Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La souffrance avant l’exaltation ! Que cette rencontre sportive fut compliquée pour l’inénarrable ancien coach de l’AJ Auxerre ! Guy ROUX en aura donc vu de toutes les couleurs lors de ce match de barrage, offrant l’accès parmi l’élite au club bourguignon. Hypothéquant leurs chances en prenant un but avant le terme du temps réglementaire, les Auxerrois ont eu raison in fine des Verts lors de la séance des pénaltys. Redonnant le sourire à l’ami Guy !

 

BILLET :

 

Lundi

 

Présent hier sur les quais de l’Yonne, à l’occasion de « Fleurs de Vigne », la figure charismatique de l’AJA qu’est Guy ROUX a bien sûr été interpellée sur la désignation la veille au soir, de l’AS Saint-Etienne, comme ultime adversaire dans la course des Auxerrois pour une montée en Ligue 1. Fidèle à son image de paysan madré, le vieux lion de l’Abbé Deschamps a fait preuve de prudence, confessant qu’il aurait préféré tomber sur le Football Club de Metz plutôt que sur les Verts de Geoffroy-Guichard, pour tenter de décrocher le sésame qui ouvrirait les portes de la première division à son équipe fétiche, dix ans après sa relégation en Ligue 2. Avant de rajouter dans un sourire que « soixante mille places en trois matchs, c’est du jamais vu… ». Si l’heure de la retraite a sonné, l’homme est semble-t-il resté fidèle à son image « bankable » de comptable des deniers de l’AJA. « Faut pas gâcher… ! »    

 

 

Mardi

 

Autre figure auxerroise présente ce dimanche à l’heure des intronisations, le député Guillaume LARRIVÉ qui, contrairement à ce que pourrait laisser imaginer cette photo, n’est pas décidé à lever les mains et se rendre à ses adversaires en lice pour lui ravir son siège au Palais Bourbon. En fait, il était à la manœuvre pour lancer un ban bourguignon ! Profitant néanmoins de l’estrade qui lui était offerte pour s’adresser au préfet Pascal JAN et lancer un appel : « Monsieur le préfet, vous êtes désormais dans un département qui aime l’Etat et qui souvent d’ailleurs, a élu des hauts fonctionnaires à la députation. C’est une habitude qui peut, le cas échéant, se reproduire… ». Pas de doute, la campagne bat son plein !

 

 

Mercredi

 

La tuerie d’hier à Ulvade, petite ville du Texas, était la 27ème fusillade en milieu scolaire, enregistrée depuis le début de l’année aux Etats-Unis. En moins de six mois, 17 196 personnes sont mortes à cause d’une arme à feu soit le chiffre terrifiant de 119 victimes par jour. Ce pays où l’on apprend le maniement des armes à des gamins de cinq ans est devenu fou, ivre de ses peurs et de ses certitudes. Un pays devenu sourd et qui n’entend pas le cri des corps suppliciés de 19 enfants et deux adultes, déchiquetés par les balles d’un semi-automatique AR-15, l’arme la plus répandue dans le pays, que toute personne majeure peut se procurer pour la somme modique de 400 dollars ! Que pèsent toutes ces victimes, face à la puissante National Rifle Association of America (NRA), l'influente association pour le port d'armes à feu aux Etats-Unis, aux 5 millions d’adhérents et au budget annuel de 400 millions de dollars, faiseur de rois et de présidents ? L’un d’entre eux d’ailleurs était l’invité de leur forum annuel au lendemain de la tuerie. Par mesure de précaution, les services secrets ayant pour mission de protéger l’ancien président Donald TRUMP, ont demandé que les invités viennent sans armes… On n’est jamais assez prudent !

 

Jeudi

 

Un nouveau pôle consacré aux affaires non élucidées, les « cold cases », a été créé au sein du Tribunal de Nanterre, avec pas moins de six magistrats dédiés et une galerie réservée, pour accueillir la vingtaine d’armoires où entreposer les tonnes d’archives papier consacrées à ces affaires ainsi que les scellés collectés. A ce jour, 107 dossiers y sont répertoriés, dont sept faisant l’objet d’une information judiciaire, parmi lesquels ceux d’Angèle DOMECE et Joanna PARRISH, victimes présumées de Michel FOURNIRET. Dommage que le Palais de Justice à Auxerre ne se soit doté en son temps, d’un tel pôle, cela aurait peut-être évité que ne disparaissent dans le secret de ses couloirs, certains scellés et dossiers liés à Emile LOUIS et à la mort tragique du gendarme Christian JAMBERT, alimentant à jamais les plus folles rumeurs… 

 

 

Vendredi

 

Les élections passent, les affiches demeurent, fragilisées par le temps et laissant libre cours à l’imaginaire au fil de leur dégradation. Comme ce Janus, dieu des commencements et des fins, né de la fusion des visages d’Emmanuel MACRON et d’Éric ZEMMOUR, avec pour Capitole, le Palais de l’Elysée et pour cri de ralliement, « en même temps… » !

 

 

Samedi

 

Et pendant ce temps-là, le géant pétrolier saoudien ARAMCO a vu son bénéfice net grimper de 82 % au premier trimestre 2022, pour un montant avoisinant les 40 milliards de dollars de profits. Amis automobilistes, un petit effort, faisons-lui franchir la barre des 100 % !

 

 

Dimanche


C’est fait ! Auxerre est en Ligue 1 et la fête bat son plein, entachée toutefois par le comportement au stade Geoffroy-Guichard de « brutosaures » au doux nom de supporters, à peine la série de tirs au but terminée. Un match qui, coïncidence du calendrier, s’est déroulé 37 ans jours pour jour, après celui opposant la Juventus de Turin et Liverpool, en finale des Clubs Champions au stade du Heysel à Bruxelles. Score final : 1 à 0 pour la Juve, grâce à un pénalty de Michel PLATINI et 39 morts au compteur, suite à l’explosion de violence et de haine dans les tribunes, entre les aficionados des deux équipes. On dit souvent que l’histoire n’est qu’un éternel recommencement, ce qui s’est passé ce soir à Saint-Etienne en est la preuve, sans faire de victimes heureusement… Mais, jusqu’à quand ?

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Lundi 30 mai, au matin, « the place to be » : c’était Auxerre ! Même « Miss Grenouille », au comptoir, s’est régalée en lisant la « une » de la presse régionale, relatant les exploits des footballeurs de l’AJA ! Bravo aux jeunes sportifs pour cette  réussite, qui dépasse largement  le cadre footballistique, et fait du bien à l'Yonne, tout simplement.

 

AUXERRE : On peut penser que désormais, il faut arrêter de regarder dans le rétroviseur de la Peugeot 505 ou celui de la  Renault 30 GTL, en ressassant les gloires passées (Cantona, Blanc, Boli, Roux et les autres…) et se concentrer plutôt sur le pare-brise de cette future saison à venir avec Furlan, Léon le formidable, Touré, Hein et les autres. Car l'avenir de l'AJA, c'est à eux seuls qu'il appartient désormais !

Quittons  le banc de touche, pour ce comptoir plus familier, car, ce matin-là, on ne parle que de ça, et c'est tant mieux finalement. Tels des verres auxerrois,  le bleu et le blanc s'entrechoquent de la plus belle des manières.

 

 

Une belle enseigne à découvrir, tenue par Nadia et Gaëtan…


Il faut un certain courage pour quitter la tenue d'une pizzeria à succès, aux marges financières confortables, et retrouver l'essence même de son noble métier de cuisinier. C'est cela qui a conduit Gaëtan et Nadia, son épouse, dans ce bel angle de rue, non loin d'une école maternelle d'antan. « A la Maison », comme l'indique la belle enseigne, c'est un restaurant. Mais aussi leur lieu de vie tout simplement. Sitôt la grille franchie, un sentiment d'élégance certaine nous envahit, dont on ne se départira qu'en quittant les lieux : le jardin, la salle, son confort et sa discrète isolation phonique au plafond.

Tout y est à l'unisson. De nos jours, pour pareille réalisation, il faut passer sous les arcanes de normes ubuesques de plus en plus contraignantes. Beaucoup d'énergie - trop peut-être - est dispensée pour ce faire.

Mais, reconnaissons-le : le résultat est à la hauteur des espoirs engagés. Quel joli endroit. La clientèle ne s'y trompe  pas, et ce jour-là, des restaurateurs locaux, ainsi que d’anciens édiles cohabitent paisiblement par fourchette interposée.

 

 

Des toasts au lieu de gougères, cela change !

 

A l'apéritif, des toasts qui changent avec la sempiternelle gougère, bonne pioche ! En entrée, l'œuf est impeccablement poché, velouté d'asperges vertes et de noisettes torréfiées : cela fait un fort bon plat. Le jaune pimpant se mêle à la verdeur prononcée de l'asperge. C'est frais et de saison. Le jambon ibérique  - c'est la mode, mais je le clame d’autant qu’en France, aussi, nous avons d'excellents jambons (le porc noir de Bigorre, l’Ibaïama....) - est ici découpé finement par la « Rolls » des trancheuses : une « Wismer », la préférée de sieur Philippe BULANT, patron de l'entrepôt « Métro », sis à Monéteau ! Un jeune serveur, affable et souriant, s'affaire alors à nous débarrasser.

 

 

Des plats équilibrés et structurés, à la saveur certaine…

 

Les plats arrivent alors. Pour votre serviteur, un suprême de poulet jaune fermier, sauce à l'orange. Une belle assiette, avec là aussi quelques fleurs, heureusement comestibles !  La sauce est bonne, bien équilibrée, même si dans sa globalité, l'assiette paraît manquer, d'un je ne sais trop quoi...Et en dessert, la tarte au citron déstructurée est intéressante, goûteuse et point trop sucrée. 
Avec le café,  une gouttelette de rhum dominicain, je crois, s'interpose avec élégance !  Le rhum, c'est vraiment l'alcool du moment, songeais-je alors, tandis que lorsque j'étais gosse, cet alcool semblait n'être dévolu qu'à la pâtisserie et autres pâtes à crêpes !

 

 

Quiétude et cuisine se donnent rendez-vous…



En traversant le joli jardin où les enfants peuvent jouer tranquillement, pendant que leurs parents prennent l'apéro, chut !..., on se dit en repartant, que voilà une bien jolie table où quiétude et cuisine se donnent rendez-vous. Comme à la maison  en somme ! Mais en ce lundi si particulier, j'allais oublier, encore bravo à l'AJA !


 

En savoir plus :

 

Les - : j'admets volontiers un côté un brin pinailleur, mais je suis certain qu'un plat comme ce suprême de volaille mériterait d'être plus abouti : avec assaisonnement de la viande, que sais-je ? Pas grand-chose, en fait, juste le temps d'y réfléchir, peut-être ?

Les + : la quiétude d'un joli cadre, des chaises confortables, et un agréable moment à table.

 

 

 

Contact

 

Restaurant A la Maison

20, rue Marcellin Berthelot

89000 Auxerre

Téléphone : 03 86 51 00 30

Du jeudi au lundi inclus.

Fermé mardi et mercredi.

Parking facile à proximité. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Conseiller municipal à la mairie de Sens et conseiller communautaire au Grand Sénonais depuis 2021, Mehdi KHAN, 39 ans, se lance aujourd’hui dans une campagne pour les élections législatives sur la troisième circonscription de l’Yonne. Un défi de taille pour ce candidat fraîchement engagé en politique.

 

SENS : Encouragé par son entourage, Mehdi KHAN se présente aux élections législatives 2022 contre onze autres prétendants à l’Assemblée nationale. Sans étiquette, il prend le risque d’une candidature émancipée de tout parti politique. Un choix pas forcément compris par ses opposants mais parfaitement assumé. « Le p’tit bout d’homme que je suis va essayer d’y aller » dit-t-il modestement.

« Je veux défendre tout citoyen ». Le souhait du candidat est de « pouvoir apporter, non pas un acte citoyen, mais un regard citoyen à l’Assemblée nationale et communiquer directement avec les décisions qui y sont prises. On va essayer de faire remonter le bas un peu plus ».

 

 

C’est là toute l’âme de son programme qui défend avant tout la réalité du terrain dont il a l’expérience depuis de nombreuses années tant au niveau professionnel que personnel. En somme, son ambition politique semble se borner à l’article 3 de la Constitution : « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ».

L’ancien clivage gauche/droite ne l’intéresse pas. Ce que veut Mehdi KHAN, c’est « apporter une réelle opposition au président » en tant que citoyen. Outre la privation de liberté, notamment pendant la crise sanitaire, la hausse des prix indigne particulièrement le candidat. L’inflation impacte les commerces et le pouvoir d’achat des foyers, « sur toutes les classes ».

« C’est là-dessus que je voudrais intervenir. Venir en aide urgemment aux citoyens ».

 

Floriane BOIVIN

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Fichtre ! Elle ne craint pas d’étaler son intimité et ses pensées artistiques, un tantinet grivoises, à la vue de tous, et dans les formes d’expression créative qui restent les siennes, la photographe plasticienne de l’Yonne, au suave prénom serbe qui évoque ses racines ancestrales. Chantre de l’érotisme « bon chic, bon genre » - ne sombrant jamais dans l’obscène ni la vulgarité mais naviguant toujours à la limite de la gentille provocation et du suggestif -, Silvana VUCIC s’effeuille sur pages d’un vieux « Larousse » interposé !     

