Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Juin est d’ordinaire synonyme de la tenue de la traditionnelle conférence agricole régionale. Un évènement très attendu par les suiveurs de l’actualité de la filière qui en analysent les données statistiques livrées par l’Observatoire régional. Le contexte si particulier de ce printemps 2020 ne permet pas d’organiser cette manifestation. Qu’importe ! Les résultats technico-économiques seront dévoilés dès le 04 juin via le lien numérique habituel…

DIJON (Côte d’Or) : La COVID-19 aura eu raison d’un énième évènement régional : la conférence agricole qui aurait permis si elle avait été au programme de dévoiler les pistes de réflexion de l’Observatoire d’un milieu professionnel éprouvé lui-aussi par cette crise sanitaire sans précédent.

Fruit d’un travail aux multiples partenaires (Chambre régionale d’agriculture, CER France, Conseil régional et l’Etat), l’édition 2020 de cette restitution avait pour vocation première de présenter l’ensemble des résultats technico-économiques de la filière établis au cours des douze derniers mois.

Un autre volet aurait dû être abordé de visu si les conditions sanitaires l’avaient permis : des pistes de réflexion et des témoignages venant corroborer tout ce qu’il aurait été souhaitable de faire pour améliorer les conditions d’installation et de transmission des exploitations.

Avant que la crise n’éclate, c’est précisément cette thématique (le renouvellement des agriculteurs) qui figurait à l’ordre du jour prioritaire de cette conférence régionale.

Habituellement, cette conférence annuelle accueille les décideurs du monde agricole et des représentants institutionnels des territoires.

Sa tenue est primordiale pour les observateurs car elle offre des repères précis sur les revenus des exploitations et sur les dynamiques des différentes filières à long terme.

A défaut de pouvoir partager l’ensemble de ces données de visu, les organisateurs ont décidé de mettre à profit leurs éléments informatifs de manière dématérialisée.

Dès le jeudi 04 juin, il sera possible à l’identique de ce qui se pratique les autres années de consulter les travaux de l’Observatoire régional en se référant au lien suivant : https://bourgognefranchecomte.chambres-agriculture.fr/


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pragmatiques, les élus du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté souhaitent contrer le plus vite possible la déferlante de mauvaises nouvelles pouvant affecter les professionnels du secteur. Un schéma offensif de nouvelles mesures a été entériné par la commission permanente ce vendredi 29 mai après-midi. Il s’appuie sur un dispositif multiple qui concerne à la fois les entrepreneurs mais aussi les consommateurs…

DIJON (Côte d’Or) : Les avis des uns et des autres sont unanimes. Les dommages imputables à la présence du COVID-19 sur la filière touristique sont énormes. Un « vrai ravage » pour l’un des intervenants du point presse, organisé en visioconférence par la Région Bourgogne Franche-Comté, ce vendredi en fin de matinée, à quelques heures de la commission permanente de l’institution.

Autant dire qu’il y a urgence en la matière pour essayer d’endiguer ce tsunami au scénario catastrophique qui risque de plomber durablement les activités de ce pan très important de l’économie.

Pour mémoire, le tourisme correspond à 4,6 milliards d’euros de consommation annuelle chaque année. Soit l’équivalent de 6,3 % du produit intérieur brut régional. Côté emplois, le secteur génère 41 200 postes en haute saison. De quoi inquiéter les élus de la Région si la filière venait à perdre pied de façon irréversible cette saison.

C’est pourquoi la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY, en accord avec la commission permanente, a décidé de prendre le taureau par les cornes. En validant un plan de soutien légitime à la filière.

Quels en seront les contours applicatifs ? Ce sont de prime abord les professionnels de l’hébergement qui en seront les premiers bénéficiaires.

La Région va injecter une manne financière globale de sept millions d’euros visant à aider les gérants de meublés du tourisme et les chambres d’hôtes (à hauteur de 3 000 euros) ainsi que hôteliers et dirigeants de campings pour 5 000 euros. Cette mesure intègre l’élargissement du fonds tourisme aux entreprises individuelles. Sachant que de nombreux établissements sont concernés dans notre contrée.

Précisons que l’octroi de ce subside est conditionné à différents critères d’éligibilité : ceux qui avaient défini à la création de ce fonds, à savoir la baisse d’au moins 50 % du chiffre d’affaires entre les périodes de mars/avril 2019 et son équivalence en 2020, un minimum de 24 000 euros pour les meublés et chambres d’hôtes. Le tout pour des structures employant jusqu’à cinquante collaborateurs.

 

Un « Pass’Découverte » de trois journées pour les habitants du territoire…

 

Prenant ensuite la parole, Patrick AYACHE, vice-président en charge du tourisme et de l’internationl, évoqua avec détermination sa volonté d’être en appui des professionnels de la filière afin de les soutenir pour sortir de cette mauvaise passe.

« La situation telle qu’elle se présente à nous à l’heure actuelle est proprement catastrophique. L’absence de visiteurs étrangers pourrait nous faire perdre jusqu’à un milliard d’euros de recettes si 20 % de ces touristes ne se rendaient pas en Bourgogne Franche-Comté cette saison… ».

Pour subvenir aux besoins de ces entreprises fragilisées, la Région envisage la création d’une foncière hôtelière. Celle-ci interviendrait alors pour accompagner financièrement les structures qui le désirent dans le cadre d’un projet d’agrandissement ou d’ouverture d’un établissement.

Seraient visées plus particulièrement par cette suggestion les zones les moins touristiques de notre territoire, notamment certains secteurs de la Haute-Saône, de la Nièvre et de la Saône-et-Loire.

 

 

L’idée sera examinée lors de la prochaine réunion plénière du Conseil régional prévue à la fin de ce mois.

Un « Pass’Découverte » sera instauré. La Région s’est engagée à offrir ce dispositif de trois jours de découverte à deux mille habitants du territoire. L’objectif avoué est de toucher le plus grand nombre de familles en local pour qu’elles puissent sortir et se réapproprier les chefs d’œuvre patrimoniaux et culturels de notre région.   

Il n’y aura pas de critères préalables pour justifier le mode d’attribution de ces passeports au tourisme de proximité. D’une valeur faciale de 49 euros, ils seront distribués par tirage au sort réalisé au quotidien entre le 01er juillet et le 31 août via le site internet de l’organe institutionnel et les réseaux sociaux. Une dotation d’environ 100 000 euros pour l’exécutif.

 

 

Revoir le schéma touristique régional pour anticiper l’après-crise…

 

Quant aux heureux détenteurs d’un abonnement annuel aux TER de Bourgogne Franche-Comté, ils auront l’excellente opportunité de pouvoir circuler sur le réseau ferroviaire TER national gratuitement à la suite d’un accord passé entre la SNCF et la Région.

Enfin, pour être tout à fait complet sur cette série de nouvelles mesures, précisons qu’un fonds régional d’investissement devrait voir le jour avec le concours de la Caisse de Dépôts et BPI France.

Ce projet consisterait à prendre des participations minoritaires dans le capital d’entreprises entre trois à sept ans avant de les revendre. Ce fonds à hauteur de vingt millions d’euros verrait aussi la contribution de partenaires bancaires. La participation de la Région s’établirait à cinq millions d’euros.

Enfin, le schéma régional du tourisme devrait être rediscuté par les différentes composantes y ayant attrait afin de créer et initier le tourisme de demain après cette crise exceptionnelle…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…

SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !

Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.

Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !  

Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.

Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.

 

 

 

Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…

 

Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !

Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.

Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.

Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.

De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.

Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est l’art et la manière d’anticiper les dossiers. A défaut, de bien gérer une crise sanitaire. Lorsque les dirigeants du CIFA de l’Yonne ont validé il y a deux saisons l’apport du e-learning dans leur établissement, ils ne se doutaient pas que cette solution numérique leur serait d’un grand secours quelques mois plus tard à cause d’un confinement pour le moins inédit. 90 % des apprenants ont pu profiter de contenus pédagogiques durant cette période : tout le monde ne peut pas en dire autant !

AUXERRE : Dès le début de la crise sanitaire, ils avaient préparé le terrain. Celui de la prise d’initiative et de la réactivité pour faire front face à la gabegie qui allait balayer tous les rouages de notre société durant plusieurs semaines.

Quelques heures auront suffi pour réunir et former les équipes éducatives à la pratique vertueuse de la méthode. Avant qu’elles ne soient lâchées dans la nature, confinement et fermeture des portes du centre de formation oblige !

Jusqu’alors, le e-learning était appréhendé de la manière suivante : l’outil révélait ses atouts avec pertinence, certes, mais il n’apparaissait pas encore comme primordial. Ce n’était qu’une solution complémentaire pour suivre des cours mais pas pour les remplacer totalement…

Mais, après le 16 mars, les pratiques coutumières ont volé en éclats, laissant libre cours à l’imagination et au système D.

Cinq heures suffiront pour que les enseignants bénéficient des rudiments nécessaires à une pratique experte de l’outil multimédia. Preuve que la réactivité était bel et bien au rendez-vous dans l’intérêt des jeunes apprentis. Contrairement à ce qui a pu être dit en filigrane par ailleurs…

De l’avis de Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, et du directeur, Marcel FONTBONNE, le travail fourni par la suite se résume en un seul mot : l’excellence.

