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La meilleure manière de comprendre le fonctionnement des hautes institutions de la Vème République pour un étudiant en quête de savoir est de poser les questions pertinentes à celles et ceux qui en sont les acteurs. Et à ce jeu-là, le député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE n’a pas son pareil pour susciter l’intérêt de son auditoire. Il était l’invité du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle où il a pu distiller ses commentaires avisés…

 

AUXERRE : Stylo feutre à la main, devant le tableau blanc encore immaculé de toutes inscriptions, le parlementaire de l’Yonne s’est livré à un exercice pédagogique qu’il affectionne tout particulièrement à ses rares moments perdus : transmettre ses connaissances et faire part de ses expériences aux jeunes générations.

En l’occurrence, les élèves d’une classe de terminale du groupe scolaire d’enseignement privé Saint-Joseph-la-Salle. Ces derniers suivent en effet l’une des nouvelles options déclinables depuis une saison dans l’établissement auxerrois : la prépa Sciences Politiques.

Autant dire du pain béni pour le député Les Républicains qui se retrouvait presque dans son jardin pour expliciter les us et coutumes de l’Assemblée nationale, son mode opératoire et surtout le rôle des parlementaires. Une réminiscence lointaine de ses cours qu’il donnait à Sciences Po en sa qualité de maître de conférences…

Invité par Marc BESANCENEZ, responsable de l’école, à échanger avec ce jeune public très studieux qui devait noircir une multitude de feuilles durant cette intervention, Guillaume LARRIVE fit un sacré retour en arrière personnel. Il se replongea, souvenirs à l’appui, en 1993. Date où lui-même fit son entrée à Sciences Po Paris.

 

 

Un parcours pédagogique flamboyant…

 

Un retour vers le passé, ponctué d’anecdotes cocasses (la rencontre de l’élu de l’Yonne et du cinéaste Jean-Paul RAPPENEAU), mais aussi sa détermination de servir un jour ou l’autre son pays à force d’abnégation et de travail !

Avant de clore cette session éducative et citoyenne, Guillaume LARRIVE prodigua ses conseils à ces futurs bacheliers, passionnés par la chose publique : « Visez haut et n’occultez aucune porte, travaillez avec le cœur et de l’ardeur afin de tracer votre chemin ! ».

 

 

Un exemple à suivre donc pour cette jeunesse. Outre l’Institut d’études politiques de Paris dont il sortit en 1996 diplôme en poche, Guillaume LARRIVE a aussi étoffé son brillant cursus du diplôme de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) deux ans plus tard avant de clore ce chapitre de l’enseignement au sein de l’Ecole nationale d’administration (ENA) où il reçut le précieux Graal avec ses camarades dans la promotion Copernic en 2002.

Le parcours idéal pour avoir, non pas la tête dans les étoiles, mais la tête bien remplie de savoir, en somme…

 

Thierry BRET

 

 


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L’expression islamo-gauchisme occupe la une de tous les médias depuis plusieurs semaines. Le terme est revenu sur la toile publique et médiatique à la suite des propos tenus par la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation Frédérique VIDAL. Pourtant, cette affirmation peut-elle être considérée comme réellement fondée ou sujet à polémiques : qu’en est-il vraiment ? Elément de réponses…

 

TRIBUNE : Commençons par une définition. « Islamo-gauchisme » : cela représente un mouvement qui est repris par l’extrême gauche et qui atteint à la liberté académique afin d’aller à l’encontre de la République française. Toutefois, le terme n’est pas nouveau. Il existe depuis 2003.

Or, il est revenu à la surface de l’actualité lorsque Jean-Michel BLANQUER, ministre de l’Education nationale, l’avait lui aussi utilisé le 22 octobre sur Europe 1. Il déclarait alors : « Ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme fait aujourd’hui des ravages en France… ».

C’est au tour, désormais, de sa collègue Frédérique VIDAL d’employer cette expression. Elle l’a fait notamment le 14 février où elle devait annoncer que « l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et l’université n’est pas imperméable… ».

Suite à ses propos, elle a demandé au CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) d’ouvrir une enquête « sur l’ensemble des courants de recherche sur ces sujets dans l’université ».

La représentante de l’Etat a ensuite donné le ton en restant campée sur ses positions concernant l’enquête du CNRS le 16 février à l’Assemblée nationale. Depuis ces déclarations, le débat polémiste ne cesse d’être omniprésent dans la sphère publique.

 

« On ne peut plus tout dire dans certaines universités… »  

 

Le CNRS a publié un communiqué de presse le 17 février afin de se positionner sur les intentions de Frédérique VIDAL : « « L’islamo-gauchisme », slogan politique utilisé dans le débat public, ne correspond à aucune réalité scientifique… ».

Des explications auxquelles il a été ajouté : « Le CNRS condamne avec fermeté celles et ceux qui tentent d’en profiter pour remettre en cause la liberté académique ».

Malgré ces propos, la vénérable institution confirme qu’elle participera à l’enquête souhaitée par la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

De son côté, la sénatrice du Val-d’Oise, Jacqueline EUSTACHE-BRINIO confiait face aux caméras de la chaîne Public Sénat : « Que la ministre des universités devait prendre la problématique à bras le corps et demander à ce qu’on regarde de plus près ce qu’il se passait vraiment dans les universités ».

De surcroît, selon elle, dans certaines universités « on ne peut plus tout dire » !

Elle semble faire partie, néanmoins, de la minorité qui possède cette opinion.

Pierre OUZOULIAS, sénateur des Hauts-de-Seine, pense, quant à lui, tout le contraire.

« Je crois que la ministre est incapable de répondre au malaise étudiant donc elle ouvre un contre-feu avec les allumettes du Rassemblement national : c’est catastrophique… ».

La sphère publique reste tout de même très opposée aux souhaits et affirmations de celle-ci.

Si nous écoutons le politologue Olivier ROY, il affirme sur France Inter que le terme d’islamo-gauchisme est une « confusion entre islam et musulman ».

Les islamo-gauchistes ne sont pas fascinés par l’islam. La plupart d’entre eux sont des gauchistes, c’est-à-dire des marxistes qui pensent que la religion est une illusion. Explications auxquelles il rajoute : « C’est un terme purement politique ».

Nacira GUENIF, sociologue et anthropologue, déclare de son côté sur France 24 : « On veut désigner des coupables ! Il y a des personnes dont on veut décrédibiliser la position et leurs travaux en les désignant à la vindicte publique comme étant des islamo-gauchistes… ».

Elle y ajoute qu’elle a elle aussi participé à une pétition afin que la ministre démissionne.

Concernant ladite pétition, ils sont à ce jour 17 300 personnes environ à avoir apposé leur paraphe au bas du document demandant le départ de Frédérique VIDAL.

Certains syndicats tels que la CGT, la FSU et Sud de la recherche et de l’enseignement supérieur, exigent eux aussi son départ.

 

Un mot-valise, reflet d’une démocratie de plus en plus oppressive ?

 

En se tournant vers les universités, le point de vue reste le même. Paul CASSIA, professeur de droit public, explique sur Public Sénat : « Là on dresse des universitaires contre d’autres universitaires : c’est très inquiétant. C’est le reflet d’une démocratie qui devient de plus en plus oppressive »

L’université Lyon 2, réputée pour sa pensée plutôt de gauche, ne semble pas être de l’avis de la ministre Frédérique VIDAL.

La professeure en Sciences de l’éducation Françoise LANTHEAUME ne comprend pas ce terme. « C’est un mot-valise utilisé par des politiques… ».

« L’islamo-gauchisme, c’est quelque chose qui n’existe pas trop à mes yeux. J’ai l’impression que c’est juste pour taper sur quelque chose, parce que c’est plus facile de taper sur la faculté et sur les étudiants. Ainsi, c’est bien pour avoir des électeurs. La vérité est que cela n’existe pas…déclare Aurélien LORI, élève en troisième année de licence à l’université Lyon 2.

A écouter plusieurs spécialistes de différents domaines d’étude, cette accusation de la part de la ministre auprès des universités semble infondée. Le débat n’en est que plus ouvert…

 

Jordane DESCHAMPS

 


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Au terme d’un long périple de près de 6 800 kilomètres parcourus à vélo à travers une dizaine de pays européens et du Moyen-Orient, Abderrazack EL BADAOUI aura peut-être une excellente surprise à son arrivée à Dubaï en juin prochain. Celle d’être accueilli par une douzaine de partenaires de la sphère économique icaunaise, parrains d’autant de scolaires du groupe Saint-Joseph-la-Salle !

 

AUXERRE : Il a toujours eu les neurones en ébullition le directeur du groupe scolaire qui prône les vertus séculaires de l’enseignement lassalien sur l’Auxerrois ! La dernière idée en date qui a germé de l’esprit vif de Marc BESANCENEZ concerne le soutien à un évènement sportif international où est impliquée l’une des figures de proue de l’endurance et de l’extrême sur notre territoire : le marathonien Abder EL BADAOUI.

Un valeureux guerrier de l’impossible que l’on ne présente plus au fil de ses multiples exploits.

On le sait ce spécialiste des défis avec un grand « D » en relèvera un de taille patron le 15 mai prochain, date de son départ pour Dubaï si les conditions sanitaires le permettent.

Une destination de rêve, certes sur le papier, mais qui ne sera en aucun cas paradisiaque pour l’athlète d’Auxerre ayant choisi de rallier la capitale de l’Yonne à la cité du Moyen-Orient à vélo !

Or, il n’est pas impossible qu’au terme de ces pérégrinations physiques de haut niveau le coureur icaunais puisse avoir la joie d’être accueilli, au pied de la fameuse tour Burj Khalifa et ses 828 mètres, par un collectif composé d’une douzaine d’entrepreneurs le soutenant dans cette initiative.

 

 

Douze entrepreneurs pour parrainer autant d’élèves…

 

C’est le projet sur lequel travaille à l’heure actuelle Marc BESANCENEZ, à la tête également en sa qualité de président de la section départementale du CJD, le Centre des Jeunes Dirigeants.

Mais, au-delà d’un simple mécénat, le soutien dans la démarche prend même des accents pédagogiques. Puisque les douze entrepreneurs « parrains » de l’opération emmèneront avec eux dans leurs bagages le même nombre d’élèves de l’établissement privé icaunais.

Des enfants issus de classes de troisième et de seconde, voire de la section BTS Commerce international, qui seront sélectionnés sur la base du volontarisme dans l’effort et le mérite.

Les entreprises désireuses de participer à cette aventure à double arborescence peuvent d’ores et déjà se rapprocher de l’établissement scolaire pour prendre attache…

 

Thierry BRET

 


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Le patrimoine architectural et sa réhabilitation intègrent le dispositif du plan de relance culturel qui aura permis de doter les travaux de la collégiale Saint-Lazare d’une importante dotation. Soit une somme rondelette de près de 800 000 euros. Le préfet de l’Yonne s’est rendu sur place pour en apprécier le résultat…  

 

AVALLON : L’enveloppe de la DSIL (Dotation de Soutien à l’Investissement Local) était rondelette et fort généreuse. Soit près de 800 000 euros ! Plus précisément avec exactitude : 796 316 euros.

Un fac-similé de ce joli chèque a été remis aux responsables de la collégiale Saint-Lazare lors de la visite en fin de semaine dernière du représentant de l’Etat. Cette enveloppe a été remise dans le cadre du Plan de relance patrimonial, somme équivalente au montant des travaux de restauration de la chapelle et de la sacristie.

Sur place, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a pu découvrir avec beaucoup d’intérêt la richesse séculaire de ce site et se faire expliquer par ses hôtes la nature de ces travaux importants de réhabilitation.

La restauration de la collégiale Saint-Lazare intègre le dispositif des grandes priorités d’investissement des communes. Concernant en premier chef la mise en valeur du patrimoine culturel et architectural des territoires.

Ce dispositif représente pour l’Yonne 3,8 millions d’euros de subventions qui ont permis de financer un total de trente-quatre projets.

 

Thierry BRET

 

 


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Francis CHOUVILLE compte sur vous ! Sur votre générosité, votre sens du civisme et de la citoyenneté. Votre altruisme aussi, auprès de ces jeunes gens qui désirent embrasser une future carrière en s’immergeant au cœur de la structure. L’appellation fleure bon la Gascogne. Mais, les fameux Cadets de la Gendarmerie nationale n’opèrent pas sur ce sympathique territoire où l’on se sustente de magrets de canard et de cassoulets aux saveurs onctueuses ! Ils sont bel et bien basés dans l’Yonne…

 

AUXERRE: Intégrer les Cadets de la Gendarmerie nationale, c’est avant tout découvrir les différents métiers de ce corps d’armée en s’appropriant les valeurs primordiales du respect et du devoir de mémoire.

C’est aussi, se donner l’opportunité de pouvoir rejoindre un jour entre 16 et 18 ans cette structure par le prisme du Service national universel (SNU). Un véritable tremplin qui se veut être l’antichambre de l’emploi. C’est aussi se rapprocher en y déposant déjà un pied de cette grande maison que représente la Gendarmerie nationale.

En côtoyant de très près les officiers de la réserve citoyenne du corps militaire, ces jeunes gens bénéficient d’un enseignement éclectique où le sens civique possède ses lettres de noblesse.

Côté formation, les cadets sont aux premières loges pour s’imprégner des subtilités inhérentes à la profession. Officiers et sous-officiers d’active mais également ceux de la réserve opérationnelle dispensent leurs cours théoriques et pratiques à cette jeunesse en besoin de repères.

A raison d’une formation, entièrement gratuite, qui s’étale sur une douzaine de jours pendant les périodes de vacances scolaires, les néophytes sont plongés parmi les différents services de la Gendarmerie tout en recevant des cours de civisme ou en participant à des actions sur le devoir mémoriel.

Le sport est un autre versant de ce cursus complet qui comprend aussi des exercices de cohésion de groupe ainsi que des travaux d’expression et de rédaction.

Bref, autant de matières intéressantes à assimiler qui suppose un effort d’analyse et de synthèse des connaissances reçues.

 

Trouver les fonds nécessaires auprès du tissu économique…

 

Le rôle de l’association que préside Francis CHOUVILLE est capital. C’est elle qui assure la logistique et l’intendance de ce petit monde qui évolue dans un cadre bien normé avec ses uniformes, ses transports, ses hébergements et sa nourriture pendant les missions.

« Si notre association bénéficie de l’indéfectible soutien de la Gendarmerie nationale, souligne son responsable, elle ne dispose pas de mannes financières intarissables… ».

Heureusement, plusieurs collectivités de l’Yonne, à commencer par la première d’entre elles, soit le Département, offrent leurs oboles pour subvenir aux besoins des futures recrues. Mais, cela ne suffit pas malheureusement.

L’Association des Cadets de la Gendarmerie nationale a donc opté pour une autre solution en cette période de vache maigre conjoncturelle : se tourner vers les entreprises du tissu économique régional pour solliciter leur aide.

Sur ce point, Francis CHOUVILLE dispose d’un joker de luxe dans la concrétisation de cette stratégie qui commence à faire des émules dans le sérail entrepreneurial : le directeur de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT. Par ailleurs, lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie, et pourvu d’un réseau appréciable de connaissances…

 

Thierry BRET


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