 

AUXERRE : Il y avait les « Cinquante nuances de Grey » aux circonvolutions livresques un brin sulfureuses ; place désormais aux « 300 confidences de Silvana », dans leurs versions les plus intimistes ! Mais, pas trop, tout de même ! Juste les épanchements créatifs d’une artiste insolite (et insolente à bien des égards) qui est bien dans son corps, et surtout bien dans sa tête. Et qui ose !

Une habituée de ces rapports à l’intime, fleurant bon l’ambiguïté et l’effervescence imaginative absolue où le « quand dira-t-on n’a plus sa place » - un grand coup de pied au c…à la fausse pudibonderie, sans pour autant tomber dans l’escarcelle du vice.

Que ce soit de la peinture enduite sur la moindre partie de son corps – le body painting dont elle est une pionnière dans la septentrionale Yonne ! – ou ses troublants clichés, composés de montages et de prises de vues photographiques additionnés, jouant avec l’ombre et la lumière autour de silhouettes dénudées, voire le galbe de jambes longilignes, la plus serbe des artistes icaunaises n’hésite jamais à lever le voile sur ses intentions…d’artiste !

 

 

De l’érotisme à l’ésotérique, il n’y a qu’un pas…

 

Cette fois-ci, la « belle » qui ose aussi jouer les cracheuses de feu le temps de spectacles estivaux à la nuit tombée, offre un panorama éclectique de cette poésie érotique dont elle éveille les sens. En grande prêtresse de rituels interdits ?

Il y a un côté ésotérique fortement prononcé dans ces nouvelles créations. Suspendues telles des mobiles tournoyants sur eux-mêmes, au fil d’un souffle de vie éthérée qui passe, elles prennent la forme d’illustrations, de lettres manuscrites, de réalisations calligraphiques amusantes, de dessins et esquisses coquines où l’imaginaire fait le reste, mais aussi de messages sensuels, voire très mystérieux.

L’univers de cette exposition originale s’articule en petits espaces que l’on cheminerait presque nez au vent à l’intérieur de la galerie.

S’il y a bien l’un des cinq sens qui est mis en exergue totale durant cette balade dans le moi profond de Silvana, c’est bien la vue. En haut, à côté, sur les murs, aux cimaises, au-dessus, ou en dessous : les trois cents confidences de cette « accrocheuse d’âmes par le verbe » s’étalent partout et se distillent au rythme doux, voire envoûtant de la contemplation sans fard qui se présente au visiteur.

Ici, il y a l’espace dédié aux sorcières avec ces entrelacements de balais qui vous invitent à regarder de plus près les œuvres. On y retrouve des symboles, on y aperçoit des allégories. On y observe d’étranges figurines, dessinées à qui l’on pourrait prêter existence si Silvana, la rebelle, jetait un sort. L’envoûtement de tant de choses à dire, à lire, à partager aussi sans doute fait son œuvre.

 

 

Un chemin initiatique pour retrouver notre raison d’être…

 

La rencontre avec l’intime pousse le curieux à se rendre à l’autre bout de la salle d’exposition de la galerie MOUV’ART, toujours à la pointe de la qualité dans ses choix artistiques. Là, se trouve un paravent à la blancheur immaculée. Une mention en barre l’accès. Interdit au moins de 18 ans et aux…cardiaques !

N’y tenant plus, les visiteurs veulent lever le voile sur ce mystère où la pudeur est retenue et pénètrent dans cet antre de la sensualité frémissante. Un nouveau voyage dans une autre dimension, où le cœur ne l’entend plus sur la raison ou l’inverse. L’humour, lui, s’invite à outrance avec désinvolture y compris sur les dessins. Il suffit d’en apprécier l’une des œuvres, faisant référence aux légendaires personnages américains, « Bonnie and Clyde » pour comprendre. Tiens, tiens, l’air sulfureux interprété jadis (1968) par Brigitte BARDOT, incarnation absolue de la femme fatale, et du ténébreux, voire irrévérencieux, Serge GAINSBOURG, aurait servi de source inspiratrice à la troublante Silvana ?

« Mon cœur a parlé, explique l’artiste, je désire toucher le vôtre ! ». A l’aide de quelques confidences – en réalité, il y en a plus de trois cents ! – servies en tranche sur d’étranges supports que sont les feuilles arrachées d’un vieux dictionnaire « Larousse » devenu inutile, Silvana VUCIC pousse les retranchements d’un dialogue espéré entre son public (ses aficionados sont nombreux sur la toile) et elle-même.

Créant au passage un nouvel univers entre l’irréel et le réel, l’utopie et la transgression, l’introspection et la psychologie. La sensualité et l’intimité, enfin. Le désir et le plaisir. La vraie raison d’être de notre parcours terrestre, en somme, non ?

 

 

En savoir plus :

 « Elle était une fois…300 confidences » de Silvana VUCIC.

Galerie MOUV’ART

2 Rue de l’Yonne à Auxerre

Exposition jusqu’au 05 juin 2022.

Une nocturne sera proposée ce vendredi 03 juin de 16 h à 22 heures.

Entrée gratuite, exposition-vente.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’emblématique coach de l’AJ Auxerre, victorieuse de l’AS Saint-Etienne au terme d’une rencontre à suspense qui ne s’est achevée que tard dans la soirée dominicale par la sacro-sainte séance des tirs au but, a été longuement ovationné sous un tonnerre d’applaudissements dans la cour ensoleillée de l’Abbaye Saint-Germain. L’occasion pour le maire Crescent MARAULT de lui passer la médaille de la Ville autour du cou…

 

AUXERRE : La casquette à l’estampille de l’AJA bien rivée sur la tête, sans doute un chewing-gum collé au palais afin de mieux le mâcher, Jean-Marc FURLAN, l’air fringuant et ultra décontracté malgré une nuit écourtée par l’évènement footballistique de la saison, a profité des rayons de soleil matinaux ce lundi matin pour se voir remettre, ainsi que la totalité des joueurs et du staff de l’AJ Auxerre, la médaille de la Ville.

La cérémonie où le protocole fleurait bon l’esprit d’initiative cocardière et l’humour bon enfant se déroulait dans la cour de l’Abbaye Saint-Germain, qui n’était pourtant pas pavoisée aux couleurs du club blanc et bleu. Dommage ! Cela aurait donné une ambiance de théâtralisation encore plus importante à ce moment fort de la vie sportive de notre territoire où officiaient les élus auxerrois, Crescent MARAULT, en tête, accompagné dans cet exercice oratoire par Hicham EL MEHDI, en charge des Sports, et Sébastien DOLOZILEK, adjoint à la Sécurité et à la Tranquillité Publique, qui micro en main, assurait le rôle d’animateur, lors de la remise de médailles aux nouveaux promus en Ligue 1.

 

 

Une dynamique collective synonyme de résultats…

 

Comme à son habitude, Jean-Marc FURLAN, le « monsieur remontée » du football hexagonal – il en est à sa cinquième accession de Ligue 2 en Ligue 1 après les expériences réussies de Brest et de Troyes – évoqua dans un large sourire son émotion intense au coup de sifflet final, soit après le dernier tir au but d’un joueur « Vert » qui devait condamner l’ASSE au purgatoire. Et sans doute dans les limbes de l’Enfer, pour un sacré bout de temps, au vu de la pitoyable démonstration de force de supporters déçus qui envahirent la pelouse du stade Geoffroy-Guichard, munis de fumigènes et de feux d’artifice balancés au grand dam des forces de l’ordre vers la tribune des officiels. On ne doute pas que les sanctions de la Ligue professionnelle seront terribles…

Puis, se saisissant du micro, l’ancien défenseur de Bordeaux, reconverti depuis avec brio comme entraîneur, devait saluer et remercier le staff du club et l’ensemble de ses joueurs.

« Pour arriver à ce résultat, devait-il ajouter, il faut créer une dynamique collective très importante. Le système de jeu doit être mis en place et être respecté. Les joueurs ont eu du cran hier soir, avec du courage… ».

 

 

L’émotion à fleur de peau et le souvenir de ses parents…

 

En vingt-cinq années de coaching, devait-il souligner un instant plus tard, « c’est la première fois que j’ai vécu autant d’enthousiasme et d’engouement au cours de ces deux derniers mois… ».

On sent poindre l’émotion à fleur de peau – l’endroit de la cérémonie matinale, l’Abbaye Saint-Germain lui évoque le souvenir de ses parents -, avant que n’apparaisse sur son visage ce sourire franc qui met un terme définitif à cette prise de parole impromptue.

Lui glissant quelques mots de sympathie, avant qu’ils ne se donnent l’accolade, Crescent MARAULT aura eu le temps de passer au-delà la casquette la médaille de la Ville, sous un flot d’applaudissements nourris. Parce que Jean-Marc FURLAN et sa patte personnelle qu’il a su apporter à l’AJ Auxerre le méritent amplement…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil