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Une semaine 42 vue par le petit bout de la lorgnette où le maître de la poésie Georges BRASSENS refait des siennes avec son centième anniversaire ; les grues survolent notre territoire pour rejoindre des terres gorgées de soleil et de chaleur tandis que la flambée des cours du carburant asphyxie les automobilistes que nous sommes. Et si nous aussi nous accompagnions les grues cendrées vers leur destination ?

 

BILLET :

Lundi

Fait rare pour un ministre en exercice, Alain GRISET, en charge des petites et moyennes entreprises, comparaissait le 12 octobre dernier devant le tribunal correctionnel de Paris. Il lui est reproché d’avoir « oublié » dans sa déclaration de patrimoine, la coquette somme de 171 000 €. Une « maladresse » selon l’intéressé, qui n’a pas empêché le parquet de requérir à son encontre une peine de prison avec sursis, ainsi que l’interdiction d’exercer la fonction de ministre. Une affaire qui n’est pas sans rappeler l’ancien secrétaire d’Etat Thomas THEVENOUD, contraint de quitter le gouvernement de Manuel VALLS pour avoir « omis » de déclarer ses revenus plusieurs années durant et qui avait alors évoqué pour sa défense, une « phobie administrative ». L’histoire pourrait porter à rire, si ce n’est que chaque condamnation de ce type fragilise un peu plus la République et l’incitation de nos concitoyens à se rendre aux urnes.

 

 

Mardi

Fermée depuis plus d’un an, la bibliothèque annexe du quartier Sainte-Geneviève à Auxerre risque fort de ne jamais rouvrir, paupérisant un peu plus le secteur. Par-delà les réflexions divergentes au sein même de la municipalité au sujet de son avenir, cette fermeture a valeur de symbole. Selon un dicton africain, « un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle ». Que dire d’une bibliothèque qui disparaît sinon que c’est peut-être un lecteur en devenir qui meurt ?

Mercredi

Venues du nord de l’Europe, elles ont fait leur réapparition ces derniers jours dans les cieux auxerrois, après une étape au lac de Der dans l’Aube. Annonciatrices de l’hiver qui s’en vient, les grues cendrées partent chaque année à la recherche de températures plus clémentes, usant de notre département comme un couloir aérien immuable à chaque migration. Ne reste plus qu’à guetter leur retour, synonyme de beaux jours et de printemps retrouvé. D’aucuns disent que leur destination finale serait le sud de la France, voire l’Espagne. Je préfère à l’instar de Nils HOLGERSSON, laisser courir mon imaginaire et partir avec elles survoler l’Afrique et autres contrées plus lointaines. Bon voyage et revenez vite !

Jeudi

Il aurait eu cent ans aujourd’hui. C’était le « tonton » que tout le monde rêvait d’avoir à la table familiale du dimanche, un peu bourru, mais le cœur sur la main, faisant rire les plus jeunes de ses jurons grivois, sous l’œil courroucé des adultes se voulant plus respectables. Georges BRASSENS est devenu aujourd’hui par-delà la mort, objet de polémiques, considéré par certains comme misogyne et par d’autres, féministe d’avant-garde. Un débat dont il doit bien rigoler, six pieds sous terre, dans son cimetière marin à Sète. Toutes ses « veuves » aussi, qu’elles se prénomment Margot, Lison, Fernande, Hélène, Jeanne, Mireille ou Ninon. Le poète a cassé sa pipe le 29 octobre 1981, il y a près de 40 ans. « Cornegidouilles », « ventrebleus » et corne d’Aurochs !

Vendredi

Face à la flambée du prix des carburants, l’exécutif a tranché, privilégiant l’octroi d’un chèque de 100 € à une catégorie de Français, plutôt qu’une baisse de la TVA généralisée ou le retour de la TIPP flottante. Jean CASTEX aurait pu aussi s’inspirer de Raymond DEVOS et de son conseil malicieux : « je mets toujours la même somme dans mon réservoir, 100 francs ! Et quand on me dit que pour ce prix-là, je vais de moins en moins là, je réponds aller où je vais… ». A condition bien sûr de ne pas se retrouver bloqué au premier rond-point repeint en jaune !

Samedi

On a pu lire dans la presse qu’un braconnier sévissant dans le parc Krüger, en Afrique du Sud, a été retrouvé mort, piétiné par ceux-là même qu’il pourchassait : les éléphants. Juste retour des choses après tout, quand on sait que selon le WWF, 70 % de la population de pachydermes a disparu en quarante ans et que 20 000 éléphants sont tués chaque année pour le commerce de l’ivoire, soit plus de 50 par jour, dans l’indifférence générale. Chantal GOYA va pouvoir réviser sa chanson : « ce matin un gros, très gros lapin a tué un chasseur » !

 

 

Dimanche

Parrain du millésime 2021 des vins de Chablis, le journaliste et présentateur Nelson MONFORT a rappelé samedi matin à Fleys le surnom que lui avaient donné ses pairs de l’audiovisuel : « Nelson, mets l’son moins fort » ! Se refusant, contrairement à son habitude, et à la grande déception de ses fans, à traduire à la suite ses propos dans la langue de Shakespeare.   

 

Dominique BERNERD

 


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L’opus est volumineux. Près de deux cents pages en format A 4. Il est le fruit d’un travail de très longue haleine de la part de son auteur, Jacques GILET. Compulser la substantifique moelle de rencontres initiées lors de trente années de voyages aux quatre coins de l’Europe, avec un unique objectif : nourrir l’intellect des élus de l’Yonne. « Ils ont fait le tour de l’Europe » est un pavé référentiel que les élus se doivent de consulter…

 

CHAMPIGNELLES : Ce n’est pas une institution. C’est encore mieux que cela ! S’inscrivant dans le marbre, le rendez-vous est devenu au fil du temps un véritable monument que les élus du territoire, toujours plus nombreux, honorent avec bienveillance chaque saison à pareille époque. Sauf en 2020 quand la crise sanitaire a déréglé de façon temporaire fort heureusement le joli mécanisme si bien huilé depuis 1990.

Voilà donc trente ans que les élus de Puisaye-Forterre se forment. Et participent à un séjour immersif à l’étranger, ou à défaut dans une contrée de l’Hexagone, leur servant de terrain de jeu appréciable pour mieux appréhender une problématique à résoudre. Un voyage d’étude en quelque sorte qui a su faire des émules petit à petit. D’autres secteurs de l’Yonne y envoient désormais leurs élus. Quand ce n’est pas les départements limitrophes !

Alors, à la veille de la nouvelle édition de ces fameux « Entretiens  de Champignelles», symboles de cette institution territoriale qui ne cesse de s’interroger en permanence sur les items essentiels à sa bonne fonctionnalité au cours d’un mandat, le père spirituel de ces rencontres Jacques GILET, maire honoraire de cette localité, a conçu un recueil. A base d’analyses personnelles. D’anecdotes historiques. De coupures de presse, aussi, qui traduisent le reflet de ce que sont ces échanges à travers les médias.  

 

 

La Forterre intègrera le concept dans les années 2000…

 

Le postulat de cette aventure qui n’a toujours pas trouvé d’équivalence parmi les autres EPCI de notre territoire, c’est la formation. Les élus en redemandent à chaque nouvelle session afin de parfaire leurs connaissances sur tel ou tel sujet. D’ordre institutionnel, on s’en doute, mais aussi sociétal, économique, culturel, pratico-pratique. Preuve qu’à l’époque, en 1990, les élus de ce territoire implanté à l’ouest d’Auxerre en réclamaient encore plus : les premiers « Entretiens » se sont ouverts sur le budget et le fonctionnement d’une mairie. Jean-Pierre SOISSON, alors ministre du Travail, avait ouvert le bal de ce rendez-vous qui aura vu succéder depuis une kyrielle de hauts personnages de l’Etat et de parlementaires.

