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Il n’est pas content le numéro trois de la Région Bourgogne Franche-Comté ! Et il le fait largement savoir sur les réseaux sociaux et dans les médias ! Ecarté du repas républicain organisé lors de la visite du Premier ministre dans l’Yonne, un usage de la bienséance politique pourtant ô combien respecté d’ordinaire, l’élu de Joigny ne décolère pas après ce geste discourtois à son endroit. Désormais, c’est sûr : on ne l’y reprendra plus à l’avenir !

 

AUXERRE: La logique des choses n’aura donc pas été respectée. Pourtant, dieu sait qu’en matière de visite de chef d’Etat ou de déplacement d’un membre du gouvernement en province, le sacro-saint protocole à appliquer au cordeau avec le doigt sur la couture du pantalon est on ne peut plus employer avec rectitude !

L’usage que tous les élus des différentes collectivités accueillent aux côtés des parlementaires le ou les personnages, prétextes de la visite, se pratique sans l’once d’un problème, en temps normal.

De même, les agapes conviviales qui peuvent en découler après les séances de travail s’inscrivent dans une veine similaire. Une tradition qui est respectée à la lettre surtout quand le Premier ministre effectue un déplacement. Ce qui n’est pas chose courante dans le département de l’Yonne.

Peu importe alors les obédiences politiques et les querelles intestines que chacun peut avoir sur sa vision de tel ou tel dossier à appréhender en séance plénière : l’essentiel dans ces moments privilégiés est de participer comme l’aurait si bien dit Pierre de Coubertin et de profiter de ces instants pour échanger ses points de vue de manière constructive en les confrontant parfois. Ainsi est faite la démocratie. Celle que beaucoup nous envient. Voire nous combattent.

Or, l’épisode vécu par le maire-président du JOVINIEN Nicolas SORET est très regrettable. Navrant, même à plus d’un titre au plan de l’éthique. Quel que soit notre appartenance politique.

 

 

Circulez, il n’y a rien à voir Monsieur le conseiller régional !

  

Présent dès potron-minet au sein du cortège des nombreuses personnalités ayant suivi le périple matinal du premier des ministres, Nicolas SORET ne se doutait pas chemin faisant qu’il serait évincé sans crier gare du déjeuner républicain organisé juste après la sortie du CIR, le Comité interministériel aux Ruralités.   

Représentant pourtant la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY (au préalable prévue à ce déjeuner mais excusée entre-temps puisque retenue en séance à Dijon), le président de la Communauté de communes du JOVINIEN devait assister conformément à sa réservation à ce déjeuner.  

Or, l’intéressé s’est retrouvé gros jean comme devant, ne pouvant pénétrer dans le salon faisant office de lieu de réception : aucune place n’était réservée à son nom.

Il a d’ailleurs été répondu un peu plus tard au cabinet de la présidence de l’organe régional en quête d’explications crédibles que « Nicolas SORET était bel et bien inscrit sur les différents déplacements matinaux du Premier ministre mais pas prévu au déjeuner… ». A croire que l’élu de l’Yonne est à la diète et au régime sec ! Dont acte !

Surpris par cette éviction manquant carrément de courtoisie républicaine (il aurait suffi simplement de lui ajouter des couverts et un siège en plus des mets à déguster du jour concoctés par un traiteur local), Nicolas SORET quittera séance tenante l’assistance. Certainement, dans une colère noire !

Il devra se contenter d’un frugal repas (un sandwich avalé à son bureau sur le pouce !) avant de retourner au charbon dès l’ouverture du Congrès national des maires ruraux de France, accueilli à Villevallier.

 

 

Une mise à l’écart imputable à une bavure ou totalement volontaire ?

 

Choqués par la manière dont les choses se sont déroulées, le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD et le député de la première circonscription Guillaume LARRIVE, tous deux LR, ont fait savoir à l’élu socialiste de Joigny  qu’ils ne cautionnaient nullement le principe de cette mise à l’écart.

D’autant que beaucoup de choses se sont dites lors de ce déjeuner plus que de courtoisie.

A commencer par le financement de la rocade de contournement sud d’Auxerre. Opération budgétaire conséquente, on s’en doute, où la Région est appelée à soutenir de ses deniers à hauteur de 30 %.

D’où la réaction de Nicolas SORET un peu plus tard sur les réseaux sociaux : « L’Etat semble avoir manifestement un budget sans limite depuis quelques mois, capable de trouver, avant la présidentielle, des millions et des millions et des millions d’euros. A la différence de l’Etat, la Région, elle, comme toutes les collectivités, se doit de voter un budget en équilibre. L’exercice est donc beaucoup plus compliqué. Si l’Etat imagine pouvoir se passer de la Région pour boucler le financement du contournement sud d’Auxerre, dont acte. Le vice-président aux finances que je suis à plein d’idées pour réaffecter ces millions d’euros sur d’autres projets… ».

L’histoire n’est pas sans rappeler ce que vécurent les journalistes de la presse régionale lors de la visite du ministre en charge du Commerce extérieur et de l’attractivité Frank RIESTER à Chablis fin juillet.

Non seulement, la quasi-totalité d’entre eux ne furent pas conviés à la conférence de presse permettant de recueillir les déclarations ministérielles à propos de ce déplacement si important pour le monde viticole.

Mais en outre, il leur fut interdit de réaliser des prises de vues dans les vignes ; les clichés photographiques étant réservés à un seul et unique magazine de la presse people nationale ! Du jamais vu dans le monde médiatique !

 

Thierry BRET

 

 


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650 mètres carrés de superficie supplémentaire ! Un sérieux atout afin d’optimiser l’accueil de nouvelles formations. Celles se rapportant à deux métiers en tension : la chaudronnerie et la soudure. C’est l’enjeu de l’atelier flambant neuf qui prolongera l’un des bâtiments du Pôle Formation 58/89. Objectif : concentrer les moyens pédagogiques au service des industriels en évitant tout risque d’éparpillement…

 

AUXERRE : C’est une stratégie du gagnant/gagnant que développe avec la construction de ce nouvel édifice la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, en charge du Pôle Formation 58/89. Répondre aux besoins impératifs de recrutement des entreprises industrielles des deux départements limitrophes. Notamment sur des filières en extrême tension : la chaudronnerie et la soudure.

D’ici le printemps 2022 s’élèvera ce nouveau point d’ancrage des savoirs technologiques distillés sur le campus auxerrois. Le site comprendra des ateliers et des salles de cours. Afin de dispenser le meilleur de l’offre pédagogique, au bénéfice des entrepreneurs du cru.

Le coût de cet investissement n’excède pas le million d’euros. Une enveloppe budgétaire, certes importante, mais qui est intégralement financée par la Région. Via l’organisme « OPCO 2i », l’opérateur de compétences des chefs d’entreprise de la sphère industrielle, en charge des questions relatives à l’emploi, la formation et les ressources humaines.

 

Concentrer les moyens et les charges sur un lieu unique…

 

Un choix que justifie le délégué général de la Maison de l’Entreprise, Claude VAUCOULOUX.

« Il est illusoire de penser que l’on peut développer à l’envie des campus où se pratiquent de l’enseignement et des formations pour satisfaire des besoins territoriaux alors que la population n’est pas suffisante, observe-t-il, la densité industrielle de notre département n’est guère élevée et ne le permet pas. A l’identique de la densité de sa population. La solution pour répondre correctement à toutes les attentes des acteurs de l’économie est précisément de concentrer les moyens sur un lieu unique et déjà existant afin d’en réduire les charges… ».

Fort de ce constat, le responsable du Pôle Formation 58/89 a décidé de se doter de ces nouveaux outils pédagogiques à Auxerre.

 

 

A commencer par l’extension du site qui accueille d’ordinaire des apprenants de tous niveaux, du CAP au cursus d’ingénieur.

« Notre territoire mérite de pouvoir profiter du meilleur, ajoute-t-il, il nous fallait donc définir une stratégie répondant à cet objectif afin d’apporter l’excellence dans une logique industrielle où tout coûte cher ! ».

Une phrase revient en boucle dans ses propos : « Surtout, il ne faut pas prendre le risque de s’éparpiller en termes de moyens… ». D’où la concentration sur un lieu unique.

 

Etre le vivier des emplois industriels de demain…

 

D’ailleurs, au-delà de l’extension du bâtiment dont le chantier a débuté il y a déjà quelques semaines, la direction de l’organisme qui accueille en son sein l’IFAG et l’ITII ainsi que les représentations du MEDEF et de l’UIMM, réfléchit à l’opportunité d’un agrandissement. Celui de l’édifice qui fait face à l’entrée principale du site.  

Côté capacité foncière, le projet intègre le domaine du plausible avec la possibilité d’acquérir des friches pour concevoir sa réalisation.

Il y serait question d’installer les fondamentaux référentiels de l’usine 4.0 de demain afin de former des conducteurs de ligne, des techniciens de maintenance et de futurs ingénieurs. Des métiers qui font figure de denrée rare dans le paysage régional, en proie à une terrible pénurie de main d’œuvre qualifiée.

C’est tout l’enjeu de l’actuelle extension et du futur agrandissement. Une mission presque d’intérêt général que désire mener à bien la Maison de l’Entreprise…

 

Thierry BRET

 


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Admiratif de cet antre de l’excellence que représente le CIFA de l’Yonne en matière d’apprentissage, le président national des WORLDSKILLS France, Armel LE COMPAGNON (un patronyme tout à propos lorsque l’on vante les qualités émérites de l’artisanat !) est à Auxerre pour assister aux finales nationales qui se disputent deux jours durant dans la catégorie cuisine. L’un des fleurons du savoir-faire à la française parmi les 63 métiers engagés dans cette compétition…

 

AUXERRE: Conquis et convaincu par ce qui l’entoure, Armel LE COMPAGNON ! Le président de la vénérable institution des WORLDSKILLS France contemple avec émerveillement le cadre qui lui a permis de s’exprimer quelques minutes auparavant au pupitre, devant les représentants officiels. Le restaurant d’application du CIFA de l’Yonne : le Com’des Chefs.

« Ces installations sont incroyables, lâche-t-il avec gourmandise, je crois qu’en matière d’excellence, on ne peut pas trouver mieux pour organiser ces finales de cuisine 46ème du nom ! ».

Auxerre n’est donc pas dans l’œil du cyclone. Loin s’en faut ! Ou plutôt le site pédagogique que préside Michel TONNELLIER et que dirige Marcel FONTBONNE a reçu la grâce divine. Deux cents centres de formation, éparpillés aux quatre coins de l’Hexagone, étaient en lice, côté candidatures, pour accueillir les finales de cette compétition prestigieuse, qui a succédé aux Olympiades des Métiers.

Or, quarante-cinq seulement ont retenu l’intérêt du comité organisateur. C’est peu. Et parmi ceux-ci, le CIFA de l’Yonne à Auxerre, obtient un magnifique accessit. Excusez du peu !

 

 

La Bourgogne Franche-Comté accueille trois sites pour les finales nationales...

 

« Notre politique est d’aller au-devant des régions, précise le président LE COMPAGNON, afin de faire vivre les territoires. Cette année, la Bourgogne Franche-Comté a été récompensée avec trois sites qui ont été retenus pour recevoir ces épreuves. Besançon, Mâcon et Auxerre. Ce dernier pour les épreuves de cuisine. Il est important que les territoires puissent accompagner l'ensemble des politiques de développement de la formation professionnelle dans leur région… ».

L’Yonne possède de solides références en matière de gastronomie. Logique que la catégorie cuisine y soit sublimée par cette épreuve selon le président national.

« Vous savez, le niveau de chaque pays qui entre en compétition s’apprécie par sa qualité. En France, à l’instar de la boulangerie-pâtisserie, la  cuisine est très bien représentée en demeurant un vecteur d’intérêt auprès des jeunes générations… ».

Pour autant, Armel LE COMPAGNON est réaliste : il constate que le niveau, y compris à travers les classements des compétitions mondiales, dégringole de rencontres en épreuves.

 

 

Pourquoi ? « Parce que l’on ne change pas de modèle de formation professionnelle… ». La phrase ô combien pertinente est lâchée. Impitoyable pour les institutions ?

« Ici, dans ce CIFA à Auxerre, on trouve une direction et des encadrants qui s’investissent en voulant tout changer. Voilà le réel bonus de l’excellence ! ».

Pour cet acteur de la valorisation de cette filière artisanale qui peine néanmoins à trouver ses troupes pour assurer la relève, c’est simple : « Il faut passer de l’excellence à la très haute performance afin de continuer à progresser à l’échelle planétaire ».

Appelant de ses vœux à la mobilisation globale de l’ensemble des régions de l’Hexagone qui ont un rôle primordial à jouer sur ce chapitre.

« Je suis rassuré par les propos tenus par la vice-présidente Océane CHARRET-GODARD, ajoute-t-il, les mots qu’elle a prononcés résonnent vraiment bien aux oreilles de notre sphère professionnelle. Il y a une réelle volonté d’engagement… ».

Inquiet, en revanche de la crise observée dans l’emploi et le recrutement (12 000 postes sont à pourvoir à l’heure actuelle dans la filière de la restauration en vain), le visage d’Armel LE COMPAGNON s’assombrit.

« C’est général, renchérit-il, la problématique est la même pour les professions du BTP. C'est exactement la même chose dans l'industrie. Le métier de soudeur est devenu de la denrée rare. Notre rôle, en organisant de telles épreuves, est justement de faire en sorte que la lumière soit faite sur tous ces métiers, à la fois pour les jeunes, leur donner des horizons et leur donner les capacités de leur montrer les filières possibles. Sans oublier le coup de projecteur assuré sur les moyens techniques et numériques qui sont là pour leur donner ce qu'il y a de meilleur… ».

 

 

Doubler le nombre de titres pour intégrer le top 5 !

 

Pressé de vivre l’année 2024, synonyme d’accueil des Jeux olympiques de Paris et des WORLDSKILLS mondiaux, se déroulant à Lyon, Armel LE COMPAGNON n’en oublie pas les autres évènementiels prévus avant ces deux rendez-vous majeurs.

« Le président de la République Emmanuel MACRON nous a fixé des objectifs au niveau de ces épreuves internationales qui vont ponctuer 2022 (le concours international de Shanghai entre autres) : nous devons intégrer le top 5 ! Or, actuellement, nous n’occupons que la neuvième place des nations les plus médaillées à ces concours de l’excellence. Pour y parvenir, c’est simple : il nous faut doubler le nombre de titres ! ».

Un challenge que le président et ses équipes sont prêts à relever en mobilisant et rassemblant l’ensemble des acteurs de la formation professionnelle pour atteindre cet objectif. Envisageable ? Certainement, car comme chacun le sait : impossible n’est pas français !

 

Thierry BRET

 

 


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Le geste se situe bien au-delà des symboles. Ceux de l’altruisme, de la générosité, de cette solidarité sans borne qui caractérise le plus souvent le bien-fondé d’un club service. Douze mille euros. Ni plus, pas moins. Une somme rondelette dont bénéficie désormais le service hématologie du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon. Une obole conséquente, affectée à la recherche et à l’espérance. Celles des malades qui entrevoient la guérison au bout du tunnel…

 

DIJON (Côte d’Or) : Apporter son concours à une œuvre sociale, c’est la résultante d’une action menée tambour battant sur le terrain, ensemble et dans un esprit collectif, pour essayer de glaner les sommes nécessaires à sa réalisation.

Or, il est vrai qu’au vu de la configuration imputable à la pandémie de coronavirus, les opérations déclinées vers le grand public et leur sensibilisation à cette fameuse œuvre sociale se sont réduites à peau de chagrin depuis déjà une très longue période. Pas de soirée de gala officielle pourvoyeuse de gains appréciables ! Exit les habituelles manifestations populaires qui permettent de récolter des fonds indispensables au remplissage de la caisse dédiée ! Oubliées les animations ludiques qui nourrissent les bas de laine utiles lorsqu’ils sont redistribués à bon escient.

Bref : en un mot comme en cent, ce fut Waterloo morne plaine pour la plupart des clubs service qui interviennent sur l’Hexagone au nom du sacro-saint principe vertueux de l’entraide et de la solidarité. Un paradoxe alors que dans le même temps, et au vu de la conjoncture sanitaire et sociale, les besoins n’ont jamais été aussi importants.

 

 

Concrètement, comment ont-ils fait les membres du KIWANIS Club d’Auxerre en remettant un chèque de 12 000 euros au service hématologie du CHU de Dijon ? Ils ont tout bonnement puisé parmi leurs réserves. Certes,  celles-ci ne sont pas insondables. Mais, elles traduisent de l’efficience d’une structure associative qui a su, besogneuse, au fil des ans conserver une poire pour la soif et se garder de tout écart financier démesuré durant cette interminable période d’atermoiement.

Car mine de rien, il faut les posséder ces fameux douze mille euros dans sa cagnotte. D’autant que les clubs service, par coutume et éthique, ne bénéficient d’aucune subvention aux origines municipales…

Bien sûr : 12 000 euros dans la corbeille d’un centre hospitalier de l’envergure de celui de la capitale des ducs de Bourgogne ne représente qu’une modeste goutte d’eau dans un vaste océan à traverser avec son esquif pris dans les tourments de la tempête. Mais, c’est avec les petites rivières que l’ont fait les grands fleuves qui s’écoulent ensuite vers l’immensité de zones aquatiques navigables.

 

 

 

Tous les dons sont les bienvenus pour faire progresser la recherche…

 

 

Le geste du KIWANIS Club d’Auxerre n’a rien d’anodin. Surtout pas aux yeux du responsable du service concerné, le docteur CAILLOT. Car, le nerf de la guerre dans ce combat implacable contre ces maladies demeure…l’argent. Pour accroître les potentialités et les progrès de la recherche. Pour améliorer la qualité de vie des personnes traitées au quotidien dans cet immense complexe que représente le CHU. « Un don tel que vous le faites aujourd’hui nous est tout à fait bénéfique, ajouta le praticien, nous allons promouvoir ainsi nos recherches dans tous les compartiments de l’hématologie maligne… ».

Chiffres à l’appui, le spécialiste lâchera quelques données statistiques pour étayer ses propos. Des chiffres chargés d’optimisme afin de réinstaurer la confiance auprès de celles et de ceux qui souffrent. Parfois dans la solitude et en silence.

 

 

 

« En 1981, renchérit le thérapeute, il y avait moins de 5 % des personnes qui guérissaient de leucémies aigües. Aujourd’hui, la fourchette de guérison se situe entre 40 et 80 % selon les cas… ».

Des sommes astronomiques sont englouties dans la recherche, chaque année. Mais, ces investissements ne sont pas vains. Ils se traduisent par des succès progressifs sur l’adversité. Des victoires réelles, là où les causes semblaient perdues d’avance.

« Tous les dons sont donc les bienvenus, devait conclure avec optimisme le docteur CAILLOT au terme de sa prise de parole.

 

 

Près de 2 millions d’euros de dons reversés chaque année par le KIWANIS…

 

A l’initiative de ce don, Didier PHILIPON. Lui-même concerné par la pathologie.

« Je suis soigné depuis de nombreuses années dans ce service, explique-t-il, je ne peux que souligner la rigueur et le professionnalisme de ces soignants qui nous accompagnent… ».

Membre historique du KIWANIS Club d’Auxerre, l’entrepreneur auxerrois porte l’opération au sein de sa structure associative, bénéficiant du soutien de ses adhérents, dont Jean-François FINANCE, l’actuel président en tête.

Réaffirmant sa fierté de remettre ledit chèque au CHU, ce dernier a souligné l’adhésion totale du club et de ses membres à ce projet. Une action qui correspond pleinement au credo de l’association : « Servir les enfants du monde ». Même si les petits n’étaient guère concernés par les soins prodigués dans l’établissement de Côte d’Or, le docteur CAILLOT précisa que bon nombre d’adolescents et de jeunes adultes fréquentaient son service.

Lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Claude GUILLLEMOT rappela les contours de sa fonction, assimilable à celle d’un président de région. Il retraça un succinct historique du club service depuis ses origines centenaire aux Etats-Unis jusqu’à son implantation en France au début des années 60 (Metz fut la première ville française à accueillir un club en 1965).

 

 

Mouvement international rassemblant plus de 600 000 membres, le KIWANIS (nous construisons dans sa traduction littérale de ce terme de l’amérindien) comprend 230 clubs dans l’Hexagone pour environ 4 000 représentants.

S’en suivit une brève intervention de Joseph MATICOT, ancien gouverneur (président) national aujourd’hui à la tête du club satellite de Dijon. Ce dernier énuméra les actions majeures du mouvement ; des opérations internationales ayant une réelle portée médiatique comme le Tour des France des Jeunes, les baptêmes de l’air, Vaincre la mucoviscidose, les Colosses aux pieds d’argile.

L’une des actions, toujours d’actualité, ELIMINATE concerne l’éradication du tétanos néo-natal, pathologie lourde qui sévit dans les pays émergents. Précisons que le KIWANIS hexagonal dispose de sa propre fondation, rattachée à la Fondation de France. Chaque année, le mouvement composé de « personnes ordinaires pour des actions extraordinaires » comme il se définit verse près de deux millions d’euros aux œuvres sociales dont il est un généreux soutien.

En charge des PME, des start-up, de la recherche et des transferts technologiques, Marie-Hélène JUILLARD-RANDRIAN, vice-présidente de Dijon Métropole, exprimera toute sa satisfaction à être présente au moment de cette remise de chèque, porteuse d’espoir…Elle n’était pas la seule, visiblement…

 

Thierry BRET

 

 


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Objectif en ligne de mire : intégrer l’équipe de France des Métiers. Catégorie cuisine pour les huit jeunes prétendants à ce Graal suprême ! Oui mais voilà, là où les choses se corsent, c’est qu’il leur faudra beaucoup de pugnacité et de persévérance pour décrocher la timbale. D’autant que les finales nationales se déclinent en deux phases. La première d’entre elles se joue les 08 et 09 septembre à Auxerre dans le temple de l’excellence pédagogique : le CIFA…

 

AUXERRE : Etre sélectionné parmi l’équipe de France des Métiers de l’artisanat correspond à un symbole fort pour tout compétiteur qui s’y frotte les ailes. C’est représenter le savoir-faire séculaire de la tradition professionnelle tricolore à l’échelle de la planète.

Un exercice qui a su sourire par le passé à bon nombre de jeunes candidats ayant franchi successivement le Rubicon des étapes éliminatoires. Concourant dans l’un des 61 métiers représentés.

Départementales, au commencement du parcours. Puis, régionales en montant d’un cran au niveau de la poussée d’adrénaline. Nationales, enfin, pour espérer toucher de l’index la divine providence de la réussite comme Adam, le fameux personnage peint par Michel-Ange au plafond de la chapelle Sixtine du Vatican !

C’est donc bel et bien à un évènement hexagonal auquel nous assisterons deux jours durant au Centre de formation interprofessionnel d’Auxerre. Par le passé, le CIFA avait accueilli des sélections départementales et régionales d’épreuves aussi diverses que variées issues des Olympiades des Métiers ou des concours d’un des meilleurs apprentis de France. Mais, point de rendez-vous rassemblant la quintessence de l’apprentissage qui mène à la pratique des métiers de l’artisanat.

 

 

L’excellence de la cuisine accueillie au CIFA : une évidence !

 

Pour cette 46ème  compétition, l’établissement pédagogique auxerrois mettra à disposition des huit concurrents sa logistique humaine (un commis attribué à chaque candidat), matérielle avec ses fourneaux et démonstrative dans son restaurant d’application, le Com’des Chefs.

Répartis en deux groupes de quatre, les sélectionnables auront le choix de travailler à la conception d’un saucisson brioché et d’une préparation culinaire élaborée à partir d’un sandre (le module 1) ou d’une jambonnette de volaille, assortie de son dessert chocolaté pour le module 2.  

Bref : l’important sera de séduire un jury de professionnels tant dans l’aspect visuel et créativité de la recette qu’au niveau du goût et de la texture des aliments.

A l’issue de ces épreuves de la phase 1, chaque compétiteur se verra attribué une note qui représentera 50 % de la notation finale.

Sachant que la seconde phase de cette finale Cuisine se poursuivra dans la capitale de la gastronomie française : Lyon. La cité des Gaules a été choisie pour accueillir les épreuves internationales en 2023.

Auparavant, l’équipe de France des Métiers se frottera aux meilleurs européens à Saint-Pétersbourg en Russie du 16 au 20 août 2023. Certains auront le privilège de tutoyer les sommets mondiaux lors des épreuves internationales organisées du 12 au 17 octobre 2022 à Shanghai.

Les couleurs de la Bourgogne Franche-Comté seront défendues par le jeune Simon LEFEBVRE, titulaire d’un BTS Cuisine obtenu au lycée des métiers de l’hôtellerie Vauban à Auxerre.

 

 

 

 

En savoir plus :

 

La liste des candidats présents sur l’évènement des WORLDSKILLS ainsi que la répartition des groupes.

Groupe A :

-          Simon LEFEBVRE / Bourgogne Franche-Comté

-          Saïd SOUMAILA / PACA

-          Clarisse ARGOUT-LABBE / Nouvelle-Aquitaine

-          Lilian BAIL / Hauts-de-France

Groupe B :

-          Paul PIBARD / Bretagne

-          Mathieu Weiss / Ile-de-France

-          Lucas REMOND / Auvergne-Rhône-Alpes

-          Arthur LOUIS / Grand-Est

 

Thierry BRET

 


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