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Alors que l’univers footballistique peine à sortir la tête hors de l’eau après la délicate période de confinement, l’une des fédérations nationale européennes qui aurait dû briller à l’Euro 2020 a reçu une nouvelle lui donnant un peu de baume au cœur. Le soutien inconditionnel de l’un de ses sponsors pour la prochaine saison qui s’amorce…

BRUXELLES (Belgique): Chez nos voisins belges, le football même s’il n’a pas encore repris ses droits sur la pelouse du fait de la présence persistante du coronavirus, reste dans tous les esprits. Y compris ceux de ses sponsors !

Ainsi, ce 23 juin, la fédération nationale s’est vue confirmer l’engagement de huit années effectives d’un partenariat mené par l’un des fleurons de l’automobile, BMW.  

Le constructeur allemand via sa filiale belge et luxembourgeoise (BMW Group Belux) a choisi de poursuivre ce soutien de quatre années supplémentaires tout en étendant ce partenariat à l’équipe féminine. Cette dernière participera aux éliminatoires de la Coupe d’Europe 2022 et à ceux de la Coupe du Monde 2023.

L’enseigne automobile apporte sa contribution aux équipes nationales du royaume depuis 2012. Cette année-là, les Diables Rouges n’occupaient qu’une modeste 41ème place au classement FIFA. Depuis, ils trustent la première position du classement mondial depuis 92 semaines !

 


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Les affrontements entre ces deux communautés annoncent des lendemains encore plus inquiétants pour notre société. L’Etat a une fois encore démontré son impuissance. A l’issue de ces violences inouïes, seules de rares interpellations ont été enregistrées. Logique : sur les deux cents tchétchènes ayant pris part à ces méfaits, la majorité venait d’Allemagne ou de Belgique. Une Europe de la violence qui s’exporte avec aisance ?

TRIBUNE : Le plus incroyable dans cette histoire, c’est  l’échange entre une délégation de tchétchènes avec la police pour leur dire : « Nous allons manifester notre colère, n’intervenez pas, on n’a rien contre vous, on règle nos comptes et on s’en va… ! ».

La police n’avait alors plus qu’à regarder et éventuellement comptabiliser les blessés, voire pire ! Car, parmi les manifestants, certains étaient fortement armés : couteaux, battes, revolvers, petits mortiers…et demain des chars ?

De plus, les forces de police, tous corps confondus, étaient deux à trois fois moins importantes que les belligérants…

Ajoutons que leur Ministre de tutelle ne les soutient guère, que le chef de la police est hostile aux préconisations de son ministre et que le président de la République, inspiré par de bonnes intentions, entretient le flou artistique, quant aux techniques utilisables lors des interpellations.

Qu’on se rassure, à Paris, lors de la dernière manifestation du personnel soignant, quatre policiers ont eu raison d’une petite infirmière qui avait jeté des cailloux gros comme des confettis… Dans ce cas précis, comme le disait Coluche : « Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre… ».  

Tout cela est extrêmement grave pour les atteintes permanentes à l’Etat de droit. La loi n’est toujours pas appliquée et démontre aussi l’inculture et l’incurie de nos dirigeants.

Le dernier discours du chef de l’Etat, truffé de poncifs et de lieux communs, semble démontrer l’utilisation du « Big data » pour préparer le discours de juillet prochain. Théoriquement, la prochaine intervention présidentielle doit contenir les modalités pratiques des décisions suggérées comme la fin des communautarismes et un quelconque remaniement ministériel.

 

Une haine exacerbée contre les autres musulmans d’Europe…

 

La Tchétchénie est davantage une région placée sous le contrôle de la Russie qu’un territoire autonome. C’est en 1999 que les Russes prennent possession de cette contrée provoquant ainsi la mort de centaines de milliers de civils.

Ramzan KADYROV en devient le président adoubé par Vladimir POUTINE.

Il s’approprie et manipule le Coran afin de mieux s’imposer tout en contrôlant la société. Il rétablit les crimes d’honneur, la polygamie et torture les gays et les lesbiennes.

Ce régime de terreur impose la crainte de la population qui préfère se taire. Les révoltes contre Moscou ont montré la violence et le jusqu’auboutisme des tchétchènes !

Après le soutien de millions de personnes dans le monde, devant le meurtre des journalistes de « Charlie-Hebdo », 800 000 tchétchènes défilent à Grozny pour apporter leur haine à tous ceux qui caricaturent ou offensent le prophète Mahomet…KADYROV en tête !

La Tchétchénie, peuplée de musulmans sunnites, lance une « fatwa » contre les salafistes et wahhabites. Une justification pour entretenir les haines contre les autres musulmans d’Europe.

