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C’est sûr, face à un public de scolaires, de niveau collège, il aura vulgarisé à l’extrême ses propos afin de rendre le plus limpide possible ses explications, le géochimiste à l’IMPMC (Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmo-chimie) ! Chercheur à l’estampille du CNRS, de la Sorbonne et du Muséum national d’Histoire naturelle, le parrain de la 11ème édition de « Ramène ta Science » a passionné son jeune auditoire face aux mystères de l’immensité de la Création !

 

VENOY : Souriant et pédagogue, avec ça ! Le parrain-conférencier de l’opération pédagogique « Ramène ta Science », portée depuis maintenant onze ans par le Conseil départemental de l’Yonne, l’Education nationale et CANOPE, a su trouver les mots justes – tout en les adaptant – pour expliquer les origines de la vie à son jeune auditoire.

Ce brillant scientifique exerce ses activités (et sa passion) au sein de l’IMPCM, l’Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmo-chimie tout en fréquentant les laboratoires du CNRS et du Muséum national d’Histoire naturelle. Un personnage qui sait se mettre au niveau des scolaires pour leur inculquer la passion de la recherche et des sciences.

« Le message que je vais faire passer au public lors de ma conférence consacrée aux origines de la vie est que l’on n’en sait rien du tout, argumente-t-il, même si j’aborde les débuts du vivant, quelle est la manière dont cela aurait pu se passer et à quelle période à l’échelle du temps… ».

Bien sûr, l’orateur posera la question qui brûle sur toutes les lèvres de l’humanité depuis que l’homme est l’homme : sommes-nous les seuls dans l’univers ?

Un exercice que le géochimiste affectionne : « les questions que nous posent lors de ces interventions un public de collégiens nous permet d’avoir un regard nouveau sur notre discipline scientifique… ».

 

La vie sur Mars ? Toutes les conditions ont été réunies…

 

Sylvain BERNARD étayera ses propos en s’appuyant sur une somme de documents collectés çà et là sur la planète rouge, Mars. Il collabore à l’heure actuelle sur la mission d’exploration de la NASA.

« On cherche à savoir à l’aide d’un Rover si il y a eu de la vie ou pas sur Mars, ajoute-t-il le regard pétillant, aujourd’hui, nous sommes en quête de preuves mais tant qu’on a rien trouvé, on n’en sait rien ! Mais, potentiellement, toutes les conditions ont été réunies pour qu’il y ait de la vie sur cette planète un jour… ».

Une chose est certaine : les scientifiques n’ont pas tout compris encore à l’heure actuelle et que moult interrogations demeurent en suspens. De là à susciter des vocations et à faire de ces jeunes curieux de futurs collègues de l’orateur ? « Oui, pourquoi pas, plaisante-t-il.

 

Trouver des traces de vie parmi les roches anciennes…

 

Fier d’avoir été plébiscité en qualité de parrain, Sylvain BERNARD se dit ravi d’être membre du jury pour apprécier les travaux inventifs de ces collégiens, tout en accréditant le rôle précieux des enseignants.

Quant à la fonction de géochimiste, notre interlocuteur nous précise sa mission : « je suis géologue de formation à la base, mais aujourd’hui je m’intéresse aux traces de vie dans les roches, qu’elles soient anciennes sur Terre ou sur Mars, et je continue à travailler sur la mission de la NASA où il est très compliqué de prouver que le fruit de nos recherches sur les pierres martiennes ait été vivant un jour ou pas. Sachant que l’on s’intéresse à des microbes et à leurs fossiles présents dans ces roches… ».

Un travail besogneux de fourmi, on s’en doute, pour trouver tôt ou tard une trace de ces fameux Martiens qui, au-delà de notre imaginaire si fécond, s’ils existaient ne ressembleraient vraiment pas aux sempiternels « petits hommes verts » !

 

Thierry BRET

 


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Il ne regrette pas son choix, le paysan boulanger de Charny-Orée-de-Puisaye ! Depuis qu’il a validé son inscription sur la plateforme numérique, www.pourdebon.com, Fabien MARROY, de la Ferme du Bois RAMARD, a réalisé près de 1 800 transactions par ce biais. Soit l’équivalent de 10 % de son chiffre d’affaires mensuel. Au maximum de la crise sanitaire, ce chiffre s’élevait à 90 % !

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Géré par l’une des filiales du groupe La POSTE, le site www.pourdebon.com est chapeauté par GEOPOST et lui permet de livrer en sec, frais et surgelé, partout aux quatre coins de l’Hexagone plus de 20 000 produits en provenance de plus de 600 agriculteurs et artisans de notre pays. Apparu dans le paysage de la distribution il y a six ans déjà, cette plateforme de vente directe en circuit court rencontre un joli succès auprès des consommateurs français qui ne cesse de l’employer à bon escient. Les marchandises sont ainsi livrées à domicile via les services postaux, ce qui fait aujourd’hui de cette référence de la distribution un pré »cieux auxiliaire favorisant la valorisation des producteurs du terroir.

Aujourd’hui, en Bourgogne Franche-Comté, une vingtaine de producteurs agricoles et artisans ont recours à ses services pour assurer la commercialisation de leurs productions. C’est le cas de Fabien MARROY, paysan boulanger de Puisaye, qui est un fervent adepte de ce concept depuis 2019.

 

 

La vitrine en ligne lui offre l’opportunité de pouvoir écouler ses produits (des pains bio qu’il prépare avec les céréales issues de sa ferme) à travers la France.

« Cela m’est déjà arrivé de préparer une commande pour Nice, explique-t-il amusé, elle est partie à 13 heures et elle est arrivée le lendemain sur la Côte d’Azur à 8 heures ! ».

Une manière peu académique mais réussie de pouvoir déguster une brioche bio faite maison les pieds dans l’eau, au bord de la Grande Bleue !

 

Thierry BRET

 


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Cadets de la Gendarmerie nationale, Habitat et Humanisme, Jeune Chambre Economique, Maison des Jumelages et de la Francophonie, Club Mob…la secrétaire d’Etat en charge de la Citoyenneté Sonia BACKES n’a eu que l’embarras du choix pour nourrir ses échanges avec les représentants du milieu associatif, visité par ses soins, en cette journée dominicale vécue dans l’Auxerrois…

 

AUXERRE: Forcément, ce fut un moment privilégié pour les membres de plusieurs associations qui agissent au quotidien sur ce bassin géographique du centre de l’Yonne. Chacun des participants aura pu faire la promotion de son organe associatif, afin de le présenter dans le moindre détail à une représentante du gouvernement, très attentive aux propos entendus.

Chargée de la Citoyenneté auprès du ministre de l’Intérieur, la secrétaire d’Etat, originaire de Nouvelle-Calédonie, Sonia BACKES a pu ainsi discuter à bâton rompu avec plusieurs figures de la vie associative locale, lors de cet atelier discussion, proposé une fois n’est pas coutume un dimanche après-midi ! Comme quoi, même en plein aqueduc de l’Ascension, ça bosse !

Ainsi, elle a pu faire plus ample connaissance avec Marité CATHERIN, présidente de la Maison des Jumelages et de la Francophonie – on peut aussi y ajouter les échanges internationaux ! -, Jacques BLANCHOT qui défendait, bien loin de sa représentation légitime habituelle de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, les couleurs des Cadets de la Gendarmerie nationale en sa qualité de colonel de réserve, du toujours très dynamique Alain BERNIER pour le Club Mob installé sur la commune de Gurgy, chère à son maire Jean-Luc LIVERNEAUX, de Jacques HOJLO qui représentait Emeraude, d’Adrien BAILLY et de Laurent DEVELLE, de « purs produits » de la JCE, la Jeune Chambre Economique, de l'Auxerrois Abdelazziz HAJJI, président de la structure AUXERREVICE des Démunis, etc.

On doit cette rencontre informelle fort enrichissante au président départemental de la formation politique présidentielle, « Renaissance 89 », Victor ALBRECHT et la réussite de ce dialogue constructif à bien des égards. Rendons à César ce qui lui appartient !