Même s’il aura fallu rebondir au pied de la lettre pour pouvoir proposer une offre de cours suffisamment explicite et étayée, conçue avec les moyens du bord mais avec cohérence.

Les programmes pédagogiques (certains existaient sur le concept bien avant la crise sanitaire) ont pu être étoffés sous le contrôle d’une responsable pédagogique. L’offre prenant petit à petit de l’épaisseur tant dans la qualité de son contenu que dans sa quantité.

 

Des aménagements à la rentrée pour optimiser le e-learning…

 

Bref : le centre de formation de l’Yonne a réalisé un énorme bond vers l’avant en matière de formation à distance. Une pure logique pour un établissement déjà précurseur en de nombreux domaine, avec un salon de coiffure conçu dans le cadre d’un partenariat à l’estampille de L’OREAL, un espace d’enseignement virtuel unique en France (le Clic Store) ou un restaurant d’application en phase de réaménagement (Le Com’des Chefs) se situant à la lisière d’un « bib » gourmand tant la saveur des plats y est succulente.

L’après COVID-19 modifiera-t-elle pour autant la donne de cet univers aux mille apprenants ?

Marcel FONTBONNE le précise volontiers : « notre métier dans l’art d’enseigner reste le présentiel. Apprendre le geste technique et le répéter au quotidien est fondamental… ».

Mais, le renforcement pédagogique en utilisant les bienfaits du e-learning avec un contenu de formations destinées tant aux apprentis qu’aux adultes en formation continue lui semble une opportunité à laquelle il ne peut plus déroger dorénavant.

Dès l’automne, des innovations importantes devraient se mettre en place. Avec une priorité qui apparaît évidente aux yeux du directeur : le désengorgement de la salle dédiée à la pratique du e-learning.

Et sans doute le suivi des cours pour les adultes qui fréquentent d’ordinaire ces lieux depuis leur domicile.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le projet de plateforme numérique se veut très novateur. De l’aveu de l’édile d’Auxerre Guy FEREZ. A l’étude, il devra être fonctionnel d’ici le mois de décembre. Juste avant les fêtes de fin d’année, la période propice aux achats en nombre et à la flambée du chiffre d’affaires pour les commerces de proximité…

AUXERRE: C’est l’une des informations importantes évoquées au détour d’une conférence de presse qui a l’heur de capter l’intérêt médiatique. D’autant que le concept, même s’il est déjà usité dans d’autres villes de l’Hexagone n’a pas encore été employé dans celles du cœur de l’Yonne.

Avant Noël, le commerce indépendant sera pourvu de sa propre plateforme numérique. Elle lui permettra de déployer son attractivité via une offre de services qui sera déclinable et accessible à tous, très facilement.

Un clic, une commande passée dans l’un des magasins de son choix et même la possibilité de recevoir la livraison des produits à son domicile : la nouvelle plateforme devrait booster un secteur en proie à de grandes difficultés après la crise sanitaire majeure que nous avons traversée.

La Ville d’Auxerre ne pouvait passer à côté de ce challenge capital : celui d’intégrer dans l’ère du numérique ces « petits » commerces qui parfois sont encore aux antipodes des vertus de cette technologie.     

Pourtant, le concept s’inscrit dans l’air du temps. Le e-commerce a connu une croissance exponentielle en 2019, atteignant en France près de 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Durant les semaines de confinement, ce moyen moderniste d’acheter et de vendre des produits par la toile a continué de flamber.

Après mûres réflexions et concertations avec l’adjoint en charge de l’activité commerce, Jean-Philippe BAILLY, le maire-président d’Auxerre et de l’Agglo a biffé cette opportunité parmi les sept grandes propositions qu’il souhaite mettre en œuvre pour soutenir ce pan de l’activité économique mis à si rude épreuve avec la présence du coronavirus.

La collectivité aura recours à un prestataire pour affiner ses choix et sa stratégie. Un cahier des charges sera établi avant qu’un appel d’offres ne favorise en septembre la sélection du professionnel devant contribuer à la pertinence et la réussite de ce projet.

Plusieurs dizaines de milliers d’euros seront ainsi budgétés pour y parvenir. On sait également que le projet sera piloté par la nouvelle chargée de mission pour le commerce en poste à la Ville depuis novembre. Une personne qui a officié dans une vie antérieure au sein de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne.

En parallèle de cette nouvelle aide technologique au développement des commerces locaux, la Ville proposera également un diagnostic sous la forme d’un état des lieux de la fonctionnalité du numérique auprès des commerçants.

Nécessairement, et afin de se familiariser avec les modes opératoires de cette plateforme, des séances de sensibilisation et de formation seront assurées par des prestataires…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil