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Le co-auteur de « Yvonne ne veut pas partir » se rappelle à notre bon souvenir. En publiant un nouvel opus consacré à la joie de vivre. L’un de ses thèmes de prédilection après celui du bonheur dont il nous avait gratifiés les louanges avec son compère Dominique COJAN via de nombreux témoignages recueillis auprès de personnes âgées. Edité début 2021, « Les Enjouées » fait l’objet d’une souscription. Afin d’en savourer son contenu aux premiers jours du printemps…

AUXERRE : Entamé voici un an, le nouveau travail scriptural de cet adepte du partage et de la transmission des émotions joyeuses se termine. Cependant, la  parution des « Enjouées », titre de cet ouvrage conçu en solitaire par son auteur, est prévue pour les premiers jours de mars 2021. Logique car la distribution et la vente des livres répondent à une réglementation stricte.

Mais, le plaisir n’en sera que plus grand que de découvrir ce copieux opuscule, garni de ses trois cents pages qui brossera les portraits d’une trentaine de femmes dont le dénominateur commun n’est autre que le travail. Une source de joie incommensurable et de plaisir à vivre à l’infini, synonyme d’épanouissement et de croissance de l’âme…

A la lecture de ces pérégrinations testimoniales couchées sur le papier, Jean-Eric FRAY évoquera ces métiers au féminin dont certains sont encore l’apanage des hommes. Il présentera ces activités à forte connotation économique et culturelle qui s’exercent dans l’agriculture, l’industrie, l’artisanat, l’alimentaire, etc. Il y détaillera aussi l’expression de ces valeurs d’un engagement féminin dont le courage, la curiosité, la créativité, le respect, la bienveillance, l’amour…sont les dignes représentants.

 

Trente-et-un portraits gorgés de pur bonheur…

 

Bref, l’écrivain a mis sa plume au service d’une noble cause : celle de la mise en lumière du plaisir de travailler. Un plaisir qui se décline dans l’apprentissage des gestes professionnels, les relations à développer avec les autres, les découvertes nombreuses qui entourent le sachant, enfin le grandissement de soi…

Chacun des trente-et-un témoignages sera ponctué par les impressions de Constance, une jeune béotienne de vingt ans en quête d’un métier qui lui procurera de la joie.

Gorgé de perceptions vibratoires à consommer sans modération, le livre de l’écrivain-conseil icaunais s’adresse à toutes les générations. Aux plus jeunes en quête d’inspiration comme aux plus anciens à la découverte d’autres horizons professionnels. Mais, aussi à celles et à ceux de ces lecteurs qui désirent retrouver les vertus du travail réalisé avec justesse, dans le plaisir…et la passion.

 

En savoir plus :

« Les Enjouées » est un ouvrage qui fait l’objet d’une souscription en amont de sa publication valable jusqu’au 31 décembre 2020.

Celle-ci de l’ordre de 18 euros hors frais (les frais de port s’élèvent à 6 euros) permet d’acquérir le livre à un prix avantageux tout en facilitant son édition.

Le livre est édité aux éditions La Huppe Messagère basée dans l’Yonne à Chassy au 3 Le Grand Chaumont.

Il sera disponible chez les libraires et les centres culturels de Bourgogne Franche-Comté début mars...

 

Contact par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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Quel avenir sera réservé au fameux Pôle environnemental ? Alors que le bâtiment dont les travaux se sont achevés début 2020 était à l’aune de son inauguration au printemps, le doute sur la finalité exacte de ce concept persiste depuis le changement de gouvernance à la municipalité d’Auxerre, et par effet gigogne à la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Pour l’un de ses instigateurs, l’écologiste Denis ROYCOURT, l’abandon du projet en l’état représente un réel gâchis. Explications…

AUXERRE: Les supputations les plus insolites s’accélèrent dans le microcosme institutionnel-politique de l’Auxerrois sur l’affectation du fameux Pôle environnemental et de son édifice aux formes si caractéristiques. A quoi ce bâtiment va-t-il être destiné en définitive ?

Ce projet dont les origines datent déjà de 2008, aura pris son temps avant de se matérialiser à nos yeux, douze années plus tard.

Prêt à être inauguré au printemps, ce bâtiment de huit cents mètres carrés flambant neuf brille aujourd’hui par son inactivité chronique. Ce ne fut pas forcément le cas à l’achèvement des travaux à l’hiver dernier.  

Une exposition y avait été installée avec une thématique de choix portant sur le délicat dossier de l’eau potable. Mais, celle-ci s’est très vite évaporée dans les limbes de l’oubli en se conjuguant avec les temps du passé ! Version décomposée !

Jamais inauguré de manière protocolaire, l’édifice à l’abandon ressemble désormais à une spacieuse coquille vide venue s’échouer sur les rives de l’Yonne, laisser là en plan à quelques encablures du parc des expositions dont il devait être un corollaire d’attractivité.

Pourtant, trois entreprises du cru, sélectionnées pour leur appétence au développement durable et à l’économie verte auraient dû s’installer dès que possible dans ce cadre agréable où le bois reste ce matériau noble et prédominant à sa construction. Or, elles n’y sont toujours pas. Et ne le seront jamais, sans doute…

Autre signe de vie tangible qui était prévu pour agrémenter le site : l’accueil de l’équipe ad hoc, garante de sa bonne fonctionnalité. Celle-ci  a été déplacée dans un bâtiment bien trop exigu, accueillant déjà le service développement durable de l’Agglo.

Plusieurs raisons expliquent ce singulier tableau qui n’a rien d’idyllique dans les faits aujourd’hui : la persistance du confinement imputable au coronavirus qui aura paralysé toutes les velléités opérationnelles liées à l’emménagement des trois entreprises dans ces locaux et surtout le changement de gouvernance, survenu au lendemain des échéances municipales, aussi bien à la ville d’Auxerre qu’un peu plus tard à l’Agglo de l’Auxerrois.

 

 

 

Une infrastructure trop coûteuse dans la conjoncture actuelle…

 

Lors d’un récent conseil communautaire, la question du devenir de cette infrastructure fut d’ailleurs abordée par l’un des instigateurs du projet, l’écologiste Denis ROYCOURT. Il interpella le nouveau président de l’Agglo Crescent MARAULT sur cet épineux sujet. En pointant de l’index un hypothétique abandon du projet.

La réponse du maire ne se fit pas prier pour dénoncer le coût prohibitif de ce complexe (rappelons que le bâtiment aura coûté la coquette somme de trois millions d’euros à la communauté) et ses frais de fonctionnement nécessaires pour en assurer le maintien, soit une enveloppe annuelle de 500 000 euros.

 

 

Disant stop de manière ferme à ces coûts budgétaires qui ne sont plus supportables pour la collectivité, surtout en cette période de crise exceptionnelle, Crescent MARAULT renvoya la balle dans le camp de son interlocuteur en précisant, en outre, que les trois start-ups initialement choisies pour s’installer dans les murs du Pôle environnemental ne correspondaient pas à la finalité première du projet : à savoir celui de capter des entreprises extra territoriales.

Dubitatif et insatisfait par les réponses obtenues, Denis ROYCOURT s’interroge aujourd’hui sur les perspectives de ce qu’il qualifie de véritable gâchis.

« Le personnel compétent est totalement démotivé, précise-t-il, y-a-t-il encore un pilote à la direction de la Communauté ? ».

 

Un plan d’occupation mis en place dès le mois de mai 2019…

 

« Avant même de lancer un appel à projets en direction des entreprises vertes pour rejoindre ce pôle, ajoute l’un des chefs de file d’Auxerre Ecologie, ce dernier avait reçu et accepté les candidatures de plusieurs start-ups, soucieuses de s’y installer. C’était le cas d’AK TEAM (bureau d’études en écologie), de PHENIX (entreprise gérant la seconde vie des produits et luttant contre le gaspillage alimentaire), de DIVINE (avec sa filiale de recyclage des collants usagés), d’INGENT (bureau d’études et recherche & développement en géosciences). D’autres frappaient également à la porte, à l’instar de BIO Bourgogne qui souhaitait y ouvrir un espace de huit personnes travaillant sur le développement des circuits courts. Quant à l’association AUX’OLEIL (toits solaires), elle avait fait part de sa volonté de rejoindre le pôle… ».

Et Denis ROYCOURT de rappeler les trois missions fondamentales qui avaient été retenues par le conseil communautaire à l’origine du concept. La première d’entre elles consistait à devenir grâce à cet outil le « haut-parleur » de la politique environnementale de l’Agglo. Notamment dans le domaine de l’eau, de l’air, de l’énergie, des déchets et des mobilités.

Le Pôle s’inscrivait comme un lieu d’accueil privilégié d’exposition et d’expérimentations présentant des campagnes d’informations et de sensibilisation destinés aux scolaires mais aussi aux citoyens, aux collectivités et aux acteurs de l’économie.

 

 

 

La seconde mission du Pôle reposait sur la constitution d’un réseau fédérant les acteurs de l’Auxerrois positionnés sur le développement durable et l’économie verte. Un comité de suivi avait déjà été créé pour en assurer les aspects opérationnels.

La troisième orientation du site se rapportait à l’innovation et à l’aide apportée au développement de l’économie verte.

L’accueil d’un incubateur de projets verts visait à faciliter l’émergence d’activités novatrices en provoquant l’installation d’entreprises qui auraient par la suite rejoint la zone d’activités Aux-R-Parc.

