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C’est un pétard mouillé. Une négociation qui aboutit sur le vide sidéral ou tellement peu de choses ont été accordées in fine en faveur de la préservation de la planète. Du côté des instances nationales d’Europe Ecologie Les Verts, le terme d’échec est même évoqué pour qualifier cette réunion de Glasgow, synonyme de douche écossaise.  Constatation avec les deux signataires de cette tribune…

 

TRIBUNE: Après deux semaines d’intenses négociations internationales, la COP 26 s'est achevée samedi sur un accord au rabais. Cette COP est un énième échec face au plus grand défi de l’humanité : notre lutte commune contre le dérèglement climatique.

En effet, dans l’hypothèse où l’ensemble des mesures adoptées à Glasgow étaient respectées, nous serions sur un scénario catastrophe d’une augmentation de 2,7°C du réchauffement planétaire, d’ici à 2100. Alors que les émissions mondiales de gaz à effet de serre ont augmenté de 64 % depuis 1992, cet attentisme est irresponsable. Les beaux discours du gouvernement français, empêtré dans son addiction au nucléaire et aux énergies fossiles, ont entravé la possibilité pour l’Union européenne de jouer un rôle moteur dans ces négociations.

Marquée par l'influence grandissante des lobbies, présents en grand nombre à Glasgow, cette COP ne permettra pas d’accélérer la sortie du charbon et des financements aux énergies fossiles: aucun calendrier de sortie des hydrocarbures n’étant évoqué dans le texte final.

 

 

D’autre part, le mécanisme de solidarité financière et de justice climatiquerevendiqué par les états les plus pauvres, a été sabordé par les Etats-Unis et l'Union européenneles pays riches ne voulant pas payer pour les dommages dont ils sont responsables.

Tristes constats, alors que la situation planétaire n’a jamais été aussi critique et alors que les solutions sont connues. En France et en Europe, se sont celles de la décarbonation de nos économies et d'un Green New Deal. Cela se joue en 2022, avec une présidence écologiste pour la France…

 

Alain COULOMBEL et Eva SAS

 


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Le rapport tant attendu est enfin arrivé. Sénèque avait raison. L’erreur est certes humaine mais persévérer dans l’erreur, c’est franchement diabolique. Soyons clair ! Dès que l’on touche à l’Eglise, haro sur le baudet ! Les bons républicains sonnent l’hallali, font retentir le tocsin et passe en DEFCON 4 ! Même si la pédophilie dans l’Eglise représente une part minime de l’ensemble des actes pédophiles, entre 4 et 5 %. N’oublions pas que la part la plus importante est l’apanage de la famille (plus de 50 %)…

 

TRIBUNE : L’Education nationale distille au compte-goutte les statistiques concernant leurs professeurs pédo-criminels. Les chiffres sont tous contestés mais illusoires face aux drames vécus par ces enfants. Profiter d’un ascendant religieux et du pouvoir spirituel fait des prêtres les pires de ces criminels ! Toucher à l’enfant devient un « crime contre l’humanité » divine !   

Les chiffres sont astronomiques. Selon les conclusions du rapport Sauvé, publié le mardi 05 octobre, le nombre de personnes de plus de 18 ans ayant fait l'objet de violences ou d'agressions sexuelles pendant leur minorité de la part de clercs ou de religieux catholiques en France de 1950 à 2020, est estimé à 216 000 !

 

Que l’Eglise reconnaisse enfin sa responsabilité…

 

Le nombre de victimes grimpe à 330 000 si l’on ajoute les agresseurs laïcs travaillant dans les institutions de l’Eglise catholique, soit les aumôneries et les enseignants évoluant dans les écoles catholiques et mouvements de jeunesse. Au total, près de 3 % des religieux seraient  concernés par ces actes pédocriminels. Si on prend les 3000 religieux pédophiles, estimés dans le rapport, on atteint le chiffre de 72 enfants victimes de ces crimes : des chiffres qui donnent le vertige et nous plongent dans l’horreur absolue et l’abomination. Prêtres et sérials killers !

Afin d'établir ce rapport, Jean-Marc SAUVE s’est entouré d’anthropologues, de sociologues, de psychologues, de médecins ou encore de magistrats, tous chargés de recenser les abus sexuels dans l'Église et d'en comprendre les mécanismes. La commission d'enquête, soulignant "l'indifférence cruelle" de l'Église et un phénomène au caractère systémique, propose de « reconnaître la responsabilité de l’Eglise ».

 

 

La position ambiguë de sa Sainteté le pape François…

 

Que dit le boss ? Le pape François exprime son chagrin et n’oublie pas de dire qu’il soutient l’Eglise de France face à l’épreuve qu’elle subit ! Un peu léger et très manichéen de la part de sa Sainteté. Léger car les victimes et leurs familles n’ont cure des larmes vaticanes. Manichéen (ou un peu « Jésuite » sur les bords) le représentant de Saint-Pierre car il sous-entend que seule la France est concernée ! Il oublie de dire que de nombreux pays dans le monde sont touchés par la pédophilie et le silence des victimes, que les Etats-Unis ont déjà versé des dizaines de millions de dollars pour indemniser les enfants martyrs des sévices sexuels.

La France a finalement la chance d’avoir une République, certes distincute de la cause cléricale, mais respectueuse des «  Droits de l’Homme et de l’Enfant ».

 

 

Abus sexuels : on s’absout entre curés pédophiles ?

 

Président de la Conférence des Evêques de France, Mgr Eric de MOULINS-BEAUFORT a été convoqué par le ministre de l’Intérieur Gérald DARMANIN, pour avoir estimé que le secret de confession « est plus fort que les lois de la République ».

Au-delà de la polémique, ces propos interrogent sur la nature de ce secret et les garanties offertes par la loi pour le protéger. La loi est claire. Toute personne ayant eu vent d’actes de pédophilie doit les dénoncer à l’autorité immédiatement. Il n’y a pas d’exception. Par cette déclaration, notre Monseigneur met toute l’Eglise dans l’illégalité et ouvre la boîte de Pandore. On fustige les islamistes intégristes en précisant que nul n’est au-dessus des lois de la République. Cette attitude n’est pas digne d’un prêtre mais reste sous le signe de l’irresponsabilité la plus totale !

Quand on sait qu’un prêtre lambda doit refuser l’absolution à une femme qui souhaite se confesser d’un avortement (ce « crime » aux yeux de l’Eglise ne peut être absout, sauf exception, que par un évêque !).

Au-delà du secret de la confession, qu’en est-il de l’absolution des actes de pédophilie ? On s’absout entre curés pédophiles ? C’est une affaire à suivre car au-delà du respect de la loi, c’est le respect de la personne humaine qui est en jeu !

Fin de l’acte 1

 

Jean-Paul ALLOU

 


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« Vous qui passez sans me voir ! ». C’est le titre d’une célèbre chanson du répertoire français. Mais, une chose est sûre : la plaque du souvenir de ce monsieur qui repose au cimetière Saint-Amâtre mérite que l’on se recueille sur sa tombe en ce jour de Toussaint ! De leurs côtés, les travaux du Rond-Point de Paris à Auxerre semblent persister : personne n’a encore pris l’initiative d’enlever le panneau signalétique indiquant la fermeture de ce carrefour important de la circulation…

 

BILLET

Lundi

 

Invité de l’assemblée territoriale du CERFRANCE BFC le 23 octobre dernier à Auxerrexpo, Nicolas BOUZOU a confessé être un « spécialiste » d’Eric ZEMMOUR, pour avoir débattu à sept reprises avec lui. Dépeignant un adversaire aisé à combattre car « frappant très fort mais dont les coups peuvent être facilement anticipés, à l’image de Philippe MARTINEZ avec qui je débats souvent aussi… ». Il n’est pas certain que le secrétaire général de la CGT apprécie l’assimilation de son nom avec le polémiste maurassien néo- candidat pas encore déclaré !

 

Mardi

 

Dans la série « Je ris de tout de peur d’avoir à en pleurer », l’on apprend qu’une paire de chaussures de sport portée par la légende du basket américain, Michael JORDAN, a été vendue ce dimanche à Las Vegas lors d’une vente organisée par Sotheby’s, pour la somme astronomique de 1 472 000 dollars ! Nul doute que l’acheteur ait « pris son pied » à remporter de telles enchères, au risque peut-être, de faire coup double et d’en perdre la tête…

 

Mercredi

Plus de cinq mois après le meurtre de Chahinez DAOUD, une mère de famille brûlée vive à 31 ans par son mari en Gironde, un rapport de l’IGPN conclut à des fautes et à des erreurs d’appréciation de la part de fonctionnaires de police auprès de qui s’était rendue la jeune femme pour porter plainte quelque semaines avant sa mort. Parmi eux, un gardien de la paix lui-même condamné à huit mois de prison avec sursis probatoire pour « violences intra-familiales ». Il sera, comme six autres de ses collègues, convoqué prochainement en conseil de discipline. Le directeur zonal de la sécurité publique du Sud-Ouest ayant pour sa part reçu un blâme… COLUCHE en son temps, avertissait : « au bout de 30 avertissements, on peut avoir un blâme. Et au bout de 30 blâmes, on passe en conseil de discipline et on peut être dégradé… ». Même pas drôle !

 

 

Jeudi

 

Aggravée par le changement climatique, la pire sécheresse enregistrée depuis 40 ans frappe le sud de Madagascar. Les années sans pluie se succèdent,  empêchant toute culture et contraignant les habitants à se nourrir de feuilles de cactus, voire de cuir tanné bouilli. Selon les chiffres de l’ONU, plus de 1,14 million de Malgaches souffriraient ainsi de la faim, rejoignant les 155 millions de personnes dans le monde en situation de crise alimentaire. Il est un virus qui tue plus aujourd’hui que celui de la COVID : c’est celui de la famine et toujours pas de « vaccin » à l’horizon !

 

Vendredi

 

Nous ne passerions plus en moyenne que 6 minutes seulement à rire par jour, là où nos parents dans les années 50, y consacraient trois fois plus de temps au quotidien. Alors même que le rire selon le milieu médical serait bénéfique pour la santé, abaissant la fréquence cardiaque et réduisant la tension artérielle. J’ai fait mienne la citation attribuée au dramaturge irlandais George Bernard SHAW : « Depuis que j’ai appris à rire de moi-même, je ne m’ennuie plus jamais ».

 

Samedi

 

Les travaux ayant rendu trois semaines durant le rond-point de Paris inaccessible, ont fait couler beaucoup d’encre et provoqué l’ire de nombreux Auxerrois ou automobilistes de passage. Huit jours après sa réouverture, un panneau installé Porte d’Egleny en interdit toujours l’accès ! Sage précaution sans doute, en attendant peut-être le début d’autres travaux à venir…

 

Dimanche

 

L’on tire toujours profit à arpenter les allées d’un cimetière. Si ce n’est pour le calme, et la sérénité, au moins pour le plaisir d’en ressortir par la grande porte sur ses deux jambes ! Avec le bonheur parfois de repartir plus serein et plus enjoué qu’en y entrant, lorsque l’humour s’associe au souvenir. En cette veille de Toussaint, chapeau bas pour cette personne inhumée au cimetière Saint-Amâtre à Auxerre, qui par-delà la mort, nous remercie d’être venu lui rendre visite… Ce fût un plaisir Monsieur, de vous saluer en passant !

 

Dominique BERNERD

 


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Chantre du libéralisme, l’économiste et essayiste Nicolas BOUZOU était l’invité de l’assemblée territoriale de CERFRANCE BFC qui s’est tenue à Auxerre. Habitué des plateaux de télévision et des conférences-débat, il a pendant près de deux heures, captivé le public en délivrant sa vision sur le contexte économique actuel et les grands défis qui se présentent à nous… 

 

AUXERRE : Que l’on partage ou non les propos de l’orateur, il est une chose établie : l’homme ne manie pas la langue de bois. Quitte à appuyer parfois là où cela fait mal ou à faire fi de certains discours entendus : pénurie de matières premières (« on peut imaginer une surabondance de l’offre dans quelques années… »),  les problèmes des entreprises (« nombre de secteurs où les salaires sont trop bas et le management pas bon … » ; le chômage (« il faut aller plus loin en matière de réforme et rendre les indemnités dégressives au bout de douze mois… » ; le problème du pouvoir d’achat (« c’est en fait un problème de salaires… »).
A l’instar de tous les observateurs économiques, Nicolas BOUZOU pensait que l’on sortirait exsangue de la crise sanitaire. La réalité est toute autre, avec une croissance si forte que les facteurs de production ne peuvent plus suivre : « il y a un an, on aurait signé des deux mains pour un tel scénario ! ».

 

Toutes les problématiques vont finir par se résoudre…

 

Le résultat à ses yeux, d’une réelle protection de l’économie, particulièrement en France avec le « quoiqu’il en coûte » : « bien pensée et bien exécutée ». Avec à la clé un nombre d’emplois salariés en équivalent temps plein, supérieur à ce qu’il était avant la crise, mais           avec pour revers de la médaille, « une économie qui a redémarré trop rapidement, aujourd’hui en surchauffe et sur le point de s’arrêter faute de matières premières, de porte-containers et de gens dans les ports. On manque de tout ! ».

La conséquence aussi d’une pandémie qui a laissé des traces en matière d’organisation, mais pas question de s’alarmer pour autant : « cela va tellement bien se résoudre que l’on peut imaginer une surabondance de l’offre dans quelques années, notamment sur le marché des semi-conducteurs car on construit des usines partout… ».

Citant pour exemple les quarante usines de vaccins bâties en un an en Europe, signe de « la puissance économique de notre civilisation ».

 

 

S’ajuster au niveau des pays socio-démocrates scandinaves…

 

A contrario, Nicolas BOUZOU juge plus inquiétants les 3 à 5 % de personnes ayant quitté le monde du travail pendant la crise pour tenter de subvenir à leurs besoins par le chômage ou la solidarité : « on peut tourner le problème comme on veut, être aussi bien-pensant, aussi démago que l’on veut, il y a un réel souci ! ». Appelant à ce que chacun prenne sa part de responsabilité là où il a failli, que ce soit au niveau des entreprises, « il est des secteurs où les salaires sont trop bas et les managements pas bons » ou des pouvoirs publics, « en incitant les gens à suivre des formations correspondant aux besoins de l’économie et des entreprises ». Mais se déclarant partisan d’aller plus loin en matière de réforme de l’assurance chômage et de rendre dégressives les indemnités au bout de douze mois : « ce qui en termes de violence sociale, nous mettrait au niveau des pays sociaux-démocrates scandinaves. Ce qui n’est pas me semble-t-il, insoutenable, au regard de ce qui se fait dans le monde… »  

 

L’Etat français possède un gène dépensier extrêmement actif…

 

Parmi les grands défis de demain, celui visant le social, avec des salaires qui ne correspondent plus aux attentes nées de la crise et des espoirs engendrés par la relance : « les gens après un tel traumatisme, aspirent à vivre mieux. Il faut des augmentations de salaires, notamment pour les plus bas. Mais avec 1 % de croissance annuelle, ça ne passe pas, il faut au moins doubler et passer à 2 %... ». Et selon le directeur fondateur du cabinet d’analyses économiques ASTERES, outre les gains de productivité, faire que les gens travaillent plus nombreux et plus longtemps. Comme un petit air déjà entendu, de « travailler plus pour gagner plus »… 
L’ère inflationniste qui se profile, combinée à une hausse de la dette publique pourrait faire craindre le pire, mais par chance pour l’Etat, dans un contexte de taux d’intérêts très bas, voire à certains moments négatifs : « un truc de dingue ! L’explosion de l’endettement de l’Etat a amélioré sa situation financière ! Comme disait Napoléon, avoir de la chance à ce niveau-là, ça frise le génie ! ». Une dette qu’il faudra néanmoins rembourser et n’en déplaise au contexte pré-électoral, il faudra faire attention au carnet de chèques : « notre pays a un gène dépensier relativement actif ».



Le chèque inflation : une fausse bonne idée qui crée de l’inflation !

 

Si Nicolas BOUZOU préfère à une baisse des taxes sur le carburant, l’octroi d’un chèque de 100 € à une partie de la population, comme l’a annoncé la semaine dernière Jean CASTEX, « politiquement c’est astucieux, économiquement ça se défend… ». Gare aux effets pervers du système en cas de hausse inflationniste pérenne : « l‘Etat peut continuer chaque année à distribuer ainsi un bout de revenu pour compenser l’inflation, mais ce chèque est financé comment ? Par la dette, elle-même financée par les achats de la Banque Centrale. Avec pour impact de générer de l’inflation… ». C’est le serpent qui se mord la queue : « il ne faut surtout pas le dire aux Français pour ne pas les déprimer, mais avec un tel scénario, le chèque-inflation sera totalement absorbé par l’inflation qu’il aura lui-même créé ! ».

Autre enjeu à venir, celui de la décarbonation de l’économie, basée aujourd’hui encore, essentiellement sur les ressources fossiles. Avec pour objectif à l’échelle mondiale, de passer de 50 milliards de tonnes de CO2 émis annuellement, à zéro à l’horizon 2050. Misant pour cela plus sur un effort d’investissement que sur les seules économies d’énergie : « bien sûr qu’il faut de l’éolien, du photovoltaïque, de l’hydrolien, mais il faut avant tout garder le nucléaire, le développer et ne surtout pas le fermer. Vous ne pouvez pas imaginer plus absurde comme idée d’arrêter quelque chose qui marche, surtout si en plus vous pouvez le vendre à l’international ! ». Refusant toute idée de transition écologique qui passerait par une décroissance généralisée, source de baisse du PIB et des revenus : « mon sentiment est que les populations préféreraient le réchauffement politique aux conséquences sociales d’une telle politique… ».

 

 

 

Nouvelles technologies : la France est encore à la traîne…

 

La troisième révolution industrielle est en marche et s’est même vue accélérée par la crise que nous venons de traverser : biotechnologies, numérique, intelligence artificielle, robots font désormais partie de notre lot quotidien. Pour preuve l’usage renforcé du télétravail dans les entreprises depuis dix-huit mois. Mais la France reste à la traîne en matière de production de ces nouvelles technologies : « nous ne sommes pas bons ! Apple, Amazon, Google, Tesla, Spacex sont toutes des entreprises américaines même si ça nous agace ! ». Une défaillance d’autant plus regrettable selon Nicolas BOUZOU, dans ce contexte de nouvelle guerre froide entre Américains et Chinois, tirant plus sa substance sur la conquête technologique que sur le terrain militaire. Face à cela, deux stratégies pour l’Europe : « se laisser dériver et devenir un sous-traitant de ces deux pays ou tenter des « trucs » même si on a du retard, avec des secteurs comme l’hydrogène vert. Peut-être une idée d’avenir grâce au nucléaire, là où les Chinois en fabriquent encore avec du charbon… ». L’économiste et essayiste a sans nul doute déjà fait son choix !

           

Dominique BERNERD

 


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La genèse de ce projet date de plusieurs mois. C’est la résultante d’une fructueuse collaboration entre Côte d’Or Tourisme et la société de production « BBC Studios ». Après moult repérages, c’est donc le charme bucolique de la campagne verdoyante près de l’Abbaye de Fontenay qui a retenu l’intérêt des producteurs. L’émission « Top GEAR » s’est posée le temps d’un tournage en Bourgogne !

 

DIJON (Côte d’Or) : L’épisode comblera d’aise les aficionados de ce rendez-vous atypique de la télévision courant 2022. Mais, rien n’a encore filtré avec exactitude quant à la date précise de cette diffusion audiovisuelle.

Toujours est-il, que durant ces dernières quarante-huit heures, l’agence de développement touristique du territoire voisin, Côte d’Or Tourisme, a été aux petits soins pour accueillir les équipes de la célèbre émission faisant en règle générale de jolis scores d’audience sur RMC Découverte.

Il est vrai que le concept accueillant des people met en scène d’impressionnantes automobiles !

Différents repérages ont été réalisés dans la campagne de Côte d’Or par les équipes de la BBC Studios au cours de ces dernières semaines. Histoire de dénicher le lieu propice et insolite idéal pour le tournage de ce nouvel opus.

 

 

 

C’est finalement l’Abbaye de Fontenay et la route qui mène à Flavigny (la localité aux succulentes confiseries à base d’anis de renommée internationale !) qui figureront à l’affiche de ce rendez-vous motorisé plutôt musclé et spectaculaire !

La production a également coché parmi les autres points de chute pour y réaliser d’excellentes prises de vues le circuit de Dijon-Prenois. Naturel au vu des véhicules testés !

On a hâte d’ores et déjà de visionner cet épisode et de retrouver les pilotes d’un jour s’exercer au volant de ces beaux châssis sur les routes de Côte d’Or !

 

Thierry BRET

 

 


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