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Engagé de la première heure pour soutenir le projet élyséen du candidat Emmanuel MACRON, le référent de La République en Marche dans l’Yonne a été reconduit à son poste pour un mandat supplémentaire de deux ans. Une période faste en échéances électorales avec l’organisation de quatre des scrutins essentiels qui régissent la vie politique de l’Hexagone…

AUXERRE: Chômage et farniente s’abstenir pour le référent icaunais de La République en Marche au cours de ces vingt-quatre prochains mois ! Le renouvellement de mandat de Patrice TAMPIED AZURZA sur une période de deux ans correspond à la tenue de quatre des élections fondamentales qui rythment la vie démocratique de notre pays.

Autant dire que l’historique premier référent du parti présidentiel désigné sur notre territoire devrait être passablement occupé dans les semaines et mois à venir, notamment en vue des futures départementales et régionales de 2021. Rappelons qu’en raison de la crise sanitaire actuelle et de son impact évident sur notre quotidien, ces deux échéances ont été décalées de mars à juin pour optimiser leur organisation.

D’ici là, le référent de l’Yonne aura eu tout le loisir de peaufiner la stratégie du parti présidentiel. En sa qualité de responsable du Conseil territorial LREM Yonne ainsi que du Comité politique.

 

 

 

 

Un binôme avec Jean-Baptiste LEMOYNE pour les départementales…

 

Aux côtés du Secrétaire d’Etat en charge du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE (le conseiller départemental de l’Yonne a été nommé coordinateur de LREM sur son territoire de prédilection), Patrice TAMPIED AZURZA travaillera aux enjeux de ces départementales 2021.

Il en fera de même avec le député de la Côte d’Or voisine, Didier PARIS, nommé chef de file de LREM en Bourgogne Franche-Comté dans le cadre des Régionales.

La décision de renouveler sa confiance au référent icaunais a été prononcée le 14 décembre dernier lors de la tenue du bureau exécutif des Marcheurs. Conformément aux statuts, ce sera le dernier mandat pour l’actuel référent qui rendra son tablier après cinq ans d’investissement en octobre 2022.

Thierry BRET

 


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Rejoindre la ville la plus septentrionale de l’Hexagone pour y disputer son ultime match de l’année ne représente pas un voyage d’agrément pour les Auxerrois. D’autant que chez le promu qui occupe une méritoire douzième place, les Bourguignons y sont attendus comme le Père Noël. Histoire de le « dépouiller » de ses cadeaux tant les contres agressifs de l’adversaire pourraient faire mal à la défense icaunaise…  

AUXERRE : Rasséréné par la brillante quatrième place de son équipe au classement général, même s’il soutient mordicus que ce n’est qu’à la toute dernière journée de championnat qu’il fera les comptes, Jean-Marc FURLAN sait que le match opposant les Auxerrois à l’Union Sportive du Littoral de Dunkerque ne sera vraiment pas une partie de plaisir mardi aux alentours de 20 heures.

D’une part, il y a en guise de préambule un long déplacement à la pointe nord de la France. Fort heureusement assuré par voie aérienne même si certains éléments de l’équipe bourguignonne ne sont guère folichons à l’idée d’emprunter les airs pour s’y rendre !

D’autre part, le comité d’accueil in situ risque d’être musclé sur le terrain. C’est en effet l’une des marques de fabrique de la formation nordiste, réputée pour la hardiesse de son jeu physique et ses contres redoutables. Ce n’est pas pour rien que l’un des promus de la saison occupe la douzième place avant le terme de la phase aller dans cette Ligue 2.

Toujours est-il que l’entraîneur de l’AJ Auxerre se méfie de cette rencontre à l’extérieur qui pourrait menacer la belle série actuelle. Soit neuf rencontres de rang sans défaite.

Craignant que ses protégés aient la possession du ballon tout en s’exposant à de redoutables contres aux conséquences funestes, le coach n’a pas la tête aux vacances ! Loin s’en faut : il invite ses ouailles à ne pas se relâcher.

Certes, sur le papier, quand le quatrième d’une compétition affronte le douzième du classement, la balance semble plutôt favorable au premier nommé. Qu’en sera-t-il exactement demain soir au sortir de cette confrontation qui en cas d’invincibilité auxerroise permettrait aux Bourguignons de clore la première moitié de l’épreuve sur le podium !

 

 

 

 

La recherche de la performance pour être les premiers…

 

Triturant machinalement la branche de sa paire de lunettes bleues, le coach de l’AJA affiche toutefois une certaine décontraction avant de débuter la conférence de presse d’avant match.

L’adversaire est certes coriace et athlétique, mais il ne retient du football que le plaisir du jeu. Sans trop se mettre la pression.

Il le reconnaît sans ambages, « le foot, c’est un sport épuisant sur le plan psychologique car l’attente des résultats s’effectue à un niveau environnemental… ». En filigrane, il faut aller plus loin. Toujours plus loin. Sans s’arrimer à un vertueux plan comptable qui ne correspond finalement pas à grand-chose dans la réalité.

Après dix-huit mois de présence dans son nouveau club de prédilection, Jean-Marc FURLAN s’enracine dans ce même discours. Celui de la recherche de la performance qu’il ne cesse de demander à ses joueurs.

Sa soif d’emmagasiner les victoires est insatiable. La bonne dynamique actuelle vient corroborer ses envies. Le succès est au rendez-vous grâce à un collectif qui progresse. A force de travail et d’évolution mentale pour être les premiers.

Dommage que le public ne puisse assister à ces rencontres d’un bon niveau à cause de la pandémie à l’Abbé Deschamps. C’est l’un de ses principaux regrets au terme de cette année si étrange pour l’univers sportif.

Thierry BRET

 

 


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Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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Le directeur du théâtre de La Closerie ne cache pas sa colère contre les décisions prises par le gouvernement de reconduire la fermeture des lieux de spectacle. Jusqu’à quand ? D’une part, une pétition circule sur la toile pour collecter le plus nombre de signatures. D’autre part, il sera présent dimanche matin devant la statue de Marie Noël pour protester et s’élever contre cette interdiction…Explications signées de sa plume.  

TRIBUNE: Par la voix du Premier ministre Jean CASTEX, le gouvernement vient, contre toute attente et contre toute logique, d’interdire la réouverture le 15 décembre 2020 des théâtres, des salles de spectacle...

Cette nouvelle interdiction a été prise sans concertation avec les professionnels du spectacle et de la culture, sans concertation avec les publics citoyens et en l’absence de la Ministre de la Culture, mais en présence remarquée du Ministre de l’Intérieur, chargé de présenter, en guise de pédagogie, et à la place de concertations, un arsenal de mesures répressives, coercitives…

Pourquoi fermer des lieux (théâtres, salles de spectacle, cinémas, musées…) qui sont souvent parmi les mieux organisés pour mettre en place et en pratique les mesures dites barrières au virus ?

Interdire l’ouverture des théâtres et des lieux de spectacle est un non-sens d’autant qu’à la demande des autorités, ils se sont largement équipés en matériel sanitaire ; ils ont aménagé leurs espaces et matérialisé la circulation…

Interdire les manifestations culturelles, artistiques et musicales avec du public n’a pas de sens et à l’évidence, c’est une aberration puisqu’il est depuis longtemps démontré qu’elles ont un effet bénéfique indéniable sur la santé (l’art-thérapie en apporte la preuve).

En tant qu’artiste, directeur d’une salle de spectacle, programmateur, je ne peux comprendre, tout comme un très grand nombre de confrères, l’intérêt, même sanitaire, de prolonger au-delà du 15 décembre 2020 la fermeture des théâtres, des scènes et des lieux de spectacle.

Que cherche-t-on réellement en maintenant la fermeture de ces lieux où s’exercent et se confrontent la vie sociale et culturelle ? Veut-on, comme le pensent certains, bâillonner toute forme d’expression ? 

D’autre part, les théâtres, les lieux de spectacle étant fermés, les artistes professionnels du spectacle vivant (tout genre et toutes disciplines confondus), n’ont bien entendu plus de contrat et plus aucun revenu provenant de leur travail.

Ils exigent, et c’est normal, de pouvoir exercer leur métier et d’en vivre. Les aides de l’état pour « compenser les pertes », puisées dans nos poches via les impôts, fort inégalement « réparties » d’ailleurs, ne peuvent compenser l’interdiction d’exercer leur art devant du public.

En lançant cette pétition, destinée au chef de l’État, au Premier Ministre et à la Ministre de la Culture, je demande la réouverture de tous les lieux culturels et de toutes les salles de spectacle comme initialement prévu le 15 décembre.

 

Gérard-André

 

Auteur-compositeur, interprète

Directeur du Théâtre de La Closerie

 


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Un mot à la lourde signification trouble les consciences des lycéens avides de curiosité. Radicalisation. Un terme peu anodin auquel on peut ajouter ceux du racisme, de la discrimination, voire de la religion. La ténébreuse affaire PATY a donc laissé son empreinte indélébile dans les têtes adolescentes qui nourrissent leurs neurones au contact d’un enseignement. En l’occurrence celui qui est dispensé par le lycée des métiers Vauban à Auxerre…

AUXERRE : Les principes fondamentaux de la laïcité ont été la source de nouveaux échanges instructifs dans l’enceinte de l’établissement pédagogique auxerrois. Dans le cadre d’une discussion à bâtons rompus menée par l’un des représentants de la Direction territoriale Yonne/Nièvre, le référent laïcité citoyenneté de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Clément VICIC, une huitaine d’adolescents scolarisés au lycée des métiers Vauban ont pu nourrir librement une conversation passionnante autour de cet item, sujet crucial dans notre société.

L’exercice correspondait à un deuxième temps de réflexion réservé aux futurs bacheliers de la section SPLV (Service de Proximité et Vie Locale). Les huit élèves de la classe de terminale purent répondre à loisir aux interrogations de leur enseignante et du représentant du ministère de la Justice. Ils eurent l’opportunité de donner ensuite leur définition de quelques mots clés de notre langage, triés sur le volet par l’orateur du jour.

Qu’est-ce que le racisme ? Quels en sont les modes d’expression au quotidien ? Où commencent la discrimination, voire la radicalisation ? Ce fut autant de sujets abordés sans retenue dans l’une des salles du bâtiment qui accueillait cette séance de prise de parole.

Une salle renfermant encore les panneaux explicatifs de l’exposition laïcité présentée en ces lieux au mois de novembre.

Celle-ci devait se prolonger à la maison de quartier de la Ruche. Mais, la crise sanitaire étant passée par là, le référent citoyenneté de la PJJ de l’Yonne a dû suspendre son projet et le remiser à une autre période plus favorable.

Peut-être au printemps 2021 ?

 

 


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