 

Thierry BRET

 


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Cela fait froid dans le dos. Une succession de renseignements très précieux, énoncés par une spécialiste - et pour cause puisque l’oratrice exerce le métier d’hydro-climatologue au CNRS – qui inonde l’hémicycle du Conseil départemental comme une vague sans fond. Le tableau est quasi apocalyptique pour le bassin méditerranéen et l’Hexagone, en particulier. Si les prévisions du GIEC se confirment à horizon 2050, les trois degrés supplémentaires que nous aurions à subir pourrait engendrer des sécheresses pluriannuelles de près de dix ans…Consternation.

 

AUXERRE : Il est de ces lundis qui permettent de débuter la semaine sur les chapeaux de roue avec un élan d’optimisme accru à faire trembler les montagnes ! De ceux qui vous donnent des ailes dans le dos à grand coup d’adrénaline sans même le moindre zéphyr pour vous porter vers les sommets et son nirvana ! Bref, avoir la baraka avec soi pour que les choses autour de votre existence bougent enfin, sans y mettre de limites. Pessimistes patentés, s’abstenir !

Or, à l’écoute de l’excellent exposé de l’hydro-climatologue du CNRS et présidente du Comité scientifique du bassin Seine-Normandie, Florence HABETS – l’oratrice intervenait en ouverture des débats de la première grande conférence sur l’eau et son avenir concoctée à l’initiative de la préfecture de l’Yonne ce lundi -, on ne peut que modérer singulièrement nos ardeurs et faire table rase de ces bouffées d’allégresse euphorisantes de début de semaine !

La planète va mal. Très mal, à cause du réchauffement climatique et de ses impacts inéluctables sur ce précieux élément liquide, source de vie : l’eau.

Durant trois quarts d’heure, et dans un souci de transparence et de vulgarisation absolue face à un public d’institutionnels et d’élus au préalablement sélectionnés, la scientifique s’est fendue d’une explication de texte à donner des frissons le long de la colonne vertébrale. Et là, malheureusement, ce n’est pas le contenu d’un scénario issu d’une production américaine qui se dévoilerait images à l’appui sur l’écran blanc du festival de Cannes.

 

Une accélération des sécheresses pluriannuelles à dix ans !

 

Si rien ne change – mais n’est-il pas déjà trop tard lorsque l’on se prend en pleine face autant d’éléments négatifs qui confortent l’accélération de ce processus qui semble irréversible -, l’humanité, toute entière, court à sa perte.

L’eau douce, cet ingrédient liquide indispensable à toute existence, s’amenuise au niveau de ses ressources et de ses nappes phréatiques. Mais, cela ne semble pas émouvoir 37 % de nos compatriotes qui ne se sentent absolument pas préoccupés par un tel sujet. En Bourgogne Franche-Comté, c’est encore pire : 50 % de ses habitants ne croient même pas à la théorie du réchauffement climatique selon une enquête qui fut présentée il y a quelques mois à Migennes par VEOLIA.

Pourtant, si l’on s’en réfère aux données statistiques développées par Florence HABETS lors de sa prise de parole dans l’hémicycle archi-comble – 110 personnes – de la Pyramide qui accueille d’ordinaire les travaux du Conseil départemental de l’Yonne, il y a péril en la demeure.

 

 

Car si l’eau vient à manquer – un comble alors que les épisodes d’intenses pluies vont se multiplier à l’avenir -, la planète connaîtra d’importantes sécheresses, non plus de quelques semaines ou de quelques mois (encore moins hivernales) mais définies désormais comme pluri-annelles pouvant s’étendre sur près d’une décennie si la hausse des températures excédait les 3 à 4 degrés !

Le fondement même de la prospective lancée par le gouvernement ces jours-ci pour savoir si le pays est prêt à faire face à ces échéances désastreuses pour l’environnement et l’humain d’ici 2100.

Or, 2100, c’est demain ! Sachant que d’ici 2030/2035, l’élévation de la température gagnerait déjà presque deux degrés…

 

« Le pire n’est jamais sûr » : la formule pour détendre l’atmosphère…

 

Peut-on imaginer raisonnablement que la France, la Bourgogne et l’ensemble des régions de l’Hexagone subissent des périodes de sécheresse devant durer dix ans, voire plus ! Dans un pays qui compte environ 600 000 plans d’eau dont 80 % sont artificiels pour 4 550 km2 de surface…mais où le poids de l’homme sur la diminution drastique du débit de l’eau est indéniable chaque année, à hauteur de 20 % du fait de ses activités professionnelles, industrielles et agricoles.

Essayant de détendre l’atmosphère quelque peu suffocante après de telles révélations – c’est vrai, il faisait très chaud dans l’hémicycle après une heure de débat ! -, l’excellent Denis CHEISSOUX, esthète en la matière sur les questions environnementales grâce à son émission radiophonique diffusée sur France Inter (« Co2 mon amour ») rappela de manière philosophique que « le pire n’est jamais sûr ! ».

Une formule sémantique qui aura peut-être apporté un peu d’oxygène à celles et à ceux des membres de cet auditoire qui en manquaient manifestement et qui ne pouvaient qu’observer une situation, ne semblant pas s’inverser dans le temps.

 

 

Changer de logiciel en soutenant les initiatives : la solution ?

 

Si 80 % des espèces constituant la biodiversité aquatique ont déjà été rayées du globe du fait de cette hausse du climat et de la raréfaction des zones humides, que restera-t-il de l’humanité si le curseur ne change pas ?

Florence HABETS a tenté d’esquisser une réponse, mettant en avant le sens de d’adaptabilité de l’humain devant de tels enjeux. « Il faut se battre pour préserver l’eau et surtout ne pas la gaspiller, soulignera-t-elle, cela repose sur un tiers de changement comportemental de ses utilisateurs, un tiers d’apport de nouvelles solutions techniques et d’aides pratiques, et un tiers de réglementation à légiférer pour que cesse les abus autour de l’eau ».

Puis, en conclusion, de rajouter : « changer de logiciel en soutenant toutes les initiatives allant dans le bon sens sera sans doute la solution… ».

Plus facile à dire qu’à faire dans le concret, en vérité ! Mais, éviter la fin de la civilisation qui nous guette ne passe-t-il pas par des sacrifices et des efforts collectifs pour y parvenir ?

Moralité : c’était bien un excellent lundi pour se gaver de dynamisme et d’optimisme à revendre face aux enjeux de demain !

 

Thierry BRET

 


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Programmée tous les jours de la semaine, accueillie à la Conciergerie, l’exposition, présentée par le Centre des monuments nationaux, mérite l’attention. Notamment chez les férus de bonne chère, épicuriens dans l’âme. L’art culinaire est mis à l’honneur à travers les siècles ; logique que Paris qui possède de belles références en la matière s’en fasse l’écho auprès d’un large public…

 

PARIS : Et depuis nos gares de Bercy ou de Lyon, le bus 87 s'arrête à deux cents mètres de la Conciergerie ! Une exposition aussi intéressante qu'émouvante, et fort bien illustrée. Au détour d'antiques menus de brasseries et autres, on peut y voir mentionner les vins de Joigny ou ceux de Chably.....ainsi orthographié.

La carte gastronomique de la France nous promène un peu partout sur le territoire.  Paron y est même évoqué pour ses galettes ! Sens pour ses jambons et févettes ?

Ne loupez pas l'excellente vidéo sur l'œuf mayo, tourné au bar à vins « Le Griffonnier », une emblématique enseigne de la capitale !

Cette exposition peut contribuer à conforter tout un chacun dans la reconnaissance de notre pays et de ses valeurs spécifiques. Il est dommage que l'école publique, par un regrettable dogmatisme, néglige cet aspect depuis des lustres. Un peu comme si aimer son pays était considéré comme une valeur honteuse et totalement  surannée… 

 

 

En savoir plus :

« Paris, capitale de la Gastronomie »

A la Conciergerie jusqu’au 16 juillet 2023

Tous les jours de 09h30 à 18 heures, le samedi jusqu’à 20 heures.

Entrée : 11,50 euros.

Renseignements : conciergerie.monuments-nationaux.fr


Gauthier PAJONA

 

 

 


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