Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La voix du personnage est connue de beaucoup. Il est vrai que cet homme-orchestre de l’économie et de la presse – il possède les statuts d’éditorialiste, de journaliste, de chroniqueur audiovisuel, d’écrivain, de chef d’entreprise et de facto de conférencier ! – s’est imposé au fil des années comme un touche-à-tout expert de notre société et de ses maux. Le 26 janvier à l’occasion de la cérémonie des vœux délivrés au monde économique, Pascal PERRI se présentera face au public sur l’estrade de la Maison de l’Entreprise à Auxerre. Invité par Claude VAUCOULOUX…

 

AUXERRE : C’est le rendez-vous incontournable de tous les aficionados de la vie économique de notre territoire. Une excellente manière de laisser derrière soi la sempiternelle trêve des confiseurs, identifiée par les fêtes de Noël et du Nouvel An, et de plonger la tête la première dans l’allégresse enthousiasmante du futur exercice de douze mois qui débute, à force de grandes résolutions.

La Maison de l’Entreprise de l’Yonne, via les instances syndicales patronales qui l’habitent (UIMM, MEDEF), est devenue au fil de l’eau qui coule sous les ponts une esthète en la matière, côté évènementiel qui passionne les foules. En priorité, celles des décideurs !

 

Le mouvement vert : le refuge des nouvelles causes de l’antitout ?

 

Après Luc FERRY, Jean-Michel APATHIE, Yves THREARD, Nicolas BOUZOU  ou Philippe DESSERTINE – cet économiste hors pair reviendra d’ailleurs de nouveau sur le territoire de l’Yonne le 04 novembre prochain pour y évoquer « le monde de demain » lors de l’assemblée générale de CERFRANCE à Auxerre -, c’est au tour d’un autre de ces « spécimens » passionnants de l’intellectualisme parisien qui viendra nous présenter sa vision de la société et de ses illogismes.

Pascal PERRI a publié en 2021 son dernier ouvrage, « Le Péril Vert » aux éditions de l’Archipel. Un opus de belle facture qui s’inscrit dans la veine épistolaire que ses précédents écrits qui eurent de bons échos dans le sérail des informés. On peut citer pour mémoire : « Les impôts pour les nuls » (2014), « L’écologie contre la démocratie » (2016) ou « Retraites, la dernière chance : la réforme ou le chaos » (2018).

Que dit ce livre ? L’auteur nous interpelle sur ce mouvement vert qui constitue en définitive une sorte de refuge pour les nouvelles causes : anti-spécisme, féminisme intersectionnel, combats anti-OGM, anti-chasse, anti-nucléaire, anti-transport aérien… bref, antitout et surtout anticapitalisme !

 

 

 

« Nos libertés sont-elles menacées par les radicaux de l’écologie ? »…

 

Pour Pascal PERRI, « le progrès, pour certains de ces militants, est une idéologie pernicieuse. Tous ont en commun de dénoncer l’économie de marché. Tous considèrent que l’homme est coupable de piller les ressources de la Terre. Tous défendent le sur-place, voire la décroissance et le repli. En cela, le « péril vert » n’est pas un fantasme. Les dirigeants écologistes français entendent imposer, y compris par la contrainte, des comportements conformes aux intérêts supérieurs de la nature. Mais sur quelles preuves scientifiques se fondent-ils ? Et s’ils arrivaient au pouvoir ? À quoi ressemblerait la société du rationnement qu’ils mettraient en place au nom d’objectifs utopiques et contestables ? Nos libertés sont-elles déjà menacées par les radicaux de l’écologie ? Et que dire de celle d’entreprendre ? Le sujet paraît en tout cas bien trop grave pour qu’on le laisse à la seule main de cette « écologie-là »… ».

On l’aura compris, au détour des questionnements de l’homme de presse, le conférencier devrait mettre en lumière devant un public attentif les aberrations écologiques actuelles tout en réaffirmant que le monde a grandement besoin, sans conteste d’écologie, mais aussi des sciences, des technologies, de la recherche et de l’innovation ; le tout mis au service d’une politique environnementale éducative, non punitive et socialement acceptable par tous.

Rendez-vous est d’ores et déjà pris le 26 janvier 2023 en fin d’après-midi à la Maison de l’Entreprise à Auxerre…

 

En savoir plus :

Cérémonie des vœux au monde économique de l’Yonne.