 

 

Des trafics en tout genre : un outrage à la démocratie…

 

Les Tchétchènes, ce sont plus de 30 000 personnes en France (150 000 en Europe) et pour beaucoup un statut de réfugié politique : ils sont donc intouchables !

Beaucoup se radicalisent dans un Islam plus dur et sans concession. Selon le magazine « Le Point » en 2018, 10 % des Français se trouvant en zone de conflit irako-syrienne seraient d’origine tchétchène !

A Dijon, on désigne l’affrontement comme une guérilla urbaine d’une violence extrême entre tchétchènes et dealers. Le conseiller municipal de la ville, Hamid El HASSOUNI a accusé l'État d'avoir abandonné le quartier des Grésilles : "J'accuse le préfet d'avoir abandonné les habitants des Grésilles ! Oui, j'assume cet écrit. [...] Ces trois derniers jours, 8 000 habitants ont vécu l'enfer. Écoutez leur témoignage ! Édifiant ! Le préfet a une part de responsabilité en n'ayant rien anticipé ! Incompétence ou acte délibéré… conclut l'élu, membre de la majorité. 

Le maire, François REBSAMEN, le préfet de Côte d’Or et les responsables de la police ont tenté de faire bonne figure en appelant au calme, en demandant des renforts, qu’une enquête soit ouverte… Trop tard : les principaux acteurs de ces violences sont retournés à Paris, en Belgique et en Allemagne.

Ces faits, graves et funestes pour la République, ouvrent une voie dangereuse. Face à l’impossibilité de l’Etat de rétablir l’ordre, doit-on craindre une levée d’insurrections des insoumis en tout genre, depuis les « Gilets Jaunes » repartant au combat, au réveil d’autres communautés (africaines, maghrébines…). Sans parler des « blacks blocs »…

Cette impuissance récurrente de la République donne la possibilité aux racistes et aux populistes de distiller  des discours  de haine. Et de réveiller les xénophobies.

Pire : les tchétchènes avaient averti les autorités de leur arrivée à Dijon. Ils ont « signé » la paix avec les Maghrébins dans une mosquée de Quetigny, dans la banlieue de Dijon. Une sorte d’entente cordiale. Or, depuis des lustres, l’Etat permet aux dealers d’exercer leur commerce afin de ne pas créer trop de tension entre les communautés de la Seine Saint-Denis. Un peu de drogue contre la paix dans les cités…un drôle de deal !

« Si seulement les sages et les savants du temps présent laissaient l'humanité respirer le parfum de l'amour et de la fraternité, tout cœur doué d'entendement comprendrait ce que « vraie liberté » veut dire, et découvriraient le secret de la paix inaltérable et de l'absolue tranquillité. » Mirza Husayn Ali Nuri : fondateur de la religion Baha’ie en Iran au XIXème siècle. A méditer !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


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Les milliards d’euros vont donc tomber comme à Gravelotte ! Bien conscient du péril qui menace le secteur ô combien stratégique qu’est l’aéronautique, tout comme celui de la défense d’ailleurs, le gouvernement n’a donc lésiné ni sur les moyens, ni sur les effets d’annonces afin de lui venir en aide et nous n’allons surtout pas bouder notre plaisir. Quinze milliards d’euros !

TRIBUNE: Chacun comprend bien qu’il s’agit là d’une somme assurément colossale. Mais dont la représentation n’est pas si aisée pour qui n’a pas l’habitude de manipuler de tels chiffres. Ils restent l’apanage d’un tout petit noyau de personnes.

Alors pour aider à s’en faire une idée plus précise, rien de tel que de le comparer à quelques données générales du secteur, ce qui, comme on pourra le constater, en relativise quelque peu la portée.

Entrons donc sans plus attendre dans le domaine des nombres avec beaucoup de zéros, comme dans celui du lexique des superlatifs et tâchons d’y voir un peu plus clair, dans des valeurs qui peuvent donner le tournis.

Tout d’abord, il convient de rappeler qu’au niveau mondial, la valeur totale annuelle de l’activité économique soutenue par le transport aérien représente environ 2 400 milliards d’euros. Soit à peu de choses près, le poids économique d’un pays comme la Suisse.

Rappelons aussi, que près de 4,9 milliards de passagers auront effectué un déplacement en avion au cours de l’année 2019. Fréquentation dont Airbus prévoyait, il n’y a pas longtemps encore, le doublement d’ici les vingt prochaines années !

Ceci devait donc s’accompagner d’une progression du trafic aérien de l’ordre de 4,3 % l’an sur la même période et d’une demande mondiale d’avions neufs estimée à plus de 39 000 appareils d’ici à 2038.

« Stratosphérique ! » titraient encore au début de l’automne dernier les éditorialistes spécialisés qui étayaient leurs démonstrations en soulignant, à juste titre d’ailleurs, que le trafic ­aérien avait su résister aux ­aléas géopolitiques, aux crises économiques, aux guerres et à la menace terroriste. Rien alors, ne semblait être capable de couper l’appétence du monde pour les voyages en avion !

 

 

Certains Cassandre souhaitaient la chute de Boeing !

 

En juin 2019, à l’occasion du salon du Bourget, le secteur industriel aéronautique français se portait donc au mieux, avec près de 55 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel (environ 3 points de PIB). Cela constituait un, sinon « LE » fleuron de l’économie nationale.

Pour autant, si l’on considère qu’Airbus représentait à lui seul plus de la moitié de ce score (28,3 milliards d’euros), on mesurait le degré de dépendance de la filière vis-à-vis de son leader. Ce qui, dans tous les bons manuels de stratégie et de sciences de gestion, est décrit comme une situation de danger potentiel imminent.

Au même moment, Boeing s’empêtrait dans les ennuis de son 737 MAX, après deux crashs qui révélaient des failles dans la conception, puis dans la certification de son produit « vache à lait ».

Tout le monde y voyait le signe d’un véritable boulevard pour notre champion national, lequel d’ailleurs ne se privait pas de communiquer des chiffres surclassant nettement ceux son concurrent américain.

 

 

Avec 1 139 commandes enregistrées dont 768 nettes et 863 appareils livrés, 2019 devenait sa nouvelle année référence, en affichant les totaux les plus élevés de son histoire !

L’orgueil national était alors au plus haut sur l’échelle de l’autosatisfaction et d’aucuns, sans doute grisés et/ou bien peu avisés, se réjouissaient à demi-mot d’une faillite presque espérée du géant américain, sans même mesurer les conséquences désastreuses qu’une telle catastrophe économico-industrielle, pourrait avoir sur les nombreuses entreprises françaises de la filière qui fournissent Boeing.

Le malheur de l’un semblait donc pouvoir faire le bonheur de l’autre, mais entre nous, Airbus savait bien que ses capacités industrielles déjà proches de la saturation, ne lui permettaient guère d’aller bien au-delà de ce qu’il était capable de produire. 

Et puis surtout, sachant que la nature a horreur du vide, il redoutait que le concurrent chinois COMAC s’engouffre dans une brèche du marché d’où il serait bien difficile ensuite de le déloger.

 

 

Pourvu qu’il n’y ait pas de perdants à la fin de l’histoire

 

Mais c’était aussi sans compter sur le fait que le malheur, ça vole souvent en escadrille ! Et patatras ! Voici qu’un tout petit grain de sable est venu se loger dans les rouages de la belle mécanique du secteur aéronautique et que tout s’est arrêté du jour au lendemain, à la fin de cet hiver.

Ainsi, ce qui avait résisté à tous les périls, tombait sous les coups sournois d’un virus dont la taille ne dépasse pas 5 millionièmes de mètres, pour rester dans les chiffres avec beaucoup de zéros. Mais cette fois tournés vers l’infiniment petit.

Plus un avion dans le ciel. Plus un passager dans les aéroports. Plus un avion qui sort de chaîne. Des commandes qui s’annulent et voici des centaines d’entreprises françaises, notamment des PME sous-traitantes, stoppées plus ou moins complètement dans leur course, alors que certaines d’entre elles subissaient déjà parfois durement, l’arrêt complet de la fabrication du 737 MAX. Arrêt auquel Boeing avait finalement dû se résigner. Et pour elles d’ailleurs, le « pansement » Airbus ne suffisait pas toujours à couvrir la plaie !

Dans le département de l’Yonne, les adhérents du Groupement GISAéro n’échappent pas au marasme, et, à des degrés divers, ils sont impactés par cette crise aussi violente qu’inattendue.

Quel retournement ! Alors qu’il y a peu de temps encore, leur préoccupation majeure restait souvent celle de la recherche des compétences dont ils avaient absolument besoin pour assurer la production de carnets de commandes bien garnis, ils se retrouvent aujourd’hui face au problème de la sous-charge et de son corolaire sur les finances et le social.

Il ne fait aucun doute que le secteur redémarrera et que nos « champions icaunais » de la filière retrouveront de la charge. Mais bien-sûr, reste-t-il à savoir dans quel volume et puis surtout à quel horizon.

Sur ce point, le concours des pronostics est ouvert et bien entendu, étant donné que personne n’en sait rien, tout et son contraire se dit et s’écrit.

Ceci étant, une telle machinerie, qui s’est effondrée sur elle-même en quelques jours, possède-t-elle en son sein les capacités de résilience lui permettant de se redresser aussi vite qu’elle est tombée ?

On peut bien-sûr l’espérer, mais aussi en douter. Les pouvoirs publics l’ont bien compris, en décidant sans attendre le plan sauvetage de la filière qui a été présenté avec d’autres mesures économiques dans le cadre du troisième projet de loi de finances rectificative (PLFR 3) pour 2020, lors du Conseil des ministres du 10 juin dernier.

L’urgence est donc bien d’éviter un trop grand nombre de crashs et d’accompagner ces entreprises (et pas que les plus grosses), afin de leur permettre de passer cet épisode de trou d’air sans trop de casse.

Et puis surtout, il faut préserver au maximum leurs capacités, afin qu’elles soient encore en état de fonctionner au moment du redémarrage. C’est donc pour cela que les milliards vont tomber comme à Gravelotte !

Mais espérons que toute analogie avec la bataille qui a donné son nom à l’expression s’arrêtera-là. Car, Gravelotte reste aussi dans l’histoire, comme une bataille particulièrement meurtrière où il n’y aura pas eu de gagnant !

Alors ce que nous pouvons tous espérer à minima, c’est qu’à la fin de cette histoire, il n’y aura pas de perdant !

Claude VAUCOULOUX

 

 


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L’enseigne de restauration rapide accueille ses premiers consommateurs ce mercredi dès 11 heures dans la ville la plus septentrionale du département. A peine le confinement levé ! De quoi réjouir les aficionados de recettes de poulet cuisinées à la sauce du Kentucky, l’état de naissance de ce pionnier opérationnel à travers le monde depuis 1939. Une cinquantaine d’emplois ont été créés. Une petite bouffée d’oxygène après cette période de disette où plus personne n’osait sortir…

SENS : Le restaurant est flambant neuf. Il recevra ses premiers clients en cette belle journée de mercredi à partir de 11 heures. Une ouverture espérée, attendue et enfin concrétisée pour de nombreux férus de l’emblématique « Bucket » et ses délicieuses recettes de poulet élaborées sur place. Ils semblaient perdre patience. La faute à ce satané coronavirus qui aura quelque peu retardé l’évènement…

Localisée dans la zone commerciale de Champbertrand, l’enseigne ne se présente plus. Elle possède une aura internationale. Son symbole, image de l’archétype Amérique à la réussite si affriolante, est représenté par ce charismatique personnage du colonel SANDERS. L’homme providentiel par qui le succès culinaire est arrivé : il a, dit-on, inventé les recettes de ce poulet qui ne possède pas la même succulence qu’ailleurs.

Filiale du groupe YUM, KFC est l’une des marques vedette que compte cette holding de la restauration de niveau mondial. Pizza Hut et Taco Bell en sont les deux autres composantes.

Avec plus de 48 000 restaurants thématiques implantés dans 145 pays, le groupe YUM surfe irrésistiblement sur la vague de la réussite : l’entité KFC possède à elle seule plus de 23 000 établissements à service rapide dans cent-quarante états.

 

La neuvième boutique en Bourgogne Franche-Comté…

 

Dans l’Hexagone, la marque est plutôt bien lotie. Elle y a développé un maillage façon puzzle où s’imbriquent 266 commerces sous franchise. Le propriétaire de la nouvelle vitrine sénonaise n’est autre que Gian-Marco AMENDOLA. Déjà gestionnaire d’un autre KFC à Bourges.

Précision : la Bourgogne Franche-Comté comprend déjà un petit réseau d’une dizaine de points de vente. Il n’est pas exclu qu’Auxerre soit un jour la cible privilégiée d’une future implantation.

Mickael PINTA, directeur de l’établissement, se dit très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce concept autour d’une équipe forte de cinquante collaborateurs très motivés.

Pour cette nouvelle ouverture, KFC a travaillé en partenariat avec les services locaux de Pôle Emploi afin de recruter ses employés. Un plan de carrière existe pour les salariés qui bénéficient d’une formation adaptée afin d’acquérir les compétences nécessaires à leur progression.

L’un des objectifs avoués de l’enseigne sera d’atteindre les cinq cents restaurants à horizon 2025 sur le sol français.

