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Les chiffres sont implacables : 73 % des jeunes disent être affectés sur le plan psychologique. 23 % pensent même au suicide. C’est dur et dramatique. L’empathie veut que nous les écoutions, les entendions, que nous trouvions tous des solutions pour aider cette génération en détresse. En premier, les parents. Mais aussi les amis, les professeurs, les services sociaux, l’Etat. Il est aussi de notre devoir de les aider à relativiser leurs problématiques. La déprime de la jeunesse  n’est pas un phénomène nouveau…

TRIBUNE: Tout d’abord, avec ou sans la COVID-19, les incertitudes face à l’avenir sont prégnantes. Quel métier choisir face à la mondialisation des études et des compétences ? Quand on pense que plus de la moitié des métiers qui seront pratiqués dans la prochaine décennie, ne sont encore identifiés. Dans ces conditions, comment anticiper au mieux ?

Le contexte est anxiogène à plus d’un titre. Sur le plan émotionnel et aussi sur le terrain des finances. La soupe populaire pour les jeunes est très mal vécue. Les petits boulots et les jobs complémentaires pour financer les études sont impossibles aujourd’hui. Les familles peuvent de moins en moins aider financièrement…

La raréfaction des interactions sociales n’arrange pas ce système pourvu d’angoisse ! Les étudiants quittent les parents pour aller à la faculté et se retrouvent parfois seuls, dans une ville qu’ils ne connaissent pas. Nos jeunes ne sont pas prêts à vivre la solitude et ne sont pas préparés à l’autonomie, ni par les parents ni par leurs anciens professeurs.

 

 

Les évolutions de la pensée déstabilisent la jeunesse…

 

Observons attentivement les files d’attentes de ces jeunes gens aux portes des secours alimentaires : vêtements à la mode, chaussures de sport de marques coûteuses, le dernier IPhone 12…Ce n’est pas la majorité, certes, mais globalement, nous n’avons pas appris à nos bambins à se passer du superflu quand les anciens savaient se priver de l’essentiel !

Nous n’avons pas préparé notre jeunesse à souffrir, à devoir se « battre » contre eux-mêmes pour vivre et pour survivre. On ne les a pas formés à la patience : aujourd’hui, la règle c’est l’immédiateté ! Notre jeunesse est déstabilisée par les évolutions de la pensée. Elle est de moins en moins cultivée, donc plus manipulable ! La philosophie rétrograde au rang du facultatif ou d’une discipline accessoire. Les langages sont peu décryptables, il faudrait presque des formations complémentaires : la langue des cités, la langue phonétique utilisée sur les téléphones mobiles, la langue qui donne la primauté aux femmes,…

Face à un environnement peu rassurant, les courants religieux extrémistes, la violence des cités, la drogue qui permet aux plus jeunes de dealer plutôt que de travailler ou de faire des études, s’insèrent progressivement dans notre société. On a l’impression que l’on peut être un artiste et gagner beaucoup d’argent sans efforts. BRASSENS disait : « Sans le travail, le talent n’est qu’une sale manie ». A méditer…

 

Une vie synonyme de précarité et de malheur entre 1914 et 1918

 

Nos anciens, durant leur jeunesse, ont pu dire qu’ils ont lutté contre les envahisseurs en 1914, qu’ils ont chassé le nazisme au prix de leur vie…Notre jeunesse souhaite combattre pour l’écologie mais cela génère une grande frustration, faute de moyens !

Oui, jeunes de France et de Navarre, votre situation n’est pas enviable et devient de plus en plus dramatique mais n’est pas sans solutions.

Je souhaite préciser, que dans l’histoire, la jeunesse a connu des situations dramatiques où la vie même devenait précaire et aléatoire. Une vie où le travail n’était plus au bout du chemin et où les aides alimentaires, les aides de l’Etat n’existaient pas. Que dire en effet des conscrits de 1914 ?

14-18 : c’est tout de même plus de vingt millions de morts, dont la moitié de civils ! 800 millions de personnes entrent en guerre, le quart de la population mondiale. On enregistre sur toute la durée de la guerre, 900 soldats français morts chaque jour. Au total, cette guerre compte plus de 21 millions de blessés et de mutilés, les fameuses « gueules cassées » !

« La Grande Guerre » encore appelée la « première guerre moderne », est bien connue pour les graves séquelles physiques qu’elle engendrera. A contrario, elle est moins connue pour les conséquences psychologiques qu’elle eut sur les soldats. Ce conflit fut pour les « aliénistes » un moment unique pour étudier les névroses. C’est durant celui-ci que se mit en place la première médecine d’urgences psychiatriques. La « peur morbide », les troubles psychiques affectent des centaines de milliers de soldats. Des régions entières sont concernées par des migrations massives, générant misère et famine.

 

 

Que dire de la fameuse la grippe « espagnole » de 1918 ?

 

Dans la foulée de la Première guerre mondiale, la grippe dite « espagnole », une pandémie associée à un virus de type « grippe A » ou H1N1, va provoquer la mort de 2,5 % à 5 % de la population du globe. Des chiffres hallucinants, entre 50 et 100 millions de morts ! Les autorités sanitaires ne sont pas encore sensibilisées aux gestes sanitaires. Cependant, on peut noter que dès l’automne 1918, l’Etat demande aux préfets de faire fermer les écoles et les théâtres. L’origine de la grippe espagnole est contestée : la théorie qui veut que le virus « père » soit né en Chine, à Canton semble erronée, on ne prête qu’aux riches…

On imagine sans peine, l’angoisse et le stress permanent qui va frapper, au niveau planétaire, toutes les générations.

 

Un certain « jeudi noir » : le 24 octobre 1929 !

 

Le krach  boursier de 1929, à New York, accable toute la planète et particulièrement l’Europe ! L’Allemagne vit difficilement les modalités du traité de Versailles, la pauvreté est forte. L’écrivain Pierre-Mac ORLAN décrit, en 1932, la pauvreté extrême des Berlinois. La population meurt de faim. En France, la pauvreté s’installe. On ne consomme plus, on est en surproduction et c’est la réaction en chaîne : chômage, pauvreté, misère,…soupe populaire. Les extrémistes, les fascistes et autres dictateurs trouvent un terrain propice à l’agitation populaire. Le second conflit mondial se profile. Est-il besoin de préciser les angoisses et la misère psychologique qui se  répandent sur  Terre. A cette époque, pas de cellules psychologiques, pas même de psychologues…Quand on est en survie, on ne se regarde pas trop le nombril. On doit s’adapter : la vie même en dépend !

 

Les conflits modernes s’abattent sur l’Europe et dans le monde…

 

La brutalité des chiffres est terrible pour l’Europe où l’on compte vingt millions de militaires morts et cinquante millions de civils tués. Près de trois fois plus de civils que de militaires disparaissent. C’est la guerre la plus meurtrière avec 92 millions de soldats engagés, donc des jeunes ! C’est aussi la plus choquante : 66 % de la population juive fut exterminé.

Bilan psychologique : toutes les familles des victimes sont toujours sous le choc de cette guerre très meurtrière. De plus, les personnes qui ont survécu aux camps de concentration ont énormément de difficultés à vivre comme avant. Les souvenirs qui les hantent jours et nuits sont traumatisants. Ici encore, la capacité d’adaptation  reste forte. Une question demeure : devons-nous dire seconde ou deuxième guerre mondiale ? La réponse peut être inquiétante.

Les guerres coloniales françaises dont celle avec l’Indochine engendrent 60 000 militaires français morts et des centaines de milliers de morts militaires et civils côté vietnamien. L’après-guerre aura pour conséquences des troubles physiques et psychologiques pour les deux camps.

La guerre d’Algérie, de 1954 à 1962 avec ses 25 000 militaires français tués va clore la fin des guerres coloniales françaises. A part l’approximation de l’épuration des Harkis, entre 30 000 et 150 000 morts, il n’existe aucune donnée fiable concernant le nombre de morts du côté algérien.

Durant les accords d’Evian, le FLN estime officiellement à 300 000 le nombre de morts côté algérien. Pour les plus jeunes, les harkis sont des musulmans enrôlés dans l’armée française. Après la guerre, ils sont abandonnés à leur sort par la France. Torturés et massacrés par le FLN. Les témoignages sont pléthoriques et déchirants de tous les côtés de la Méditerranée…

Les soldats français vivaient dans l’angoisse des attentats et des embuscades. En France, les attentats de l’OAS traumatisent la population. Un soldat combattant des deux guerres déclare : « J’ai laissé mon cœur au Vietnam et mon âme en Algérie ».

 

Ne pas minimiser ce que vivent les jeunes aujourd'hui ?

 

L’histoire nous montre que depuis le début de l’humanité (on vous a épargné  la guerre de Cent ans, les guerres napoléoniennes, la peste noire…), l’homme a affronté des situations dramatiques qui dépassent l’entendement. Nos aïeux témoignent : nous nous en sommes toujours sortis.

Mais, ne minimisons pas ce que vivent nos jeunes aujourd’hui. Aucune douleur n’est comparable à une autre. Les parents ont contribué à fragiliser les enfants en les surprotégeant, c’est factuel.

Que notre jeunesse soit capable de s’adapter et de dépasser leur difficulté psychologique et leur mal être, c’est certain. Aidons là, aimons là et faisons lui confiance.

« Ce dont la jeunesse a besoin, c'est qu'on lui dise qu'il y a un bateau en construction dans sa propre cale sèche mentale, et que ce bateau est destiné à prendre la mer » Aldo LEOPOLD.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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La connexion accrue entre les réseaux d’affaires et d’influence est une vertu salvatrice dont il est nécessaire de cultiver les principes par les temps qui courent. En cela, les membres du nouveau club d’entrepreneurs qui officie dans l’Auxerrois depuis juin 2020 l’ont parfaitement assimilé. En accueillant lors de sa dernière réunion en présentiel le président du CJD de l’Yonne (Centre des Jeunes Dirigeants) Marc BESANCENEZ, CARBAO élargit sa vision stratégique en matière de relations publiques et d’opportunités de business…

AUXERRE : Une quinzaine de chefs d’entreprises issus d’un panel éclectique de la sphère professionnelle composent l’ossature névralgique de ce nouveau club d’affaires et de recommandation par le bouche à oreille. Une terminologie basique qui a donné naissance par un simple acronyme au sigle « CARBAO » !

Officiellement porté sur les fonts baptismaux à l’été 2020, mais après une longue période de gestation mûrie depuis 2018, ce réseau flambant neuf qui opère sur le territoire de l’Yonne fait petit à petit son bonhomme de chemin dans le sérail des décideurs économiques.

Ici, les valeurs intrinsèques de ce club ont pour raison d’être l’échange, l’éthique et le business. Car, il ne faut pas se voiler la face : les entrepreneurs qui investissent de leur précieux temps et un peu de leurs deniers personnels dans une cotisation annuelle de mille euros veulent faire fructifier intelligemment leur implication.

Constitué de dirigeantes (une minorité à l’heure actuelle) et de dirigeants qui cherchent à développer un réseau de qualité afin de booster leurs affaires, CARBAO propose des réunions bimensuelles en présentiel (il est bien l’un des rares à le réaliser aujourd’hui sur l’Auxerrois dans les conditions requises du moment, à savoir avec le respect des gestes barrières et de la distanciation physique), accueilli dans les salons de l’hôtel Ibis Style.

Un credo résume son action : gagner du temps avec de vraies mises en relation physiques au sein du club afin d’optimiser la performance des activités !

 

 

 

De nouvelles créations de club prévues en 2021 dans la région…

 

Deux figures de l’entrepreneuriat icaunais s’érigent en porte-étendard de ce club : Stéphane ROBERT, promoteur de la structure à l’échelle de notre contrée Bourgogne Franche-Comté et Eric CHEVALLIER, président de l’antenne auxerroise. Ils appliquent avec la même méthodologie la philosophie du tandem, Walter BELLON et Sébastien REY, co-fondateurs de ce réseau apparu en 2013 et qui ne cesse depuis de faire des émules aux quatre coins de l’Hexagone.

Dans l’Yonne, CARBAO s’est également positionné à Sens avec aux manettes directionnelles Pascal CARLO, un chef d’entreprise qui évolue dans le secteur de l’évènementiel.

CARBAO devrait s’enrichir d’une vingtaine de nouveaux clubs cette année. Nevers, Chalon-sur-Saône, Dijon, Troyes, Orléans sont d’ores et déjà fonctionnels ou en phase de l’être.

 

 

 

En janvier, le club auxerrois a accueilli un invité de référence lors de sa session matinale en la personne de Marc BESANCENEZ, directeur général du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre. Mais, l’invité du jour possédait également une autre casquette fort intéressante pour alimenter les débats : celle de président du CJD de l’Yonne, le Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprises.

On l’aura compris aisément, les ponts entre les deux réseaux peuvent ainsi se relier avec aisance dans la perspective, pourquoi pas, de futurs projets en commun.

Une rencontre entre les étudiants, peut-être avec ceux du BTS, du premier groupe scolaire privé de l’Yonne et les membres de CARBAO ne semble pas être exclue dans un proche avenir. Histoire de partager un retour d’expériences de ce que vit un acteur économique aujourd’hui.

Parmi les autres missions portées par ce jeune club, le soutien à la jeune entrepreneuse Julie ESCAFIT qui vient de lancer sa société de couture à Sens, « De Fil en Couleur ». Un parrainage fort utile pour mettre en orbite la jeune femme.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il est un peu plus de 16 heures en Chine alors que la pendule du salon officiel de l’AJA indique la demi-heure de neuf heures à Auxerre. Malgré le décalage horaire, on ressent une certaine fébrilité chez les signataires bourguignons de ce nouveau partenariat. Le quatrième avec l’ex-Empire du Milieu. Entre l’AJ Auxerre et son puissant partenaire asiatique, la « nuit de Chine » tourne à la romance câline. Logique, cet  accord supplémentaire se veut très prometteur au niveau de la formation…

AUXERRE : Et de quatre pour l’AJ Auxerre ! Le club de football bourguignon tisse patiemment sa toile relationnelle à l’international avec ses homologues chinois à grand renfort de conventions de partenariat.

La dernière en date, paraphée à distance grâce à la magie de la visioconférence il y a quelques jours entre ses dirigeants, entérine le rapprochement de la structure icaunaise avec le HUAZHENG Football Club.

Implantée dans la mégapole de Shanghai, cette formation accueille près de deux cents adeptes de la discipline sportive la plus populaire au monde dans un panel d’équipes allant des U 7 aux U 22.

Rayonnant dans la capitale économique du pays et de ses agglomérations limitrophes, ce club chinois offre l’heureuse opportunité à l’AJA d’amplifier sa reconnaissance dans ce secteur géographique.

Depuis 2018, le club présidé par Francis GRAILLE a noué des liens privilégiés avec les structures sportives chinoises sous l’impulsion de son actionnaire majoritaire, James ZHOU.

Il y a créé localement ses deux premières académies de football. Celle de BENGBU, située dans l’un des districts de Shanghai, ville aux 26 millions d’habitants. Puis, ce fut au tour de JINSHAN, d’accueillir un complexe de formation similaire. En mai 2019, le club auxerrois se rapprochait de la Fédération de football de Shanghai afin de porter les bases constructives d’une relation durable.

 

 

 

De quoi est fait cet accord entre les deux partenaires ?

 

Si le club de l’Yonne accentue sa dimension internationale et son rayonnement bien au-delà de son territoire avec cette nouvelle aventure, c’est surtout au niveau de la formation que ce rapprochement stratégique s’avère intéressant.

Club très expérimenté au niveau de la formation des jeunes pousses, l’AJ Auxerre possède une réelle expérience en matière de pédagogie et sa méthode spécifique qu’il entend exporter vers la Chine.

Non seulement, il est question de détecter de nouveaux talents sur le terrain mais aussi d’apporter son savoir-faire aux éducateurs chinois. Sur place, à quelques milliers de kilomètres de l’Yonne, l’Auxerrois David VANDENBOSSCHE réalise un travail de qualité apprécié par toutes les parties.

 

 

 

L’objectif est d’aborder de manière professionnelle les aspects techniques avec les joueurs mais aussi leurs éducateurs.

« Les installations de ce club sont dignes d’une formation professionnelle européenne, précise l’éducateur, avec neuf terrains en herbe et autant en pelouse synthétique. L’objectif à terme sera de repérer de quatre à cinq bons éléments pouvant par la suite intégrer le centre de formation à Auxerre… ».

Entre le football chinois et l’AJ Auxerre, l’histoire d’amour devrait perdurer encore longtemps.

 

Thierry BRET

 

 


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Croisant les doigts pour que les soubresauts imprévisibles de la crise sanitaire ne viennent contrecarrer le projet à la dernière minute, Cindy GENDRIN affiche sa confiance. L’exprimant par son large sourire ! Destinée aux familles, l’opération des portes ouvertes se déroulera bel et bien ce samedi 30 janvier à Auxerre en matinée. Conformément à la feuille de route initiale telle qu’elle avait été définie...

AUXERRE: L’évènement est suffisamment rare par les temps qui courent pour qu’il soit dument signalé au niveau médiatique. Une école de l’Auxerrois, celle qui enseigne les préceptes pédagogiques chers à Maria MONTESSORI, propose ses traditionnelles portes ouvertes ce samedi 30 janvier.

Accueilli dans un cadre cosy au charme très agréable (le bois y est omniprésent) tout en étant fonctionnel et ergonomique pour favoriser l’épanouissement éducatif des enfants, au 14 Quai de la Marine, l’établissement (l’un des deux existants dans l’Yonne avec celui du projet ULTERIA de Saint-Bris-le-Vineux) se destine aux têtes blondes de la maternelle et du niveau élémentaire.

Ils y reçoivent un enseignement de qualité où l’intérêt éducatif de l’enfant est la clé de voûte de tout cet édifice instructif. Via des méthodes pédagogiques qui sont individualisées et très éloignées de celles usitées d’ordinaire par l’Education nationale où des classes peuvent allègrement dépasser la barre de la trentaine d’élèves, pour ne pas dire plus !

Néfaste et proprement ingérable pour celles et ceux de ces jeunes apprenants qui ont besoin de davantage d’attention dans le domaine de la compréhension et de l’éveil.

 

 

Permettre à l’enfant de trouver sa place dans ce monde…

 

La méthode, même si elle est encore très hermétique au savoir populaire de bon nombre de parents, semble faire des disciples. En témoigne cette école auxerroise qui est opérationnelle depuis près de trois ans et qui ne cesse de progresser en matière de contingence.

Par petits groupes, les jeunes pousses de cette instruction spécifique se sentent tellement bien dans cet univers scolaire à l’originalité affirmée qu’ils ont hâte de revenir de leurs lieux de vacances afin de retrouver la classe !

L’école se découvre sur deux niveaux d’occupation selon les différents enseignements. Tout y est dimensionné en gabarit culotte courte pour le mobilier. Les adultes ne peuvent que se tenir debout !

Ce sont en effet les deux éducatrices en poste, une assistante et une stagiaire. Un effectif suffisant pour faire tourner la boutique de manière convenable et qui devrait néanmoins se doter d’une fonction d’assistante supplémentaire en cours de saison.

La philosophie de cet enseignement est simple : le monde s’ouvre à l’enfant, il y trouve enfin sa place grâce à des méthodes éducatives qui lui sont adaptées. Vertueux à bien des égards, n’est-il pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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L’art et la manière d’accommoder le conditionnement des plats à la problématique existentielle des restaurateurs dans ce contexte sanitaire si éprouvant à l’exercice de leur profession : c’est l’enjeu de l’atelier de travail mis en œuvre la semaine prochaine par la filière pour valoriser leur savoir-faire auprès des consommateurs. Pour relayer le message : trois parrains de poids, habitués à ces considérations de pure logistique : la toque étoilée Franco BOWANEE, le chef Jérôme JOUBERT et le maître des traiteurs Didier CHAPUIS…

AUXERRE : Quand le contenu d’une barquette se doit d’être sublimé au fond de l’assiette au niveau de son esthétisme ! C’est le credo des professionnels de la restauration qui sont confrontés à la pire des crises économiques de leur existence.

Une exigence vers laquelle ils doivent cheminer pour convaincre et séduire une frange inhabituelle de leur clientèle, celle qui fréquente les traditionnels marchés. Et pas nécessairement, les salles aux envoûtants effluves gourmands de leurs établissements.

Pour mieux appréhender le sujet, le CIFA de l’Yonne et l’enseigne METRO Auxerre, l’un des partenaires incontournables de la sphère gastronomique instigatrice de l’opération Place aux Restos, proposent des réponses étayées à offrir aux restaurateurs en voie de diversification d’activité.

Une séance pédagogique autour de cette sensibilisation améliorée des recettes à emporter sera donc déclinée le 04 février en matinée.

 

 

 

Professionnaliser les offres à emporter : le gage du succès…

 

Ouverte à ces artisans en quête de retour en grâce consumériste, la session aura pour parrains des spécialistes de la question. Le chef étoilé du Château de Vault-de-Lugny Franco BOWANEE a d’ores et déjà confirmé sa présence. Lui qui n’a pas hésité à s’investir en présentiel vendredi dernier lors du marché de l’Arquebuse à Auxerre dans le cadre de l’opération promotionnelle Place aux Restos, stand à l’appui !

Autre partenaire qui a répondu en faveur de cette initiative faite de partage de savoirs et de technicité : Didier CHAPUIS. Le patron des FESTINS de Bourgogne, fort de ses expériences nourries depuis plus de vingt-cinq ans via ses entreprises, saura trouver les mots justes. Pour que les restaurateurs les appliquent au mieux !

On notera aussi la participation du chef du Rive Gauche à Joigny, Jérôme JOUBERT, auteur il y a peu d’une initiative similaire dans les locaux de METRO pour sensibiliser ses confrères à ces approches indispensables à la survie de leurs affaires.

Professionnaliser les offres à emporter est devenu le gage de la réussite d’une animation qui tend à s’élargir à l’ensemble du département…

 

Thierry BRET

 

 


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