Sous l’impulsion de l’élu de Courson-les-Carrières Jean-Claude DENOS, la Forterre rejoindra le concept une décennie plus tard. Exit les trente-cinq participants de la première édition ! Grâce à un élargissement sectoriel progressif, les « Entretiens » ont dû revoir leur mode opératoire et leur logistique en accueillant plus de cent cinquante élus et directeurs de service par la suite. Plus qu’un simple succès, ce fut un véritable plébiscite !

Le Portugal fut la première des destinations à l’international en 1999. En toile de fond comme angle de réflexion : les crédits européens. Des souvenirs oubliables pour Jacques GILET qui en a encore les pupilles brillantes à l’évocation de ces moments mémorables.

Ensuite, cela s’enchaînera très vite avec l’Italie, l’Espagne, la Grèce, Malte, la Hongrie, etc.

Préfacé par Jean-Pierre SOISSON, le document offre une galerie émotionnelle évidente, chapitre après chapitre, au nombre de trente. Comme autant de rendez-vous annuels, en somme, et de séjours pédagogiques à l’étranger bien qu’une vingtaine de pays seulement furent visités par ces élus locaux en quête de renseignements et de découvertes inspirantes.

 

Thierry BRET

 

 


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Cette fois, ça y est ! Les véhicules hybrides ont vu leur nombre d’immatriculations dépassé celui des automobiles à motorisation thermique en Europe. Au troisième trimestre 2021, il s’est commercialisé plus de voitures hydrides que de véhicules alimentés au diesel. Grâce à l’explosion des commandes observées dans les pays de l’Europe scandinave et centrale…

 

PARIS : Cela devait bien arriver tôt ou tard. Un basculement du marché, inéluctable et prévisible. Les véhicules à propulsion thermique (dont le diesel) sont désormais devancés par les modèles hydrides au niveau des ventes. Dans le seul laps de temps de la période estivale, la progression s’est élevée de près de 70 %. Ne serait-ce que dans les pays de l’Europe centrale.  

Dans un communiqué de presse publié ce vendredi 23 octobre, l’Association des Constructeurs (ACEA) a fait part de cette nouvelle qui n’a rien d’inattendue auprès des rédactions. Les automobiles hydrides ont donc la cote en ayant doublé leurs chiffres de vente depuis un an en Italie, en Suède, au Danemark, en Autriche ou encore en Allemagne (+ 62,7 %).

 

 

A date, Stockholm fait figure de référence dans l’Union européenne ainsi que le reste du pays scandinave en étant la contrée la plus électrique en matière de mobilité. Atteignant 25 % de parts de marché de son parc de véhicules neufs. Toutefois, la Norvège demeure très loin devant au niveau mondial avec près de 72 % de véhicules électriques.

Il est bon de rappeler que les tarifs pratiqués sur ces voitures de la nouvelle génération ne sont pas aussi prohibitifs que ceux usités en France. La France ? Parlons-en !

Elle n’a enregistré qu’une progression de 34,6 % en l’espace d’un an. Loin, très loin, de son voisin d’Outre-Rhin qui en a vendu plus du double dans le même intervalle ! Pourtant, ces modèles y sont largement subventionnés.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le constructeur américain est-il un visionnaire en matière de carburant vert ? Un « Géo TROUVETOU », capable de solutionner les problématiques consuméristes venant grevées les budgets de millions d’utilisateurs de l’automobile de par le monde ? Alors que l’inflation galopante observée depuis plusieurs semaines sur le prix du litre d’essence atteint des sommets, FORD proposait déjà dès 2010 des moteurs équipant ses véhicules, au super éthanol E85 !  

