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« Lorsqu'on se trouve face à un tigre, inutile de raisonner trop longtemps : il faut vite choisir entre le combat et la fuite… » (Lao SHE). Actuellement, le trouble environnant à notre bonne santé ponctue notre quotidien de flashs et informations tous azimuts qui, tel un coup de massue, viennent s'infiltrer à d'autres maux. Le stress, les insomnies, les fardeaux journaliers, etc… Il faut vraiment être Superman dès le lever du soleil pour aborder de manière optimale sa journée !

TRIBUNE: Et si une anodine poudre blanche, alternative spectaculaire à ces désagréments, pouvait réellement minimiser ces différentes altérations ? Et nous permettre d’obtenir un moral d'acier, une meilleure santé et renforcer nos défenses immunitaires…

Le chlorure de magnésium, à l'efficacité éprouvée par des travaux publiés depuis des décennies, se joue des pathologies graves ou d'autres maux. Tout est synchronique dans la vie.

Or, n'est-il pas le bon moment de le déployer dans la conscience collective et de le démocratiser, enfin ? Sa place est obsolète dans un petit encart d'un magazine féminin ou sur un autre papier au rang d'une dernière page. Stop !

Effectuons un retour dans le temps où cette découverte exceptionnelle sur la thérapie magnésienne fut l’œuvre du professeur Pierre DELBET. Ses recherches demandent à être portées sur le devant de la scène.

Agrégé en 1892 de la Faculté de Médecine et lauréat de plusieurs travaux, ce personnage singulier se dessine à un destin professionnel hors du commun. Professeur de clinique chirurgicale en 1908, il y investit l’hôpital Necker à Paris. Insistons sur ces formalités pour témoigner du sérieux et contrecarrer l'ambivalence naturelle qui pourrait advenir chez certains pensifs.

 

A usage externe et interne, les deux font la paire !

 

Pour être succincte mais consistante, quelques éclaircissements à l'origine de cette découverte sont nécessaires. Durant la guerre de 1914/1918, le cheval de bataille du docteur DELBET est de faire barrage aux multiples infections des lésions cutanées des soldats sans léser les tissus. Les antiseptiques toxiques à l'époque sabordaient une guérison certaine.

Comment alors renforcer la protection des tissus cellulaires ? Après l'expérimentation de différentes substances, l’une d’entre elles, la solution de chlorure de magnésium, pur et desséché, donne des résultats qualifiés d’extraordinaires. Appliquée en pansements ou lorsqu'elle est injectée dans le système circulatoire.

La manifestation d'un événement « hasardeux » développe l'approche thérapeutique du docteur DELBET sous un autre angle. Un malade dans le refus à ladite injection ne se formalisa pas : il utilisa la solution par voie buccale.

Très rapidement, le personnel constate les effets boomerang d'un bien-être évident sur leurs patients qui ont bénéficié de cet acte. Par vase communicant, le personnel l'a testé et ensuite validé.

 

 

 

Un remède de « grand-mère » ayant prouvé son efficience…

 

De plus, en 1928, une étude a cette constatation édifiante : les sols pauvres en magnésium présentent plus de risque de cancers à contrario des pays comme l'Egypte et la Tunisie qui possèdent avec abondance cet élément essentiel qui minimise très fortement ce facteur.

D'autres chercheurs, comme le docteur NEVEU, expérimentent en 1937 cet élixir sur les maladies infectieuses, humaines et animales aux résultats avérés et reconnus. Ce remède, dit de « grand-mère » préventif ou curatif, est, on ne peut plus bluffant d'efficacité.

Le relayer aussi succinctement au rang d'un vulgaire placebo alors que ses vertus thérapeutiques sont justes étonnantes représente d’un mépris sans nom. Il est possible que son coût tarifaire, trop abordable pour le commun des mortels, n’intéresse pas les laboratoires pharmaceutiques.

Pour en savoir davantage sur le sujet : demandez conseil à votre médecin traitant ou appuyer sur la touche idoine dans votre moteur de recherche !

La médecine dite généraliste a, plus que jamais, une place de choix, c'est certain, dans notre société en pleine convulsion pathologique. Mais à notre époque, est-il normal de se fourvoyer de l'efficacité d'un aparté si peu consensuel ?

Lyvia ROBERT

 

 

 

 


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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.

PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.

Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.

L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.

Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.

 

 

 

 

En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.

Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».

Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.

Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.

 

 


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Les investisseurs boursiers doivent anticiper l’évolution des cours des sociétés cotées ou des indices. Leurs prévisions sont alimentées par les rapports et les pronostics des économistes ! La grande nouveauté, c’est que pour la première fois, dans une histoire financière vieille de 5 500 ans, les rapports de santé impactent directement la finance et les bourses du monde ! Nous découvrons les liens économiques entre la Chine, les Etats-Unis et la France…

 

TRIBUNE : L’ensemble de ces relations commerciales nous  fragilise encore plus dans ce contexte : la globalité devient une faille ! La chute des cours du pétrole est combinée à une baisse significative de la croissance mondiale (prévision très réaliste).

De nombreuses entreprises sont déjà en décroissance. Certains spécialistes vont même jusqu’à imaginer une récession planétaire ! Un troisième élément doit être pris en compte : l’insécurité des investisseurs vis-à-vis de l’avenir. Les risques inflationnistes, la chute du dollar, et surtout le spectre de la pandémie : c’est un cocktail de choc qui fait paniquer les investisseurs. Pétrole-bourses-méfiance : une trilogie qui nous entraine irréversiblement vers le Krach !

La méfiance des investisseurs vis-à-vis du futur met en lumière la dimension psychologique du boursicoteur, même professionnel, et le contraint à faire des actions contagieuses et irrationnelles ! La Chine devient ainsi le point nodal de notre réflexion.

Qu’avons-nous appris (ou réappris) du coronavirus ? Les économies françaises, européennes, américaines sont dépendantes de la Chine. La production automobile, notamment française, est affectée par l’arrêt de sites industriels chinois. Certaines matières premières venant de Chine sont bloquées à cause du confinement…

Notre dépendance vis-à-vis de certains produits est quasi-totale : 95 % des batteries électroniques proviennent de Chine et plus de 80 % des composants de médicaments…

Alors ? Les plus naïfs proposent de changer de fournisseurs ! Ah oui !? Pour obtenir un agrément pour fabriquer des médicaments, il faut compter au moins quatre ans…

Nous consommons moins d’énergie et surtout moins de pétrole : chute vertigineuse des cours du brut (plus de 30%). Cette chute  aggrave la situation boursière : les sociétés qui gravitent autour de ce secteur (pétrochimie…) sont impactées. De véritables réactions en chaîne surviennent ce qui dramatise encore plus l’avenir de nos économies et de la finance.

 

Il est grand temps d'acheter les valeurs perdantes...

 

Les états s’appauvrissent : il y a moins de ressources fiscales, plus de  chômages, plus de d’aides de l’état et moins de cotisations sociales…Bref : l’endettement progresse fortement… Cerise sur le gâteau : il y a également moins de ressource TVA et moins de richesse dégagée (PNB).

L’anticipation des boursiers face à une situation mondiale qui contient les germes de la récession conduit les traders à conseiller la vente de titres. Or, les investisseurs sont en manque de liquidité : ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux ! Ils doivent vendre à n’importe quel prix pour rembourser leurs dettes…

Par contre, avec un peu de cynisme, on peut conseiller à celles et ceux qui ont du liquide disponible, d’acheter les actions qui ont le plus chuter. Par exemple, Sélectour et Havas Voyages ont perdu plus de 45 % !

On ne peut encore chiffrer l’impact économique, social et financier de la chute de l’activité des grandes entreprises cotées, sur les PME sous-traitantes ainsi que sur les sous-traitants des sous-traitants…

Cette crise mondiale n’est pas sans rappeler celle de 1929 ! Ne nous y trompons pas.

Aujourd’hui, la globalisation mondiale de l’économie et de la finance, les masses financières en cause et la vitesse de circulation des ordres de bourse, réalisées à la nanoseconde font de 1929 une légère brise vis-à-vis du cyclone qui nous attend.

Seule une régression rapide du coronavirus pourra atténuer les effets secondaires de la crise. Un bon moral et un regard positif vers l’avenir constitueront les meilleurs préservatifs pour cette nouvelle « M.F.T. » : la maladie financièrement transmissible qui a plongé le monde dans la « coronacrise » !

Pour sourire un peu : imaginons un dialogue entre deux traders allongés sur la plage: «  Pierre ? » - « Oui Louis » - « La mer monte » - « Achète ! »…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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D’ordinaire, de deux à trois heures d’attente sont nécessaires pour espérer pénétrer à l’intérieur de la célèbre basilique vaticane. Un premier cas de coronavirus, détecté sur un patient accueilli dans le centre médical situé à l’intérieur du plus petit état de la planète, modifie la donne de manière drastique. Personne n’ose plus s’aventurer sur le parvis du fameux édifice érigé à la gloire de la chrétienté…

ROME (Italie) : Epargné jusque-là malgré la prolifération de l’épidémie dans la péninsule italienne, le Vatican, micro-état de la taille d’un confetti encastré dans la capitale de l’Italie, vient de s’ajouter à son tour à la longue liste des nations contaminées par le coronavirus.

Jeudi, un premier patient atteint par la maladie y a été détecté. Semant l’effroi parmi la population qui recense moins d’un millier d’habitants.

Il n’en fallait pas davantage pour réduire la présence du nombre de touristes qui se comptent déjà sur les doigts d’une seule main. L’affluence aux abords de la grande place, au pied de Saint-Pierre de Rome, s’est singulièrement minimisée.

Alors que l’Italie, deuxième pays au monde en nombre de décès et troisième en termes de contaminations s’interroge sur les suites à venir, les rares visiteurs de la célèbre cité papale apprécient au moins le bon côté des choses. Profitant à bon escient, et surtout très seuls, de somptueux musées qui renferment des œuvres inestimables : la ville toute entière leur appartient !

D’autant que les professionnels du tourisme sont en effervescence depuis plusieurs jours : la moitié des établissements hôteliers de Rome a dû procéder à des annulations intempestives sur la période du mois de mars. Sombres perspectives à quelques jours des fêtes pascales…

 


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Le dernier James Bond a été reporté pour coronavirus : « mourir peut attendre », très prémonitoire ! De nombreuses manifestations, culturelles, économiques, religieuses sont ajournées, voire totalement supprimées. Les critères sont cependant incohérents. On décale le salon de l’Industrie mais on maintient en revanche celui du vélo… Matchs de football et autres manifestations sportives sont à la même enseigne : décalées ou maintenues. Toute la planète est concernée ! Au-delà des conséquences sociales et médicales, des morts et des malades, les répercussions économiques se font déjà ressentir au niveau des entreprises et des investissements en bourse…

TRIBUNE: Coronavirus et économie ne font pas bon ménage ! Nous sommes tous dépendants les  uns des autres. Et particulièrement de la Chine : on achète, on vend, on fabrique.

Certains pensent déjà à la relocalisation de sites de production. Le risque systémique se traduit par une propagation planétaire de la chute de nos économies.

Les frontières sont parfois bloquées. Les salariés ne peuvent plus circuler et provoquent une chute de 40 % des voyages d’affaires et de 60 % des vols touristiques – donc du manque à gagner pour les compagnies aériennes (estimé à 130 milliards de dollars).

Les dépôts de bilan ne sont pas loin : Flybe en outre-Manche. Ne parlons pas la chute du chiffre des agences de tourisme et de toutes les activités touristiques : hôtels, restaurants, sites, etc.

Aujourd’hui, 164 entreprises françaises ont déjà engagé la mise en place de chômage technique !  Donc, in fine, un risque de chômage sur la durée ! Les spécialistes de l’énergie nucléaire appellent cela « une réaction en chaîne » !  Tous les secteurs sont touchés : en février, les ventes de voitures ont baissé de 89 % !

La crise financière découle des prévisions économiques : les bourses mondiales enregistrent une chute de 12 %. Ce n’est pas le plus grave, puisque les cours étaient surévalués. Compte tenu de cours élevés, de nombreux investisseurs se sont endettés pour acquérir des titres ! Et alors ? Il faut rembourser mais il n’y a plus de monnaie puisque les cours de la bourse chutent. Le mécanisme se met en place : je vends des titres pour rembourser et accélérer, de facto, l’effondrement des bourses ! De plus, comme en 2008, les entreprises sont surendettées : le crack est en perspective…

 

Après l’homme économique, voici l’homme irrationnel…

 

Moody’s (agence de notation des entreprises), a dans son rapport de février, indiqué que la pandémie mondiale et la récession qui pourrait en résulter, ont 40 % de probabilité d’occurrence !

De plus, cette crise se produit au moment où la croissance mondiale était déjà affaiblie par les tensions commerciales récentes. Les solutions apportées par les Etats marquées par un certain empirisme montrent la nouveauté des caractéristiques de la crise : une origine virale qui provoque une pandémie… Les solutions sont peu originales du côté financier : intervention des banques centrales (abaisser les taux directeurs, injecter des capitaux…).

Les banques soutiennent des entreprises (facilités de trésorerie), les Etats reportent les échéances fiscales, soutiennent certains secteurs, et… transmettent le virus à coup de rencontres, de conférences (au sommet !) et de joyeuses agapes…

On creuse les déficits ! Soulignons pour le positif, que les encours du Livret A s’envolent depuis le début de l’année !  Rien d’innovant : après  « l’homme économique », « l’homme irrationnel » !

Le pendule des économistes oscille entre forte correction des marchés à court terme puis reprise, et effondrement total des économies et reprise très lente sur le long terme.

Avec ou sans coronavirus, pour les idéologues du «catastrophisme » (ou collapsologues), les risques d’emballement climatique, la fragilité de nos systèmes économiques et financiers constituent les éléments déclencheurs d’une inéluctable fin de notre civilisation « thermo-industrielle ».

Mais, tout espoir n’est pas perdu en France puisqu’en face de la chute vertigineuse des cours de nombreuses entreprises cotées, on note la relative bonne santé de sociétés caractéristiques. A titre d’exemples : « Pernod –Ricard » et « Rémy-Cointreau ». Existe-t-il une relation de cause à effet ?

Jean-Paul ALLOU 

 


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