Le 26 janvier 2023 à la Maison de l’Entreprise à Auxerre à 18 heures.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il a beau côtoyer de très près les membres du gouvernement, lors de ses pérégrinations professionnelles dans la capitale de l’Hexagone – à l’instar du Ministre de la Transition écologique en charge des transports, Jean-Baptiste DJEBBARI  - le président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté n’est pas un adepte de la langue de bois ! Pour éviter un scénario noir qui se profile à l’horizon en défaveur de la filière, il demande à l’Etat d’intervenir auprès des collectivités locales pour qu’elles puissent mieux affronter les dérives inflationnistes du moment…

 

BESANCON (Doubs) : C’est une partie de billard à deux bandes qui se joue à l’heure actuelle dans l’Hexagone. Elle est soutenue mordicus par le toujours très médiatique président de la Fédération Régionale des Travaux Publics (FRTP) de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN.

Ce dernier en appelle à l’Etat pour qu’il accompagne les collectivités locales dans la neutralisation de l’inflation. Logique, car si accompagnement actif il y avait de la part de la gouvernance, cela permettrait à ces dernières de pouvoir mieux affronter la vertigineuse envolée de l’inflation, surtout celle qui s’applique à leurs coûts de fonctionnement.

Un sérieux sujet d’inquiétude pour les acteurs de la filière des Travaux Publics qui craignent une chute abyssale de l’investissement local en 2023. La résultante ne se ferait pas attendre avec le décrochage de l’activité, pouvant jusqu’à menacer l’existence des entreprises et la survie des emplois.

 

60 % de dépendance du chiffre d’affaires de la filière à la commande publique…

 

Vincent MARTIN est on ne peut plus explicite dans ses arguments qu’il a fait connaître par le biais d’un communiqué de presse : « le chiffre d’affaires de notre secteur d’activité dépend pour près de plus de 60 % de la commande publique, explique-t-il, en particulier du bloc communal, intercommunal et départemental… ».

L’inquiétude est donc très vive pour la filière qui emploie, rappelons-le pour la contrée, plus de onze mille salariés accueillis dans mille cent entreprises avec un chiffre d’affaires réalisé à la clé flirtant les deux milliards d’euros.

La source du tourment venant éprouver le charismatique leader régional de la FRTP repose sur la décision du gouvernement de ne pas indexer la dotation globale de fonctionnement (la fameuse DGF) sur l’inflation. Moyennant quoi, cela revient à amputer très sérieusement les ressources des collectivités locales en 2023, et de réduire par un effet gigogne implacable leur besoin en réalisations d’infrastructures, synonymes de chantiers !

 

 

« Or, la précédente baisse des ressources imposée par l’Etat, entre 2013 et 2016, de l’ordre de 11,5 milliards d’euros aura fait chuter l’investissement local de 18 %, et celle de l’activité des travaux publics de 20 % ! ».

Un scénario funeste que ne souhaite pas revivre le président de la puissante fédération régionale. En outre, la décision de l’exécutif tombe comme un cheveu dans la soupe car l’année 2023 correspond à la période de mi-mandat municipal, traditionnellement favorable à l’engagement de nombreux projets.

 

 

Une transition énergétique mise à mal par l’envolée des prix…

 

Autre signe de désagrément : la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). La profession craint que ce nouvel objectif ne vienne grever l’investissement local dans certains territoires ruraux et péri-urbains.

Reste la transition énergétique – au moment où le secteur est également frappé de plein fouet par les restrictions de carburant imputables aux mouvements sociaux dans les raffineries - : celle-ci, souligne Vincent MARTIN, « nécessite au premier chef le concours des collectivités locales pour réaliser des investissements de proximité sur l’ensemble du territoire ».

Si la hausse des coûts de ces produits énergétiques se poursuit – cela en prend allègrement le chemin ! – cela risque, là-aussi, de freiner les capacités d’investissement des élus locaux dans les années à venir.

« De notre côté, rappelle Vincent MARTIN, les entreprises de travaux publics continuent de s’engager avec détermination et responsabilité dans la transition énergétique. Mais, comment faire face à l’inflation et à la baisse des ressources des collectivités locales pour y parvenir ? ».

Il y a donc urgence à trouver des solutions pérennes afin de préserver le secteur. La FRTP a sa petite idée sur la question.

« Il faut que l’Etat propose des incitations fortes à l’investissement local, en particulier, la réintégration des opérations d’aménagement dans l’assiette du FCTVA et son élargissement aux travaux de sécurisation des ouvrages d’art, le déploiement rapide des crédits de paiement du « fonds vert », l’harmonisation des calendriers d’attribution de la DETR et de la DSIL, ainsi que la simplification de leurs critères d’instruction, l’actualisation des montants d’attribution pour tenir compte de l’inflation et le report des crédits non consommés sur l’année suivante… ».

