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C’est un véritable retour à la genèse familiale pour l’artiste auxerrois. Un créatif qui vit pleinement sa passion à l’international et évolue dans la sphère culturelle parisienne. Il expose son travail aux quatre coins de la planète (Uruguay, Inde, Roumanie, Suisse…) depuis presque une décennie. Un heureux concours de circonstance, mais peut-on croire réellement aux subtilités du hasard, veut que son retour en terre de l’Yonne se fasse à l’endroit même où vécut son grand-père, au 49 rue Joubert…

AUXERRE : Le jour du vernissage, soit en fin d’après-midi du 11 septembre, on peut supposer que Philippe RAMETTE a eu un peu de vague à l’âme dans son for intérieur. Qui n’aurait pas éprouvé par ailleurs ce même sentiment, teinté de nostalgie et de souvenirs familiaux, à l’idée de présenter ses œuvres là où vécut jadis son grand-père ?

Accueilli par l’association Hors ( ) Cadre, le créateur de l’ « Eloge du pas de côté », l’une de ses dernières réalisations photographiques, a dû ressentir cette présence bienveillante à ses côtés. Dans cet antre de la vie culturelle qu’est devenue cette galerie auxerroise sise au 49 rue Joubert…

Symboliquement, l’œuvre citée qui n’est pas sans rappeler la toile peinte par Caspar David FRIEDRICH en 1818 (« Le Voyageur contemplant une mer de nuages »). Elle représente un personnage placé sur un promontoire avec le pied gauche prenant appui dans le vide (cela ne lui empêche nullement une vraie stabilité) qui évoque la prise de risque et le saut vers l’inconnu. Serait-ce une allusion à peine voilée à contempler différemment le monde dans lequel l’on vit ? Très certainement.

Protéiforme dans sa quête de l’interrogation permanente sur le sens de la vie qu’il décline via ses œuvres peintes, dessinées et photographiées, Philippe RAMETTE s’est ainsi créé au fil de ses pérégrinations artistiques un personnage, vêtu d’un costume sombre agrémenté d’une cravate.

Une vision de l’homme moderne et affairé qui se doit de perdre ses repères s’il veut évoluer dans l’existence en s’ouvrant davantage à d’autres connaissances et à des points de vue constructifs.

 

Des oeuvres déroutantes pour désorienter le spectateur…

 

Les images sont inversées. Voire renversées ! A l’aide de dessins au graphisme épuré (« Monument en l’honneur de ceux qui se sont toujours trompés de direction », une encre sur papier produite en 2015), et de légendes non dénuées d’humour, le natif d’Auxerre propose des visions mentales et des situations irrationnelles. Un jeu étrange et déroutant qu’il établit avec les contemplateurs de ses œuvres.

Se définissant en tout premier lieu comme un sculpteur, Philippe RAMETTE s’exécute dans l’immensité de l’espace ; un espace qu’il éprouve avec son corps et dont il cherche sans cesse à repousser les limites, quitte parfois à défier les lois de la pesanteur.

Cette attitude n’est d’ailleurs pas sans danger. En 2001, dans la célèbre baie de Hong-Kong, l’artiste icaunais réalise une œuvre (« Le Balcon II ») dont la prise de vue nécessite plusieurs essais engendrant une très lourde logistique. L’œuvre est depuis visible au Centre Georges Pompidou à Paris.

A Auxerre, et ce jusqu’au 07 novembre, Philippe RAMETTE livre à ce public féru de découvertes culturelles une partie de son intimité créative. Des œuvres originales qui affectionnent les valeurs qui, dans notre société sont perçues comme des défauts : l’oisiveté, l’échec, le déséquilibre, l’erreur…Entre loupés, ratages et gags visuels ! De quoi nourrir la réflexion intellectuelle de ses admirateurs.

Précisons pour être tout à fait complet que l’exposition a pu être assurée par l’association Hors ( ) Cadre et sa directrice artistique Nathalie AMIOT dans la capitale de l’Yonne grâce au concours de la galerie XIPPAS, de Paris, qui représente l’artiste, pour le prêt des œuvres.

