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Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…

SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !

Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.

Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !  

Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.

Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.

 

 

 

Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…

 

Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !

Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.

Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.

Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.

De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.

Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…

 


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Arrivée à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle lundi soir, la commande de masques jetables des entreprises du Sénonais, adhérentes du club « Business Sens », a été distribuée mardi après-midi par les services de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Une opération à laquelle a pris part la société de négoce en produits carnés, EUROSER.

SENS : Les représentants de 152 entreprises du nord de l’Yonne ont pu repartir le sourire aux lèvres ce mardi après-midi une fois reçu leur dotation de masques jetables réceptionnés hier soir sur le tarmac du principal aéroport de France.  

Fruit d’une commande passée il y a quelques temps, à l’initiative d’un partenariat tripartite très actif entre la chambre consulaire du département, le club des entreprises du Sénonais (le Business Sens) et la société EUROSER, cette dernière dont le siège social est implanté à Avallon est spécialisée dans le négoce et le courtage de produits carnés frais et congelés avec ou sans os. Elle exporte près de 70 % de ses produits en Europe mais aussi vers l’Asie.

La livraison arrivée lundi soir en France était très attendue. Il est vrai que ces produits garantissant la protection sanitaire de leurs utilisateurs ont été proposés à 0,614 € hors taxes par boîte de cinquante exemplaires.

 

 

Les services de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne mettent également à disposition des entités professionnelles du territoire une liste de fournisseurs icaunais qui fabriquent masques, visières, gels et autres solutions alternatives afin de se prémunir contre les risques de propagation de l’infection virale.

En outre, la CCI s’active depuis le début de la crise pour accompagner les entrepreneurs en leur mettant à disposition : l’information COVID mise à jour quotidiennement sur la référence : www.covid19-entreprises89.fr .

D’autres bases de données nationales sont consultables sur la plateforme gel (https://bit.ly/2WzAeW) et sur celle de l’offre et la demande de masques (https://bit.ly/2SGPDTW).

Enfin, il existe une plateforme nationale dédiée aux professionnels: https://bit.ly/2WcAhsv


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C’est par le biais d’une visio-conférence que l’ambassadrice icaunaise de la chanson française a obtenu le Graal ce vendredi 08 mai lors des demi-finales du concours international de musique vocale. Une épreuve concoctée lors des commémorations qui marquent le terme de la Seconde Guerre mondiale. Encensée par les critiques de la presse russophone et d’un jury de personnalités (le cinéaste Emir KUSTURICA), la dame en robe rouge se retrouve donc en finale. Un évènement prévu à l’automne…

YALTA (Russie) : Invitée à cette épreuve vocale annuelle par le Centre de Russie pour les Sciences et la Culture de Paris, l’artiste de l’Yonne était la seule représentante de l’Hexagone à concourir à ce festival international. La sélection initiale regroupait pas moins de 157 prétendants, en provenance de 37 nations différentes.

Qualifiée pour les demi-finales (elles se sont disputées crise sanitaire oblige en visio-conférence ce vendredi 08 mai depuis le domicile des candidats), Christelle LOURY s’est lancée dans une brillante interprétation, aux dires d’un jury subjugué par l’aisance de la prestation, d’un air populaire extrait du patrimoine culturel russe : « Nous avons besoin d’une victoire ».

Adaptée pour la circonstance dans la langue de Molière par Christine ZEYTOUNIAN-BELOUIS (lauréate du prix Russophonia), la chanson prit ses lettres de noblesse grâce aux intonations puissantes et émouvantes de l’interprète bourguignonne qui y mit toute son âme et sa passion.

Vêtue d’une belle robe rouge aux coloris éclatants, l’égérie de la chanson française apparut sur l’écran audiovisuel et fit mouche face à un jury de personnalités conquis par la tessiture de la chanteuse.

     

Une chanson en forme d’hommage et de devoir de mémoire…

 

Interrogée sur la manière de gérer cette participation à son premier concours de chant depuis ses débuts, la chanteuse du Sénonais a voulu rendre un hommage appuyé à ses grands-parents qui se sont investis dans la résistance face à l’ennemi nazi.

« Mon grand-père a été fait prisonnier durant ce conflit, précise-t-elle, c’était ma contribution artistique pour le saluer et me souvenir de toutes les victimes de cette guerre monstrueuse. Notamment celles du peuple russe qui a été victorieux pour sortir du joug des nazis et a payé un lourd tribut avec 27 millions de victimes… ».