Avant qu’il n’y ait réellement péril en la demeure pour la filière des Travaux Publics en France, Vincent MARTIN agit avec sa fédération en espérant des réponses concrètes et rapides de l’Etat.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le Gâtinais est un micro-terroir  commun à l'Yonne, la Seine-et-Marne, mais aussi le proche Loiret. Bienvenue dans la Venise du Gâtinais, le pays des véritables « Praslines MAZET » de surcroît, bienvenue à Montargis, où proche de la gare, l'hôtel-restaurant « La GLOIRE » se dresse avec une certaine élégance…

 

MONTARGIS (Loiret) : Dans les années 70, un couple de restaurateurs quitte leur relais routier pour se tourner vers une cuisine plus gastronomique en acquérant l'établissement. L'un de leurs apprentis, Jean-Claude MARTIN, leur succéda, après avoir épousé leur fille !

Avant cela, le jeune Jean-Claude fut parisien, chez LEDOYEN, précisément, sous la férule de Guy LEGAY, un chef exigeant et truculent (Guy a écrit récemment un petit ouvrage à propos des  sauces que je vous conseille !).  Le chef MARTIN fit du homard son cheval de bataille culinaire, et longtemps brilla au fronton de l'établissement une étoile Michelin des plus réputées. Désormais, tant en cuisine qu'en salle, c'est la génération suivante qui est aux affaires !

 

 

On doit pouvoir se mettre à table au-delà de 13 heures !

 

De pousser la porte de ce restaurant revêt un côté un brin rassérénant, et l'on s'y sent bien. La musique d'ambiance est aux ordres des PLATTERS (« You are my destiny) avant de succomber dans les années 80, aux charmes de la jolie Sophie MARCEAU, qui alors adolescente, flirtait au son de « Dream » - gros succès de ces années-là ! - lors d'un langoureux slow, danse désormais passée de mode, car totalement non politiquement correcte !

« On vous a téléphoné ! » me tance alors la cheffe de rang alors qu'il n'est que 13h10. Incroyable ! Comment expliquer qu'à moto, répondre au téléphone n'est guère conseillé ! Mais, bref, passons : ce serait dommage vraiment, que demain, nos restaurants traditionnels n'accueillent leurs clientes et clients - vous savez ces « ploucs » qui les font vivre....- qu'entre midi 17 et 12h32 !

Une jeune et aimable serveuse m'apporte alors un « Américano » de belle facture avec quelques mises en bouche dont un délicieux velouté Parmentier. Pour le verre de vin, j'eus moins de chance : au départ le blanc - fort bon sauvignon du coin, peut-être du Loir-et-Cher qui en produit de délicieux - était tiède, tandis qu'ensuite le rouge bordelais était glacé.

 

 

Ah, les délices du champignon de Paris, le meilleur des champignons…

 

En entrée, je pris le homard à l'impeccable cuisson. Cependant, même produites localement, je ne suis pas certain que les lentilles constituent une alliance de choix avec ce prince de la mer....Passant à mes côtés, j'en profitais pour zyeuter le très beau chariot de desserts. Ensuite, ce fut le poulpe à l'orange, plutôt bien cuit, et belle complémentarité avec l'agrume. Dans l'assiette, toutes ces mini-purées me firent alors penser aux années du film « La Boum » !

La pause glacée arrive alors sans liquide aucun, avant un paleron de veau, morceau peu usité et fort bon, proposé ici façon blanquette. Bonne idée que l'adjonction de quelques lamelles fraîches de champignons de Paris ! Feu mon ami, Michel RICHARD, chef français émigré aux Etats-Unis, trouvait d'ailleurs que c'était le meilleur des champignons.

 

 

 

 

Plus de « Paris/Brest » sur le chariot de desserts : la rançon de son succès…

 

Arrive alors le moment du chariot de desserts. Ce chariot : il a disparu corps et âme de nos restaurants, mis à part à la maison BOCUSE de Lyon, et chez deux à trois illuminés. Désormais règne le dessert à l'assiette : un grand contenant, contrairement au contenu !

Ce chariot est le symbole de la maison, et l'on ne peut que féliciter les pâtissiers de ce travail quotidien. Sorbets, entremets, tartes et gâteaux sont ici  bien rassemblés ! 

Bien sûr que tout fait envie. Aussi se régale-t-on avec l'onctueux sorbet banane, l'œuf à la neige nappée de sa succulente crème anglaise, et autres succès à la pistache.

Quant au « Paris/Brest », il a prématurément disparu, car victime de son succès fort mérité sûrement ! Des desserts au dosage actuel de sucre subtil ce qui les rend souvent meilleurs.

Un café-meringue que je partageais de bon cœur avec l'une des gamines de la maison, qui me confia ce jour-là, qu’elle n'alla pas à l'école, car se sentant malade. Gageons que cette petite mignardise contribua à son prompt rétablissement !

 

 

En savoir plus :

Les + : le chariot de desserts est un modèle du genre. Applaudissements réitérés aux pâtissiers !

Les - : on doit encore pouvoir arriver au restaurant à 13h10, me semble-t-il ! Ce n'est pas encore l'heure du goûter, non ?! Quant au pain, il ne m'a pas semblé inoubliable...

 

 

Contact :

Hôtel-restaurant La GLOIRE

74, avenue du Général de Gaulle

45200 MONTARGIS

Téléphone : 02.38.85.04.69

Fermeture : mardi, mercredi et donc ouvert le dimanche !

Formule pour déjeuner à partir de 29 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est un peu comme un jeu vidéo, mais en nettement mieux ! D’autant que le simulateur de conduite d’engins agricoles – huit exemplaires conçus par la PME hexagonale ACREOS viennent d’être acquis pour une enveloppe de plus de 673 000 euros par l’EPL des Terres de l’Yonne, une première en France – offre l’opportunité de suivre la progression pédagogique du pilote néophyte, notes à l’appui. Un sérieux atout afin d’améliorer ses potentialités techniques dans le cadre de son cursus.

 

VENOY : On n’arrête ni le progrès, ni la technologie ! Surtout celle se rapportant au numérique et à l’imagerie virtuelle. Vous en voulez une preuve concrète ? Très facile ! Il suffit de visiter l’espace dédié, ouvert depuis peu, qui a été mis en place au sein de l’EPL des Terres de l’Yonne, une entité pédagogique comprenant sur le même site de La Brosse, le CFA agricole de l’Yonne, le lycée agricole La Brosse et le CFPPA 89, pour en apprécier les effets !

Là-bas, dans cet antre de l’enseignement agricole et viticole – on peut y ajouter aussi le volet de l’équestre et de l’horticole, entre autres -, se vit une expérience unique en Bourgogne Franche-Comté. L’initiation à la conduite d’engins agricoles, mais sous un format bien moins académique que d’ordinaire ! A l’aide de simulateurs électroniques, élaborés par un spécialiste dans la conception, la fabrication et la commercialisation d’outils pédagogiques, réservés à l’apprentissage de la conduite d’engins en tout genre : la structure mosellane, ACREOS.

Une PME qui prône les vertus du « made in France » - elle a réalisé plus de 3,5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018 – et jongle avec aisance sur la technologie du numérique pour avancer dans le processus pédagogique qu’elle a créée.

 

Un projet de 673 000 euros financés par des fonds européens…

 

C’est avec le concours financier d’un Fonds européen de développement régional (FEDER) que l’EPL des Terres de l’Yonne a réussi le brillant tour de force de l’acquisition de huit de ces « Rolls-Royce » de la simulation digitale pour en doter son site de Venoy. Autant dire une rareté dans le microcosme de l’enseignement agri/viticole de la contrée, pour ne pas dire plus à l’échelle de l’Hexagone ! Soit pour être précis une enveloppe budgétaire s’élevant à 673 420 euros !

Quant aux possibilités offertes par ces appareils de premier cri, elles sont multiples avec les engins agricoles, les tracteurs télescopiques, les moissonneuses, les tracteurs enjambeurs à vocation viticole…Bref : un melting-pot d’opportunités didactiques qui séduisent déjà depuis leur récente installation autant les élèves que leurs enseignants ! Pourquoi ? Parce que la machine leur propose une approche plus que réaliste de la situation. Sensations garanties derrière les manettes ou le volant de ces instruments très utiles à leur formation.

 

 

Apprendre à piloter des engins agricoles sans consommer de carburant !