 

PARIS : Serait-ce la bonne solution à tous nos problèmes de pouvoir d’achat, notamment ceux liés à la mobilité ? Alors que les prix des carburants ne cessent de grimper à la vitesse « grand V » dans les stations-services, il en demeure un qui n’enregistre pas de poussée de fièvre inflationniste : le « E 85 », c’est-à-dire, le super éthanol. Le tarif indiqué à la pompe n’excède pas les 0,70 centimes d’euro. On croit rêver ! C’est sûr, ce n’est pas un mirage comme il en apparaît aux confins du désert d’Arabie Saoudite et du Koweït où le litre d’essence n’a jamais dépassé les dix centimes d’euro !

 

Une solution facile et peu coûteuse pour le consommateur…

 

Composé à 85 % de ce que l’on appelle le bioéthanol, on obtient ce précieux carburant grâce à une ressource principale qui n’est autre que la betterave à sucre. Voire le blé !

A titre d’exemple, et cela ne peut que laisser perplexe sur les orientations du gouvernement en matière énergétique, avec un hectare de betteraves (un végétal cultivé sur notre sol) on obtient suffisamment de matière pour pouvoir parcourir au bas mot cent mille kilomètres !

Naturellement, la transformation de la ressource primaire s’avère ô combien stratégique. Une fois les étapes de fermentation et de distillation  réalisées, un alcool brut est produit. Pourtant, les raffineries nationales sont reconnues comme ultra performantes en termes de bilan carbone. Ainsi, le bioéthanol hexagonal permet d’économiser jusqu’à un million de tonnes de Co2 par an.

Après la distillation, il reste encore une dernière marche à gravir pour rendre la formulation efficace. Afin de pouvoir incorporer cet alcool de betteraves à l’essence, il s’agit de le déshydrater. L’alchimie réalisée donne  naissance au bioéthanol qui, une fois complété de 15 % minimum de sans-plomb 95, devient ainsi le super éthanol ! La solution miracle et peu coûteuse pour les consommateurs !

 

 

Il y a dix ans la France n’était pas prête…

 

Curieusement, du côté des constructeurs y compris les Français, peu se sentent concernés par cette approche énergétique qui mérite d’être étudiée de très près. Par le passé, FORD avait déjà démontré grâce à son expérience du « flexifuel » que certains de ses modèles (Focus et Focus C-MAX) pouvaient recevoir des motorisations fonctionnant au super éthanol E85.

Si cette offre était justifiée par la demande croissante émanant de certains pays, la France n’y avait vu que très peu d’intérêt car pas le pays n’était pas prêt au plan structurel ! C’était il y a dix ans…

 

 

De son côté, le constructeur américain a persisté dans sa démarche novatrice. Aujourd’hui, l’enseigne fait figure de championne du monde toutes catégories puisque la plupart de ses modèles acceptent l’utilisation de ce carburant vert et performant.

 

Plus de 2 300 stations-services le distribuent en France : insuffisant…

 

Tablant sur deux créneaux très dans l’air du temps (la recherche du pouvoir d’achat supplémentaire et le développement de la conscience écologique), FORD a même poussé le curseur de ses implications technologiques encore plus en avant.

Partenaire du fabricant BIOMOTORS, la société des Etats-Unis propose l’installation de boîtiers permettant d’assurer la conversion d’un véhicule lambda (quel que ce soit sa marque) à l’éthanol.  

Quant à l’automobiliste, rencontre-t-il des différences fondamentales dans sa conduite entre un moteur thermique ordinaire fonctionnant au sans plomb ou avec de la betterave ?   

Certes, la consommation peut être légèrement supérieure à un véhicule équivalent essence. Mais, in fine, cela sera largement compensé grâce au gain financier qui sera réalisé à la pompe par rapport aux motorisations Diesel et essence.

Précisons qu’aujourd’hui, plus de 2 300 stations-services proposent ce super éthanol E 85 sur l’ensemble du territoire. C’est encore insuffisant à l’échelle du parc automobile français. Mais, il est possible de rouler malgré avec du sans plomb 95 ou 98 si besoin.

 

Thierry BRET

 

 


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Le cadre enchanteur de l’abbaye Saint-Germain a accueilli la cérémonie de remise du « Label Or école de football féminine ». Une première vécue dans le département de l'Yonne ! La Fédération Française de Football a décerné cette haute marque de mérite à l’entente Stade Auxerrois/AJ Auxerre afin de récompenser la pertinence d'un travail de partenariat de grande qualité. Il est le fruit d’une coopération existante depuis quatre ans entre ces deux clubs pour l’essor des équipes féminines.

 

AUXERRE : Le label Or a été remis par le président du District de football Bourgogne Franche-Comté Christophe CAILLIET aux responsables de l'AJA et du Stade Auxerrois. Il salue les efforts accomplis dans les domaines éducatifs, sportifs, associatifs et de l'encadrement.

Une  cérémonie suivie par le président-maire de l’Agglomération de l’Auxerrois Crescent MARAULT, le député Guillaume LARRIVE, ainsi que du vice-président du Conseil départemental Christophe BONNEFOND.

Si ce précieux label rayonne dès à présent au sein de cette association marquant le rapprochement entre ces deux clubs phares du sport auxerrois, il cristallise et fait briller la joie intense de l’internationale ivoirienne, la jeune capitaine de l'équipe régionale R1, Binta DIAKITE.

Née le 07 mai 1988, cette dernière évolue au poste de milieu de terrain. Elle a participé avec l'équipe de Côte d'Ivoire à la Coupe du monde féminine 2015.

Son parcours dans le cadre des compétitions officielles nationales et internationales est le suivant : de 2003 à 2012, elle évolue au sein du club de Juventus Yopougon, puis durant deux années à l’Alliance Niamakoro de Bamako, avant un passage entre 2015 et 2018 au ASF Medenine et pour la saison 2018-2019 en Biélorussie au FK Minsk. Elle a rejoint l’Yonne en 2019.

 

« Cette distinction me touche vraiment… »…

 

Comment avez-vous ressentie cette remise de distinction en ce lieu qui fut, rappelons-le, la première grande université européenne de prestige à l'époque carolingienne et au Moyen-Age ?

 

Je suis vraiment très contente de l'organisation d'un événement comme celui-ci. C'est incroyable pour nous d’être mise en avant. Pour montrer tous les efforts que nous avons dus accomplir pour en arriver à ce stade de reconnaissance absolue.  En tant que joueuse féminine, ça me touche vraiment. Je n’ai pas les mots tellement je suis émue ! Je suis très contente !

 

Pouvez-vous nous expliquer les différentes catégories qui composent le football féminin ?

 

Les catégories commencent par les U6, U11, U15 et U18. Puis, il y a la R1 et la R2 pour ce qui concerne les équipes régionales. Ensuite, c’est l’élite avec la D1 et la D2. Division à laquelle on aspire d’ici quelques années.

Actuellement, dans notre poule, nous sommes placés à la quatrième position. Le groupe se compose de douze équipes. Ces dernières sont très diversifiées au plan géographique en région Bourgogne Franche-Comté. Cela va de Dijon à Vesoul, à Lons-le-Saunier, dans  le département du Jura, pour n’en citer que quelques-unes…

 

Comment se déroule l'organisation des entraînements ?

 

On se retrouve pratiquement toute la semaine. Après le match qui a lieu le dimanche, nous avons des séances de balnéothérapie en début de semaine. La balnéothérapie se déroule au cœur de l'infrastructure sportive de l'AJA.

Maintenant, nous n'avons plus d'entraînement le mardi. Ce jour est consacré désormais au repos des joueuses. Le mercredi et le jeudi, on pratique des séances matins et soirs. C’est le même programme le vendredi.

 

Propos recueillis par Merouan MOKADDEM

 


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