 


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Accueillir ses petits-enfants. S’en occuper efficacement en étant inventifs, dans des occupations et des balades à moins de cent kilomètres : voilà ce qui nous était proposés durant cette période de confinement. Ce fut l’occasion de découvrir les vertus du « géocaching ». C’est-à-dire l’aventure pour tous ! Imaginez organiser une journée, une semaine ou plus, de vacances, seul, entre amis ou en famille avec des enfants et des petits-enfants, pour chercher « un trésor » ! Il suffit pour cela de s’équiper d’une paire de chaussures de marche et d’un smartphone où sont installés un GPS et un site de géocaching, gratuit le plus souvent…

TRIBUNE : Pour prétendre pratiquer l’art du géocaching, il faut s’inscrire à titre gracieux sur le site « géocaching.com ». Et ensuite, partir à l’aventure pour découvrir des trésors ! Mais, quels trésors ?

Il s’agit de petites boîtes contenant parfois un cadeau que l’on peut prendre (mais à remplacer) et d’une feuille où on inscrit son nom et la date de découverte. On replace ensuite ladite boîte au même endroit. A notre connaissance, il n’existe pas de « géocaches » avec diamants et louis d’or !

On peut aussi créer une « géocache ». Ce jeu est amusant, voire enthousiasmant pour découvrir une ville, une région, la France, le monde et l’univers !

Avec un peu de créativité, des offices de tourisme, comme celui de Bourg-en-Bresse ou de Besançon, peuvent créer des caches afin de faire découvrir des sites archéologiques, des monuments, les richesses des paysages de la région…

Aux Etats-Unis, certaines activités commerciales intègrent le géocaching pour faire découvrir un lieu touristique et la boutique des souvenirs proposés…

Une suggestion idéale pour « La Côte Saint-Jacques » ou « La P’tite Beursaude » afin d’attirer les clients dès l’ouverture possible de leurs restaurants !

 

 

Géocaching, un jeu enthousiasmant !

 

Historiquement, le géocaching est né le 03 mai 2000 dans l’Oregon. Le concept a été créé par un certain Dave ULMER. Effet « boule de neige » immédiat : aujourd’hui, plus de trois millions de caches existent dans 180 pays.

On compte plus de 200 000 caches en France dont 325 à Auxerre et ses environs dans un rayon de 25 kilomètres : Monéteau, Appoigny, Migennes… Certaines caches font l’objet d’énigmes à résoudre afin de trouver le lieu. Dans le monde, sept millions de « géocacheurs » se sont déjà inscrits à ce jeu !

Les géocaches sont classées par niveau de difficultés : du niveau un à cinq. Certains sites ne peuvent s’installer qu’avec une autorisation parentale : il faut éviter aux plus jeunes d’aller dans des lieux dangereux.

On peut ainsi recenser des endroits insolites comme le sommet du Mont-Blanc. Pour le monde, vous pouvez aussi être tenté par les sommets du Kilimandjaro ou de l’Everest, le cœur de la forêt amazonienne ou les caches déposées au pôle Nord (attention aux ours blancs !) et au pôle Sud !

Encore plus fort : il en existe à 2 431 mètres de profondeur au beau milieu de l’océan Indien.

Mais, la cache la plus hallucinante tourne à la vitesse de 8 km/seconde et se situe à 400 kilomètres de la Terre !

C’est le « géo-astronaute » Richard GARRIOTTE qui déposa le 12 octobre 2008 une cache à bord de l’ISS (Station Spatiale Internationale).

Le niveau de difficulté est de cinq pour la trouver ; il faut prévoir un coût d’environ 58 millions de dollars pour le vol et 35 000 dollars par nuitée, hors promotion !

 

Et pourquoi pas le géocaching participatif au dessein écologiste…

 

Mais, le plus important reste que le géocaching est un jeu qui relie les hommes et la nature.

Certaines destinations proposent de faire rencontrer des personnes qui ne se connaissent pas pour découvrir un lieu afin de le dépolluer. Il s’agira alors de ramasser les déchets laissés par les touristes…

La discipline est devenue plus qu’un simple jeu de découverte. On peut se cultiver tout en s’amusant et aiguiser sa créativité en famille. Les témoignages sont éloquents, consultez Internet !

Louis ARAGON écrivait : « Je réclame le droit de rêver au tournant de la route aux grands charmes de la promenade. Le droit de m'émouvoir du monde maintenant que s'approche la canonnade. Je réclame le droit des hommes à pencher leur visage anxieux au miroir des fontaines. D'aimer les blés et de le dire. D'y chercher une douce paix incertaine. Je réclame le droit de peindre mon pays... ».

Alors à vos téléphones portables ! Et bonne chasse dans ces nouvelles aventures palpitantes !

Jean-Paul ALLOU


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