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On se frotte les mains de plaisir parmi les membres du jury. Trop heureux de se retrouver en pareille circonstance. Qu’importe qu’il ait fallu se lever tôt, un samedi matin et braver les premiers frimas de l’hiver sur la route, afin de gagner la pièce qui fera office, au sein du lycée des métiers Vauban, de lieu de dégustation à grande échelle des 263 échantillons proposés. Les 63 testeurs sont bel et bien là et pas un ne manque à l’appel de la fameuse manifestation, organisée par le BIVB : le 31ème Concours des Vins du Grand Auxerrois.

 

AUXERRE : Un tantinet silencieuse dès sa mise en route où il fallait être fin prêt à stimuler les cinq sens, la séance de dégustation proposée dans le cadre de la trente-et-unième édition du Concours des Vins du Grand Auxerrois aura tôt fait d’être bruyante, chaleureuse et conviviale au fil du temps qui s’égrenait gentiment ce samedi matin !

Et surtout, elle était parsemée avec les commentaires avisés et enthousiastes, voire très déconcertants à propos de certaines productions, émis par les soixante-trois jurés qui avaient la lourde tâche de sélectionner la quintessence des crus dégustés dans leur verre à pied.

 

Redonner de la vie et de la jeunesse à ce concours…

 

Blancs, rouges, aligotés, crémants : les membres du jury, assemblés par tables de quatre, n’allaient donc pas chômé et resté oisifs très longtemps en regardant la sobre décoration de la salle qui les accueillait.

Lors de son préambule explicatif, la viticultrice Elodie CHALMEAU  – cette dernière évoqua non sans émotion le souvenir de l’ancien président des Caves de BAILLY LAPIERRE David GRIFFE disparu ces jours-ci -, fit l’éloge du lycée des métiers Vauban qui recevait cette année la manifestation. Un lieu empli de symboles où l’accord mets et vin se cultive au naturel de façon pédagogique.

Une édition un peu particulière qui a multiplié les nouveautés avec la présence de cinq viticultrices co-organisatrices de l’évènement, aux côtés du Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne (BIVB) spécialiste de la logistique et intendance. Ce qui fera dire à la jeune femme : « on a voulu redonner un peu plus de vie à ce concours, en renouvelant également les jurés – plus de la moitié participaient en effet pour la première fois à ce rendez-vous -, voire en les rajeunissant… ».

 

 

Promouvoir les vins du Grand Auxerrois du côté de Paris et de Lyon

 

D’ailleurs, dès qu’elles en auront le temps, les porte-étendards des vins du Grand Auxerrois présentes dans la salle ne manqueront pas de distiller leurs belles paroles promotionnelles, sans doute dès 2024, du côté de la capitale métropolitaine ou à Lyon, berceau de la gastronomie, pour y vanter les crus de ce terroir dont elles nous ont fait les honneurs.

« Les vins de l’Yonne ne sont guère connus dans l’ancienne capitale des Gaules, devait-elle ajouter, il faut remédier à cela ! ».

Puis, vint le temps où les responsables de table prirent les choses en main – de surcroît les nombreuses bouteilles devant se succéder les unes après les autres afin que leur contenu passe sous les fourches caudines de la critique gustative ! – où chacun y alla de ses réactions, ressentis et surtout notations !

Une première joute devant servir à sélectionner les trois meilleurs échantillons présentés par table. Autant dire, un travail de connaisseur et d’esthète pour certains, voire de découverte pour les néophytes.

 

Un super jury pour décerner les médailles !

 

Parmi les commentaires entendus : « la robe est limpide et jaune pâle », « il y a de la rondeur dans celui-là ! », « trop expressif et nerveux à mon goût ! », « on ne sent que l’alcool et pas assez le fruit au nez », « les bulles sont bien formées et éclatantes », à réserver lors de la dégustation des effervescents, « le boisé est trop prononcé au palais », etc.

Il restait ensuite, dans un second temps, et à la charge du super jury composé de professionnels de la chose vineuse, courtiers, cavistes ou journalistes, de ne retenir que le saint des saints de ces nectars présentés, l’ultime tiercé qui allait donner les podiums permettant d’attribuer in fine les cinquante-sept médailles, d’or, d’argent et de bronze. Un verdict que les propriétaires des soixante-et-un domaines viticoles ont attendu avec beaucoup d’impatience ! Il fut dévoilé au moment du repas, servi dans la salle de restaurant de Vauban.

 

 

Les résultats :

Bourgogne aligoté 2022

Or. Clotilde DAVENNE, Vieilles vignes
Argent. Domaine GIRAUDON
Bronze. Domaine C.et F. GUEGUEN, La Vigne de Marie-Louise

Bourgogne blanc 2022

Or. Pascal BOUCHARD SAS, cuvée Saint-Pierre
Argent. Maison SIMONNET FEBVRE
Bronze. Domaine du Château du Val de Mercy

Bourgogne rouge 2022

Or. Domaine Denis et Isabelle POMMIER
Argent. Maison HENRY
Bronze. Domaine MARSOIF, Fût de Chêne

Bourgogne rosé 2022

Or. Domaine Yann BOISSENET, pinot gris
Argent. Domaine MOUSSU, bourgogne coulanges
Bronze. Domaine RIGOULAT, bourgogne coulanges

Crémant de Bourgogne

Or. Caves BAILLY LAPIERRE, réserve blanc brut
Argent. Caves BAILLY LAPIERRE Baigoule rosé extra dry
Bronze. Caves BAILLY LAPIERRE, Ravizotte extra brut

Bourgogne chitry blanc 2022

Or. Domaine THIBAUT
Argent. Domaine KRANTZ
Bronze. Domaine Edmond CHALMEAU & Fils, Vieille Vigne d’Aimé

Bourgogne chitry rouge 2022

Or. Domaine Edmond CHALMEAU & Fils, Les trameures
Argent. Maison HENRY
Bronze. Domaine Elodie CHALMEAU

Bourgogne côtes d'auxerre blanc 2022

Or. Domaine JL & JC BERSAN, Cuvée Mouillepain
Argent. Domaine PETITJEAN
Bronze. SARL Les Malandes

 

 

Bourgogne côtes d'auxerre rouge 2022

Or. Domaine MADELIN Petit, Dessus Bon Boire
Argent. Domaine JL & JC BERSAN, cuvée Louis Bersan
Bronze. Domaine VERRET

Saint-bris 2022

Or. Caves BAILLY LAPIERRE
Argent. Sarl Les Malandes
Bronze. Domaine PL & JF BERSAN  Fyé Gris

Bourgogne coulanges blanc 2022

Or. Domaine du Petit Moule
Argent. Domaine du Clos du Roi, Charly
Bronze. Domaine MOUSSU

Bourgogne coulanges rouge 2022

Or. Domaine LEMOULE
Argent. Domaine SAGOS
Bronze. Domaine MOUSSU

Bourgogne tonnerre 2022

Or. Domaine MARSOIF, Cuvée Marguerite
Argent. Domaine Alain MATHIAS
Bronze. Domaine MARSOIF

Bourgogne épineuil 2022

Or. Domaine GRUHIER, L’âme des Dannots
Argent. Domaine Alain MATHIAS, Côte de Grisey
Bronze. Domaine GRUHIER, Côte de Grisey

Vézelay 2022

Or. Vignerons de la Colline Eternelle
Argent. Maison SIMONNET FEBVRE, bio
Bronze. Vignerons de la Colline Eternelle, Côme Guérin

Irancy 2021

Or. Earl Les Beaux Monts, Les Beaux Monts
Argent. Clotilde DAVENNE
Bronze. Domaine Edmond CHALMEAU & Fils, Eugénie

Irancy 2022

Or. Domaine Jean COLLET et & Fils
Argent. Domaine JL & JC BERSAN, cuvée Louis Bersan
Bronze. Domaine Denis et Isabelle POMMIER

Bourgogne blanc 2021

Or. Domaine des Coeuriots
Argent. Domaine HOUBLIN VERNIN, bourgogne coulanges
Bronze. Domaine JH & Guilhem GOISOT, bourgogne côtes d’auxerre Le Court Vit

Bourgogne rouge 2021

Or. Domaine HOUBLIN VERNIN, bourgogne coulanges cuvée prestige
Argent. Domaine JL & JC BERSAN, bourgogne côtes d’Auxerre, cuvée Louis Bersan
Bronze. Domaine CLEMENT, Harmonie

   

Thierry BRET

 


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La crise sanitaire est passée par là et nombre d’interrogations se posent aujourd’hui, sur le sens même du travail et de ses différentes dimensions. Phénomène conjoncturel ou réel changement de paradigme, notamment auprès des jeunes générations ? Les « Entretiens d’Auxerre 2023 » ont donné lieu à une table ronde sur le sujet, avec pour invités, deux sociologues de renom, Jean VIARD et Roger SUE…

 

AUXERRE : Selon une enquête de la fondation Jean-Jaurès, rappelée en préambule de la table ronde par la sociologue Anne MUXEL, 42 % des salariés souhaiteraient aujourd’hui voir leur activité salariale partagée entre bureau et télétravail.

Les changements apparus dans la façon de vivre le travail, après la COVID sont bien réels, notamment auprès de tous ces « démissionnaires silencieux », qui ont fait le choix de changer de vie, en s’affranchissant du travail, privilégiant avant tout la réalisation de leur vie personnelle. Adhésion implicite aux thèses développées par Paul LAFARGUE dans son pamphlet, « Droit à la paresse ». Pour autant, se dirige-t-on vers la fin du travail, alors même, rappelle le sociologue Robert SUE, « que nous vivons dans une société qui se définit par le travail. On a même parlé de « religion » du travail… ». Avec in fine une contradiction entre le fait que nous ne disposons pas aujourd’hui de substitution à ce modèle, « si vous enlevez la question du travail aux politiques, il leur reste quoi ? ». Et le constat d’une évolution ne nous plaçant plus dans une « société du travail ».

Selon le professeur émérite à Paris-Cité, trois éléments ont fait bouger la machine, à commencer par le télétravail, « le travail à distance fait la distance au travail », mais aussi la COVID, « qui a mis sur le devant de la scène non seulement les vraies valeurs mais aussi la promotion de la santé pour le bien commun… ». Avec en filigrane, cette question à la dimension environnementale, « travailler pourquoi faire ? ».

 

Un salarié que l’on ne voit pas, ne travaille pas !

 

Pour son comparse Jean VIARD, le travail se définit avant tout comme un élément de fierté : « c’est fondamentalement l’appropriation d’un projet de construction avec les autres, une forme d’utilité… ». Avec là encore, cet élément nouveau apparu après la pandémie, « où nombre de gens n’ont pas travaillé et 40 % d’entre eux s’en disaient très heureux… ».

Une révolution accentuée là encore par le désir du télétravail, « 25% des gens en bénéficient, 60 % des gens en rêvent », même s’il y a à faire en la matière : « en France, on considère encore aujourd’hui qu’un salarié que l’on ne voit pas, ne travaille pas ! ».

 

   

Trouver un travail qui ait du sens

 

Travailler encore, mais comment et surtout, pourquoi ? Avec, dans une économie jusque-là fondée sur la croissance, un nouvel item, celui de la question écologique et environnementale, susceptible d’interférer sur le sens de la production par le travail.

Selon Roger SUE, « l’on revient à l’interrogation qui fut celle du temps du COVID, celle du bien commun. La croissance sans fin est aberrante et le travail pour le travail est devenu une aberration… ». Avec l’idée que le travail utile socialement, ne passe pas nécessairement par un « moment salarial… Comment intégrer cette société civile dans la production ? ».

Pour le sociologue, les jeunes sont aujourd’hui confrontés à un défi, « que nous entrevoyons, mais qu’eux vont vivre in vivo, notamment pour tout ce qui concerne l’environnement : la recherche d’une voie alternative… ».

Un mode qui ne serait pas forcément salarial et permettrait de pouvoir se projeter dans le bien commun : « cela existe avec le service civique qui est une forme de contribution importante et capitale à la production du bien commun, mais au nom de quoi est-il réservé aux jeunes ! ».

Appelant à inventer un statut du volontariat où chacun pourrait participer tout au long de sa vie, complémentaire d’une activité salariée : « je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas cumuler l’un et l’autre. Les jeunes de plus en plus, mettent l’accent sur le fait qu’ils veulent bien trouver un boulot, mais il faut qu’il ait une utilité sociale, qu’il ait du sens… ».

 

 

A quand un véritable statut de l’étudiant en France ?

 

S’interrogeant également sur le sujet, Anne MUXEL est revenue sur ce nouveau rapport qu’ont aujourd’hui les jeunes générations face au travail, en quête d’impératifs en phase avec leurs valeurs, liés notamment à l’écologie et aux préoccupations environnementales, « qui poussent bon nombre de jeunes même après de grandes études, à refuser au bout d’un moment des postes qui leur demanderaient d’agir de façon contradictoire avec les impératifs éthiques auxquels ils souscrivent… ».

Si l’on voit ainsi émerger de nouveaux repères, attention prévient Jean VIARD, à ne pas creuser un peu plus le fossé pouvant séparer les jeunes ayant décroché très tôt avec l’école, des étudiants qui réussissent le mieux : « que tu ne veuilles pas travailler chez Total, je le comprends très bien, va dans une start-up pour essayer de faire avancer la place écologique des entreprises dans la société ! Quand on met en avant un tel refus, il faut faire attention au discours, face à des gamins qui n’ont pas pu faire d’études et ne se demandent même plus pourquoi ils votent au RN ! ».

Pour le directeur de recherche au CNRS, spécialiste des transformations dans notre société, il serait important de créer un réel statut étudiant pour tous les jeunes de 16 à 26 ans, autorisant des aller/retours entre le travail et les études, « comme en Belgique, où les jeunes peuvent travailler pour 4 000 euros par an sans aucune charge… ».

De conclure, avec cette dernière interrogation : « pourquoi n’a-t-on pas droit à un certain nombre d’années d’études si l’on a arrêté l’école à 14 ans, après s’être aperçu que l’on avait déconné et que l’on souhaite apprendre un job ? ». 

 

Dominique BERNERD

 


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Triste nouvelle que celle-là. Elle concerne la disparition d’un personnage incontournable de notre territoire qui aura su sublimer durant toute sa carrière professionnelle les arts de la table, le plaisir du palais et la découverte gastronomique, à l’aide de l’un de ses produits fétiches, déclinés dans ses multiples variantes gustatives, le saumon. A l’âge de 78 ans, Daniel RAYMOND nous a quittés. Lui, l’incarnation même de cette belle entreprise familiale, « LE BORVO » – c’est son fils Benjamin qui a repris les rênes de la structure il y a quelques années – dont on se sustente volontiers de ces délicieux produits qui donnent des airs de fête permanentes aux tables icaunaises…

 

CHEMILLY-SUR-YONNE : Sur la page Facebook de l’entreprise, ces quelques mots lapidaires qui apparaissent sur les écrans. « Nous tenons à vous informer que notre établissement sera exceptionnellement fermé ce vendredi 24 novembre 2023… ». Et sur la ligne du dessous, laconique, la phrase suivante, « il n’y aura pas d’expéditions possibles … ».

Il est vrai que dans le même laps de temps, en l’église de Seignelay qui sera pleine comme un œuf, se dérouleront en fin de matinée les obsèques de ce chef d’entreprise visionnaire et créatif que fut Daniel RAYMOND durant toutes ces années.

Un nom connu et reconnu, une réputation de perfectionniste, un véritable professionnel qui savait se mettre en quatre pour accueillir les clients et partager avec eux sa passion immodérée du…saumon puisqu’il en construisit même un musée dans son complexe de Chemilly.

Normal, il possédait en lui le sens du relationnel, l’ami Daniel. Des réminiscences sans doute de sa vie antérieure, lorsqu’il exerçait encore derrière les fourneaux du « Berkeley » à Paris en qualité de chef cuisinier, tout auréolé d’étoiles, au contact des adorateurs de ses mets !

 

 

Changement de cap au début des années 1980

 

Mais, en 1980, le garçon opte pour une toute autre carrière : la production du saumon fumé, issu d’un procédé artisanal familial. L’originalité est là. La qualité du produit, aussi. Si bien que l’enseigne qui porte le nom de « Borvo » se fait une notoriété qui dépassera allègrement les frontières de l’Yonne.

C’est simple : en l’espace de quelques années, de l’huile de coude, d’ingéniosité et d’un savoir-faire aguerri à toute épreuve, le BORVO deviendra l’une des références incontournables dans le monde de la gastronomie européenne, notamment dans son domaine de prédilection que sont les salmonidés et leurs multiples préparations culinaires.

Plats cuisinés, terrines, servis en produits à tartiner : le saumon revu et corrigé à la sauce experte de Daniel RAYMOND et de ses équipes – environ soixante-dix collaborateurs - y gagnera ses lettres de noblesse. Et pas uniquement au moment des fêtes de fin d’année !

Un succès tel que les grandes tables de la gastronomie hexagonale, voire d’ailleurs puisque la société exporte dans une vingtaine de pays dont certains en Asie, se fourniront avec une régularité constante auprès du site entrepreneurial de l’Yonne. Dans les cénacles de la vie institutionnelle et politique de la France, on se régale aussi de saumons à l’estampille « BORVO », y compris à la table présidentielle !  Parmi les autres grands références qui ont fait la renommée du produit travaillé dans l’Yonne : LENOTRE, l’hôtel CRILLON, DALLOYAU ou ROBUCHON ! Même le grand critique gastronomique, Gilles PUDLOWSKI en brossait un portrait élogieux dans ses écrits en 2011 ! Rien que ça…

Respect, donc, pour ce visionnaire de la gastronomie qui ne manquait pas d’imagination ni de créativité dans son quotidien. Respect pour l’entrepreneur qui a su créer une marque de fabrique aux accents internationaux dont seront fiers longtemps les Icaunais…

 

Thierry BRET

 

 

 


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La performance est remarquable. Avec des débits annoncés, dix fois plus rapides à terme que la 4G afin de pouvoir mieux répondre aux besoins des utilisateurs. De quoi séduire les représentants de la sphère institutionnelle que sont Paul-Antoine de CARVILLE, l’édile de Sens, et le président de l’Agglomération du Grand Sénonais, Marc BOTIN, séduits par les démonstrations proposées. Aux manettes de cette séance initiatique : ORANGE. Le réseau 5G se déploie avec son concours dans l’Yonne septentrionale et l’opérateur en télécommunications le fait savoir !

 

SENS : Cela fait plusieurs mois déjà que l’un des principaux opérateurs de télécommunication exerçant sur la planète – le chiffre d’affaires s’élève tout de même à 43,5 milliards d’euros en 2022 pour un effectif de 136 000 collaborateurs dont 74 000 interviennent dans l’Hexagone – prend ses marques progressivement sur le développement de la 5G. Au 01er janvier 2023, ORANGE disposait de plus de 5 600 sites opérationnels, facilitant le déploiement de ce réseau ultra nécessaire à nos communications qui est en passe de remplacer petit à petit la 4G sur le territoire national. Naturellement, l’Yonne est concernée par cette ramification puisque qu’après Auxerre, Sens et son agglomération bénéficient de ce maillage technologique à l’importance considérable pour les usages du numérique. Qu’ils soient d’ordres privatifs ou professionnels.

Autant dire que les séquences démonstratives assurées par les techniciens de l’entreprise aux 291 millions de clients (une paille !) aux élus locaux que sont Paul-Antoine de CARVILLE, maire de Sens, et Marc BOTIN, maire de Dixmont et président du Grand Sénonais, ont eu de quoi leur montrer les prouesses visuelles et techniques de cette 5G dans son optimisation finale, derrière un écran de télévision, une tablette, sur ordinateurs ou via les smartphones. Le futur de la communication toque à la porte et le Sénonais lui tend les bras !

 

 

Un vrai confort de navigation sans latence !

 

Débutée l’an dernier sur le secteur septentrional de l’Yonne, à Sens et autour de la capitale des Sénons, cette mise à niveau de la télécommunication en mode très accéléré (la couverture 5G en 3,5 GHz multiplie les débits à la puissance dix, voire plus !) se présente comme un puissant levier de compétitivité pour les entreprises qui vont en profiter. Comme l’aura fait remarquer Cyprien MATEOS, directeur régional de l’opérateur en Bourgogne Franche-Comté : « La 5G va permettre un véritable confort de navigation, une latence réduite et une vitesse de téléchargement quasi instantanée, même en mobilité… ». On croit rêver et chacun se prend à se pincer en souhaitant que cela arrive le plus vite possible dans son bureau ou à domicile !

A date, hormis la ville phare (Sens) qui accueille déjà cinq boîtes recevant 128 micro-antennes fonctionnelles, d’autres communes disposent du processus technologique performant. On peut citer Paron et Saint-Denis-les-Sens. Et ce n’est pas fini, promet-on du côté d’ORANGE.

 

 

De nouvelles opportunités pour les acteurs économiques…

 

La stratégie de l’opérateur est simple. « Cela va changer la façon dont les utilisateurs vivent la connectivité, explique Cyprien MATEOS, le successeur de Véronique MORLINGHEM, la 5G va modifier l’existence. Grâce à son très haut débit, sa faible latence, de nouveaux services vont ainsi pouvoir se mettre en place comme les télémédecines, la réalité virtuelle, les villes connectées. Offrant de nouvelles opportunités aux entreprises, aux innovateurs, et à la société dans sa globalité. Pour le territoire, les entreprises, l’attractivité touristique, la connectivité avec la 5G représente une occasion incroyable de progrès… ».

Ah, si ce réseau 5G, salvateur à plus d’un titre, pouvait arriver jusqu’au fin fond de nos campagnes !

 

Thierry BRET  

 

 


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Il n’a pas perdu son temps, ni sa soirée, le chargé d’affaires entreprises de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté ! En participant au énième rendez-vous concocté par le staff directionnel de l’AJ Auxerre – l’une des deux soirées « Cartes de Visite » déclinées chaque année -, le cadre bancaire s’est vu gratifié d’un coup de pouce de la chance et de la main « innocente » du tandem formé par Baptiste MALHERBE et Romain DAUCHEL pour gagner le maillot d’un joueur, mis en jeu au terme de l’animation…

 

AUXERRE : Il ne s’y attendait pas ! Et pourtant, il était loin de s’imaginer que sa carte de visite placée de manière anodine dans l’urne transparente allait sortir de la main du président de l’AJ Auxerre, Baptiste MALHERBE. Ce dernier aura laissé durer le suspense, quelques instants seulement !

A l’énoncé de son patronyme, Frédéric CORNET s’est avancé, plutôt timidement vers les deux animateurs de la soirée « Cartes de Visite » (le dirigeant du club et le développeur marketing et relationnel Romain DAUCHEL) afin d’y recevoir son lot : un splendide maillot à l’estampille du club de foot, pensionnaire de Ligue 2 et prêt à retourner dans la division supérieure au terme d’une saison alléchante. D’autant qu’après quatorze journées de compétition âpres et relevées, les protégés de Christophe PELISSIER, coach de la formation élite, occupent une brillante troisième place, synonyme de barragiste et plus si affinité avec les victoires !

 

 

Chargé d’affaires entreprises de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, Frédéric CORNET aura réalisé le coup double parfait de cette soirée placée sous le signe de la convivialité et le développement du business, avoir donné un maximum de cartes de visite aux nombreux invités de l’animation (quatre-vingts dirigeants et cadres des sociétés partenaires de l’AJA) et empocher le gros lot offert à l’issue du tirage au sort, clou de l’évènement…

 

Thierry BRET

 

 


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