présidentielles, Gilles PIRMAN aura suffisamment de responsabilités lui permettant de rebondir.

Depuis deux décennies, il incarne les prises d’initiatives effectives de la localité de Saint-Clément où il agit en qualité d’édile. Sa vice-présidence, exercée dans le cadre du Conseil départemental depuis 2011, lui offre d’autres opportunités de pouvoir s’exprimer à travers des dossiers qu’il défend au quotidien. Notamment l’épineux sujet de la santé, un véritable casse-tête chinois, fort complexe à résoudre du fait du phénomène de désertification médicale observée en France depuis de nombreuses années.

Dans l’absolu, pourquoi se lancer alors dans une telle aventure – elle comporte des risques du fait de l’âpre concurrence -, la première du genre pour hériter d’un siège dans l’hémicycle du Palais Bourbon ?

« Je vis pour la politique parce que je recherche un type d’engagement, je ne vis pas de la politique, rétorque-t-il avec assurance à l’interrogation commune des médias faisant valoir la nuance.

Cela ne l’empêche pas de se présenter sur la grille de départ de cette législative dans un esprit serein mais déterminé. Face à la conjoncture actuelle – « le pain noir est encore à venir » annonce-t-il un brin prophétique -, Gilles PIRMAN ne pouvait hésiter plus longtemps avant de se prononcer sur sa candidature. Justifiant son entrée en campagne par le prisme du sérieux et de la solidité.

 

 

Un chantre de la culture du résultat…

 

Puis, il égrène les mots clés de son engagement qui repose sur une certaine idée de la culture du résultat. « Servir », « faire en sorte que ce soit mieux après que l’on se soit engagé qu’auparavant », « écouter » : simple comme bonjour, dans la bouche de Gilles PIRMAN, qui reste calme durant son exercice oratoire.

Il ajoute dans la corbeille de la mariée de ses explications détaillées, les termes « agir », « construire », « le faire pour les autres ». Et toujours dans l’intérêt de son territoire.

Il réfute, a contrario, tout engagement nourri de convictions partisanes – il a bien sûr ses convictions personnelles – pour se concentrer stricto sensu sur des convictions de résultats.

S’adressant aux abstentionnistes et à celles et ceux qui rejettent la chose publique, y compris dans sa plus simple expression, l’élu du Sénonais place le critère de l’expérience au centre du message.

« C’est cette expérience que j’apporte en ma qualité de candidat aux législatives sur cet arrondissement, souligne-t-il, une expérience faite de valeurs exercée depuis vingt ans… ».

S’arrêtant longuement sur le volet de la santé et la délicate offre de soins – le niveau le plus faible de la Bourgogne Franche-Comté -, le conseiller départemental évoque les motivations de son engagement. « Il y a quelque chose à faire sur ce sujet ô combien essentiel pour nos concitoyens ».

 

 

Jouer le rôle d’ambassadeur du territoire à l’Assemblée…

 

Précisant, au terme de son intervention, que sur ce dossier, du fait de son engagement et de son implication, « ce sera mieux après qu’avant ». Sans doute, parce qu’on part de tellement loin dans la réalité !

Devenir l’ambassadeur du territoire, c’est le vœu de Gilles PIRMAN, capable en faisant allusion une fois de plus au dossier de la santé, de « pouvoir assurer un diagnostic complet de son arrondissement », tout en fédérant et en ne divisant pas.

« C’est mon antithèse, affirme-t-il, je préfère que les gens s’additionnent plutôt qu’ils ne se divisent ou se soustraient… ».

Nicolas BOURSIN, président des Jeunes Républicains et directeur de campagne, opine du chef à l’écoute des propos tandis que Marianne PICOUET, suppléante du candidat, esquisse un léger sourire.     

Décochant une banderille avant de conclure l’exercice en direction de la députée sortante, Michèle CROUZET – « elle n’a aucun bilan à présenter en fin de mandat » -, Gilles PIRMAN tacle tour à tour le représentant du Rassemblement National, Julien ODOUL qui « incarne le désarroi de nos concitoyens » et Véronique FRANTZ, adjointe de la Culture de Sens qui se présente sous l’étiquette de divers droite, en créant de « la confusion ».

Se positionnant au-dessus de la mêlée, lui, il veut être jugé sur les résultats qu’il obtiendra lorsqu’il aura achevé son mandat. Sa façon de regarder l’avenir et d’avancer, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Dans un Stade de France, plein comme un œuf, contenant 98 000 spectateurs chauffés à bloc, le combo rock hexagonal de Nicola SIRKIS a battu le record d’affluence du lieu, mieux que les stars internationales de U2, des ROLLING STONES ou de Paul Mc CARTNEY ! Un show mythique de 28 titres, devant se prolonger tard dans la nuit, avec feu d’artifice et messages en cascade, dont ceux destinés à l’Ukraine, qui furent distillés au fil de ces 2h45 de communion…

 

PARIS : La scène, tout d’abord. Elle est en forme de croix – le symbole de ce groupe tricolore apparu dans les années 80 avec « L’Aventurier » et l’hommage rendu à Bob Morane, le héros de l’auteur belge Henri VERNES – et s’étend sur plus de 850 mètres carrés !

Au-dessus trône un immense silo. Sa hauteur est impressionnante, même vu de loin : près de cinquante mètres (45 pour être tout à fait exact) et 1 400 panneaux d’écrans led qui représentent une surface de 2 500 mètres carrés, soit de 68 tonnes de matériel. L’effet est impressionnant.

Côté humain, deux cent cinquante techniciens – de vrais pros ! – sont mobiliser pour assurer ce show époustouflant.

Au fil de la soirée, on y découvrira des effets vidéo puissants, au fur et à mesure où s’égrènent les tubes historiques de la formation dont Nicola SIRKIS demeure le seul membre originel.

Quant au public, toutes générations confondues, il reprend en chœur les paroles et mélodies de ce groupe articulé autour de cinq musiciens.

 

 

Une atmosphère chaleureuse et féérique…

 

De nombreux artistes, à l’instar de « Christine and the Queens » sur le tube « Troisième sexe », les musiciens de la Garde Républicaine, présents sur le morceau « J'ai demandé à la Lune » apportent leurs crédits à des prestations inoubliables. Même Dimitri BODIANSKI, l’un des quatre membres de la prime jeunesse d’INDOCHINE (1981 à 1989) monte sur la scène et réalise des prouesses instrumentales avec son saxophone l'un des morceaux. Signalons également la performance vocale du contreténor Philippe JAROUSSKY, qui donnera de la voix sur le tubesque « College Boy ». Nicola SIRKIS a tapé haut, très haut avec ses musiciens.

Chacun des acteurs de ce show mémorable se déplace sur toute la scène pour faire corps avec un public en liesse. Les jeux de lumière donnent une ambiance tantôt chaleureuse, tantôt froide. Plongeant les spectateurs dans un univers féérique. Durant un court laps de temps, les portables du public s’illuminent, créant une atmosphère onirique. Personne n’oubliera ces instants. Un show qui va engendrer une tournée aux quatre coins de l’Hexagone. Dans les grandes métropoles, exclusivement. Mais, pas en Bourgogne Franche-Comté, dommage !

 

Thierry BRET et Jérôme CASSEGRAIN

 

 


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Heureuse d’être là, la sénatrice de l’Yonne ? Non seulement, la parlementaire ne se privera pas de souhaiter un très joyeux anniversaire à la structure associative auxerroise qui célébrait ses vingt d’années d’existence. Mais, en outre, elle évoquera ce « chemin de fierté » qu’empruntent ses responsables dans leur quête à accompagner les travailleurs handicapés et les chômeurs de longue durée vers l’emploi…

 

AUXERRE : Le chiffre est éloquent. Il traduit le degré d’implication de ce public si particulier qui fréquente au quotidien les locaux de SITAPHY. Des personnes mobilisées dans le seul et unique but de pouvoir rebondir tôt ou tard sur le marché de l’emploi.

Chaque année – c’est une  pondération - 70 % des personnes embauchées dans les ateliers de l’organisme bénéficient d’une solution positive de sortie avant le terme de leur parcours de formation. Une grande satisfaction pour Jean-Pierre THIBAULT, président et meneur d’hommes de ce projet ; une véritable fierté, voire une raison d’être, pour celles et ceux qui ont toujours cru en la pertinence de ce concept extraordinaire.

Le principe de SITAPHY – l’entité revendique haut et fort les valeurs du « made in solidarité en France » - est de proposer à chacun de ses acteurs, handicapés ou demandeurs d’emploi de longue durée, un contrat de douze mois. Un accord entre les deux parties qui est synonyme d’immersion dans les ateliers très opérationnels de la structure, localisée à Auxerre.

Là, cornaquées par un chargé d’accompagnement, ces personnes reprendront confiance en elles, en mettant en lumière leurs capacités professionnelles. L’objectif est double, en vérité. D’une part, aplanir leurs difficultés personnelles. D’autre part, les aider à se projeter vers l’avenir et à rechercher un emploi, voire une formation qualifiante, en vue d’un futur meilleur et en phase avec leurs potentialités.

 

 

Le travail, l’une des choses primordiales favorisant l’épanouissement…

 

Un mode de fonctionnement qui sied à merveille aux attentes de la sénatrice Dominique VERIEN, présente lors de cette commémoration placée sous le sceau de la convivialité, lorsqu’elle a découvert le bilan opérationnel de l’association.

« Je suis vraiment très heureuse d’être ici, confia-t-elle lors de sa prise de parole, je constate en effet que toutes les entreprises qui évoluent dans le domaine de l’insertion sur notre territoire (et elles sont nombreuses) permettent en fait à chacun de retrouver la fierté de l’autonomie… ».

Une autonomie qui n’a pas de prix pour s’extraire de la nasse du chômage et de l’immobilisme. Puis, philosophant sur les vertus du travail, gage d’indépendance et de liberté, la présidente de l’UDI 89 rappela que le facteur travail représentait l’une des choses essentielles à l’épanouissement de l’humain.

 

 

« Sauf que, devait-elle ajouter, certains ont besoin d’un peu plus d’accompagnement que d’autres, c’est-à-dire toutes ces personnes éloignées du monde professionnel… ».

Quant à la confiance, la sénatrice qui n’en manque pas lors de ses interventions dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg souligna que c’était la base de la construction sociétale.

« Il faut des initiatives comme celles prises par SITAPHY pour que justement chacun puisse retrouver ce chemin de la confiance, ce chemin de la fierté qui mène à se réinsérer dans la vie active… ».

Convaincue par la raison d’être de la structure, la sénatrice ? Oui, à 100 % !

 

Thierry BRET

 

 


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