 

En savoir plus :

Exposition Philippe RAMETTE

Galerie Hors ( ) Cadre

49 Rue Joubert à Auxerre

Du mercredi au samedi de 14h à 18 h

Jusqu’au 07 novembre 2020.

Entrée libre

 


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Dans la vie, tout est possible. Rien n’est programmé. Cette théorie tord le cou de manière définitive aux adeptes de la destinée qui pensent que tout est déjà inscrit au plus profond de nos codes génétiques. Celui qui pense cela, n’est pas un être humain ordinaire. Même si son humilité transpire à chaque prise de parole. C’est un cas à part. Un extra-terrestre de l’impossible, capable de courir en les enchaînant des ultra-marathons sur des centaines de kilomètres dans le désert de Mauritanie ou sur la glace de l’Antarctique. Un homme qui est allé au bout de sa folie beaucoup plus maîtrisée qu’il n’y paraît…

AUXERRE: Le plaisir de l’écoute se boit à satiété dans la moindre de ses paroles. Prolixe, l’orateur transporte son public avec ses mots à lui. Avec lesquels il interprète tel un slam une narration qui n’en finirait jamais. Il y a du lyrisme et de la poésie dans ces propos minutieusement choisis qui inondent la salle et son auditoire. Un sens profond, aussi qui ne fait pas la part belle au hasard.

Conteur, poète mais surtout athlète d’exception, Malek BOUKERCHI n’a pas son pareil pour emmener avec lui dans ce saut vers l’inconnu qui se nomme l’aventure celles et ceux qui écoutent et comprennent ses messages.

Spécialiste des courses de l’extrême, le personnage est incroyable. Le palmarès est éloquent. Bien qu’il ne soit pas compétitif dans l’esprit de gagner une médaille.

Que ce soit en altitude à plus de quatre mille mètres au sommet d’une montagne, sur les surfaces cuites par le soleil d’un désert de sable ou dans la froidure d’un hiver polaire sans fin, cet anthropologue/philosophe de métier partage sa passion du sport « no limite » (ou presque) lors de cycles de conférence destinés à booster le moral des troupes. C’est-à-dire celui de ces dirigeants et cadres d’entreprises qui en éprouvent l’immense besoin. Et ils sont légion depuis l’apparition de la pandémie de ce coronavirus de triste mémoire qui aura plombé pour un temps incertain la vie économique.

Pourtant que l’on ne s’y méprenne point mais notre sportif émérite n’est pas un professionnel de ces disciplines qui forgent le mental et renforcent l’endurance à grand renfort de biceps. Ou de cohésion d’équipe !

Il se définit plutôt comme un chantre de la « métamorphose silencieuse ». Celle qui fait muer un être lorsque ce dernier prend le soin de redonner enfin un sens à son existence. Il rêvait de se dépasser physiquement ? Alors, il est passé aux actes !

Démontrant ainsi par la force des choses que rien n’est jamais acquis sur notre chemin terrestre et qu’il est bon de remettre sans cesse l’ouvrage sur la table de travail chaque jour que Dieu créé !

 

 

Prendre son destin en main en s’émerveillant chaque jour…

 

Alors, se transcender intérieurement pour repousser les limites du possible est envisageable pour chacun d’entre nous. C’est la substance idéologique de ce rendez-vous qui nous aura été proposé de suivre grâce à la CPME de l’Yonne et à la société EPONA COACH (Sandra CACHON).

Une double combinaison destinée à conforter les chefs d’entreprise dans leur envie d’autre chose, mise en scénographie par l’incontournable IDX PROD, avec Yannick DAVOUSE, son responsable aux manettes.

L’ultra-marathonien a su délivrer son lot de belles formules qui ont peut-être encanaillées un peu plus ce public de décideurs auxerrois (majoritairement issus de la gent féminine) pour redéfinir leur mission dans leur vie professionnelle de chaque jour.

En voici, un petit florilège. « Nous sommes éternellement des enfants ! ». Enfin, il faut le reconnaître et cela fait du bien à entendre en nous redonnant ce vrai bol de jouvence salvatrice !

« L’ultra-marathon me permet de traverser les territoires de façon sensible… ». Ou encore cette citation pour évoquer les risques et les dangers de ces échappées sauvages au beau milieu de nulle part : « Est-ce qu’il faut tutoyer la mort pour se sentir mieux pour exister ? ».

Retenons aussi, la formule plus mystique sur la réalité de notre monde : « Dans la course, on passe par des frontières ; ce sont surtout des frontières invisibles… ».

Enfin, par rapport au silence, seul compagnon de course autorisé par ce sportif hors normes, membre du club très hermétique des 700 pratiquants de course extrême au monde : « Cultiver le silence dans la course, permet de transformer ensuite les mots de façon juste… ».

Effectivement, les participants de cette conférence unique agrémentée de visuels à couper le souffle (Antarctique) purent s’en rendre compte de manière formelle. Le sourire aux lèvres et la tête dans les nuages. Une vraie bouffée d’air pur inhalée dans la stratosphère !

 

 


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La place de la gare de Roanne est triste. Le « Dernier des Mohicans » de la gastronomie française, dont le célèbre patronyme honora l'endroit plus de quatre-vingts ans durant, vient de nous quitter : Pierre TROISGROS nous a quittés. Hommage…

TRIBUNE : Comme ses parents Marie et Jean-Baptiste, Pierre est né en Bourgogne en 1928. A Chalon-sur-Saône où ils tenaient un bistrot. L'ambiance y est aussi fumeuse que vineuse !

Sa maman souhaite un autre cadre pour ses rejetons. Les recherches familiales s'orientent vers Dole, puis Moulin - pas trop loin de Chalon !- et finalement, ce sera Roanne en 1930. Bienvenue dans la saga TROISGROS !

L'hôtel-restaurant des Platanes  est rebaptisé « Moderne »....car l'on y trouvait l'eau chaude à tous les étages !  Marie cuisine des mets simples et bons comme la blanquette de veau. Jean-Baptiste accueille les clients, déniche de bons producteurs locaux.

C'est dans cette belle ambiance aux effluves culinaires,  que les deux frangins Jean et Pierre seront élevés, marqués par la présence allemande dont les soldats occupent toutes leurs chambres.

C'est tout naturellement que les deux frères, véritables siamois deviennent cuisiniers dans l'immédiat après-guerre. Pierre travailla à Paris - où il rencontra Olympe, sa future épouse-  au « Maxim's » du réputé chef Alex HUMBERT. Puis il exerça chez Lucas CARTON où il se lia avec Paul BOCUSE, puis à la « Pyramide de Mado » et chez Fernand POINT à Vienne, étape qui marqua durablement Pierre.

Leur père se fait un rien insistant : « Dépêchez-vous de revenir à Roanne les gamins ! ». Pierre se serait bien vu à Paris, mais......va pour Roanne et sa place de la gare. Entre-temps, l'hôtel Moderne devient l'hôtel des Frères Troisgros. A Jean, les perspectives culinaires et à Pierre, la délicate gestion, entre autres, du garde-manger.

 

Trois étoiles au Michelin : la consécration planétaire…

 

En 1955, le Michelin étoile la maison pour la sole tante Marie, la fricassée de poulet à la crème et le steak charolais au Fleurie, longtemps demeuré un plat repère de la maison. Celle-ci est réputée : les VRP d'alors sont nombreux à y faire étape. Chez les frères Troisgros, on se régale !

En 1966, quelques mois après la réélection du Général de Gaulle et du titre de MOF du talentueux Jean, Michelin double la mise pour le homard grillé cancalaise, le steak à la moelle et au Fleurie,  ainsi que  « LEUR » plat emblématique récemment créé   symbole de cette cuisine nouvelle et traditionnelle : l'escalope de saumon à l'oseille, qui dès lors fera le tour de la Terre.
En mars 1968, quelques jours après les succès de Jean-Claude KILLY aux Jeux Olympiques de Grenoble, c'est en allant acheter le Michelin chez le buraliste local que Pierre découvre que la maison rejoint le Parthénon de la gastronomie française, valant le voyage désormais en décrochant les convoitées trois étoiles pour la mousse de grive au genièvre, la belle escalope de saumon, et l'irremplaçable pièce de bœuf, toujours baignée au Fleurie !

On imagine aisément la joie des parents de ces frangins talentueux. En cuisine, un jeune apprenti motivé n'en perd pas une miette : Bernard LOISEAU. 

 

Jamais avare d’un soutien aux jeunes confrères…

 

La gare de Roanne devient donc la plaque tournante des gourmets de France et de  Navarre qui rappliquent ici pour se régaler,  motivés aussi par les articles dithyrambiques de Robert COURTINE ou des duettistes GAULT et MILLAU.
Quelques années plus tard, un drame vient troubler la belle histoire familiale. En 1983, Jean décède prématurément d'un infarctus lors d'une partie de tennis.  Pierre se retrouve quelque peu désemparé, et demande donc à Michel l'un de ses trois enfants, de le rejoindre en cuisine, tandis que ce dernier s'apprêtait à partir en Australie avec Marie-Pierre sa jeune épouse. 

Une décennie durant, père et fils vont œuvrer de concert, avant qu'une dizaine d'années plus tard, Pierre ne quitte, avec cette bonhomie qui lui était coutumière,  les fourneaux de la maison familiale.

Transmettant son savoir-faire à son entreprenant fiston tandis que ses deux autres enfants exercent eux-aussi dans le métier : Anne-Marie à Bordeaux et Claude au Brésil !

Pierre demeura alors dans sa petite maison de Coteau, proche de cette place de la gare, intimement liée à son patronyme. Il soutenait dès que possible les initiatives de jeunes et entreprenants collègues.

Il y a deux ans, c'est très ému qu'il prononça un émouvant discours lors de l'enterrement de Paul BOCUSE son vieux copain, farceur comme lui !
Au revoir chef Pierre ! Votre famille et vous-même, avec  votre talent, modestie et gentillesse ont marqué la belle histoire de la cuisine française qui continue encore de perdurer à Roanne ou juste à côté.

Gauthier PAJONA

 


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Le constructeur d’Outre-Rhin est impatient de présenter dans son réseau de concessionnaires le nouveau fleuron de sa gamme électrique. D’autant qu’il espère que les ventes de ce véhicule SUV 100 % électrique soient au rendez-vous malgré un contexte conjoncturel qui n’aura guère été florissant pour le secteur de l’automobile cette année.

PARIS : Les nouveaux modèles se bousculent dans les concessions du constructeur allemand ! Après la compacte ID.3, dont le lancement au printemps a été quelque peu contrarié par l’omniprésence de la COVID-19, le géant automobile se permet le luxe de se rappeler au bon souvenir des férus de belles cylindrées en plaçant sous le feu des projecteurs un SUV 100 % électrique : le ID.4 !

C’est d’ailleurs avec ce véhicule que Volkswagen entend bien marquer les esprits sur ce segment qui ne faiblit pas d’un iota en France côté essor, malgré parfois certaines jérémiades aux connotations politiques teintées de vert dans les zones urbaines !

Progressivement, l’ID.4 sera transformé en un véhicule à propulsion électrique mondial avec des projets de fabrication en Chine, dans un premier temps, puis aux Etats-Unis, ensuite, où le constructeur européen espère bien inonder le marché. Preuve de cette volonté de séduire les acheteurs aux States, Volkswagen proposera sa nouvelle création avec une offre de trois ans de charge illimitée sans frais supplémentaires.  

 

 

 

D’ici 2024, la marque VW investira la bagatelle de 11 milliards d’euros dans ce nouveau moyen de locomotion que ses communicants désignent sous l’appellation d’ « électro-mobilité ».

Le réseau des concessionnaires placent leurs espérances sur le quatrième trimestre au niveau des ventes.

 

  

We Charge : un service de recharge pour véhicules électriques…

 

Faisant d’une pierre deux coups, le constructeur allemand lance sur le marché un service de recharge complet pour véhicules électriques : il a été sobrement baptisé « We Charge ».

l s’agit là d’une solution idéale en toute situation, que ce soit à domicile, en déplacement ou pendant un long trajet. L’ID.4 se recharge en courant continu en une demi-heure environ dans une station de charge rapide pour couvrir les 520 kilomètres d’autonomie maximale.

 

 

 

 


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Le siège du nouvel outil à l’estampille de la vénérable institution se situe à Lyon. Logique : c’est de l’ancienne capitale des Gaules que rayonne le mouvement qui fédère une dizaine de structures. Dont celle de Bourgogne, accueillie à Auxerre. Grâce à ce réseau flambant neuf, l’association souhaite peser davantage à l’échelle du globe. Un atout majeur pour la mutualisation des connaissances, la solidarité et l’échange de bonnes pratiques entre francophiles…

AUXERRE: Le faire-part de naissance comporte une date qui fera office de référence lors des futurs anniversaires : le 15 septembre. L’histoire de ces relations qui unissent les peuples se souviendra longtemps que c’est ce jour-là qu’a été proclamé par voie d’un communiqué de presse le RIMF, un acronyme désignant le Réseau International des Maisons des Francophonies.

Au plan étymologique, c’est bien des « francophonies » dont on parle puisqu’elles sont plurielles, diversifiées et inclusives dans leurs régions respectives.

En cette période de reprise, une trentaine d’organisations se sont donc rassemblées pour porter sur les fonts baptismaux cette entité nouvelle. Celle-ci agira dans seize pays d’Afrique, d’Asie, d’Amériques et d’Europe.

Eloignées les unes des autres au plan géographique, toutes sont en revanche unies comme les cinq doigts de la main pour vivre la même ferveur dans la défense et la valorisation du français. Avec une immense force passionnelle...

La vocation de ce nouvel appareil favorisant les relations à l’international ne se bornera pas à ces seize premiers pays. Président de la Maison de la Francophonie de Lyon et co-président de ce nouveau réseau, le mentor de cette structure associative, Christian PHILIP, invite par ailleurs l’ensemble des francophones et francophiles de la planète à rejoindre dès que possible le réseau social porté par le RIMF. Au nom du pluralisme des idées et de l’enrichissement de la diversité.

Parmi les principales actions de cet auxiliaire à la promotion de la culture hexagonale, citons l’enseignement de la langue chère à Molière, mais aussi la reconnaissance des diverses francophonies existantes de par le monde. Rappelons que 85 pays (auxquels il serait judicieux d’ajouter des régions plus ciblées) se retrouvent dans les valeurs inculquées par la France.

Des actions étayeront ce dispositif. Elles mettront en exergue les valeurs de la francophonie dans leurs dimensions culturelles, académiques, économiques, patrimoniales, sociales et environnementales.

 

Une première initiative ouverte à celles et ceux qui ont de l’imagination…

 

L’une d’entre elles se nomme « Ma Minute Francophone ». Elle prend la forme d’un concours ludique, ouvert aux francophones et francophiles du monde entier, sans distinction d’âge ni critère de nationalité.

L’objectif est de s’exprimer par le biais d’une très courte vidéo de 60 à 90 secondes sur sa vision personnelle de la francophonie.

Sa mise en œuvre a été confiée à la Maison des francophonies de Berlin et au Centre de la francophonie des Amériques, basé à Québec où agit avec pugnacité Michel ROBITAILLE, président du conseil d’administration de ladite institution et co-président du réseau RIMF.

Les participants peuvent adresser leur document en y adjoignant une chanson, un slam, une poésie, un sketch, une animation visuelle, un récit…Il suffit simplement de répondre à diverses questions se rapportant à la perception que l’on se fait de la francophonie aujourd’hui. Via un quizz : comment s’exprime votre amour pour la langue française ? Pourquoi avez-vous appris le français ? Quels avantages vous apporte le fait de parler et de comprendre le français ?

Le dépôt des vidéos se fera jusqu’au 31 octobre 2020 via un formulaire à compléter sur le site suivant : www.maminutefrancophone.fr

Le jury international sélectionnera les seize meilleures créations qui recevront chacune une bourse de 350 euros. La remise des prix, quant à elle, se déroulera en décembre…

 


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