Organisé par la Fondation « Le Monde humanitaire » avec le soutien des plus grands médias russes et étrangers, ce festival concours, intitulé « La Route vers Yalta », invitait des artistes du monde entier à interpréter dans leur langue maternelle des airs patriotiques russes de la Seconde Guerre mondiale.

Obtenant son billet pour la finale regroupant les huit meilleurs candidats, Christelle LOURY devra désormais s’armer de patience avant de pouvoir disputer ce challenge vocal dans la ville emblématique de Crimée.

La finale prévue en présentiel dans une salle pouvant accueillir dix mille spectateurs devrait se dérouler en octobre.

La française aura alors toutes ses chances de l’emporter si l’on en croit le témoignage de Lev LESHCHENKO, président du jury : « Christelle est incroyable ! Je regrette seulement que la voix ne se place pas dans le petit espace de la pièce. Je pense que c'est une explosion émotionnelle si puissante que l'on peut ressentir sur une grande surface, dans un stade. Je pense que c'est très cool et la voix est fantastique. Les émotions étaient tout simplement exceptionnelles… ».

Un exercice, certes inhabituel, pour notre ambassadrice qui fera vibrer ses émotions en mémoire de celles et de ceux dont on ne doit jamais oublier le sacrifice…

 


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Pas de chômage partiel ni de temps mort pour les 155 salariés que compte l’unité de production de ce poids lourd de l’industrie internationale localisée dans le sud du département. Tout en respectant les mesures de protection usuelles afin de limiter les risques liés à la propagation du coronavirus, les équipes de techniciens ont pu concevoir dans les délais impartis la plus importante pièce jamais fabriquée in situ : une couronne d’orientation de près de 59 tonnes pour huit mètres de diamètre…

AVALLON : Direction le port de Chalon-sur-Saône dans un premier temps pour ce convoi exceptionnel long de dix-neuf mètres. Le 28 avril dernier, la direction de l’unité industrielle icaunaise du groupe suédois SKF Slewing Bearings a dû pousser un grand ouf de soulagement lorsque s’est ébranlé lentement mais sûrement l’ensemble routier de la société de transport Georges Cayon à destination de la zone portuaire du Grand-Chalon.

C’est en effet à l’aide d’une barge d’embarcation en partance de la sous-préfecture de Saône-et-Loire que cette pièce métallique d’un diamètre très impressionnant (huit mètres), ayant nécessité son transport routier à l’horizontal, mettra le cap via la Saône et le Rhône pour rejoindre son port d’attache, celui de Fos-sur-Mer.

De là, transbordé dans les soutes d’un solide esquif, ce système de roulements, l’un des fers de lance du savoir-faire industriel de la société de Göteborg, naviguera entre mer et océan de longues semaines avant d’arriver à destination dans l’une des villes majeures de l’économie chinoise, Shanghai.

L’impressionnant colis sera ensuite livré dans la périphérie de Pékin, plus au nord. La pièce étant destinée à équiper un engin qui perce des tunnels…

 

 

50 % de sa production exportés vers la Chine…

 

Fruit d’une commande effectuée à l’été dernier, cet élément métallique de poids qui part à l’export rappelle que les activités du groupe SKF tournent à plein régime malgré la période de confinement actuelle.

Naturellement, les collaborateurs de l’entreprise n’ont pris aucun risque sanitaire durant la conception de cette pièce, respectant ainsi les mesures de protection d’usage imposées dans le cadre du confinement.

L’essentiel de la production que compte le groupe fondé en 1907 dans l’Yonne se destine à l’exportation dont 50 % en direction de la Chine.    

La reprise du travail depuis quelques semaines déjà dans l’ex-Empire du Milieu augure d’un impact plutôt favorable aux futures activités du groupe.

D’ailleurs, Frédéric BOUILLY, directeur général du site de production avallonnais, se félicite de cette situation.

La preuve : une seconde pièce du même acabit se prépare déjà avec dextérité dans les ateliers…

 

 


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Cela ressemble à une fable de Jean de La Fontaine ou d’Esope. Mais hélas, ce n’est pas une affabulation. Le parti de l’opposition « La France Insoumise » (LFI) propose un concert de casseroles ce vendredi 01er mai, entre midi et 14 heures, dans l’Hexagone. Le défilé traditionnel n’aura pas lieu, confinement oblige. Mais, il sera  symboliquement remplacé par des orchestres improvisés sur les balcons ! Pour autant, attention de ne pas abîmer les batteries de vos cuisines : il vaut mieux utiliser des cuillers en bois de préférence !

