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Les activités des travaux publics découlent des programmes menés par les collectivités territoriales. A hauteur de 70 % ! Autant dire que les élus sont de précieux sésames en vue de l’obtention de nouveaux marchés. Mais, ces derniers doivent impérativement jouer le jeu. S’ils ne veulent pas mettre en péril les entreprises de la filière…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le message ne peut pas être plus limpide. Il émane de Vincent MARTIN, le président de la puissante Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté (FRTP).

Ce dernier n’a pas tardé à réagir aux récents propos du chef de l’Etat qui présentait les nouvelles annonces gouvernementales jeudi soir. Un ressenti qui se présente à double entrée.

D’une part, il y a la satisfaction du représentant patronal de pouvoir continuer à travailler malgré le troisième confinement élargi à l’ensemble de l’Hexagone. La filière ne sera pas impactée par les restrictions qui sont  imposées dans le cadre de la politique sécuritaire en matière de santé.

D’autre part, il y a le rassurement de toute la corporation, reconnue pour son utilité à la Nation. Il est vrai que les citoyens n’auront pas à souffrir de perte d’alimentation des foyers en eau et en énergie ou de l’absence de réseaux de communication.

Mais, l’essentiel du propos est ailleurs. Plutôt bien ciblé vers les représentants des collectivités territoriales.

 

 

Le plan de relance doit être mis en œuvre de manière rapide…

 

Alors que le secteur représente plus de 1 200 entreprises dans notre seule contrée (soit une déclinaison de plus de onze mille emplois), Vincent MARTIN appelle tous les élus à favoriser la commande publique. Le nerf de la guerre existentiel de cet édifice professionnel qui ne pourrait vivre sans.

D’autant que le plan « France Relance » voulu par l’Etat offre de réelles opportunités financières à la réalisation de projets et autres chantiers qui étaient en instance de décision avant la COVID.

Toutefois, souligne le patron de la filière, « la mise en œuvre de ce plan de relance sur notre territoire doit être rapide… ».C’est la condition sine qua non à sa réussite.

A ce titre, le président de la FRTP rappelle que « les préfets demeurent des partenaires indispensables pour le dynamisme de la commande publique… ».

Un message clair qui leur est également destiné. La FRTP ne peut pas être plus audible avec cette annonce…

 

Thierry BRET

 


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Des vents de force 9 souffleront peut-être aux oreilles des promoteurs de l’énergie éolienne d’ici peu. Le message adressé à leur intention par le porte-parole du Rassemblement National est sans équivoque ! Ils ne sont plus les bienvenus en Bourgogne Franche-Comté. L’élu exige qu’un moratoire en freine les possibilités d’implantation régionales…

 

JOIGNY : Le discours ne relève d’aucune ambiguïté possible quant à son interprétation. La tête de liste du RN pour les échéances régionales des 13 et 20 juin en Bourgogne Franche-Comté ne souhaite plus d’installation de nouveaux parcs éoliens sur le territoire.

Lors d’un récent déplacement dans l’Yonne, Julien ODOUL s’est entretenu avec les représentants des collectifs et associations anti-éoliennes qui opèrent sur le secteur de Joigny.   

Pour lui, « aucune implantation ne peut être justifiée ». Se présentant comme l’unique candidat à ces échéances régionales à vouloir rejeter le développement de l’éolien, le président du groupe RN au Conseil régional exige qu’un moratoire soit immédiatement décidé par la collectivité de Bourgogne Franche-Comté.

Non seulement le rejet de l’idéologie éolienne s’avère nécessaire dans l’intérêt du territoire, selon le candidat. Mais, en outre, son ambition est d’accompagner le démantèlement de l’ensemble des parcs éoliens déjà opérationnels dans la contrée ou autorisés à l’être.

« Le moment est venu de défendre un cadre de vie sans éoliennes dans cette région de l’Hexagone qui est la moins attractive et qui perd ses habitants, devait-il conclure.

Les promoteurs de l’éolien savent donc à quoi s’attendre si le Rassemblement national devait l’emporter fin juin. Ils ne seraient plus les bienvenus dans la région française la plus disposée à accueillir ces parcs.

 

Thierry BRET

 

 


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Le béton prêt à l’emploi est-il en passe d’être condamné à très court terme au profit du bois d’importation ? Au-delà de la crise sanitaire actuelle et de son impact négatif sur tout un pan de l’activité économique, les professionnels de cette filière des travaux publics s’inquiètent des sombres perspectives qui se présentent devant eux en 2021…

 

DIJON (Côte d’Or) : 2020 ne fut pas réellement une année porteuse d’optimisme. Mais que dire du nouvel exercice en cours ? Les inquiétudes persistent du côté de la filière béton. Une chose s’avère exacte : la corporation souffre et semble résignée.

L’an passé, l’UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) faisait état d’une perte de 10 % sur l’activité du béton prêt à l’emploi et d’une chute de 8 % pour les granulats.

Même avec les aides financières fournies par l’Etat dans le cadre du plan de relance, les entreprises ne devraient pas retrouver leurs niveaux de 2019 d’ici le mois de décembre.

Pourtant, la fédération régionale n’a pas encore enregistré de dépôts de bilan. Cela a été confirmé il y a peu par son président Christophe BAUDUIN.  Le secteur emploie près de trois mille cinq cents salariés. Une niche dans le monde si éclectique des travaux publics.

Cependant, les effets de la crise économique imputables à la COVID sont encore très vivaces dans les esprits.

Malgré un léger rebond survenu au troisième trimestre, 2020 aura sonné le glas de bon nombre d’espérances. La plupart des gros chantiers ont été stoppés net au plus fort de la crise avec la longue période de confinement qui s’en suivit et l’application des mesures de sécurité sanitaire très strictes.

 

 

RE 2020 et REP : mêmes orientations défavorables à la filière…

 

Tout n’est pas noir néanmoins. Il existe quelques perspectives heureuses en Bourgogne Franche-Comté avec de nouveaux chantiers à venir visant à améliorer l’état des routes nationales et de certaines voies ferroviaires. Des travaux qui intègrent les subsides du plan de relance territorial.

L’UNICEM prévoit au plan conjoncturel un sensible mieux en 2021. Il se traduirait par une infime progression de 0,5 % pour le béton prêt à l’emploi et de 4 % pour les granulats. On reste toutefois très loin des réalisations obtenues en 2019.

L’autre grand sujet de préoccupation qui perturbe Christophe BAUDUIN concerne la RE 2020 (Réglementation environnementale) et la REP pour le bâtiment (responsabilité élargie du producteur).

 

 

La RE 2020 à sa lecture approfondie ne joue pas en faveur du béton. Elle encourage les constructions à partir du bois. Quant à la REP, le consommateur risque de pâtir en bout de course des surcoûts liés au recyclage alors que les conditions sont de plus en plus drastiques pour la filière des matériaux de construction.

Enfin, l’envolée des prix de certains matériaux ne devraient pas favoriser les marchés.

D’où une source d’inquiétude supplémentaire pour le représentant de l’UNICEM Bourgogne Franche-Comté qui espère le retour de jours meilleurs...

 

Thierry BRET

 


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Il y a urgence à gérer au mieux la situation sanitaire. C’est une évidence digne de La PALICE, vu la tournure des évènements depuis quelques semaines. Pour autant, doit-on systématiquement préférer le principe de précaution à la prévention ? C’est ce que déplore la Confédération nationale de l’Artisanat des Métiers et des Services de Bourgogne Franche-Comté. L’organisme regrette les choix arbitraires du gouvernement. Privilégiant tels secteurs d’activité au détriment d’autres…

 

DIJON (Côte d’Or) : Commerce essentiel ou commerce non-essentiel ? La ligne de fracture entre ces deux variantes au plan étymologique est plutôt ténue. Et pas forcément compréhensible aux yeux des consommateurs totalement perturbés par le côté mille-feuille des nouvelles mesures. Encore moins de la part des organisations patronales.

La CNAMS (Confédération nationale de l’Artisanat des Métiers et des Services) de Bourgogne Franche-Comté vient précisément de le faire savoir par un communiqué de presse.

Elle déplore que l’on préfère à nouveau opter pour le principe de précaution à la prévention, regrettant que les instituts de beauté, les photographes, et tant d’autres corporations soient dans l’obligation de fermer leurs portes dans les régions concernées par un nouveau confinement… 

Un pseudo confinement, devrait-on dire par ailleurs, puisque le gouvernement laisse davantage de libertés aux concitoyens que nous sommes.

 

Inquiétude sur les conséquences psychologiques de demain…

 

Certes, l’organisme patronal qui regroupe aujourd’hui le plus grand nombre de professions artisanales et commerçantes (54 % des entreprises inscrites au répertoire des métiers soit près de 430 000 sociétés y sont adhérentes) se félicite que les salons de coiffure, les fleuristes, les cordonniers ou les garagistes restent ouverts.

Mais, tout naturellement, la CNAMS s’inquiète de l’avenir. Alors que depuis bientôt un an, des protocoles sanitaires capables de sécuriser les collaborateurs et leurs clients avaient été mis en place, ces nouvelles mesures administratives font amonceler de sombres nuages au-dessus des têtes des entrepreneurs.

Malgré les aides déployées par l’Etat, les conséquences sur la trésorerie de ces entreprises touchées de plein fouet par les effets gigognes de la crise seront inéluctables. Sans omettre évidemment les effets induits sur le moral de ces acteurs de l’économie et leurs salariés…

Pointant de l’index le niveau d’acceptabilité des contraintes liées à cette crise (il est à son maximum), la CNAMS souhaite le développement de mesures de prévention respectées et contrôlées afin de laisser ouverts commerces et activités pour que la vie l’emporte.

 

Epingler la politique défiante envers les commerces de proximité…

 

« Le développement des mesures sanitaires plus strictes et encadrées, leurs respects et leurs contrôles produiraient certainement de meilleurs résultats sur la lutte contre la propagation du virus…explique le texte adressé aux médias régionaux.

L’organisme, porte-étendard de 37 fédérations patronales, épingle en filigrane le gouvernement qui applique une politique défiante envers les activités et commerces de proximité (notamment les non-essentiels).

Ils représentent pourtant les préoccupations quotidiennes de nos concitoyens, ainsi que la raison de vivre et le moyen de subsistance de ceux qui y travaillent.

A bon entendeur et à méditer du côté de Matignon !

 

Thierry BRET

 


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Posséder l’idée géniale pouvant être exploitée au niveau professionnel, quoi de plus naturel en somme pour tout entrepreneur qui se respecte ! Mais, disposer des atouts nécessaires prenant la forme d’une manne financière suffisante pour en pérenniser les vertus sur un marché consumériste, en représente la subtile quintessence. Cette quête du Graal anime le fondateur de FINGERTIPS Alain TIXIER…

 

AUXERRE : Jusqu’au bout des doigts ! Traduction littérale de la locution anglaise, le nom de baptême de la SAS nivernaise portée depuis 2013 par son créateur Alain TIXIER ne doit rien au hasard.

Il suffit pour s’en persuader de suivre l’une des conférences que le chef d’entreprise donne en guise de présentation de son concept à un public très bien ciblé : celui de potentiels investisseurs.

C’était le cas il y a quelques jours encore dans l’Yonne à l’invitation de KUB (KICK UP BUSINESS) où le lauréat du Concours LEPINE (médaillé d’or pour son inventivité) a pu expliciter avec moult détails toutes les subtilités pratico-pratiques de sa dernière trouvaille. Le fameux coussin intelligent « VIKTOR » !

Curieux nom que celui-ci, en vérité. L’allusion à la source latine y est on ne peut plus évidente : « vicere » pour vaincre ! Mais, de manière plus affective de la part de son créateur, c’est aussi le clin d’œil sympathique d’un père pour son fils. Lui-même collaborant au projet, à l’instar de son frère Antoine, en qualité de « community manager ».

 

 

Un coussin aux multiples fonctions doué d’intelligence…

 

Le réseau d’investisseurs régional eut tout le loisir d’écouter les pérégrinations intellectuelles de cet ancien producteur dans l’événementiel qui vécut dans les années 80 une expérience professionnelle en qualité de laborantin chez PFIZER !

Aujourd’hui, il n’est plus question d’industrie chimique dans son existence ! Mais, bel et bien d’intelligence artificielle et de technologie avancée avec ce coussin qui se destine au bien-être et à la sécurité des seniors.

L’objet possède sur sa surface de grosses touches tactiles que l’on manœuvre juste du bout des doigts. En résulte ensuite un certain nombre de fonctionnalités qui offrent un programme musical à satiété, la diffusion de films, la lecture de plus de quatre mille heures d’ouvrages, la connexion vidéo avec la famille, la visualisation de photographies ou encore une série de jeux cognitifs.

 

 

Cerise sur le gâteau : des spectacles de théâtre et musicaux peuvent même y être diffusés en direct !

Bref, « VIKTOR » n’est donc pas un coussin ordinaire où viendrait s’alanguir et ronronner votre chat ! Il développe des applications et concepts novateurs pour les personnes en perte d’autonomie ou en situation de handicap.

Il fait également office de point de relais astucieux avec le personnel soignant. Connecté à un téléviseur usuel, « VIKTOR » sert d’interface utile et efficace en cas de besoin. S’y abonner deviendrait presque une impérieuse nécessité pour ses bénéficiaires à rembourser par la Sécurité sociale !

 

 

Une levée de fonds d’1,1 million d’euros pour booster le concept…

 

A ce jour, FINGERTIPS, toujours en phase de satellisation de son concept, a déjà commercialisé un millier de ces produits. Notamment auprès de groupes ayant la gestion de résidences services comme ARPAVIE.

Un devis est en cours d’analyse pour équiper plus de quatre-vingt résidences à l’échelle de l’Hexagone.

Sur un marché très porteur, celui du maintien à domicile et plus globalement la Silver Economie, la SAS abat aujourd’hui la carte de la levée de fonds pour renforcer son équipe de sept personnes : deux directeurs devraient être embauchés en 2021 ainsi que des commerciaux et des assistants.

L’ouverture à l’international est l’autre versant de ces priorités. L’Europe mais aussi le Canada, voire le Moyen-Orient sont dans le viseur d’Alain TIXIER qui espère concevoir cinq mille de ses coussins par mois dès que possible.

De facto, le chiffre d’affaires de la jeune entreprise s’envolerait pour s’établir selon le prévisionnel à 6,8 millions en 2024.

Aujourd’hui, la levée de fonds voulue équivaut à 1,1 million d’euros. Sachant que la plateforme de financement participatif SOWEFUND pourrait injecter 300 000 euros dans le projet et que les actionnaires originels de la société (SIDE Capital) ajouteraient une somme équivalente dans la corbeille de la mariée !

Quant au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et BPI, ils suivent l’évolution de cette levée de fonds avec grand intérêt, désireux eux-aussi d’abonder de leurs subsides dans le bon sens.

Pour mémoire, « Fingertips » fut aussi l’une des toutes premières chansons de l’artiste américain Stevie WONDER à atteindre les sommets de la popularité dès 1963. Un titre qui devait lancer sa carrière planétaire qu’Alain TIXIER devrait inclure à sa programmation musicale afin de lui porter chance…

 

Thierry BRET

 


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