Parmi les secteurs qu’il convenait de retenir : l’alimentation durable, les énergies renouvelables, la gestion des déchets, les transports, le bâtiment ou encore l’écologie industrielle.

Le Pôle environnemental qui sommeille dorénavant dans une profonde léthargie avait acquis une véritable notoriété au plan de l’Hexagone. En obtenant trois distinctions : le TEPC (Territoire à énergie positive pour la croissance verte), le GPATIC (Grand prix d’aménagement en territoire inondable constructible) et le Prix de la sélection FIMBACTE.

Autant de reconnaissances qui n’avaient rien d’honorifiques puisqu’elles avaient permis d’apporter de précieuses subventions à sa réalisation !

De précieux subsides dont il faudra peut-être un jour rembourser au centime près à ses donateurs si le projet initial devient définitivement obsolète ?

Thierry BRET

 

 


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Les quatre opérateurs téléphoniques Orange, SFR, Bouygues et Free, lauréats des enchères pour la répartition des fréquences 3,4 - 3,8 GHz (propres à la 5G) disputées en octobre, sont autorisés à compter de ce mercredi 18 novembre à utiliser ces fréquences. L’ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Electroniques, des Postes et de la Distribution de la Presse) a tranché. Elle a enfin délivré ces autorisations très attendues...

TRIBUNE : Il faudra encore patienter un peu avant de voir la 5G sur nos téléphones. Les opérateurs attendent tout d'abord le feu vert de l’Agence nationale des fréquences radio, a indiqué notre confrère Europe1. « C’est une question de jours » a confié SFR au média radiophonique.

Orange s'est, de son côté, donné pour objectif de déployer la 5G début décembre.

Mais cette ambition se heurte à une autre contrainte technique pour couvrir l’ensemble du territoire : l'installation des fameuses antennes 5G qui fleurissent en France dans les neuf villes tests retenues. 

L'ARCEP recense 116 antennes à Paris, 95 à Marseille, 89 à Lille, 55 à Nantes, 54 à Montpellier, 24 à Lyon, 22 à Toulouse, 19 à Bordeaux et 5 à Rouen. Le territoire français est encore loin d’être couvert dans sa globalité : nous risquons d’avoir encore les mêmes zones « blanches » que d’ordinaire !

En outre, il existe aussi des contraintes politiques puisque certains élus bloquent encore l’installation des antennes !

 

Des craintes autour de la 5G qui n’ont pas lieu d’être…

 

« La 5G ne doit pas faire peur… » a de son côté plaidé Xavier NIEL, fondateur et patron d'ILIAD, la maison mère de Free, devant la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale, mardi dernier.

« C'est une formidable opportunité pour construire une société plus sobre, plus efficace, avec une gestion de la ville améliorée. Ce serait dommage en France d'avoir les meilleurs réseaux fixes, avec les offres fibres les plus rapides d'Europe, et d'être le dernier pays européen sur le mobile en refusant le marché de la 5G… devait-il ajouter.

« C'est aussi une image, une perception de la France, au-delà de nos frontières, qui pourrait nous faire perdre une part de notre attractivité, alors que le pays était une destination principale des investisseurs avant la crise de la COVID-19, selon le magnat des télécoms.

Ne pas faire peur, certes, mais les enjeux économiques et financiers priment sur le risque sanitaire encore non évalué !

 

Les tractations sont en cours chez les opérateurs…

 

Mais qui dit 5G, dit téléphone compatible. Quelques marques, dont APPLE avec son iPhone 12 (le premier smartphone 5G entré sur le marché), SAMSUNG et HUAWEI ont lancé des modèles 5G.

Côté forfaits, seuls ORANGE et BOUYGUES Telecom ont pour l'heure communiqué leurs offres commerciales 5G à destination du grand public, Free évoquant un lancement dans les prochaines semaines.

Xavier NIEL a par ailleurs confirmé que des négociations auraient lieu entre ORANGE et FREE pour un accord de partage de réseau 5G, notamment dans des zones relativement peu denses.

Pour la région Bourgogne-Franche-Comté, on nous informe que les zones blanches, donc l’accessibilité à la 5G, auront disparues en 2027 !

Jean-Paul ALLOU

 


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Concilier vie personnelle et obligations professionnelles représente un doux euphémisme à concevoir avec sérénité pour bon nombre de jeunes femmes qui viennent de donner naissance à un enfant. Parfois, face à ce crucial dilemme, il est judicieux de repenser son mode de vie. Voire de procéder à un virage à 180 ° en envisageant une nouvelle existence. C’est tout l’intérêt de participer au premier Congrès de la reconversion professionnelle après la maternité…

PARIS : Le rendez-vous sera proposé de manière numérique. Une logique implacable pour ses organisateurs après moult mois de vicissitudes relationnelles imputables à la présence de l’épidémie de coronavirus sur notre sol.

Pour autant, la plus grande communauté de « community manager » professionnelles et mamans en France à l’origine de ce projet se veut très confiante quant au succès de cette animation digitalisée.

Le premier Congrès de la reconversion professionnelle après maternité devrait mobiliser derrière les écrans d’ordinateurs et de portables une quantité impressionnante de jeunes femmes qui souhaitent reprendre leur destin en main.

Proposée du 23 au 25 novembre, la manifestation réunira plusieurs milliers de mères engagées autour d’une vraie adhésion en faveur d’un équilibre retrouvé entre la vie personnelle et son corollaire professionnel.

On y retrouvera des conseils pratiques et astucieux prodigués par une douzaine d’intervenantes inspirées par la thématique pour faire face à la réalité du marché du travail. L’objectif étant de faciliter les synergies et le networking entre les participantes.

 

En savoir plus :

Premier Congrès de la reconversion professionnelle après la maternité :

Un rendez-vous national du 23 au 25 novembre 2020

Renseignements sur www.mamans-digitales.fr

Inscription sur : mamans-digitales.fr/congres-virtuel

 

 

 


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« C’est une simple question de bon sens. Et de pratique puisqu’il était possible de réunir l’assemblée plénière du Conseil régional en respectant le quorum habituel assorti des consignes sanitaires obligatoires... ». Selon le président du groupe Rassemblement national Julien ODOUL qui siège à la Région, le report de la séance restreinte, initialement programmée ce vendredi 13 au lundi 16 novembre, n’aurait pas dû être. Il dénonce un manque d’anticipation et surtout le gaspillage de l’argent des contribuables…

DIJON (Côte d’Or) : Le report de l’assemblée plénière du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté de soixante-douze heures (voir l’article publié à ce sujet le 13 novembre) suscite depuis des réactions dans le microcosme politique.

A commencer par celles de l’un des porte-voix de l’opposition à la majorité actuelle, le président du groupe RN Julien ODOUL.

Ce dernier s’est fendu d’un communiqué de presse afin de faire part de sa stupéfaction, ne comprenant pas les motivations réelles de l’exécutif qui a choisi d’annuler en dernière minute cette séance importante où il était question de débattre entre autres des orientations budgétaires pour l’exercice 2021.  

Pour l’élu de l’Yonne, « au regard de la législation actuelle, la présidente du Conseil régional pouvait tout simplement réunir l’assemblée en respectant le quorum habituel avec l’application des consignes sanitaires obligatoires, à savoir le port du masque pour les élus, la présence de gel hydro-alcoolique, l’aération de la salle et l’absence de public ».

Précisons que le texte de loi sur la prolongation de l’état d’urgence sanitaire n’ayant pas encore été promulgué de manière officielle, il était donc impossible de maintenir la séance régionale en ces circonstances ce vendredi 13 novembre. Même si celle-ci était prévue en mode restreint pour accueillir dans l’hémicycle trente-quatre conseillers régionaux au lieu de la centaine qui devait y assister d’ordinaire. 

 

 

Une surcharge financière de plusieurs milliers d’euros…

 

Outre le manque d’anticipation de la gouvernance sur ce report, le leader du Rassemblement national dénonce en priorité le surcoût financier occasionné par ce décalage dans le temps.

« Cette annulation va coûter des milliers d’euros aux contribuables de Bourgogne-Franche-Comté, précise-t-il, entre les frais de déplacements des élus et des agents, les nuitées d’hôtel à prendre en charge, la commande de plateaux repas auprès de traiteurs prévus pour le déjeuner… ».

Puis, il poursuit : « C’est un gaspillage qui tombe au plus mauvais moment alors que la crise économique liée à l’épidémie de la COVID-19 devrait mobiliser chaque euro d’argent public pour sauver les commerces, les entreprises et les salariés dûment touchés… ».

Julien ODOUL s’insurge contre ce report qui le laisse pantois. Ironisant sur l’image terne renvoyée par cette décision.

« Si l’assemblée plénière s’était tenue ce vendredi dans les circonstances habituelles du respect sanitaire autorisé, nous aurions également pu gagner du temps quant à la prise de décisions sur les orientations budgétaires… ».

Interrogé sur la probable décision du report des élections régionales en juin 2021, Julien ODOUL n’y voit pas d’inconvénient.

« Au contraire, estime-t-il, cela favorisera la tenue de la campagne électorale dans de bonnes conditions après la sortie de la crise… ».

A contrario, la tenue de ces échéances régionales, assorties des départementales, serait très malvenue à l’automne 2021 car beaucoup trop proches des futures présidentielles de mai 2022.

Thierry BRET

 


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