Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La situation est préoccupante à plus d’un titre. Non seulement, le taux d’incidence repart à la hausse. Mais, le pire est encore à venir selon le représentant de l’Agence régionale de Santé pour l’Yonne Damien BORGNAT. Avec un taux évalué à 238, l’Yonne demeure invariablement dans le peloton de tête des plus mauvais départements de l’Hexagone. Le relâchement en zones rurales explique en partie cet état de fait. D’où la crainte d’un net rebond de la pandémie dès janvier…

AUXERRE : L’Yonne n’y arrive pas. Inlassablement, les semaines se suivent et se ressemblent avec sa litanie d’indicateurs déprimants liés à la propagation virulente du coronavirus sur notre territoire. Les chiffres traduisent le net relâchement de nos concitoyens, en particulier celles et ceux vivant dans les zones rurales qui respecteraient avec une certaine désinvolture les gestes barrières.

Les dernières tendances livrées en fin d’après-midi ce jeudi 16 décembre corroborent une nouvelle fois ces dires. Elles ne sont pas porteuses d’optimisme, convenons-en !

Avec un taux d’incidence évalué à 238, le département septentrional de Bourgogne Franche-Comté se classe à la sixième place des départements les plus touchés par la pandémie. D’autres territoires de la région brillent malheureusement par la similitude de ce constat, notamment le Doubs.

De quoi inquiéter singulièrement les représentants de l’Agence régionale de Santé (ARS) car ces observations qui émanent de Santé Publique France valident des résultats négatifs obtenus juste avant la période des fêtes de fin d’année.

 

 

Des taux nettement supérieurs à ceux de l’Hexagone…

 

La dégradation du contexte sanitaire dans l’Yonne concerne également la population des plus de 65 ans. Le taux d’incidence des seniors s’élève à 400. Il est nettement supérieur au taux d’incidence du pays (118 au niveau global et 133 pour les plus de 65 ans). Du côté des EPHAD, le baromètre tendanciel n’est pas au beau fixe avec 55 établissements frappés par la maladie. On déplore 28 nouveaux décès cette semaine. Ce qui établit le nombre total de personnes disparues à 213 depuis le début de la pandémie.

Précisons que 230 personnes ont été admises dans les centres hospitaliers dont 17 au sein des services de réanimation.

Sur un plan géographique, la recrudescence de ces nouveaux cas s’observe plus particulièrement sur les secteurs de l’Aillantais, du Serein, de Joigny, du Florentinois et du Tonnerrois. Soit la partie orientale de l’Yonne.

Le relâchement des gestes barrières est l’une des causes de cette poussée de la COVID-19. Alors que les délais pour récupérer les résultats des tests s’amenuisent considérablement (0,6 jour).

Le déficit de vigilance constaté dans les zones rurales offre de sombres perspectives pour les centres hospitaliers dont le nombre de malades devrait augmenter de façon exponentielle à la mi-janvier. Le risque de la troisième vague alors que la seconde ne cesse de dérouler ses effets négatifs devient de plus en plus probant. Des éléments informatifs qui ne rassurent guère par le représentant de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST.

Il appelle les Icaunais à la plus grande prudence durant la quinzaine à venir. Une chose est sûre : dans l’Yonne, la COVID-19 ne respectera pas la trêve des confiseurs.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sensibiliser les automobilistes sur les risques de la mobilité ailleurs que sur les routes résume l’idée lumineuse de la Sécurité routière de l’Yonne en cette fin d’année. Propice à la hausse des déplacements, malgré le contexte sanitaire. Placer une silhouette de sinistre augure rappelant le nombre de morts liés aux accidents au centre d’une galerie marchande interpelle nécessairement les esprits !

AUXERRE : On ne peut que la voir, y compris de très loin. D’une part, sa forme est caractéristique d’une silhouette humaine affichant un ersatz de visage attristé.

D’autre part, sa couleur d’un noir d’ébène présage un contenu informatif forcément de mauvais aloi. Le message lapidaire qui y est apposé en guise d’explication de texte fait état d’un sinistre décompte : celui du nombre de décès survenu depuis le mois de janvier sur les routes de notre territoire.

Vingt-quatre. Un chiffre à retenir et à méditer avec le plus grand des intérêts. Il symbolise le nombre de tués au détour d’un virage, d’une ligne droite ou d’une intersection. L’équivalent de la population de la plus petite commune du département, située à proximité de Noyers-sur-Serein : Jouancy.

Vingt-quatre personnes, fauchées de l’existence terrestre parce qu’elles roulaient trop vite, sans respecter le comportement usuel requis par le Code de la Route, en état d’alcoolémie ou sous l’emprise de stupéfiants. Ou plus malencontreusement parce qu’elles se trouvaient là bien malgré elles sur la scène de l’accident, au mauvais endroit et au mauvais moment. On appelle cela la faute à pas de chance. A la sournoise fatalité qui nous étreint de son voile noir, parfois.

 

Des silhouettes noires qui fleurissent dans les bâtiments publics et…privés…

 

Alors, que les consommateurs munis de leur caddie et pressés de faire leurs emplettes de Noël soient interloqués par une telle présence au cœur d’une galerie marchande ne gêne pas. Bien au contraire, cet anachronisme factuel est bel et bien le but recherché par les auteurs de cette scénographie discordante avec l’esprit festif. La Sécurité routière.

Avec en toile de la fond, la préfecture de l’Yonne qui veut profiter de cette période spécifique pour sensibiliser le plus grand nombre de nos concitoyens aux dangers de la circulation.

Une dizaine de ces silhouettes à l’évocation si morbide ont été placées depuis quelques jours sur les lieux d’accueil des établissements publics. Le tribunal, l’hôtel de police, la direction départementale des Territoires, la préfecture, la sous-préfecture. Ils ne sont pas les seuls. La sphère privée est également concernée par cette campagne itinérante se profilant sur les premières semaines de 2021.

L’essentiel, c’est qu’il y ait du flux. De la surprise et de la réflexion. C’est le but avoué par la préfecture qui ne cesse de déplorer le plus souvent au lendemain des week-ends très fréquentés sur les routes le nombre de nouvelles victimes.

 

 

Un bilan 2020 en trompe-l’œil…

 

Triste bilan que celui obtenu au terme de l’année 2019. Avec 41 décès, l’Yonne figurait parmi les départements les plus meurtriers de l’Hexagone. Impensable mais tellement vrai !

Certes, 2020 n’aura pas la même teneur. Elle sera amoindrie sur le plan de la statistique. Toutefois, il ne faut pas se voiler la face. Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet, en a parfaitement conscience.

D’une part, les douze derniers mois ont été très particuliers avec l’émergence galopante de la COVID-19 et ses confinements successifs. D’autre part, la fluidité sur les routes aura été impactée par la pandémie. Positivement, cette fois-ci.

Mais, le bilan reste très mitigé pour autant. Avec une recrudescence du nombre d’accidents dès la sortie du premier confinement. Comme si les automobilistes de l’Yonne avaient choisi volontairement de lâcher les gaz derrière leur volant en toute impunité…

 

Une vidéo sur les mauvais comportements routiers diffusés en 2021…

 

Au final, ce sont 25 % de blessés graves en plus que l’année précédente qui termineront leurs courses folles dans les services de soin des centres hospitaliers.

Comme on pouvait s’y attendre, ce terrible fléau que représente l’accidentologie prend sa source dans l’alcool à hauteur de 25 % des cas dont 4 % suite à la prise de stupéfiants, la vitesse excessive à 20 % et les refus de priorité, un grand classique dans le phénomène comportemental du rejet systématique des règles élémentaires de conduite.

Pour l’heure, seul l’hypermarché Leclerc d’Auxerre accueille l’une de ces figurines sombres dans sa galerie commerçante. Un choix éco-citoyen encouragé par son directeur, Jérôme CHAUFOURNAIS.

Régulièrement, l’enseigne de la grande distribution reçoit en ses murs des opérations visuelles qui véhiculent des informations à la clientèle sur la sauvegarde de l’environnement ou de grandes causes sociétales à défendre. Ce fut le cas, il y a peu, avec la réception de l’ADAVIRS, l’association d’aides aux victimes.

De son côté, la préfecture avec la collaboration de la Police nationale a réalisé une vidéo consacrée aux mauvais comportements sur la route.

Ce court-métrage sera diffusé sur le site multimédia de l’institution étatique à partir de janvier. Avant qu’il ne soit, peut-être, projeté sur les écrans diffusant des spots publicitaires dans la galerie marchande au centre Leclerc d’Auxerre ? L’idée plutôt séduisante en termes d’impact est dans les tuyaux !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’ambassadeur national de l’accessibilité pour tous, l’ancien édile et sportif de l’extrême Yann JONDOT a pu expliquer longuement les principes de la démarche expérimentale qui fait florès auprès de 250 communes en Bretagne. Il a dévoilé le contenu de la charte et présenter des solutions déjà opérationnelles au représentant de l’Etat, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST. Celui-ci s’est montré très attentif à son discours…

AUXERRE: Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a écouté son interlocuteur avec beaucoup d’intérêt exposer la situation réelle dans laquelle évoluent les personnes à mobilité réduite en France.

Une véritable sinécure à la limite du parcours du combattant parfois, tant les villes et leurs établissements devant accueillir du public (ERP) ne sont pas toujours adaptés aux conditions requises pour en faciliter l’accès. Malgré, le texte de loi adopté par le législateur en 2015.

De passage dans la capitale de notre territoire, à l’invitation de l’antenne départementale des Maires de l’Yonne (AMF) et de son président Mahfoud AOMAR, l’ambassadeur de l’accessibilité dans l’Hexagone Yann JONDOT aura eu tout le loisir de prolonger sa visite auxerroise à l’hôtel de la préfecture où il a pu disserter avec le représentant de l’Etat.

L’édile breton et sportif de l’extrême était accompagné de l’un de ses fidèles suiveurs, Arnaud CHASSERY avec lequel il concocte de nouvelles aventures exotiques et musclées en 2021 (dès que la situation sanitaire le permettra) pour dévoiler au préfet la panoplie d’outils et de préconisations à mettre en exergue afin de proposer une alternative peu coûteuse et rapide aux sempiternelles problèmes de mobilité dans les villes.

 

 

La remise d’un exemplaire de la charte d’accessibilité…

 

Un fléau structurel récurrent qui obsède les personnes victimes d’un handicap. Ces dernières ne peuvent pas se déplacer à leur guise et se rendre sur des lieux de rendez-vous d’importance.

Comme il l’avait fait, l’après-midi même devant les membres du bureau de l’AMF 89, Yann JONDOT, paraplégique depuis l’âge de 22 ans et au fait de toutes les turpitudes existentielles rencontrées par les personnes à mobilité réduite, a remis à Henri PREVOST un exemplaire de la charte d’engagement d’une démarche expérimentale d’accessibilité déjà testée avec brio en Bretagne.

Un concept qui a déjà reçu entre autres l’assentiment du président du Sénat Gérard LARCHER, favorable à son développement.  

Sera-ce le cas du haut-fonctionnaire de l’Yonne sur notre territoire ? Interpellé par la pertinence de ce projet, Henri PREVOST n’a pas encore donné de réponse officielle au sortir de cet entretien. Mais, il s’est montré très convaincu et promet de réfléchir à la question. Vivement 2021 pour en savoir davantage !

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Derrière le sourire de façade se cache une profonde tristesse. Une douleur sourde qui semble pourtant bien palpable à fleur de peau. Le garçon n’est pas du genre à se plaindre d’ordinaire. Sa jovialité est appréciée de ses pairs dans le sérail culturel de l’Auxerrois, voire au-delà. Mais, cette fois-ci, on sent bien que le bouchon dérive trop loin de la berge sécurisante habituelle, pris dans les remous d’une rivière trop impétueuse d’incertitudes et de doutes. Le directeur du théâtre d’Auxerre l’avoue de son propre chef avec humilité : il ne comprend plus rien à la gestion de la crise sanitaire du moment…

AUXERRE : Alors qu’ils sont des milliers de professionnels de la culture et du spectacle à être descendus dans les rues d’une vingtaine de métropoles de l’Hexagone pour faire entendre leurs voix ce mardi, le directeur du théâtre d’Auxerre a choisi un tout autre moyen de communication pour exprimer ses craintes vis-à-vis de la situation actuelle. Un face-à-face sans langue de bois avec un représentant de la sphère médiatique. Votre serviteur.

Vivant de plus en plus mal cette période d’inertie et de pauvreté intello-culturelle, Pierre KECHKEGUIAN ne cautionne pas l’attitude du gouvernement. Celle du yo-yo en permanence, identifiée par la fermeture, la réouverture, puis de nouveau la fermeture des espaces culturels du pays. Tout cela sans réelle ligne conductrice.

« Tout ce que je constate, lâche-t-il avec amertume, c’est que nous ne faisons pas notre métier aujourd’hui. Celui de donner de la rencontre et du plaisir à notre public. Et aussi de la réflexion… ».

N’étant pas dupe sur les intentions gouvernementales, le responsable de ce grand esquif qu’est le théâtre auxerrois échoué comme un cétacé malade depuis des semaines sur un banc de sable sait que la date de réouverture promise au 07 janvier 2021 est purement théorique. Il n’y croit pas. Il n’y croit plus. Il n’y a d’ailleurs jamais cru…

Et pourtant, après le premier confinement, le garçon avait redonné la foi et le punch nécessaires à tous ses collaborateurs pour que soient mises en œuvre dans les règles de l’art les fameuses mesures de protection sanitaire. Distanciation dans la grande salle, gestes barrières, masques obligatoires et tutti quanti !

Compréhensif, le public icaunais avait accepté ces contraintes peu propices à la relation à l’autre et aux libertés sans renâcler. Preuve du véritable attachement de ces aficionados à leur cher théâtre !

 

Une reprogrammation qui s’étire désormais jusqu’en…2023 !

 

Oui, mais voilà : c’était sans compter sur la recrudescence de la pandémie et la surprenante vivacité de sa seconde vague. Tel un puissant tsunami, elle s’est abattue de plein fouet sur le département de l’Yonne (et en Bourgogne Franche-Comté) provoquant des records parmi le nombre de contaminés et de personnes placées dans les services de réanimation.

A ce jour, le théâtre d’Auxerre sommeille toujours de cette léthargie profonde bien malgré lui. Déplaçant sa très riche programmation (elle flirtait avec l’exceptionnel cette saison) aux calendes grecques.

Les nouvelles dates qui avaient été revues et corrigées par les responsables de la programmation sont d’ores et déjà obsolètes. Créant ainsi un curieux amoncellement de reports en tout genre, des dates de prestations culturelles dont on repousse sans cesse la tenue.

 

 

Bref, face à cet insolite embouteillage qui s’étale jusqu’en 2023 (!), Pierre KECHKEGUIAN fulmine avec réalisme.

« Pourquoi le gouvernement nous impose-t-il cette période de punition alors que nous avons démontré lors de la venue de Tanguy PASTUREAU (l’un des rares spectacles ayant pu se dérouler dans l’entre deux confinements) que tout avait été mis en œuvre dans le respect des procédures sanitaires avec succès ? ».

D’autant qu’en parallèle, les parkings dégoulinants de véhicules bondés de passagers aux abords des grandes surfaces laissent à supposer que la prise de risque n’est pas la même pour tout le monde !

 

Les milieux culturels vont payer un lourd tribut à cette crise…

 

Bien sûr, les aides allouées par l’Etat ont apporté du beurre dans les épinards. Mais, pour le manager de cet antre de la libre pensée et de la culture portée à son paroxysme les discours officiels sont divergents.

Les compagnies, les artistes, les intermittents, les lieux de résidence artistique, les espaces culturels vont payer un lourd tribut à cette crise si rien n’est fait avec promptitude pour inverser la vapeur. Celle brûlante de la désolation personnelle, de la destruction d’emplois, de l’éradication du savoir-faire, de la mort in fine de milliers d’artistes. Démunis, oubliés et seuls contre le monde entier.

Il reste comme ultime espoir dans ce paysage glauque digne d’une tragédie grecque le recours contre les fermetures auprès du Conseil d’Etat. Une demande de référé a été déposée dont la réponse pourrait être connue avec immédiateté ou presque tant la pression est devenue insupportable sur le gouvernement pour solutionner la problématique de cette frange de la population.

« Il y va de la survie politique à terme d’Emmanuel MACRON prévient lucide Pierre KECHKEGUIAN, d’autant qu’en 2017, le milieu culturel avait lâché le Parti socialiste pour soutenir l’actuel locataire de l’Elysée aux présidentielles… ».

Convaincu a contrario que la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT demeure un vrai soutien à la cause artistique, le directeur du théâtre d’Auxerre attend beaucoup de la décision du Conseil d’Etat. Même si les observateurs se disent très pessimistes quant à la réponse qui sera faite par l’organe institutionnel…

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Peu coutumier du fait, le geste est cependant fort en symbole. Sans doute à la grande stupéfaction des automobilistes qui ont été bloqués quelques minutes aux heures de pointe sur l’un des axes principaux à Auxerre. L’action de la Police nationale avait pour but de dénoncer les propos tenus par Emmanuel MACRON contre la profession...

AUXERRE : C’est un véritable coup de gueule à l’adresse du locataire de l’Elysée que vient de lancer la Police nationale. Une protestation en bonne et due forme qui s’est traduite par la mobilisation de plusieurs représentants des forces de l’ordre à l’appel du syndicat Alliance Police Nationale.

L’action s’est déroulée en deux temps. A Auxerre, tout d’abord, ce jeudi où les policiers ont affiché publiquement leur courroux en organisant des opérations de ralentissement et de blocage de la circulation avenue Charles-de-Gaulle aux heures de pointe. Un filtrage au compte-goutte des véhicules de part et d’autre de la chaussée où les automobilistes surpris se sont vus demander s’ils préféraient avoir une amende ou une papillote !

Solidaire envers les revendications des policiers, la population a opté tout naturellement pour la seconde des deux possibilités.

 

 

 

Le Chef de l’Etat ne soutient pas les forces de police dixit le syndicat…

 

Le lendemain, c’est devant l’hôtel de police de Sens que les représentants de ce mouvement contestataire faisaient part de leur mécontentement.

C’est à la suite des déclarations du président de la République que le syndicat Alliance Police nationale a appelé à manifester. Pour ce dernier, le Chef de l’Etat n’a pas affiché de soutien aux forces de police que leurs syndicats étaient en droit d’espérer.

Souhaitant interpeller l’opinion publique, les policiers ont remis des tracts aux automobilistes pour expliquer le motif de cette sourde colère qui devient effective désormais dans la rue.

« Nous sommes violents et en même temps racistes » pouvait-on lire sur l’un d’entre eux : un contre-pied ironique évident afin de démontrer tout l’inverse de la part des forces de l’ordre, pointées du doigt par l’Elysée.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil