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Sur le papier, et avant de connaître en détail les éléments de la conférence de presse accueillie dans les locaux d’Aux R Green Lab, il y avait bien un réel point de convergence entre les deux élus. Celui du football et ses misères vécues par leurs clubs respectifs. D’un côté, Auxerre et sa descente en Ligue 2. De l’autre, la Berrichonne de Châteauroux, vouée aux limbes de la Nationale 2, voire pire encore ! Pourtant entre Crescent MARAULT et Gil AVEROUS, le courant, peut-être distillé par de l’hydrogène propre qui sait, est bien passé !

 

AUXERRE : Ils ont des visions communes sur l’avenir de leurs collectivités. Faisant étape dans la capitale de l’Yonne, énième pause de son grand tour de l’Hexagone effectué au titre de sa présidence de l’association des « Villes de France », l’édile de Châteauroux et président de la métropole castelroussine, Gil AVEROUS s’est dit conquis par « le patrimoine historique du cœur de ville » de la cité de Paul Bert.

Mais, au-delà de cette vision idyllique et enchanteresse de nos vieilles ruelles, chargées d’histoire, ce n’est pas en qualité de « touriste institutionnel » qu’est venu dans l’Yonne le responsable de cette entité fédérant des agglomérations de 10 à 100 000 habitants – leur nombre dépasse les deux cents à date dont Auxerre qui en est adhérente – devant tenir son congrès national le 06 et 07 juillet prochain au Creusot, l’emblématique localité de Saône-et-Loire, connue pour le rôle ancestral de la famille SCHNEIDER qui la fit rayonner et l’implantation du groupe FRAMATOME.

Que nenni ! C’est, entre autres, pour parler hydrogène et de son écosystème si spécifique qui aura permis à la ville icaunaise, en sa qualité de précurseur en la matière, d’entrer dans la « cour des grands ».

 

Le savoir-faire proposé par « HYNAMICS » donne satisfaction…

 

Crescent MARAULT et son homologue Gil AVEROUS – il est élu sous l’étiquette des Républicains – ont donc pris le temps de consacrer une visite approfondie et technique des installations de la station hydrogène, sise près de la pépinière d’entreprises de la chambre consulaire du commerce et de l’industrie, afin de mieux humer le savoir-faire du gestionnaire de ces lieux, « HYNAMICS », la filiale hydrogène d’EDF.

Rappelons que cette filiale, apparue en 2019 dans le paysage énergétique national n’a d’autres vocations que de proposer une offre d’hydrogène bas carbone performante destinée à l’industrie et la mobilité.

 

 

Convaincu par le concept qui offre un crédit hexagonal à l’initiative énergétique auxerroise, Gil AVEROUS en viendrait-il à copier le modèle icaunais pour mieux se l’approprier localement dans le cadre de la modernisation de son réseau de transport collectif ?

 

Six bus à hydrogène dans les rues de Châteauroux : c’est pour 2024 !

 

Sans doute, d’autant que l’alimentation des cinq bus auxerrois exploités par le réseau de transport urbain TRANSDEV a fait tilt dans l’esprit du président de « Villes de France » !

Dès 2021, la cité berrichonne s’interrogeait déjà sur le bien-fondé d’une telle alimentation énergétique destinée au fonctionnement de son réseau de transport urbain. Avec le projet avéré de mettre en circulation d’ici 2024 les six premiers bus du réseau, fonctionnant à l’hydrogène vert, à travers le concept « Hyber ».

Un projet nécessitant aussi une zone de production et de stockage, avec l’emploi d’une station hydrogène située sur le même site d’exploitation. Sans oublier le volet spécifique à la mobilité, vue par le prisme industriel Toute ressemblance avec ce qui a été créée brillamment à Auxerre est donc fortuite ! D’autant que le choix du constructeur de bus n’est autre que la société SAFRA, entreprise localisée à Albi – une agglomération qui est aussi membre de la structure « Villes de France » -, bien connue à Auxerre !

Il était donc logique que les pas du maire de la préfecture de l’Indre le mènent en toute logique sur les rives de l’Yonne, afin de mieux s’imprégner de la réalisation sortie de terre à Auxerre.

Une volonté que Gil AVEROUS a su partager avec son homologue Crescent MARAULT, de bénéficier lu aussi de cette énergie suscitant une réelle prise de conscience de la part des élus de l’Hexagone, une énergie qui profite d’un vaste plan de 7 milliards d’euros afin de construire une filière dans l’intervalle de la prochaine décennie.

 

Thierry BRET

 


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De retour à Auxerre dans le cadre des « Conversations de l’Abbaye », le cinéaste Jean-Paul RAPPENEAU a évoqué les souvenirs qui le lient à la ville qui l’a vu naître, émaillés de quelques anecdotes croustillantes sur ce monde du cinéma dont il est désormais une légende et l’un des doyens. Une soirée « Tout feu, tout flamme » pour conter le parcours de toute une vie, une « Vie de château » bien sûr !

 

AUXERRE: Le lycéen qui usait ses fonds de culotte sur les bancs du lycée Jacques-Amyot à la fin des années 40 se doutait-il que trois quarts de siècle plus tard, à quelques mètres de là, le réalisateur de légende qu’il était devenu, tiendrait conférence en l’Abbaye Saint-Germain pour y retracer le parcours d’un jeune Rastignac de province, fou de cinéma… ?

C’est au « Select », ancêtre du cinéma le « Paris », aujourd’hui disparu, situé dans la rue du même nom, que se tenaient les activités du premier ciné-club auxerrois. Un lieu où le jeune Jean-Paul se découvrit une vocation en découvrant « Citizen Kane », le chef d’œuvre d’Orson WELLES : « ce soir-là, en sortant de la salle, je me suis dit, « mais c’est ça que je veux faire ! ». Je ne suis pas le seul d’ailleurs, le grand Milos FORMAN a eu la même réaction… ».

Le cinéma « Familia », devenu aujourd’hui comme tant d’autres, un parking, fut aussi le lieu des premières émotions cinématographiques, avec au programme des films comme « Blanche Neige et les Sept nains », ou « Robin des Bois », avec le mythique Errol FLYNN : « et pour moi, pendant très longtemps, le cinéma, c’étaient des gens qui se battaient en duel à l’épée. En faisant « Cyrano », j’avais l’impression de revenir un peu dans la salle du « Familia »… ».

 

« Un garçon bien sage » qui fait tourner Liliane, un amour de jeunesse…

 

Le cinéaste faillit pourtant ne jamais voir le jour, Jean-Paul RAPPENEAU vouant dans sa prime jeunesse un amour pour le théâtre, notamment après la représentation d’une troupe de passage au « grand Casino » : « en 1942, j’y ai vu Hamlet avec ma sœur Colette et revenu à la maison, n’avais qu’une idée en tête, jouer la pièce devant les parents… ».

Puis vint l’envie du cinéma, mais de l’autre côté de la caméra, après avoir lu que Claude AUTANT-LARA recherchait un jeune acteur pour son film « Le blé en herbe » : « j’ai écrit, en disant que j’étais le personnage, mais n’ai jamais reçu de réponse… ». Et c’est tant mieux pour l’histoire du cinéma français qui y aurait beaucoup perdu sur le plan de la réalisation ! Dire que, imitant en cela le célèbre cinéaste autrichien Michael HANEKE, c’est pour « épater les filles », que le jeune Auxerrois fit ses premières armes derrière la caméra !

Plus exactement, celles du lycée Paul-Bert jouxtant celui de Jacques-Amyot, à l’époque (que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître !) où toute mixité était interdite. Et notamment une certaine « Liliane », dans ces années où une ruelle séparait les deux établissements : « il me fallait briser cette ligne pour franchir ce terrible passage et comme dans les petits films que je faisais alors, j’avais besoin de filles, cela m’obligeait à prendre contact avec celles d’en face… ».

Liliane, qui figure au générique de son premier court métrage tourné en 16 mm, « Un garçon bien sage » (sic !), élue des années plus tard lors d’une soirée à Joigny, « Miss Yonne » sans qu’il ne la revît jamais.

 

 

Quand Catherine DENEUVE marche pieds nus sur une abeille…

 

A l’aube des années 50, bac en poche, le jeune Auxerrois « monte » à Paris. L’époque des premières armes dans le cinéma en qualité d’assistant réalisateur et scénariste, mais aussi du premier film, réalisé en 1958, toujours en 16 mm, au nom prédestiné, « Chroniques provinciales ». L’époque également de la « Nouvelle Vague », sans pour autant que Jean-Paul RAPPENEAU s’inscrive dans ce mouvement qui comptait tant de noms devenus célèbres, de Jean-Luc GODARD à Claude CHABROL, en passant par François TRUFFAUT, Éric ROHMER ou Louis MALLE : « tous ces films de la Nouvelle Vague étaient alors projetés dans un petit cinéma de l’avenue Hoche à Paris et plus j’en voyais, plus je me disais que rien ne m’amusait ! Même si un film comme « Hiroshima, mon amour » me bouleversait, j’avais envie, moi qui ai toujours adoré la comédie américaine, de faire rire, c’était l’une de mes ambitions… ».

Un pari réussi, à en juger par le succès populaire de son premier long métrage, « La Vie de château », avec au générique des noms aussi prestigieux que Catherine DENEUVE, Philippe NOIRET ou Pierre BRASSEUR…Excusez du peu ! Un scénario et des personnages directement inspirés de l’histoire familiale et d’une maison occupée en partie par les Allemands : « Un étage seulement et ma mère disait fièrement, « quand je vois mes locataires (sic !), je ne les regarde même pas ! ». Ou l’on apprend également que Catherine DENEUVE, sur les conseils de sa sœur Françoise DORLEAC, jouait pieds nus, ce qui lui valut de marcher sur une abeille et d’interrompre le tournage à peine le premier coup de manivelle donné !

 

 

« C’est fou de raconter des histoires de famille… »…

 

En presque cinquante ans de carrière, « seulement » huit films au compteur pour le cinéaste Auxerrois, mais ne vous avisez pas à lui demander quel est son préféré : « c’est comme des enfants, on les aime tous ! Et comme il n’y en a que huit, manquerait plus que ça que je ne les aime pas ! ».

Avec pour réputation, de ciseler au mot près ses dialogues et d’être un artisan exigeant. Autant de qualités qui font les clés du succès, à en juger par l’adhésion du public, jamais démentie. L’homme est pudique et ne se livre pas facilement, surfant entre blagues et émotion : « c’est fou de raconter des histoires de famille, comme ça, ici, devant tout le monde… ».

Et tant pis si le micro se fait parfois baladeur, empêchant de capter tous les propos, ou si les réponses se font hasardeuses aux questions posées, parce que trop de blancs sur l’écran noir de la mémoire… La salle des conférences était comble ce soir-là à Saint-Germain et le public présent a fait un triomphe à l’enfant du pays. Peut-être même qu’en regardant bien, là-bas, tout au fond, assise au dernier rang, l’on pouvait y apercevoir Liliane, cachant ses larmes et offrant ses yeux de Chimène à celui qu’elle n’avait jamais oublié… Roxane avait enfin retrouvé son Cyrano !

 

 

Indiscrétions :

Dans le film « La Vie de château », jouait également la pétulante Mary MARQUET : « elle fut la dernière maîtresse d’Edmond ROSTAND, elle avait 17 ans à l’époque quand il mourut dans ses bras. On se lève et on applaudit… ».

 

« Finalement, on ne se rend pas compte à quel point j’ai passé plus de temps sur des films qui n’ont jamais vu le jour que de films arrivés à leur terme… Le cinéma français a des limites financières qu’on ne peut dépasser… ».

 

« Si les metteurs en scène ne sont pas amoureux des filles qui jouent dans leurs films, il faut faire autre chose… ».

 

Depuis la disparition de ses frères et sœurs, Jean-Paul RAPPENAU se fait rare à Auxerre. Il n’y était pas revenu depuis le tournage de son dernier film, « Belles Familles » en 2015. Ses interrogations en témoignent : « Le cinéma « Familia » existe toujours… ? Et la librairie STAUB… ? Et le grand bazar MAILLET ? » Il se murmure qu’il pourrait revenir prochainement pour y présenter l’ouvrage biographique retraçant sa vie, actuellement en cours d’écriture…

 

Dominique BERNERD

 


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Seraient-ils veinards les dirigeants du club de handball de la capitale de l’Yonne ? La fin de saison tenterait à le prouver ! Après la médaille de bronze glanée aux « Global Games » de Vichy pour certains de leurs représentants, membres de l’équipe nationale de sport adapté, c’est dans l’antre du Stade de France que Raphaël BESANCENOT, le président, a reçu le Trophée de l’Inclusion par le sport.

 

PARIS: Une fin de saison folle, folle, folle ! Remplie d’émotions et de réussite, autant d’éléments positifs qui font la joie des dirigeants du Handball Club Auxerrois, à commencer par le président Raphaël BESANCENOT !

Ce dernier était à Paris il y a quelques jours pour y recevoir une nouvelle récompense, le Trophée de l’Inclusion par le sport, un sésame décerné par l’Agence pour l’éducation par le sport et la fondation « L’Equipe ». Un prix honorifique qui a été remis dans les salons d’honneur du mythique Stade de France (et un, et deux et trois zéro !) en présence des représentants du COJO Paris 2024, les ministères des Sports et du Travail, des champions hexagonaux et des structures sportives en provenance des quatre coins du pays.

« Ces réussites et cette mise en lumière du club viennent récompenser la politique sportive ambitieuse, généreuse et novatrice du club, ainsi que le travail des bénévoles depuis une décennie, précise Raphaël BESANCENOT, un président heureux et fier de ses ouailles, elles mettent aussi en avant la réussite de nos partenariats et de nos collaborations. Ceci reste une étape ! ».

 

 

Un trophée qui fera l’objet d’une cérémonie officielle, assortie d’un cocktail des plus sympathiques, en présence des sportifs le mercredi 28 juin à 18h30 à DOMITYS rue des Montardoins à Auxerre.

Une fin de saison qui augure de belles prétentions et perspectives à l’aune de 2024 où le club reprend la formule olympique si caractéristique pour évoquer son avenir : « nous voulons voir plus haut, plus fort et plus loin ! ».

 

Thierry BRET

 

 


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Elle s’est exprimée avec beaucoup d’enthousiasme, Madame le maire de Chablis Marie-Josée VAILLANT. Normal, l’inauguration de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne, vécue ce jeudi en milieu de matinée devant un joli parterre d’invités, la concerne au premier chef. Surtout au niveau du rayonnement touristique qui découlera de cette infrastructure, mêlant judicieusement l’accord du patrimoine ancien à celui plus récent qui devrait interpeller les visiteurs à l’avenir…

 

CHABLIS : « C’est une vraie valeur ajoutée ! ». Invitée à prendre la parole lors de la cérémonie protocolaire de l’inauguration de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne, sise à Chablis – rappelons pour mémoire que le concept se décline en un triptyque très novateur pour la Bourgogne, tant à Beaune qu’à Mâcon -, Marie-Josée VAILLANT, successeur de Patrick GENDRAUD à la municipalité de Chablis, n’a pas modéré ses propos empreints de fierté de voir apparaître dans sa commune cette nouvelle pépite touristique consacrée à la vigne, au terroir et à ses produits, synonyme d’indéniable attractivité.

Un premier joyau, basé sur l’œnotourisme et sa promotion visuelle qui immanquablement devrait impacter à l’avenir la fréquentation du nombre de visiteurs dans la commune au nom universellement reconnu de par le monde.

« Faire rayonner le chablis et la Cité s’inscrit dorénavant parmi nos nouvelles priorités en matière de communication, devait ajouter l’édile sous les regards approbateurs des personnalités présentes à cet évènement, un rayonnement qui se traduira aussi par le développement économique de la localité… ».

Preuve à l’appui, l’élue de l’Yonne évoquera l’ouverture de nouveaux commerces sur son territoire communal, un fait « à l’opposé de bon nombres d’agglomérations qui constatent la perte de leurs vitrines de proximité ».

La Cité des Climats et Vins est un incontestable atout pour Chablis, reconnaît également la présidente de l’Office du tourisme Chablis Cure, Yonne et Tonnerrois. « On connaît tous la série « HPI », plaisante Marie-Josée VAILLANT, mais Chablis, c’est aussi une ville qui possède un haut potentiel touristique ! ».

 

 

Et comme un bonheur ne vient jamais seul – version cadeau de bienvenue à placer dans la corbeille de la mariée ! -, Marie-Josée VAILLANT devait annoncer que la communication de Chablis dédiée à son nouvel écrin touristique serait ciblée dès la première semaine de juillet dans le métro parisien. Plusieurs couloirs dudit mode de locomotion préféré des Parisiens (!) seront ainsi placardés d’affiches publicitaires vantant les mérites de la Bourgogne septentrionale, de ses vins et de ce nouvel espace qu’il est impérieux de visiter pour mieux en apprécier toutes les subtilités.

Une campagne de marketing basée sur le concept de « L’Yonne en Bourgogne » faisant halte dans différentes stations au doux nom d’Ancy-le-Franc, Tanlay, Chablis, etc. In fine, ce seront cinq affiches distinctes qui habilleront plusieurs couloirs du métro, formant ainsi une invitation sympathique à découvrir la « rame 89 » !

 

Thierry BRET

 

 


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Elle est toujours aussi communicative, la souriante présidente du MEDEF de l’Yonne Emmanuèle BONNEAU ! Profitant de la signature d’un partenariat avec la direction régionale de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire à Chablis, la responsable du syndicat patronal icaunais a confirmé la venue de la vice-présidente nationale à l’automne prochain à Auxerre. En effet, Dominique CARLAC’H, candidate à la succession de Geoffroy ROUX DE BEZIEUX ouvrira le bal de la nouvelle saison, le 07 septembre, invitée de la conférence économique de rentrée…

 

CHABLIS : Derrière une information, il s’en cache toujours une autre, c’est bien connu ! Un peu à la manière des trains qui se succèdent sur les voies ferroviaires du réseau SNCF !

Alors que le partenariat avec la direction régionale de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire se porte bien depuis 2022, son renouvellement, prétexte à une soirée de retrouvailles conviviales – La Chablisienne – agrémentées de paraphes apposés au bas de documents, aura été source d’une autre information intéressante pour les milieux économiques.

En effet, dans sa brève intervention orale, servant de liminaire à la soirée placée sous le signe de la découverte de la coopérative viticole du cru, Emmanuèle BONNEAU, présidente du MEDEF de l’Yonne, a évoqué la venue en septembre prochain de la vice-présidente nationale du puissant syndicat patronal de l’Hexagone : Dominique CARLAC’H.

 

 

 

 

Une vice-présidente du MEDEF en campagne hexagonale !

 

Une visite en septembre, à la date du 07, synonyme de prise de parole lors de la traditionnelle conférence économique de rentrée que se plaisent à décliner de manière factuelle Claude VAUCOULOUX, délégué général et ses équipes dans l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise.

Une visite que les observateurs de la chose économique ne manqueront pas de surveiller de très près : Dominique CARLAC’H est candidate à la présidence nationale de la vénérable institution patronale, une prétendante très sérieuse à la succession de Geoffroy ROUX DE BEZIEUX lors du vote le 06 juillet qui l’oppose à l’autre candidat, Patrick MARTIN

Le dernier déplacement de la cheffe d’entreprise dans l’Yonne date de la célébration de la remise de l’insigne de l’Ordre national du mérite à l’ancien président du MEDEF Yonne, Etienne CANO. C’était il y a tout juste un an à Auxerre ! C’est peut-être auréolé de sa nouvelle promotion en cas de victoire que l’ex-championne de France d’athlétisme du 400 mètres foulera le sol auxerrois !

 

Thierry BRET

 

 


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