 

Sous l’œil attentif du proviseur adjoint du lycée La Brosse, Eric PRESTAT, plusieurs élèves ont assuré une séance de pilotage lors d’une visite démonstrative organisée avec la presse. Vertueux, le dispositif l’est à plus d’un titre. D’une part, l’initiation à la conduite s’effectue tranquillement et sans aucune prise de risque. D’autre part, la formation est on ne peut plus écologique car ne consommant aucun carburant ! Même les professionnels de la filière agri/viticole, invités à découvrir les possibilités offertes par cet appareillage newlook, se sont pris au jeu du fait de la qualité fonctionnelle de ce qui leur était proposée.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

De l’aveu même du président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment de l’Yonne (CAPEB) Jean-Pierre RICHARD, la onzième assemblée générale qu’il avait à présider ces jours-ci depuis la prise de ses fonctions était, et de loin, la plus intéressante à animer. Est-ce la présence d’une noria d’élus du territoire qui donna toute sa saveur à l’évènement statutaire ? Ou le choix des sujets d’actualité (le recrutement, la formation, la réforme du RSA…) qui en pimenta l’exercice ? Toujours est-il que ce fut un grand millésime !

 

APPOIGNY : 2022, synonyme de grand cru pour la CAPEB de l’Yonne ? Une certitude, de l’avis du président qui tient les manettes de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment, Jean-Pierre RICHARD depuis un peu plus d’une décennie, jamais une assemblée générale, exercice annuel statutaire et obligatoire, ne fut d’une telle intensité du côté de la passion. Ni au niveau de la convivialité.

Devait-on cela à la présence, nombreuse, des élus du territoire qui convergèrent vers l’hôtel Mercure, lieu de ce rendez-vous de début de week-end afin de tâter le pouls de la filière ? Ou en fonction du choix des items qui furent abordés lors de débats nourris autour des grands sujets d’actualité ? Voire peut-être des deux ? En tout cas, le responsable de ce syndicat patronal du bâtiment qui fédère plus de six cents professionnels ne cacha pas sa satisfaction à l’évocation de cet évènement lors de son bilan.

 

Le succès du retour à l’emploi des allocataires du RSA…

 

Même si le contexte actuel ne prêtait pas à la franche rigolade – le coût de l’énergie et les difficultés à pouvoir s’approvisionner en carburants -, les entrepreneurs du bâtiment purent exposer l’ensemble des problématiques cartes sur table face aux élus qui écoutèrent les doléances avec grand intérêt.

Ce fut le cas du sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE ou du président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD. On remarqua la présence du conseiller départemental et maire d’Appoigny, Magloire SIOPATHIS, qui s’épancha longuement sur la formation et l’éducation, des clés importantes pour le devenir de la filière. Un avenir qui fut aussi abordé sous le prisme du recrutement avec la conseillère départementale Sonia PATOURET, lors d’un débat enrichissant sur la réforme du RSA. Une transformation profonde du dispositif ayant pour vocation première de remettre les allocataires sur le chemin du travail, après avoir été formés comme c’est le cas avec le concept « Brique par brique », initié à l’hiver 2021 et au succès évident. A date, ce sont plus de 1 700 personnes qui ont été ramenées ainsi dans le giron de l’employabilité. Qui dit mieux ?!

 

 

Le remboursement des PGE : gare aux dépôts de bilan…

 

Naturellement, le recrutement fut une autre thématique qui nécessita du temps de parole pour les intervenants. Le grand problème de l’instant se nomme les emplois qualifiés à pourvoir dès que possible pour les entrepreneurs de l’Yonne. Rien ne semble être simple dans un contexte économique plus que délicat.

Autre sujet d’inquiétude : les perspectives de fermeture des entreprises face à une situation économique qui tourne au ralenti. « Les carnets de commandes commencent à s’amenuiser, confie Eric GUYOU, le vice-président de l’organisme, les chantiers sont impactés par les retards imputables à la conjoncture internationale et les délais de fabrication. L’aluminium flambe et ce sont les serruriers, les fabricants de fenêtres qui trinquent… ».

A cela, il sera bon d’ajouter les amortissements inhérents au PGE, le Prêt garanti par l’Etat. Bon nombre de structures entrepreneuriales vont éprouver les pires des difficultés pour s’en accommoder…

Rayon de soleil de cette assemblée : l’élection de Sylvie GRUPE, au poste de seconde vice-présidente. Un choix qui permettait à l’intéressée d’être reconduite dans ses fonctions…

La quarantaine de personnes clôtura cet exercice autour d’excellentes agapes : histoire de profiter de l’instant présent né de ces belles retrouvailles. Carpe diem !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil