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Au cœur de l’actualité depuis plusieurs semaines, la réforme des retraites n’est toutefois pas une obligation. Contrairement à d’autres mesures, prises tout récemment. N’étant pas soumis à une quelconque pression financière sur le sujet, le gouvernement peut se permettre d’évaluer les besoins de chaque régime de retraite à son rythme, et de réfléchir posément. Avant de présenter une série de propositions au cours du premier semestre 2020. C’est ce qu’ont précisé la porte-parole du gouvernement, Sibeth NDIAYE et le secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, Adrien TAQUET, lors de leur venue à Auxerre, dernièrement…

AUXERRE : Une chose est certaine avant que ne tombent sur les télescripteurs médiatiques les premières propositions faites par le gouvernement au cours des six prochains mois : la réforme des retraites concernera les citoyens nés après 1963.

Elle ne devrait s’appliquer qu’à partir de 2025, en sachant que tout ce qui a été acquis le reste avec un calcul favorable, voire plus avantageux pour le futur bénéficiaire.

La visite en territoire icaunais des deux représentants du gouvernement PHILIPPE n’avait d’autres prétentions que de pouvoir expliquer les grands principes de cette réforme qui fait crée le débat parmi la société française.

Un préambule confirmé par les propos de la porte-parole, Sibeth NDIAYE, qui rappela l’importance de ces rencontres auprès des citoyens pour les membres du gouvernement.

« Nous devons nous présenter à eux et écouter en retour ce qu’ils pensent réellement de ce projet de réforme… ».

Une cinquantaine d’Auxerrois eurent ainsi ce privilège d’en savoir davantage sur les arcanes du pouvoir et les réflexions qui en résultent sur un thème chaud bouillant qui pourrait bien mettre la France dans la rue d’ici peu.

Pédagogue, l’experte es communication du gouvernement prit soin de se lancer dans une explication de texte détaillée autour du mode de calcul de la retraite ; tel qu’il fut statué au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

A l’époque, précisa-t-elle, le chômage était inexistant, avec un régime universel et un quota d’actifs équivalent à quatre salariés pour un retraité.

Puis vint le temps de l’adoption des 42 régimes spéciaux (ceux qui occasionnent autant de remous dans la sphère sociale et corporatiste), avant que le système accuse le coup après l’arrivée du baby-boom et de son flux grandissant de jeunes retraités sur le marché de l’oisiveté. Soit aujourd’hui, un actif et demi pour un retraité. On l’aura compris : le système a du plomb dans l’aile…

 

 

Un retour au régime universel où tout le monde bénéficierait des mêmes droits…

 

Dans un second temps, l’intervention du charismatique porte-voix de l’Etat s’orienta sur les parcours de vie. Ceux qui évoluent avec un profil plutôt linéaire.

«  Auparavant, poursuit-elle, les gens exerçaient un seul métier durant leur carrière professionnelle. Le plus souvent dans la même entreprise. Et ce jusqu’à l’âge de la retraite. Aujourd’hui, nous constatons des changements tant sur les métiers exercés avec des passages du privé au public ou vice-versa, que sur le cumul de plusieurs régimes, entrecoupé parfois de périodes de chômage… ».

Sibeth NDIAYE ne manqua pas d’évoquer la féminisation des carrières. Celles-ci étant souvent interrompues par des grossesses, voire des temps partiels, avec au final en guise de résultante pour une femme sur cinq, une retraite obtenue à 67 ans.

La porte-parole de Matignon aborda ensuite dans ses explicatifs les grands principes de ce projet de réforme.

Il s’agira avant toute chose de conserver le régime par répartition qui sécurise le système, en revenant néanmoins à un régime universel, où tout le monde sera placé à la même enseigne.

« Chaque heure travaillée donnera droit à des points y compris les petits boulots saisonniers tenus par des étudiants, ajouta la représentante de l’Etat, un seuil minimum contributif de mille euros serait également mis en place… ».

Plusieurs interrogations fusèrent de l’assistance dans l’écoute. Ainsi, Sibeth NDIAYE confirma que le montant du point serait fixé par les exécutifs avec les organisations syndicales, que celui-ci serait indexé sur les salaires des actifs et non sur le point de l’inflation.

D’autres idées furent abordées plus en aval de la réunion : la création d’un carnet de travail numérique afin de suivre l’évolution des personnes au travail. Ce qui pourrait englober la connaissance de leurs droits, la pénibilité, la santé, le handicap, le chômage qui serait pris en compte.

Il y aurait enfin la possibilité de proposer une valorisation progressive pour les femmes avec la prise en compte d’enfants, et ce dès la première naissance.

Des pistes de réflexion qui ont nourri une rencontre studieuse et passionnante, avant que ne soit présenté le futur schéma gouvernemental dès le printemps.

Maryline GANDON

 


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Longtemps espéré, mais jamais obtenu au grand dam des consommateurs de l’Auxerrois, le projet d’ouverture de la FNAC, tel un Phénix renaissant de ses cendres, refait surface en ce mois d’octobre. Son installation pourrait même se concrétiser d’ici quelques mois et occuper un des espaces névralgiques de l’activité commerçante du centre-ville, le Carré du Temple. Mettant un terme définitif à des années de rumeurs et autres supputations en tout genre. Toutefois, si cette venue se confirmait, elle devrait s’effectuer dans un esprit d’offre culturelle plurielle comme l’a déjà fait savoir l’édile d’Auxerre Guy FEREZ…

AUXERRE : Viendra ? Ou ne viendra pas ? Durant de longues années, la question se posait avec la régularité d’un métronome parmi toutes les strates de la population encline à l’implantation d’un poids lourd de la diffusion culturelle : la FNAC.

Or, force est de constater que les ouvertures de la fameuse enseigne se sont souvent succédées dans les quatre coins de l’Hexagone, en évitant soigneusement le département septentrional de la Bourgogne.

Engendrant la frustration naturelle de celles et ceux de nos concitoyens icaunais qui voulaient bénéficier du choix pléthorique des offres culturelles et des prix bons marchés, assurés par ce distributeur national.

Se rendre dans une FNAC supposait alors prendre son bâton de pèlerin et se mouvoir au plus près à Dijon, à Paris, à Orléans ou à Troyes ! Fin du premier acte !  

Et voilà qu’en cette fin d’année 2019 ou presque, ce vieux serpent de mer remonte à la surface pour humer de nouveaux embruns pouvant être profitables pour le consumérisme de l’Yonne. Cette fois-ci de manière quasi palpable.

Un compromis de vente a été signé entre les propriétaires du Carré du Temple, pratiquement vierge de toutes vitrines commerçantes depuis belle lurette si ce n’est un opticien et une boutique de prêt-à-porter, et l’actuel exploitant de la FNAC de Nevers. Le désir de ce dernier est simple et légitime : accroître sa présence sur le terrain en concevant un judicieux maillage entre les deux territoires en y posant ses jalons.

 

Un compromis de vente confirmé par la municipalité

 

Alors qu’un scientifique vient de démontrer, preuves à l’appui, que « Nessie », ce gentil monstre du Loch Ness en Ecosse, n’existait pas (il ne faut pas prendre de gigantesques anguilles pour des lanternes !), c’est donc un autre mythe qui tombe avec l’installation quasi probable d’une FNAC à Auxerre après tant d’années d’espérance !

Faisant taire de manière définitive toutes les rumeurs plus ou moins fondées qui ont couru au fil des années sur les réseaux sociaux quant à l’hypothèse d’une éventuelle ouverture.

La signature de ce compromis de vente induisant la probable installation de la FNAC a même engendré la réaction officielle du maire de la ville et président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Via un communiqué de presse, émanant de son cabinet, Guy FEREZ s’autorise une double expression faisant foi de réaction officielle.

« Si la vente se confirme, cela appelle à deux réflexions de ma part, commente-t-il, premièrement, lorsque la FNAC choisit de s’installer dans le cœur d’une ville, c’est le signe qu’elle croit en la force et l’attractivité de ce cœur. Cette force et cette attractivité résultent de la complémentarité entre l’initiative publique, celle de la ville, et l’initiative privée : la FNAC, aujourd’hui ; d’autres services et commerces, demain… ».

 

 

Préserver les intérêts économiques des indépendants…

 

Mais, plus en avant, Guy FEREZ rappelle que l’offre culturelle est plurielle et qu’elle a pour vocation à le rester.

« Deuxièmement, le centre-ville doit maintenir la variété des commerces, dans leur offre et sans esprit de domination… ».

En terme clair, le maire de la capitale de l’Yonne pose des garde-fous pour que cette future ouverture de ce poids lourd de la distribution ne vienne pas contrarier les activités professionnels des indépendants. Et de surcroît, celles de la librairie indépendante du cœur de ville. 

« Toutes les présences commerçantes ont pour vocation à s’additionner… exprime-t-il un peu plus loin.

On l’aura compris : Guy FEREZ souhaite que s’applique des règles d’intelligence entre professionnels afin de préserver et faire prospérer les activités économiques.

 


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Heureux élèves et apprentis qui fréquentent ces deux établissements du paysage pédagogique icaunais ! Désormais, pour celles et ceux qui ont choisi d’exercer leur savoir dans la filière technique et mécanique autour de l’automobile, parfaire leur degré de connaissance en étudiant des véhicules du dernier cri transforme le rêve en une tangible réalité. Grâce à la volonté d’un constructeur, l’allemand BMW, et celle d’une structure qui est dépositaire de la marque sur notre territoire, le groupe PANEL…

AUXERRE : L’initiative est suffisamment rare pour qu’elle mérite d’être relayée. Le constructeur d’Outre-Rhin, BMW, se positionne depuis bientôt deux ans sur un secteur où peu de ses coreligionnaires internationaux ne s’aventurent guère : celui de la formation distillée auprès des plus jeunes. Cela est possible grâce à la déclinaison d’un programme que l’entreprise porte avec conviction et entend bien accroître à l’avenir (voir article correspondant).

Hormis les marques de l’Hexagone, peu ou prou d’établissements pédagogiques français dispensant une offre mécanique et technique autour du milieu automobile enseignent la pratique de ses disciplines en leur sein avec des supports fabriqués hors de nos frontières.

Nonobstant, les choses évoluent en faveur de cet élargissement des possibles, c’est-à-dire depuis dix-huit mois, par l’entremise de BMW.

Le geste altruiste et généreux que les dirigeants du groupe scolaire Louis Davier et du centre de formation interprofessionnelle par l’apprentissage (CIFA) ont vécu lundi soir à la concession auxerroise du groupe PANEL, traduit ce nouvel état de grâce impulsé par un constructeur qui affiche son soutien à cette recrudescence de pédagogie utile.

 

 

 

S’inscrire comme un acteur indissociable de la formation auprès des jeunes

 

Dans l’absolu, deux véhicules rutilants et neufs ont été offerts aux responsables de ces deux établissements. D’une belle couleur bleu métallisée, le premier modèle rejoint les ateliers du lycée Davier de Joigny, dirigé par Jean-Marc VATINET.

Le second véhicule, au coloris plus sombre et sobre, mais de caractéristiques similaires au plan modernisme, équipera la cellule mécanique du CIFA de l’Yonne. Un cadeau béni des dieux pour son tandem de dirigeants, Michel TONNELLIER, le président, et Marcel FONTBONNE, directeur de ce pôle où se prône l’alternance, ce qui satisfait près de mille apprenants.

Le groupe PANEL, implanté dans deux régions distinctes mais limitrophes (Ile-de-France et Bourgogne Franche-Comté) via deux de ses départements (Seine-et-Marne, Yonne), assurait avec beaucoup d’enthousiasme cette mission de bons offices entre le constructeur et le monde de l’éducation.

Et en cela, cette situation ne laissait pas la part belle au hasard. Le concessionnaire automobile accueille chaque année au sein de l’une de ses quatre vitrines commerciales et SAV (Melun, Fontainebleau, Auxerre et Sens) des apprentis ayant opté pour l’alternance. Le geste consenti auprès des groupes pédagogiques correspond à une manière idoine de renvoyer l’ascenseur. Sachant que PANEL pratique à bon escient la culture d’entreprise en préparant de jeunes apprentis aux spécificités techniques inhérentes à la motorisation BMW, considérée comme l’un des fleurons de la performance technologique dans le microcosme automobile.

D’ailleurs, dès l’année prochaine, la société concessionnaire présidée par Antoine SABRIE devrait optimiser l’effectif de l’une de ses structures, celle de Sens, en y intégrant un jeune issu d’un contrat d’apprentissage.

 

 

 

Quelle perspective pour les deux véhicules ?

 

Désossées, décortiquées, analysées, étudiées, voire « éviscérées » au plus profond de leurs entrailles mécaniques, les deux automobiles permettront aux jeunes pousses de la filière de se faire les dents au cours de cette prochaine décade.

Et accessoirement, la main en confortant leur savoir-faire qu’ils soient en section CAP, bac pro ou BTS.

Comme devait le stipuler, non sans un trait d’humour qui le caractérise le proviseur du lycée Louis Davier, Jean-Marc VATINET, en s’adressant aux représentants de la direction BMW France et du groupe PANEL : « merci d’avoir sacrifié l’un de vos enfants pour une noble cause, celle de la pédagogie ! ».

De son côté, Michel TONNELLIER, pour le CIFA de l’Yonne, se satisfit de cette belle initiative mise en exergue par BMW en faveur des jeunes apprenants.

 

 

 

 


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Le mot représente la clé de voûte de toutes les réussites de l’existence. Qu’elles soient intimement liées à sa vie personnelle comme professionnelle. Pourtant, dans la société d’aujourd’hui, peu de gens ose. Par peur, par crainte du qu’en dira-t-on imposé par le regard des autres. Par pudeur, aussi parfois. Mais, oser représente un véritable moyen de prendre des initiatives, de surmonter les obstacles et de vaincre toutes ses inhibitions. Alors, oser dans votre vie quotidienne en connaissance de cause…

TRIBUNE : Ma perception du mot « oser » est traduite par ces quelques mots de Karine VIARD dans « Les Feux de la Rampe » : il faut oser d'abord et doser ensuite...Donc, l'antonyme du mot « oser » est le mot improviser.

Oser, c'est mettre en lumière tout son potentiel, accepter les challenges et braver les impondérables. C'est être un audacieux en se permettant l'impensable et en déclenchant les opportunités.

La réussite du mot « oser » dépendra de toute la logistique qui sera mise en place avec sagesse en amont et de la clarté de son champ d'action.

Zig ZIGLAR, conférencier à succès aux Etats-Unis, est une légende dans le domaine du développement personnel. Pour lui, « on ne peut atteindre une cible que l'on ne voit pas… ».

Cette dynamique est assimilée à la préparation d'une épreuve sportive. Elle concerne tous les domaines en termes de projets pros, d'affect ou d'amitiés. C'est une implication de tous les instants. C'est planifier pour sécuriser car oser, c’est se lancer. Cela ne s'improvise pas. C'est tout un processus pour saisir la bonne clé qui va ouvrir différentes portes pour avancer…

 

« Le succès n'est qu'affaire de but, tout le reste est baratin… » Lloyd CONANT

 

Les clés propices à l'approche de ce but se formalisent par différentes étapes. L'envie apporte une résonance au mot car la motivation reste la priorité essentielle pour commencer. La réflexion donne le tempo. Juste pour se centrer sur soi et pour planifier des champs d'actions réalisables.

La préparation démarre par des challenges à la hauteur de ses compétences et des performances pour que la notion de plaisir soit présente, et éviter ainsi la pression.

L'action juste opère quand les actions menées seront générées par des résultats et des attentes qui vont évolués dans le temps.

Le plaisir a son importance : c'est un des facteurs les plus cruciaux pour pouvoir oser. Si tout ce qui est concrétisé est réalisé avec du plaisir, l'impact sera automatiquement positif pour toute action dans la vie.

La fierté est la satisfaction d'avoir transcendé les différents challenges que la vie a imposé  avec ses lots de petits pas et de pas de géants. Malgré tout, le but final atteint rend légitime cette fierté d'avoir accompli son but.

 

 

Se lancer dans le vide en toute sécurité…

 

Le tempo du mot oser, c’est aussi le lâcher prise pendant la transition de l'ancrage de son but en acceptant de sortir de sa zone de sécurité ambiante, confortable. Mais, c’est aussi celle qui nous emprisonne en acceptant de faire confiance en la vie.

Il faut être à l'écoute de cette petite voie intuitive qui murmure en toute justesse le bon chemin à suivre. Saisir les opportunités relationnelles et professionnelles mais de qualité. Mener sa vie avec ses propres convictions. Se lancer dans le vide mais en sécurité. Croire en son plein potentiel. Adhérer au tout est possible.

Wayne DYER, conférencier et psychologue, a écrit : « chaque enfant vient au monde en possession d'ordres secrets… ».

Tout potentiel inné est sous-jacent d'actions souterraines à mener d'une main de fer pour se déployer et avancer. Le « génie » créatif est inhérent à chacun mais l'intelligence de notre boussole intérieure se fraiera subtilement ou radicalement un chemin pour être à sa juste place.

Oser, c'est ce que la vie attend de nous. Allez-vous enfin oser pour vous démasquer et assumer votre véritable identité ? Souvenons-nous que GOETHE disait : « tout est difficile avant de devenir facile… ».

Une phrase à méditer avant d’oser !

Lyvia ROBERT

 


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Organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, l’animation « Monte ta boîte », quatrième du nom, a accueilli plus d’une centaine de porteurs de projets, créateurs ou repreneurs d’entreprises ce mardi. Une trentaine de partenaires institutionnels mais aussi de milieux bancaires et acteurs de l’accompagnement entrepreneurial délivraient lors de rendez-vous individualisés leurs conseils sur le cheminement à suivre…

MONETEAU : L’attente est propice à l’anxiété, comme chacun le sait. Assis sur leur chaise, les apprentis entrepreneurs du jour rongent leur frein en révisant leurs gammes à voix basse. Dans un court instant, ils n’auront qu’un pauvre petit quart d’heure pour réciter leur leçon, du moins présenter l’esquisse d’un business-plan, à leur interlocuteur impitoyable qui les invitera à prendre la parole.

L’atelier se nomme « Espace crash test : les quinze minutes pour convaincre ». Un delta temporel bien trop court pour certains, celles et ceux qui ont des choses à dire. Peut-être un tantinet trop long pour les avares de formules phrasées toutes faites. Une chose est sûre : l’exercice ne peut que galvaniser les porteurs de projets en proie parfois aux affres du doute.

Ils et elles sont professionnels de la banque, de l’expertise-comptable, de l’accompagnement aux entreprises. Durant le laps de temps imparti à cet atelier, ils délivreront de judicieuses indications afin de remettre les candidats dans le sens de la marche. Ces personnes, plus d’une centaine, ont opté pour une visite pédagogique sur le salon « Monte ta boîte », concept créé de toute pièce par la chambre consulaire. Ils le quitteront avec beaucoup de renseignements précieux et des certitudes.

 

 

Un copieux programme articulé autour de conférences et d’ateliers…

 

Avec au coin de leur tête, cette affirmation criante de vérité : si créer sa structure professionnelle n’est pas un long fleuve tranquille, il existe a contrario de nombreuses possibilités de s’entourer de professionnels pour être bien encadré.

Une trentaine de ces exégètes occupaient des points d’accueil clairement identifiés afin de prodiguer leur savoir : des établissements bancaires, des spécialistes de la filière des chiffres et du droit, les acteurs du pôle juridique, les fiscalistes, les structures qui déploient leurs services dans l’accompagnement telles que ADIE ou INITIACTIVE 89.

Ces lieux d’accueil recevaient le soutien des équipes propres à la CCI de l’Yonne, positionnées dans la partie centrale du salon. Chiffres clés et études de marché, formation, hébergement des entreprises, statistiques, import/export, innovation, développement durable, communication…pas l’once d’un oubli dans ce panel très représentatif des potentialités offertes aux futurs entrepreneurs par la vénérable institution.

L’après-midi sera ponctuée de deux conférences : l’une portant sur les aides sociales et fiscales. L’autre se rapportant aux aides auxquelles peuvent prétendre les porteurs de projets à leur financement d’un projet. Avant que ne s’achève cette nouvelle édition profitable à celles et ceux qui y auront participé…

 

 

 


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