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Les milliards d’euros vont donc tomber comme à Gravelotte ! Bien conscient du péril qui menace le secteur ô combien stratégique qu’est l’aéronautique, tout comme celui de la défense d’ailleurs, le gouvernement n’a donc lésiné ni sur les moyens, ni sur les effets d’annonces afin de lui venir en aide et nous n’allons surtout pas bouder notre plaisir. Quinze milliards d’euros !

TRIBUNE: Chacun comprend bien qu’il s’agit là d’une somme assurément colossale. Mais dont la représentation n’est pas si aisée pour qui n’a pas l’habitude de manipuler de tels chiffres. Ils restent l’apanage d’un tout petit noyau de personnes.

Alors pour aider à s’en faire une idée plus précise, rien de tel que de le comparer à quelques données générales du secteur, ce qui, comme on pourra le constater, en relativise quelque peu la portée.

Entrons donc sans plus attendre dans le domaine des nombres avec beaucoup de zéros, comme dans celui du lexique des superlatifs et tâchons d’y voir un peu plus clair, dans des valeurs qui peuvent donner le tournis.

Tout d’abord, il convient de rappeler qu’au niveau mondial, la valeur totale annuelle de l’activité économique soutenue par le transport aérien représente environ 2 400 milliards d’euros. Soit à peu de choses près, le poids économique d’un pays comme la Suisse.

Rappelons aussi, que près de 4,9 milliards de passagers auront effectué un déplacement en avion au cours de l’année 2019. Fréquentation dont Airbus prévoyait, il n’y a pas longtemps encore, le doublement d’ici les vingt prochaines années !

Ceci devait donc s’accompagner d’une progression du trafic aérien de l’ordre de 4,3 % l’an sur la même période et d’une demande mondiale d’avions neufs estimée à plus de 39 000 appareils d’ici à 2038.

« Stratosphérique ! » titraient encore au début de l’automne dernier les éditorialistes spécialisés qui étayaient leurs démonstrations en soulignant, à juste titre d’ailleurs, que le trafic ­aérien avait su résister aux ­aléas géopolitiques, aux crises économiques, aux guerres et à la menace terroriste. Rien alors, ne semblait être capable de couper l’appétence du monde pour les voyages en avion !

 

 

Certains Cassandre souhaitaient la chute de Boeing !

 

En juin 2019, à l’occasion du salon du Bourget, le secteur industriel aéronautique français se portait donc au mieux, avec près de 55 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel (environ 3 points de PIB). Cela constituait un, sinon « LE » fleuron de l’économie nationale.

Pour autant, si l’on considère qu’Airbus représentait à lui seul plus de la moitié de ce score (28,3 milliards d’euros), on mesurait le degré de dépendance de la filière vis-à-vis de son leader. Ce qui, dans tous les bons manuels de stratégie et de sciences de gestion, est décrit comme une situation de danger potentiel imminent.

Au même moment, Boeing s’empêtrait dans les ennuis de son 737 MAX, après deux crashs qui révélaient des failles dans la conception, puis dans la certification de son produit « vache à lait ».

Tout le monde y voyait le signe d’un véritable boulevard pour notre champion national, lequel d’ailleurs ne se privait pas de communiquer des chiffres surclassant nettement ceux son concurrent américain.

 

 

Avec 1 139 commandes enregistrées dont 768 nettes et 863 appareils livrés, 2019 devenait sa nouvelle année référence, en affichant les totaux les plus élevés de son histoire !

L’orgueil national était alors au plus haut sur l’échelle de l’autosatisfaction et d’aucuns, sans doute grisés et/ou bien peu avisés, se réjouissaient à demi-mot d’une faillite presque espérée du géant américain, sans même mesurer les conséquences désastreuses qu’une telle catastrophe économico-industrielle, pourrait avoir sur les nombreuses entreprises françaises de la filière qui fournissent Boeing.

Le malheur de l’un semblait donc pouvoir faire le bonheur de l’autre, mais entre nous, Airbus savait bien que ses capacités industrielles déjà proches de la saturation, ne lui permettaient guère d’aller bien au-delà de ce qu’il était capable de produire. 

Et puis surtout, sachant que la nature a horreur du vide, il redoutait que le concurrent chinois COMAC s’engouffre dans une brèche du marché d’où il serait bien difficile ensuite de le déloger.

 

 

Pourvu qu’il n’y ait pas de perdants à la fin de l’histoire

 

Mais c’était aussi sans compter sur le fait que le malheur, ça vole souvent en escadrille ! Et patatras ! Voici qu’un tout petit grain de sable est venu se loger dans les rouages de la belle mécanique du secteur aéronautique et que tout s’est arrêté du jour au lendemain, à la fin de cet hiver.

Ainsi, ce qui avait résisté à tous les périls, tombait sous les coups sournois d’un virus dont la taille ne dépasse pas 5 millionièmes de mètres, pour rester dans les chiffres avec beaucoup de zéros. Mais cette fois tournés vers l’infiniment petit.

Plus un avion dans le ciel. Plus un passager dans les aéroports. Plus un avion qui sort de chaîne. Des commandes qui s’annulent et voici des centaines d’entreprises françaises, notamment des PME sous-traitantes, stoppées plus ou moins complètement dans leur course, alors que certaines d’entre elles subissaient déjà parfois durement, l’arrêt complet de la fabrication du 737 MAX. Arrêt auquel Boeing avait finalement dû se résigner. Et pour elles d’ailleurs, le « pansement » Airbus ne suffisait pas toujours à couvrir la plaie !

Dans le département de l’Yonne, les adhérents du Groupement GISAéro n’échappent pas au marasme, et, à des degrés divers, ils sont impactés par cette crise aussi violente qu’inattendue.

Quel retournement ! Alors qu’il y a peu de temps encore, leur préoccupation majeure restait souvent celle de la recherche des compétences dont ils avaient absolument besoin pour assurer la production de carnets de commandes bien garnis, ils se retrouvent aujourd’hui face au problème de la sous-charge et de son corolaire sur les finances et le social.

Il ne fait aucun doute que le secteur redémarrera et que nos « champions icaunais » de la filière retrouveront de la charge. Mais bien-sûr, reste-t-il à savoir dans quel volume et puis surtout à quel horizon.

Sur ce point, le concours des pronostics est ouvert et bien entendu, étant donné que personne n’en sait rien, tout et son contraire se dit et s’écrit.

Ceci étant, une telle machinerie, qui s’est effondrée sur elle-même en quelques jours, possède-t-elle en son sein les capacités de résilience lui permettant de se redresser aussi vite qu’elle est tombée ?

On peut bien-sûr l’espérer, mais aussi en douter. Les pouvoirs publics l’ont bien compris, en décidant sans attendre le plan sauvetage de la filière qui a été présenté avec d’autres mesures économiques dans le cadre du troisième projet de loi de finances rectificative (PLFR 3) pour 2020, lors du Conseil des ministres du 10 juin dernier.

L’urgence est donc bien d’éviter un trop grand nombre de crashs et d’accompagner ces entreprises (et pas que les plus grosses), afin de leur permettre de passer cet épisode de trou d’air sans trop de casse.

Et puis surtout, il faut préserver au maximum leurs capacités, afin qu’elles soient encore en état de fonctionner au moment du redémarrage. C’est donc pour cela que les milliards vont tomber comme à Gravelotte !

Mais espérons que toute analogie avec la bataille qui a donné son nom à l’expression s’arrêtera-là. Car, Gravelotte reste aussi dans l’histoire, comme une bataille particulièrement meurtrière où il n’y aura pas eu de gagnant !

Alors ce que nous pouvons tous espérer à minima, c’est qu’à la fin de cette histoire, il n’y aura pas de perdant !

Claude VAUCOULOUX

 

 


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Le concessionnaire aux multiples marques et aux trois zones de chalandise différentes accueillera les amoureux de jolis châssis et de belles calandres trois jours durant à partir du vendredi 12 juin. Avec une fébrilité si excitante qu’elle fait plaisir à voir parmi les collaborateurs du groupe éponyme ! Logique : depuis les dernières portes ouvertes de janvier, moult évènements se sont écoulés venant ternir l’activité d’un secteur qui aura beaucoup souffert…

AUXERRE: Les portes ouvertes chez JEANNIN positivent le vague à l’âme des suiveurs de l’actualité automobile qui en ont bien besoin après ces interminables semaines de pénurie imputables à la présence du coronavirus.

Cerise sur le gâteau : tout sera fin prêt, ce vendredi, pour accueillir au jour J les premiers clients dès la matinée dans le respect obligatoire des gestes barrières.

Une condition sine qua non afin de concocter un tel rendez-vous qui devrait interpeller celles et ceux des consommateurs ayant des velléités de changement de véhicule, histoire de se faire plaisir et pourquoi pas de participer en bon citoyen qu’ils sont au grand élan consumériste que les pouvoirs publics réclament.

D’autant que le plan automobile, dévoilé il y a peu par le gouvernement, possède de judicieux artifices financiers pouvant faciliter un acte d’achat rapide.

Ce plan représente aussi une réelle opportunité qui arrange les affaires des professionnels de la filière qui ont aussi des produits à déstocker. Avant que ne débute la prochaine saison à l’automne.

On l’aura compris ce retour en grâce dans les concessions, au nombre de vingt-six pour le seul groupe JEANNIN réparties entre l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne autour de huit marques distinctes (Volkswagen, Audi, Seat, Skoda, Nissan, Mazda, Suzuki et Volkswagen Utilitaires) suppose la réalisation de belles affaires ce week-end. Il est grand temps, en effet, de rattraper le retard accumulé durant ces deux mois de fermeture !   

 

 

Des conditions de vente à vider ses comptes bancaires !

 

Les exégètes de la vente tels des ingénieurs besogneux enfermés longuement dans un bureau d’étude pour résoudre une équation ont peaufiné leurs conditions avec un sens du perfectionnisme. Pour en extraire des propositions commerciales devant nécessairement faire tilt dans les esprits même les plus retors !

Citons quelques exemples concrets dans cette grande parade de la bonne affaire garantie : chez Audi, jusqu’à six mois de loyers sont offerts. Du côté de Volkswagen, dans le cadre de la campagne promotionnelle des « jours encore meilleurs », l’acquéreur repartira avec trois mois de loyers offerts, trois ans d’entretien, d’assurance et de garantie avec en sus la prime à la conversion de 3 000 euros sur une sélection éclectique de véhicules.

Les férus de Seat devraient y trouver aussi leur compte avec la première échéance du futur achat mise en place au 01er janvier 2021. Bonus : même sans apport, les remises peuvent atteindre jusqu’à 6 000 euros !

Du côté de SKODA, signalons que le nouveau KAMIQ (il a une très bonne cote parmi les spécialistes) se négocie à partir de 119 euros par mois avec trois ans d’entretien, de garantie et d’assistance inclus.

 

 

Avec la LEAF, modèle 100 % électrique du japonais Nissan, il est proposé une remise de 13 000 euros avec trois mois de loyer offerts, l’entretien inclus, sans condition et sans apport.

Enfin, pour être tout à fait complet, MAZDA dans l’intégralité de sa gamme est couverte par une garantie et une assistance de trois ans. La marque profite jusqu’au 30 juin de trois années d’entretien en prime.

Bref, un panorama non exhaustif de ce qui se pratique actuellement chez l’un des leaders de la concession automobile régionale. Qui fait de ces trois jours de portes ouvertes le point de départ d’une nouvelle saison placée sous le sceau de l’espérance…

 


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Il n’y a pas que les automobilistes qui soient les cibles privilégiées des forces de l’ordre sur nos routes ! L’opération qui s’est déroulée le 04 juin dernier sur la RN 77 près de Pontigny l’atteste. La Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) s’est fendue d’un contrôle surprise afin de lutter contre la concurrence déloyale dans le transport routier de marchandises…

PONTIGNY : Une quinzaine de chauffeurs routiers a été priée de se ranger sur le bas-côté de la route nationale 77 entre Auxerre et Troyes, la semaine dernière. Objectif : ils ont été contrôlés par la gendarmerie de l’Yonne et les représentants de la DREAL (Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement).

L’opération à laquelle assistait le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne Tristan RIQUELME portait essentiellement sur la lutte contre la concurrence déloyale dans le transport routier de marchandises.

Des contrôles qui s’avèrent ô combien nécessaires suite à la désorganisation des flux mis en évidence durant la crise sanitaire.

 

 

La priorité a été donnée aux entreprises de transport non établie localement. Les forces de l’ordre et la DREAL ont pris soin de vérifier le respect des règles qui régissent les opérations de cabotage ; c’est-à-dire l’acheminement de marchandises entre deux points du territoire national.

Côté bilan : deux défauts d’attestation de détachement, un dépassement de temps de conduite journalière et un délit de cabotage irrégulier sont à mettre dans l’escarcelle des forces de l’ordre qui ne purent que verbaliser les contrevenants…

 

 

 


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Alors que les soldes estivales ont été repoussées à la mi-juillet, les commerçants d’Auxerre tentent tant que bien que mal de sortir la tête hors de l’eau après des semaines de disette. Les élus, à l’écoute, viennent de mettre en place une stratégie afin de les accompagner durant cette délicate période. Objectif : éviter le naufrage pour celles et ceux des indépendants qui ont souffert de la crise sanitaire en y laissant des plumes…

AUXERRE : A l’échelle de l’agglomération auxerroise, il existe plus de 1 300 boutiques (1 321 avec exactitude) qui officient dans la catégorie des commerces de proximité. Ils essaient de reprendre vaille que vaille leur existence d’avant COVID-19.

C’est un enjeu pas aussi simple que cela à organiser. Compte tenu du contexte économique actuel qui ne baigne pas dans l’optimisme le plus affriolant.

Les perspectives communiquées par différents observateurs sont mauvaises. Les statistiques qui émanent des services de l’Etat ne sont guère plus encourageantes.  

Bref : les collectivités sont aujourd’hui dans l’obligation de se pencher avec bienveillance sur ce dossier et de jouer aux pompiers de service à grand renfort d’imagination pour circonscrire l’incendie. Un sinistre qui pourrait ravager des pans entiers de cette économie à l’origine de circuits courts et de petites échoppes s’il n’est pas maîtriser dans les meilleurs délais.

Auxerre n’est donc pas en reste pour éviter un tel désastre. La collectivité a pris la décision il y a peu de lancer un vaste plan de soutien articulé autour de plusieurs items. Ceux-ci se déclineront jusqu’à la fin de l’année.

A l’image de ces aides apportées lors de la prise en charge des loyers (de 50 à 70 % selon les cas) et ce, sur une période de six mois, pour de nombreuses boutiques implantées au cœur de ville. 

En parallèle, des aides à l’investissement vont être initiées pour les créations de nouvelles enseignes. Le programme d’intervention s’annonce copieux et protéiforme.

Ainsi, la réouverture des bars et restaurants a engendré l’exonération des droits de place.

C’est pourtant une manne financière importante pour la Ville qui correspond à 150 000 euros. Des contacts ont été pris avec certains gérants de ces établissements pour qu’ils puissent bénéficier de mètres carrés supplémentaires en terrasse. Une solution astucieuse qui leur permettra de compenser le manque de place à l’intérieur imputable à la distanciation physique.

Certaines rues et ruelles de la ville devraient être également fermées à la circulation routière de façon à faciliter l’accueil et l’étalement de la clientèle en dehors des établissements.

 

 

Des aides financières distribuées sous diverses formes…

 

Une autre suggestion a fait son petit bonhomme de chemin : celle qui se rapporte au coup de pouce au pouvoir d’achat à l’aide de chèques-cadeaux. Ceux-ci favoriseront dès l’automne la relance consumériste.

Un appel à projets vise à attirer les commerces indépendants qui engendrent du flux sera prévu à la rentrée. Le concept se déclinera sous la forme de dotations financières graduées, prises en charge par la municipalité et remises à leurs lauréats retenus en décembre.

L’idée du concept se voulant novateur serait d’accrocher des commerces qui font défaut à l’heure actuelle dans le cœur de ville. On pense en priorité aux enseignes des métiers de bouche mais aussi à celles qui préconisent la consommation de produits bio, étrangement absentes de l’hyper centre.

Les  professionnels bénéficieront aussi d’aides financières directes. Celles, à titre d’exemple, générées en accointance avec les dispositifs de la Région. Une enveloppe de 420 000 euros devrait être injectée dans ce dispositif.

Des aides à la reconstitution de la trésorerie, montées avec le concours de la Banque des Territoires et la Région Bourgogne Franche-Comté, s’ajoutant à celles de l’Etat, sont également envisageables.

Un budget de 280 000 euros est prévu à cet effet avec la mise en œuvre d’un prêt à taux zéro remboursable après un différé de deux ans (15 000 euros de prêt au maximum).

Du côté des commerces non-sédentaires, l’exonération des droits de place sur les cinq marchés hebdomadaires que compte la Ville est une nouvelle très positive pour les professionnels.

D’ailleurs, la fréquentation de ces lieux très prisés d’ordinaire par la clientèle progresse malgré les mesures barrières entre les étals. Cette exonération équivaut à un manque à gagner de 160 000 euros pour la municipalité.

 

 

« Ce plan, il fallait le faire sinon on me l’aurait reproché… »

 

Il est clair, comme devait le préciser l’adjoint en charge du commerce et de la vie numérique, Jean-Philippe BAILLY, interrogé lors d’un récent point presse, « que si la situation le justifiait, ces mesures seraient poursuivies en 2021 ».

In fine, c’est donc un million d’euros, parfaitement finançable, que les élus de la capitale de  l’Yonne débloquent pour soutenir l’activité commerçante.

« C’est notre rôle de le faire, devait d’ailleurs préciser le maire d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Guy FEREZ, ce plan est ambitieux et va nous permettre de relancer la machine économique. Le commerce intègre nos priorités : il faut accompagner ces professionnels dans la voie de la reprise… ».

L’édile l’a affirmé : ces mesures ne sont pas des annonces électoralistes alors que les perspectives du second tour du scrutin municipal s’insèrent déjà dans de nombreux esprits.

« Si je ne les avais pas décrétées, ajoute-t-il, on aurait été en droit de me le reprocher ! ».

Pour l’heure, et loin des considérations politiques, le devenir du commerce représente l’une des seules préoccupations de l’élu. Qui stoïque aux critiques, veut se placer entre incarnation et hauteur de vue…

 

 

 

 


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Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne devrait décider ce mercredi d’agir pour soutenir les acteurs de l’économie locale. Une enveloppe de 3,5 millions d’euros serait alors débloquée pour lancer un programme d’aides au service des communes dans le cadre de la transition énergétique.

AUXERRE: C’est à Migennes dans les locaux que le SDEY occupe avenue Jean Jaurès que se déroulera ce mercredi en début d’après-midi la conférence de presse devant détailler un plan de relance en faveur de l’économie locale proposé par l’organisme icaunais.

Celui-ci d’un possible montant global de 3,5 millions d’euros favoriserait l’accompagnement des collectivités locales à la transition énergétique, le cheval de bataille inexorable du syndicat.

Partant du postulat que l’inertie quasi-totale de la France pendant plusieurs semaines aura privé les collectivités d’une grande partie de leurs recettes de fonctionnement, le SDEY a décidé de prendre le taureau par les cornes en agissant. Avec les outils appropriés.

« Nos interventions concernent les économies d’énergie sur les bâtiments publics, explique le président de l’organisme Jean-Noël LOURY, ces aides auront une répercussion directe sur les finances communales et s’inscriront dans cet accompagnement mis en place au service des communes… ».

Grâce à cette ligne budgétaire qui pourrait être allouée à ce soutien, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne mettrait à disposition des localités qui le désirent du matériel d’hygiène sanitaire, une aide à la mobilité verte qui s’ajoute par effet ricochet au coup de pouce de l’Etat, une incitation à la baisse des consommations énergétiques des communes afin de diminuer leurs dépenses de fonctionnement et une participation à la relance économique du département de l’Yonne par l’intermédiaire des entreprises, créatrices d’emplois, qui sont titulaires des marchés.

Au cours de ce point avec la presse régionale, Jean-Noël LOURY, accompagné du directeur général du SDEY, Eric GENTIS, et de Patrick PICARD, vice-président en charge des travaux, répondront aux interrogations des journalistes sur les modalités opérationnelles de ce plan de grande envergure.

« Cette enveloppe sera représentative des besoins exprimés par les élus de l’Yonne, observe le président, pour qu’ils puissent rendre leurs communes énergétiquement vertueuses et participer concrètement à leur mutation énergétique… ».

Ces aides n’auront d’autres objectifs pour les élus que de pouvoir les encourager à maîtriser au plus juste leurs budgets sur le long terme…

 

 

 

 


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