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En marge de la célébration du cinquantième anniversaire du Centre d’Examens de Santé de la CPAM de l’Yonne, son directeur général adjoint, Thierry GALISOT, apporte des éléments de réponse quant à la pertinence et à la déontologie de cette infrastructure ô combien opérationnelle dans l’environnement sanitaire de notre territoire…

AUXERRE: Quel regard portez-vous sur cet anniversaire ?

Je tiens à saluer le travail réalisé. Derrière chaque consultant, il y a tout un travail de préparation, d’accompagnement et de suivi qui demande une grande expertise et un savoir-faire, tout en respectant une qualité de travail et un professionnalisme apprécié. Les personnes qui sont considérées comme prioritaires sont les assurés qui se trouvent le plus en difficultés d’accès aux soins, en marge parfois de notre système de santé.

C’est sa capacité de détection de la fragilité sociale et médicale que le CES met au service de l’assuré/consultant pour anticiper, accompagner, et orienter selon la situation de la personne concernée.

Peut-on considérer que le Centre d’examens de santé veille à ce que chaque assuré bénéficie d’une couverture de santé adaptée ?

Oui, à ce titre, le CES est aussi acteur de la promotion des différents dispositifs et offres de service de l’Assurance Maladie notamment auprès des publics les plus fragiles, nécessitant un accompagnement renforcé aux démarches d’accès aux droits et aux soins.

Dans ce cadre, et compte tenu de l’implication du personnel du Centre d’Examens de Santé dans le repérage des difficultés liées à l’absence de complémentaire santé, la nouvelle réforme va trouver un soutien dans l’action du Centre. Je veux parler de la réforme et des changements induits par l’entrée en vigueur de la Complémentaire santé solidaire qui va conduire à expliquer, accompagner et orienter les assurés.

Le Centre d’examens de santé représente un service à part entière de la Caisse Primaire d’Assurance maladie. Existe-t-il une transversalité avec d’autres dispositifs en vigueur ?

Oui, le CES apporte son soutien à la Plateforme d'intervention départementale pour l'accès aux soins et à la santé (PFIDASS). Dans ce cadre, le CES détecte les cas de renoncement aux soins et les signale au service concerné. Le CES intervient aussi dans le Plan Local d'Accompagnement du Non Recours aux soins, des Incompréhensions et des Ruptures (PLANIR).

La structure participe au partenariat mis en place avec les Missions locales en réalisant des bilans pour les jeunes. Le Centre peut aller jusqu’à donner un dossier de CMU (terme utilisé pour simplifier, et qui va devenir la Complémentaire Santé Solidaire)  pour les assurés entrant dans le champ des ressources.

Donc, cette articulation qui se fait ne peut être que profitable aux consultants/assurés ?

C’est exact. Le Centre d’examens de santé et les autres services de la CPAM agissent dans leur intérêt. A ce titre, la promotion du DMP, le « Dossier Médical Partagé », c’est-à-dire le carnet de santé numérique, montre la complémentarité au service de l’assuré.

 


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Samedi 02 novembre à 17 heures sera la première soirée débat de ce type proposé à l’initiative de la représentante de l’Etat sur le secteur de l’Avallonnais et du Tonnerrois. D’autres rendez-vous similaires sont d’ores et déjà prévus à compter du 20 novembre. Mobilisée à 100 % en faveur de la cause sécuritaire sur les routes de notre territoire, la sous-préfète Cécile RACKETTE entend bien faire bouger les lignes et surtout les consciences de ces automobilistes irrespectueux du Code de la route. Pour que l’irréversible ne se produise plus et ne se traduise plus en nouveaux drames…

AVALLON: L’Yonne conserve malheureusement toujours son atypisme peu glorieux. Celui de se distinguer par le mauvais bout de la lorgnette sur un sujet très préoccupant ; celui de l’accidentologie qui ne cesse de faire de nouvelles victimes chaque année au détour d’une nationale ou d’une départementale. Le secteur de l’Avallonnais et du Tonnerrois ne déroge pas à la tendance meurtrière qui caractérise la circulation sur nos routes depuis de longues années.

Si la qualité de nos axes de communication n’est pas remise en cause, il existe néanmoins une vraie problématique sur ce territoire de la Bourgogne septentrionale.

A l’automne 2019, la barre des trente décès survenus tragiquement dans ces accidents de la circulation était déjà dépassée ; au grand dam des représentants de la Préfecture, des forces de l’ordre et du SDIS, le Service départemental d’incendie et des secours.

A l’analyse de ces raisons, ce sont les sempiternels constats : l’alcool au volant, assorti à l’excessivité de la vitesse, et à la prise de stupéfiants provoquent nécessairement le cocktail explosif de trop. Mais, ces faits révèlent une autre problématique beaucoup plus pernicieuse qui se joue au quotidien sur les douze mille kilomètres de routes de notre territoire : les déviances comportementales de l’humain.

 

 

Mobilisation de l’ensemble des acteurs de la sécurité pour faire de la pédagogie…

 

En parfaite connaissance de cause et dans l’irrespect absolu du Code de la route et des précautions d’usage à prendre lorsqu’il s’agit de se déplacer au volant d’une automobile. Le hasard n’est donc pas imputable à toutes ces catastrophes. Seule subsiste la responsabilité de conducteurs qui circulent parfois sans assurance ni permis de conduire, et qui pour certains, ont une profonde méconnaissance de la moindre signalétique aux abords des routes.

Fustigeant cette situation inqualifiable à l’éthique de notre société, Cécile RACKETTE a donc décidé de reprendre le flambeau de la sensibilisation et de la communication pour tenter de stopper l’hémorragie ; à défaut essayer de faire prendre conscience de la réalité à ses concitoyens.

En présence de plusieurs représentants des forces de l’ordre (le commandant Tristan MATOREZ, l’adjudant-chef Bruno DELCROIX qui dirige le peloton motorisé d’Avallon, l’adjudant Stéphane PLOTTON (adjoint de la brigade de proximité de Tonnerre) et la maréchale des logis chef de la commune de Villon, Marine JACQUES, la sous-préfète qui espère aussi la participation des sapeurs-pompiers de ce secteur géographique, passe à l’offensive. A Villon, de prime abord, où la municipalité, favorable à ce genre d’initiative citoyenne, a même réalisé l’affiche de la manifestation.

Le combat contre l’obscurantisme des excès de la route ne fait que commencer. Gageons qu’il puisse infléchir les comportements irresponsables de certains d’entre nous qui confondent la route et ses principes vertueux (la mobilité offerte à chacun en toute sécurité sur le papier)  en un véritable exutoire implacable où certains se défoulent sciemment derrière le volant, sans aucun respect pour la vie d’autrui. Ni pour la leur, par effet gigogne. Pitoyable…

 

 

 


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Entrepreneur en France, Alan Carey a opté très jeune pour les États-Unis. Attiré par le positivisme des USA, il décide de s'y installer pour y fonder une famille et y bâtir sa carrière. Après une expérience au sein de grands groupes industriels et la création d'une entreprise à Chicago, il aide désormais les sociétés françaises à s'implanter ou à se développer Outre-Atlantique. Dernier projet en date : le développement en Arizona d'un incubateur « sport et tourisme ». Direction les États-Unis pour ce nouvel entretien avec le dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors des moments clés de leur existence. Extraite de son blog « 16h44 », son interview nous procure des éléments de réponse pour mieux comprendre les rêves de cet entrepreneur…

TRIBUNE : Alan, tu nous dis que quand un français a une idée des États-Unis, elle est souvent fausse...

Effectivement, les États-Unis ne peuvent être réduits à une vision unique. Vivre à Paris ou Oslo ne permet pas de connaître l'Europe dans sa diversité, c'est la même chose pour les USA qui renferment des territoires très variés. Chaque état est particulier, avec ses lois et sa culture propre. Certains sont faits pour vous et votre entreprise, d'autres non.

Si vous êtes dans les arts graphiques, par exemple, 80 % de votre marché se situe dans un rayon de sept cents kilomètres autour de Chicago. Si vous travaillez dans les cosmétiques, en revanche, c'est plutôt Los Angeles ou New York qu'il faut viser. Et si votre domaine est l'aménagement de maison, l'automobile, l'aéronautique aérospatiale, l’industrie bio ou encore les objets connectés, choisissez l'Arizona.

Quelles spécificités américaines as-tu pu observer au fil du temps ? 

Déjà, j'ai pu constater que certains mots sont tabous, bien plus qu'en France. Il vaut mieux ne jamais parler de sexe, de politique ou de religion dans le business. Les plaisanteries ou les jeux de mots directement traduits du français ne marchent jamais... Il faut essayer de s'adapter sans transposer le modèle français. D'ailleurs, l'américain moyen ne s'intéresse pas vraiment à la France, qui est pour lui un pays parmi tant d'autres.

Ensuite, j'ai observé que certains réseaux originaux propres aux USA offrent une voie de distribution intéressante. Les lieux de culte, notamment, constituent un réseau très puissant, souvent ignoré des étrangers. Le pays est si vaste qu'un Américain peut vite se retrouver isolé s'il change de territoire. Le lieu de culte demeure alors un lieu de sociabilité, d'ancrage et de confiance. Des relations essentielles s'y nouent. Des grandes églises possèdent des terrains de basket, organisent des dîners de partage, etc. En arrivant dans une ville, il peut être intéressant de faire du « church shopping », pour rencontrer des entrepreneurs. Cela fonctionne aussi avec les écoles, ou les clubs en tous genres. En leur donnant 30 % des bénéfices, vous vendez et faîtes connaître votre produit, tout en aidant le club. C'est une pratique très développée aux États-Unis.

Enfin, ce qui me semble être caractéristique des USA, c'est ce qui m'a attiré ici avec ma famille et que j'appelle le positivisme. Dès l'école notamment, la norme est d'atteindre l'objectif et d'obtenir des A ou des B. Le F est une exception et cela génère moins d'anxiété pour les élèves. Au contraire, ça favorise la motivation et l'envie de réussite. Tout est mis en place pour que l'élève comprenne et qu'il ait envie de s'investir. D'ailleurs, il est courant que les étudiants fassent une activité sportive, du théâtre, participent à une fanfare, le matin avant les cours. En France, l'échec d'un élève sera facilement affiché, alors qu'ici au contraire, on n'hésitera pas à convoquer un élève pour le complimenter à propos d'un bon résultat.

 

 

Pour implanter mon entreprise aux États-Unis, ou exporter, quels sont les fondamentaux ?

Même si chaque cas est particulier, il y a quelques points à retenir : d’abord, il est vraiment plus efficace de s'implanter en profondeur dans un état que de façon diffuse sur l'ensemble du territoire. Pêcher à la ligne plutôt qu'au filet. Il faut prendre en compte les spécificités de chaque état, et ne pas sous-estimer les distances, qui augmentent les frais de prospection. Et puis votre client de la côte Est n'attendra probablement pas quatre jours un colis envoyé depuis la côte Ouest, s'il peut obtenir un produit concurrent semblable plus rapidement.

Ensuite, il faut savoir qu'un salarié est souvent plus adapté qu'un réseau de distribution pour diffuser votre produit. Le distributeur a, par définition, d'autres produits à vendre et peut être moins impliqué qu'un employé qui connaît plus précisément le produit. Le code du travail est moins contraignant qu'en France et le formalisme minimal : une lettre d'embauche suffit et l'employeur définit le niveau de couverture sociale qu'il attribue. Pour créer une société, il suffit de quarante-cinq minutes et de cent dollars.

Il faut également s'engager de façon durable. Les premières commandes ne sont que le début du processus et la prise d'un marché demande du temps. Mais, le marché américain a un fort potentiel et vaut les efforts investis. C'est comparable à une partie de baseball : en France, quand la première base est gagnée (qualité du produit), vous avez quasiment remporté le match. Ici, la première base est facile d'accès, mais il faut ensuite gagner les suivantes (disponibilité du produit ou du service, livraison, satisfaction du client) pour remporter la partie. En fait, il faut se concentrer davantage sur la demande du client que sur la qualité du produit. Votre produit peut-être d'une grande qualité, s'il ne correspond pas aux attentes du client, il ne se vendra pas.

Le relationnel sera également déterminant dans la réussite de votre implantation. C'est important partout mais vraiment essentiel ici. C'est sur le terrain de golf que se créent les relations. L'intégration des spécificités culturelles est, en ce sens, fondamentale. Que votre produit soit Made in France peut être un avantage, mais il faut faire attention à une certaine forme de réticence vis-à-vis des produits étrangers. Pour faire tomber certaines barrières (liées à la crainte du retard dans les transports, complications à la douane, monnaie différente...) pensez à offrir des garanties du type « 100 % satisfait ou remboursé ». Il faut toujours être honnête et transparent.

Enfin, soyez direct et proactif. Inutile d'être présent à un salon si vous restez derrière votre stand. À l'instar de l'américain, entreprenant, il vous faudra capter l'attention d'un potentiel client en quelques secondes.

En quelques mots, comment réussir son implantation aux États-Unis ?

L'ouverture aux changements culturels profonds est la clé. Motivation, envie d'apprendre, ouverture d'esprit et adaptabilité sont les attitudes de la réussite sur notre territoire. C'est l'expérience que j'ai vécue quand j'ai découvert les États-Unis, et je suis prêt à la partager pour votre réussite.

L'Application  

Téléchargez " whats app ". Considérez que la qualité de votre produit est un paramètre important parmi d'autres, pas le seul critère de réussite. 

Ouvrez-vous aux différences de culture sans vous arrêter à la partie visible de l'iceberg. 

Contactez Alan CAREY pour tester confidentiellement les chances de succès de votre projet, et recevoir sa newsletter mensuelle. 

 

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

 


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L’association ANICOM a innové pour la trentième édition de ce salon de très belle facture. Composé d’une foire du livre et de la bande dessinée, l’évènement y accueillait des lecteurs qui pouvaient y trouver aussi leur bonheur aux côtés d’un certain nombre d’auteurs. Les deux gymnases réquisitionnés pour la circonstance se répartissaient les étals de livres anciens, de bouquins d’occasion, ceux destinés aux enfants, mais aussi des vinyles à réserver aux mélomanes collectionneurs, des dessins et autres cartes postales…

MONETEAU : Une cinquantaine d’auteurs étaient présents pour dédicacer et présenter leurs ouvrages le week-end dernier lors de cet événementiel de belle qualité. Au détour des tables, nous avons pu discuter avec plusieurs d’entre eux. Notamment, Isabelle ALONSO, invitée d’honneur de cette trentième édition.

Militante féministe, romancière et chroniqueuse de radio et de télévision (elle a souvent travaillé avec la bande à Laurent RUQUIER), l’écrivaine a déjà réalisé treize ouvrages.

Mais, cette fois-ci, il n’y avait pas de nouveauté à nous présenter : son futur opus étant prévu pour le printemps 2020. Cette Auxerroise de naissance se fait toujours un plaisir de revenir dans l’Yonne. C’est un moment de retrouvailles ou de nouvelles rencontres avec les Icaunais ou les autres écrivains.

Elle était d’ailleurs installée à côté de Nadine SZCZEPOCKI, auteure du roman « Quatre, cinq, six…cueillir des cerises », très intimidée et ravie de rencontrer Isabelle. La jeune femme, originaire de Toucy, où se situe l’histoire de son dernier livre dans les années 1920, a publié son roman en autoédition et en est déjà à 800 exemplaires vendus. Elle espère atteindre les mille exemplaires pour être repérée par une maison d’édition avant la fin de l’année.

Quant à Grâce de CAPITANI, actrice, scénariste et poétesse, elle présentait ses trois recueils de poésie dont le dernier, « La grâce des mots » que l’on peut lire ou écouter puisque certains passages du livre étant « slammés » par elle.

Elle nous a affirmé qu’elle aimait être là où on ne l’attendait pas, justifiant ainsi sa présence sur ce salon de l’Auxerrois, qui est devenu une référence dans le milieu littéraire régional. On pouvait également la retrouver l’après-midi pour une lecture de ses poèmes.

 

 

Au détour des plumes nationales, de prometteurs romanciers de la littérature locale…

 

 

Mention spéciale pour la librairie « L’Arbre aux 100 000 rêves », située à Thury, qui transporta le public dans son monde imaginaire. Elle est l’organisatrice du concours « FESTILIVRES Monéteau trente ans ». Les visiteurs ont pu ainsi déposer leur bulletin dans le coffre pour un tirage au sort prévu le 30 octobre. La remise des prix destinés à récompenser trente gagnants le 08 novembre s’effectuera en présence de Céline GUILLAUME, marraine du concours, et auteure de plusieurs livres dont le dernier « Saltarello ». L’occasion fut donnée de pouvoir découvrir également le travail de l’illustratrice Séverine PINEAUX sur le stand.

Dans l’univers du fantastique, une jeune femme de 23 ans, Angie OMALIE présenta son premier roman,  « L’Eveil tome 1 » avec deux autres tomes à venir. À ses côtés une autre écrivaine, Anna CHOCOLAT dont l’œuvre « La Vie d’une femme à deux visages » est à dévorer.

Pour finir ce tour d’horizon d’une édition bien fournie, signalons la présence d’Emilie BILLON, thérapeute de couple et sexologue. Installée à Auxerre, elle présentait son dernier roman « La Vie t’appartient », en attendant le second document qui sortira au printemps.

Personne n’était oublié dans ce festival de la littérature : Cécile GUIBERT-BRUSSEL réalise des livres documentaires pour la jeunesse autour de l’histoire, la danse, l’architecture ou la gastronomie. Des livres ludiques qui plaisent aux enfants.

Signalons la présence du duo de scribes qui a  signé l’ouvrage de référence de cet automne 2019 évoquant les seniors : Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY, un tandem très en verve, avec « Yvonne ne veut pas partir ».

Maryline GANDON

 


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Je ne sais pas vous. Mais, personnellement, mon réveil et moi nous ne sommes pas très amis depuis quelques temps. Il faut dire qu’entre les jours qui raccourcissent et les microbes qui font leur retour : on aurait bien envie de faire comme les tortues, écureuils et autres petits mammifères. Se préparer des réserves pour l’hiver. Et hiberner !

TRIBUNE : Certains sont en vacances. Ils vont pouvoir se ressourcer et se reposer. Mais pour tous les autres qui doivent se lever et travailler, je vous conseille quelques huiles essentielles pour vous motiver et partir du bon pied. Mais, avant ça, profitez du changement d’horaire qui arrive ce week-end. Autant le changement à l’heure d’été nous fait perdre une heure, autant dans ce sens-là, on gagne une heure de sommeil en plus !

C’est l’occasion de recharger les batteries. En se couchant et en se levant à la même heure que d’habitude, évidemment ! Il est d’ailleurs conseiller pour éviter la fatigue d’avoir un rythme de sommeil régulier.

 

Des produits aux vertus salvatrices…

 

Parmi les huiles essentielles à utiliser en ce moment, je vous recommande l’épinette noire. Elle est prescrite pour son côté vivifiant, lors de « coups de pompe », de fatigue, voire d’asthénie. Elle élimine également les sensations de blocage. On l’utilisera diluée dans une huile végétale par voie cutanée ou en diffusion dès l’âge de douze ans. Toutefois, attention, il ne faut l’employer en cas de faiblesse rénale ou de cancer « hormono » dépendant.

Prenons le cas du romarin « CT 1 8 cinéole » : c’est un tonique général à utiliser lors des périodes de découragement, de baisse de régime et de motivation. Il est également anti-infectieux. Dès l’âge de six ans.

J’aime appeler le sapin de Sibérie, « lève-toi et marche ! ». Cette huile va avoir un pouvoir revitalisant quand surviennent des épisodes de fatigue, de découragement ; elle est également à utiliser lors d’ambiances stressantes.

Quant à la marjolaine des jardins, elle réveille l’envie, elle donne l’impulsion pour bouger. A prendre lors de sensation d’oppression, d’insomnie, d’asthénie, de fatigue avec surmenage. Également lorsque reviennent les périodes d’anxiété, d’irritabilité et d’agitation. On peut en diffuser durant une dizaine de minutes à raison de deux à trois fois par jour dans la maison ou au bureau pour apporter la sérénité.

Le « ravintsara » est à employer dans deux indications complémentaires. Immunostimulante, elle améliore le système immunitaire de l’organisme et lui permet de lutter contre les virus, parasites et autres bactéries.

Aussi bien en phase préventive que curative pour toutes les infections de l’hiver (pharyngite, sinusite, bronchite, rhinite, rhume, otite, angine, maux de gorge, toux, grippe, gastro-entérite…).

Elle est également neuro-tonique, équilibrante et énergisante. Cette essence est idéale lors de fatigue nerveuse et physique, et de période de découragement. Elle se consomme en cutanée dès l’âge de trois ans et par voie orale à partir de sept ans.

 

 

Des huiles à utiliser en respectant certaines précautions…

 

L’idéal faire un « roll’on » avec une huile neutre (macadamia, cameline) à part égale, moitié huile végétale et huile essentielle. On ne peut a contrario n’en utiliser une seule. Deux de la liste, voire les quatre. Le principal étant de respecter cette proportion autour du parfait équilibre. Il faut appliquer sur les poignets, inspirer et expirer au moins cinq fois de suite de trois à quatre fois par jour.

On peut également en faire profiter l’entourage s’il n’y a pas de contre-indication et les diffuser, par exemple en mélangeant l’huile essentielle d’épinette noire avec du « ravintsara » ; à diffuser en période de fatigue ou de virus. C’est une autre synergie à part égale avec de l’huile essentielle de ravintsara et de marjolaine à coquilles, idéal en saison froide et humide lors d’épidémies.

Rappel : on ne diffuse que pendant dix à vingt minutes de deux à trois fois par jour. Ne pas diffuser en présence de jeunes enfants âgés de moins de trois ans ou de personnes asthmatiques.

Certaines précautions sont à respecter lorsque l’on utilise des huiles essentielles. Leur usage est contre indiqué en plus des contres indications inhérentes à toutes les huiles : femmes enceintes et allaitantes, personnes épileptiques et asthmatiques.

Il ne faut pas hésiter à demander conseil à un spécialiste avant l’utilisation en cas de doute. Les conseils donnés dans le cadre de cet article ne se substituent nullement à un diagnostic médical, ni à un traitement allopathique.

 

Maryline GANDON

Maryline Aroma & Cie

 


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