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Chantre de l’emploi industriel et de sa valorisation par le biais de l’apprentissage et de l’alternance, le président du Pôle Formation Nièvre Yonne parle. Un succédané de ce que devrait être son intervention publique à la tribune de la Maison de l’Entreprise au moment des vœux, ce jeudi soir. L’homme s’interroge. Sur le devenir de la filière industrielle de notre territoire alors que les entreprises regorgent d’emplois dont elles ne trouvent pas preneur. Faute de volontaires qualifiés et surtout motivés pour tenir ces postes. Pourtant, les envies sont là. Palpables au niveau de ce centre de formation qui souhaite endiguer la morosité ambiante et proposer de construire un avenir meilleur à celles et ceux qui mouillent la chemise dans l’entrepreneuriat…

 

AUXERRE : André BEX serait plutôt du genre taiseux, d’ordinaire. Le personnage se veut plutôt discret et humble. Nonobstant, il est néanmoins l’une des chevilles ouvrières essentielles de la sphère industrielle qui agit au quotidien sur notre territoire.

Jeudi soir, aux côtés d’Etienne CANO, président du MEDEF, de Jean-Dominique DA GREGORIO, qui lui a succédé au poste de responsable de l’UIMM (Union des industries des métiers de la métallurgie en 2019) et de Claude VAUCOULOUX, délégué général de la Maison de l’Entreprise, l’ancien dirigeant de FIMM sera propulsé sur le devant de la scène. A la tribune de l’amphithéâtre face à un auditoire d’entrepreneurs et d’institutionnels à l’écoute du moindre de ses mots.   

Aujourd’hui, membre de la caste des retraités très actifs, André BEX a pris les rênes du Pôle Formation technologique de l’industrie. Un challenge capital pour celui qui voue une admiration sans borne à celles et ceux qui intègrent la vie professionnelle en ayant emprunté la voie de l’apprentissage et de l’alternance. 

« Il y a belle lurette que l’Allemagne a tout compris de l’insertion dans la vie active, lâche-t-il avec insistance, montrant qu’en la matière l’Hexagone peut encore prendre des leçons de son puissant voisin. Vous savez, ajoute-t-il, la formation sert à maintenir les compétences et à faire évoluer l’ensemble des collaborateurs des sociétés industrielles vers les nouvelles technologies. Elle ne s’adresse donc pas exclusivement aux demandeurs d’emploi. C’est l’une des missions régaliennes de la Maison de l’Entreprise et de son Pôle de formation que de vouloir développer le niveau de compétences des salariés de l’univers industriel de notre territoire… ».

Mis à mal au cours de l’exercice antérieur, la faute à l’Etat qui a su compliquer les choses en voulant changer la donne applicative au niveau de la formation, le Pôle repart pourtant de plus belle en 2020.

 

 

Toujours une présence maintenue à Sens…

 

 

L’ouverture à la concurrence aux entreprises qui désirent développer par elles-mêmes leur propre formation laisse son président dubitatif. Et imperméable. Tout autant que celui que les pouvoirs publics veulent accorder à l’Education nationale à ce propos.  

« L’Education nationale n’a pas les compétences voulues de former les gens qui se destinent ensuite vers l’emploi. Ni même la philosophie. Je m’interroge car son approche est plutôt dogmatique où les notions d’apprendre à lire, à écrire et à compter ne suffisent pas car in fine, trop de jeunes gens éprouvent encore de sérieuses difficultés à s’intégrer. Le dogmatisme en matière de formation ne doit plus être. Il est nécessaire d’être réactif et posséder une vision pragmatique à l’avenir pour réussir sa formation professionnelle… ».

Malgré cela, l’Education nationale devrait créer cette typologie de centres qui pourrait concurrencer tôt ou tard le pôle nord-bourguignon.

 

 

Résolument optimiste, André BEX sait qu’il y aura sans doute d’autres efforts à réaliser afin que l’équilibre, base naturelle de l’édifice, soit respectée. Mais, il le martèle lors de son entretien : « Nous avons l’obligation de former des personnes qui rejoindront ensuite les entreprises de la métallurgie et de l’industrie. C’est pourquoi notre présence à Sens demeure d’actualité. Même si les espaces dédiés de l’ESY ont été fermés, notre organisme s’est porté acquéreur d’une centaine de mètres carrés de bureaux qui accueilleront d’ici peu le suivi des cours théoriques ainsi que des réunions professionnelles… ».

 

Répondre aux besoins immédiats de la métallurgie

 

L’aide au recrutement est une autre manière de justifier la mission vécue par le Pôle Formation 58 89. Et en la matière, l’organisme dispose de pléthore d’arguments favorables à son épanouissement, via les CAP, BP, Bac pro et BTS, dont il dispose. Y compris les cycles pédagogiques menant à la qualification d’ingénieur.

« On dit souvent que l’apprentissage reflète une mauvaise image autour de lui. Telle une voie de garage à suivre par des parias de l’Education nationale. Ce n’est pas vrai ! Même la filière industrielle souffre de cet effet gigogne alors qu’il n’y a jamais eu autant de postes à pourvoir de façon instantanée. Mais, j’attire aussi l’attention de ces entrepreneurs qui ne permettent plus à leurs salariés de conserver leur passion du métier. Pourtant, plus de vingt-cinq mille emplois ont vu le jour l’année dernière en France dans le secteur industriel. Ce n’est pas rien ! Quant aux salaires, ils sont corrects : les jobs de la métallurgie sont payés 13 % de mieux que pour la plupart des métiers proposés par l’industrie… ».

Toutefois, la motivation à laquelle tout le monde prétend ne se résume pas au seul salaire attribué. André BEX le conçoit : il est indispensable d’aider les collaborateurs à évoluer vers le haut, par le prisme de la formation, et surtout, par la reconnaissance humaine, un item dont la plupart des entrepreneurs de l’Hexagone, quel que soit le secteur d’activité, ont encore du mal en mettre en exergue…

Signe des temps : l’industrie à la pointe de la  technologie semble interpeller les jeunes générations. Péremptoire, André BEX prévient pour autant : « Le numérique ne doit pas nous faire oublier l’intelligence humaine et la sensibilité que nous avons comme argument supplémentaire par rapport au numérique… ».

L’industrie filière d’avenir : la réponse est oui à deux cents pour cent !

 

 


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Un long-métrage, « Les Petits maîtres du Grand hôtel », sera à l’affiche de l’infrastructure cinématographique d’Auxerre ce vendredi 24 janvier à 13h45. Ce documentaire qui narre les coulisses de la filière hôtellerie/restauration, mâtinée en comédie musicale, est l’œuvre du réalisateur Icaunais, Jacques DESCHAMPS. Les élèves de la section hôtelière du lycée Vauban auront le privilège de le découvrir pour parfaire leurs connaissances de ce milieu professionnel…

AUXERRE : Tourné en Isère dans le lycée hôtelier de Grenoble, entre mai et juin 2017, ce film a pour vocation d’immerger les spectateurs au cœur d’une filière qui porte les valeurs fortes d’un savoir-faire à la française au-delà de nos frontières.

Il relate sous la forme d’un pastiche astucieux de comédie musicale et de documentaire l’univers de l’apprentissage. Vu et vécu par des jeunes gens qui se trouvent confrontés face à la réalité du quotidien. Pour parvenir, peut-être in fine, à exercer l’un des plus beaux métiers du monde ?

Réalisé par le cinéaste originaire de Puisaye, Jacques DESCHAMPS, « Les Petits maîtres du Grand Hôtel » offre un synopsis flamboyant parmi les maîtres d’hôtel, noble profession qui demeure la clé de voûte de l’hôtellerie/restauration.

Pour espérer un jour suivre les traces du champion du monde de la discipline, le Belge Lef VANHONNACKER qui à 42 ans a glaner ce titre suprême lors de l’épreuve organisée à Auxerre, les jeunes pousses du lycée des métiers Vauban ont besoin de comprendre et d’apprendre tous les arcanes liés à cette spécialité de la corporation.

Aussi, leur professeur en hôtellerie/restauration, Isabelle BRUGNON, les accompagnera lors de la séance du début d’après-midi pour qu’ils puissent s’exalter devant chacune des images de ce film révélateur de l’exigence des clients et de la dureté d’un job où il est indispensable de courir, servir et…sourire. Le propre de la perfection hôtelière…

 


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Vecteur d'agrément pour soi, le bien-être est ce joyau spirituel à ressentir et à vivre. Il se conforte à la bienveillance et veille à un état d'être complaisant à la douceur et à la délicatesse envers son être. Il est l'élégance à porter, au détail près, en conformité avec son intériorité…

TRIBUNE: Etre bien avec soi « m'aime »...Une traduction édulcorée et fantaisiste, je ne pense pas. Cette philosophie de la vie, déconcertante à édifier dans son quotidien, détient les fondations pour établir une harmonie dans tous les domaines de sa vie. Ces énergies intérieures et extérieures dont nous nous nourrissons se transposent dans notre quotidien.

Justement, le bien-être est un contrat entre son corps et son esprit. Ce binôme inséparable se marie sur un accord à respecter le deal…Tenir compte de ses désirs et de ses volontés. C'est être ordonné dans sa verticalité. Quand ce duo se confronte, des douleurs variées et avérées de différentes tonalités commencent à arriver.

La douleur n'a pas de classe sociale. Elle se faufile avec douceur et fermeté dans ce qui n'est pas aligné ou acté avec ses propres pour « parlés ». Le défi est d'écouter son intériorité en faisant abstraction de conseils qui ne seraient toujours avisés et qui pourraient nuire à sa bonne santé.

 

La notion de plaisir est vitale…

 

Dans un second temps, le bien-être a cette candeur et cette audace de s'imposer face à des contraintes logistiques quotidiennes. C'est pourquoi, il est primordial de planifier des relais de détente combinés dans différentes activités. Physiques ou méditatives pour apaiser et générer un état de relaxation.

C'est aussi varier et ponctuer des actions de distraction où peuvent s'inviter des contraintes de performances mais limitées. La notion de plaisir est vitale et nécessaire pour fusionner l'équilibre et la paix intérieure entre le privé et le professionnel. Ces distractions doivent être un bonus d'agrément pour que la notion de loisir soit récréative où par effet miroir se déploiera sous une forme de lâcher-prise.

 

 

Ces moments de répit apaiseront le mental au bénéfice d'une meilleure santé. Une trêve salutaire au bourdonnement entêtant des caprices du quotidien. Ciné, musé, sport etc… : c'est le meilleur moyen énergétiquement de festoyer en toute légèreté.

D'autres facteurs mais intérieurs génèrent une plus-value à ce dérivatif à savoir la nourriture.

 

Bien choisir sa base alimentaire…

 

Les aliments génèrent de hautes ou basses vibrations. Plus le corps ingère du « haut de gamme » comme les fruits, les légumineuses, thé de qualité supérieure...plus l'énergie corporelle est bienfaitrice et performante.

A contrario, le sucre raffiné ou toute autre substance grasse est connoté à des flux de basses fréquences. Ingérés de façon journalière, le moral et l’épanouissement personnel s'en ressentiront. C'est la loi de cause à effet. Nous sommes intérieurement ce que nous « mangeons » émotionnellement et culinairement.

Cette sagesse au bien-être se déploie et s'observe sous différents angles stellaires. La vie est un ciel étoilé de mille opportunités. A saisir ou non.

Chacun est maître de sa destinée en étant consistant  de ses propres décisions. De sa santé en étant cohérent dans ses champs d'action. De son bien-être en s'octroyant une halte personnelle. Le premier vecteur d'une vie exponentielle est l'épanouissement personnel alors...

Comme l'exprime avec justesse le daïla lama : « Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel… ».

Lyvia ROBERT

 

 

 


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Profitant d’une prise de parole lors de la cérémonie des vœux du réseau Entreprendre Bourgogne accueillie dans les locaux professionnels de Pneu LAURENT, l’un des co-animateurs du nouvel outil soutenu par la préfecture de l’Yonne, Arnaud MALECAMP, en a brossé la ligne stratégique et l’intérêt devant des entrepreneurs à l’écoute. Ce club a pour vocation de faciliter l’inclusion et l’insertion sociale de populations en proie aux difficultés économiques…

AVALLON : L’opportunité qui s’offrait à lui était trop belle ! Le directeur du site industriel, à l’estampille du groupe MICHELIN, n’aura donc pas hésité lors de son discours introductif à placer la raison sociale du dernier né des réseaux apparus dans l’Yonne, à l’été dernier : le « Club des dix mille entreprises en faveur de l’inclusion et l’insertion professionnelle ».

Voulu par la gouvernance étatique, le projet qui se déploie aujourd’hui à travers l’Hexagone, a pour raison d’être de trouver des idées et solutions concrètes dans la résolution d’un problème majeur qui frappe notre société : le retour à l’emploi de milliers de personnes, issues de la déshérence, du décrochage scolaire, voire de l’immigration.

Et l’assistance qui se présentait à Arnaud MALECAMP figurait parmi les cibles à privilégier pour véhiculer les messages : les entrepreneurs et cadres dirigeants adhérents du réseau Entreprendre Bourgogne.

 

 

Fi de tout désir concurrentiel (ce qui provoqua les rires de l’assemblée), l’orateur appela bien au contraire au soutien massif de cette tâche importante qu’il mène de front avec deux autres coreligionnaires, Emmanuelle BONNEAU, dirigeante de BC Entreprise, pour la filière du BTP et le très investi, Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement de GROUPAMA Paris Val-de-Loire sur le territoire départemental dans le secteur des services. Arnaud MALECAMP prenant le flambeau pour le domaine de l’industrie.

Disposant de la bénédiction du corps préfectoral, le club a posé ses premiers jalons en juillet 2019, à l’issue d’une rencontre que le préfet de l’époque, Patrice LATRON, avait organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise. A l’issue de la séance de réflexion, les trois co-organisateurs de cette structure furent désignés sous le sceau du volontariat.

 

Un plan de travail qui s’esquisse pour la nouvelle année…

 

Une douzaine de chefs d’entreprise se sont déjà ralliés aux thèses diffusées par ce club qui cherche à mettre en valeur des personnes ayant du talent au service de l’emploi. Dans le concret, six chantiers vont être planifiés au cours des prochains mois par les trois animateurs de cet outil utile qui ne demande qu’à grandir. Les thèmes sont déjà connus puisqu’Arnaud MALECAMP devait les énumérer avant de clore son allocution : l’alternance, l’apprentissage, l’accès au travail pour les personnes victimes de handicap, la réinsertion professionnelle, l’aide aux réfugiés pour qu’ils s’intègrent dans la vie active…

Autant de leviers concrets qui ne répondent qu’à une seule et unique règle : faire preuve d’altruisme et de solidarité par l’approche de l’employabilité…

 

 


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Le choix du roi. C’est ce qui a expliqué son retrait de la vie professionnelle durant quelques années. En effet, la jeune femme a donné naissance à deux splendides jumeaux, Zoé et Raphaël. Oui mais voilà, le retour aux affaires s’imposait à elle. Histoire de ne pas perdre la main après toutes ces années vécues à Paris pour le compte d’une structure spécialisée dans le marketing et la communication. Originaire de Toulouse, la capitale de l’ovalie, la nouvelle responsable des relations publiques et des stratégies évènementielles du groupe JEANNIN Automobiles, entend remettre le moteur en marche. Elle n’a désormais que l’embarras au niveau des marques !

AUXERRE : Bientôt un semestre que Cathy TOZEYRE a repris le chemin des écoliers après une interruption parentale de deux ans. Autant dire une éternité pour cette « bosseuse » qui aime jouer de la polyvalence pour imprégner de sa griffe son territoire.

La vie parisienne qu’elle a vécue durant plusieurs saisons, elle connaît. Le rythme de travail qui y est associé également ! Dans l’agence de communication et de marketing qui l’employait, la Toulousaine, diplômée en tourisme et en gestion hôtelière, a eu le champ libre pour endiguer sa soif de découvertes professionnelles au gré de manifestations évènementielles importantes.

La « com », elle adore. Elle a qui a fait ses gammes dans la société du président du Stade Toulousain, Didier LACROIX. Une figure emblématique de la sphère du ballon ovale.

Passionnée de tout, Cathy sera même débauchée de manière impromptue par un gros faiseur de l’immobilier local, dans la ville rose, pour en devenir l’une des plus brillantes responsables durant cinq ans.

Autant dire que lorsqu’elle a dû candidater auprès d’Yves JEANNIN, ce dernier a dû savamment peser tous les avantages dont il aurait à bénéficier avant d’engager une perle aussi rare se positionnant dans le microcosme de l’emploi icaunais. Le 16 septembre, le patron du groupe aux vingt-six concessions accueillait donc la jeune femme dans son nouveau bureau.

Depuis, Cathy TOZEYRE porte au quotidien la stratégie relationnelle et évènementielle d’une entreprise toujours en forte croissance. Son plan d’actions est bâti pour 2020 : il s’articulera autour des six marques de la société (Audi, Volkswagen, Seat, Skoda, Nissan et Volkswagen Utilitaires) auxquelles il est nécessaire d’ajouter désormais Mazda et Suzuki.

Le tout à répartir sur les trois départements servant de points d’appui et de zones de chalandise au concessionnaire, soit l’attrayante Seine-et-Marne et son fort potentiel de développement, l’Aube et l’Yonne, berceau historique du groupe.

 

 

Un seuil de compétences parfaitement maîtrisé…

 

Ses premiers défis sont de répondre aux attentes et à l’évolution du mode opératoire de consommateurs de plus en plus exigeants et inféodés au numérique.

Avec le concours de ses trois collaborateurs, la jeune femme capitalise sur une présence accrue sur ce digital ô combien fondamental qui peut générer huit sources d’inspiration avant l’achat du produit.

Dans l’absolu, de gros investissements seront ainsi consentis par l’entreprise à la refonte du site Internet. L’outil, vrai auxiliaire pour capter l’intérêt de nouveaux acquéreurs, sera davantage orienté vers l’utilisateur et le « e-commerce ».

Très à l’aise depuis le premier jour où elle a posé les pieds dans la structure, Cathy TOZEYRE, tout sourire, précise qu’elle connaît son seuil de compétences.

Au vu de l’enthousiasme qui se dégage de cette personne, on ne peut que croire qu’elle en ait à revendre !

 


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