TRIBUNE : Même les Genevois sont conviés à exprimer leur mécontentement en jouant de la casserole ce 01er mai : c’est dire le mécontentement ambiant ! Les disciples de Guillaume Tel rangent les arcs et les flèches pour décocher des mots de grogne…

Pas de manifestations syndicales dans les rues de France cette année, c’est sûr l’Etat fera des économies de gaz lacrymogène ! Soyons rassurés, en mars dernier, afin de mieux se protéger, l’exécutif national avait lancé une procédure d’appel d’offres pour 3,6 millions d’euros de ce fameux produit si dissuasif !

Le mécontentement gronde un peu partout et le confinement exacerbe chez certains le niveau d’irritabilité. Du côté du gouvernement, la mode est plutôt au conditionnel.

Le présent est imparfait, le passé (composé ou non) est bien mort : le 11 mai prochain, nous serons donc déconfinés ! Oui mais pas tous en même temps. Déconfinés si le virus est bien stoppé. Si nous avons les moyens sanitaires pour aller travailler, si nous avons des masques,…cela dépendra des régions et …de la vitesse du vent ? Utile, pour mesurer la libre circulation des postillons…Le « si » étant de circonstance, apprenons à jouer des « si » sur nos casseroles...

 

De casserole en casserole pour mieux en cerner le sens…

 

Un peu d’histoire autour des deux locutions : « Traîner une casserole » ou « avoir une casserole au c… ». C’est se compromettre dans une affaire douteuse. Les experts de la cuisine politique font remonter l’expression à 1902. C’est le nationaliste Maurice Barres qui utilisa l’expression en stigmatisant Emile Zola à propos de l’affaire Dreyfus.

« (...) excité par un atavisme que notre âme nationale ignore, il [Zola] s'entêtera et prolongera, comme un tonnerre vengeur sur la France, le bruit de cette casserole [l'affaire Dreyfus] qu'il vient de s'attacher »
Maurice Barrès.

Autre question fondamentale en ces temps trop tristes : pourquoi « casseroles au c… » ? Tout simplement des garnements attachaient à la queue des chiens des objets métalliques et des casseroles. Les braves bêtes, excitées par le bruit des objets métalliques, couraient encore plus vite et aboyaient affolés. De là à imaginer que nos politiques traînant des casseroles, pourraient crier haut et fort en s’agitant dans l’hémicycle, ne serait que pure fiction !

On peut juste penser que toute personne traînant une casserole peut aussi « passer à la casserole » !

 

La tradition séculaire du muguet remonte à…1561…

 

Et le 01er mai dans tout ça ? C’est le 01er mai 1886 aux Etats-Unis que 350 000 travailleurs font grève pour réclamer une journée de travail de huit heures. En France, sous le régime de Vichy, le 01er mai devient officiellement la « Fête du travail et de la concorde sociale ».

Pétain souhaitait remplacer la « journée internationale des travailleurs » instaurée par l’internationale socialiste, en mémoire des émeutes de 1886. A l’origine, le travailleur arbore fièrement, à partir de 1891, une églantine rouge. Vichy va renouer avec une vieille tradition romaine : en l’honneur de la déesse des fleurs, Flora, on offre du muguet.

Une coutume qui se fait connaître en France le 01er mai 1561, sous Charles IX. On offre alors du muguet aux dames de la cour. Offrir une fleur porte-bonheur fut repris par Christian Dior, à « la Belle Epoque » : il remettait un brin de muguet à chaque employé !

Des «  porte-bonheur », il est vrai, on va en avoir bien besoin face aux échéances qui se présentent à nous. Dessinons des brins de muguets sur nos cuillers en bois et nos casseroles sans oublier nos amis SDF : ils ont besoin de casseroles, mais de véritables casseroles remplies de victuailles !

« Le premier mai, c’est pas gai. Je trime, a dit le muguet, Muguet, sois pas chicaneur, car tu donnes du bonheur… ». Georges Brassens.

Jean-Paul ALLOU

 


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