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Visible depuis le 30 avril sur Facebook, la vidéo met en scène les quatre colistiers du team « Un Nouvel Avenir » plutôt décontractés face caméra. Ces images au rythme dynamique illustrent la composante plurielle et humaniste d’une équipe qui revendique sa jeunesse et son désir de prendre à bras le corps toute une série de dossiers vertueux pour le bienfait du canton. Celui d’Auxerre 4 où les sujets ne manquent pas autour de cinq axes bien tracés : la santé, la mobilité, l’éducation, les seniors et la solidarité. 

 

VALLAN : Etre pragmatique jusqu’au bout des ongles, au moindre détail près. Cela atteste du professionnalisme de l’instant. Du respect de certains us et coutumes dans la pratique de l’exercice oratoire du jour, à savoir la tenue d’une conférence de presse dans les règles de l’art. Ce sont autant d’éléments indicatifs qui en disent déjà long sur la capacité des interlocuteurs à s’identifier réellement à leur projet !

La scénographie de ce rendez-vous pose ses jalons sur le parvis de la Maison Citoyenne. Une table recevant ces quatre « mousquetaires » du renouveau politique local, un arc de cercle composé de chaises afin d’accueillir plusieurs représentants de la sphère médiatique et quelques aficionados proches des candidats.

Et puis, il y a cette installation technologique extérieure qui saute aux yeux : elle va permettre de visionner en moins de deux minutes un clip à la gloriole des candidats. Novateur et percutant !

Serait-ce déjà les prémices de la traduction concrète du slogan du jour, choisi par les quatre prétendants au titre de conseillers départementaux ? « Un Nouvel Avenir ». Elles seraient incarnées en cas de succès au soir des 20 et 27 juin par des figures quelque peu emblématiques de la vie politique locale. A commencer par la tête de liste, Mathieu DEBAIN. Et de son complice de toujours, Christophe SYDA.

Ces deux-là se connaissent bien. Ensemble, ils ont fondé une structure associative qui a su faire parler d’elle bien en amont des joutes municipales de 2020 dans le giron local.

 

 

Un laboratoire participatif pour faire éclore des idées…

 

« S’Engager pour l’Auxerrois » : un laboratoire d’idées participatives et citoyennes à la physionomie altruiste et environnementale, avant-gardiste. Une association qui, excusez-du-peu, a su favoriser les rencontres intellectuelles entre les Auxerrois et quelques pointures de la vie sociétale et politique de l’Hexagone. A commencer par le créateur du slogan mitterrandien, « La force tranquille », Jacques SEGUELA en personne, qui aura enfin permis de propulser après moult tentatives couronnées d’échecs l’élu de Château-Chinon François MITTERRAND au pouvoir élyséen en 1981.

« S’Engager pour l’Auxerrois » se définit comme une quasi référence identitaire pour ces visages d’une politique plurielle et humaniste qui oscille entre écologie et centre droit. Un primo engagement les avait amenés à côtoyer de fort près le candidat sortant de la Ville d’Auxerre Guy FEREZ dans sa quête de conservation de l’hôtel de ville. On connaît la suite, cependant.

Heureux de conduire cette nouvelle équipe, où l’autre versant du binôme est occupé par Fanny TURPIN, une enseignante âgée de 44 ans spécialiste de la langue de CERVANTES, Mathieu DEBAIN se positionne comme une force de propositions lors de cette campagne naissante. Sans bénéficier néanmoins d’un quelconque coup de pouce, réputé pourtant salvateur, d’une formation politique. Même s’il revendique son statut d’opposant constructif à la gouvernance auxerroise et communautaire actuelles.

 

 

Ses priorités se conditionnent à cinq volets d’intervention clairement identifiés : la santé, la mobilité, l’éducation de la jeunesse via le prisme de l’enseignement abordé aux collèges, la solidarité et le dossier des personnes âgées/handicapées.

L’angle environnemental s’il ne constitue pas un item spécifique dans cette feuille de route copieuse se veut transverse.

Le joker de l’équipe pour en insuffler la ligne stratégique n’est autre que Laura DEON. Un pur produit de la défense environnementale locale puisque issue de la liste « Auxerre Ecologie ».

 

 

Un florilège de suggestions annonciatrices d’un programme savamment étudié…

 

Sur le domaine du sanitaire, le ticket DEBAIN/TURPIN envisage de mettre en application deux mesures fortes de leur programme s’ils obtiennent le maximum de suffrages fin juin : la création de maisons de santé pluridisciplinaires ainsi que l’installation de jeunes internes, en optant pour le salariat de ces praticiens. A l’instar de ce qui se pratique déjà avec succès en Saône-et-Loire.

Le contournement sud d’Auxerre (le saint des saints des arlésiennes sur ce territoire depuis tant d’années) constitue un autre temps fort des propositions se rapportant à la mobilité et à son amélioration. Pour les orateurs du jour : le Département se doit de forcer la main à la Région et à l’Etat qui ergotent sur le financement de ce projet en démarrant dès que possible le chantier.

Compétence du Conseil départemental, la gestion des collèges s’applique à plus de 16 000 élèves. Mais, près de quatre cents d’entre eux ont malheureusement rejoint les rangs des décrochés. Ces faire-valoir du système éducatif dont personne n’a cure.

Grâce à « Nouvel Avenir », ils vont bénéficier d’opportunités constructives. Pour qu’au bout du compte, chaque collégien trouve enfin sa voie et son épanouissement.

Au plan du civisme et de la citoyenneté, le quatuor semble avoir bien réfléchi à la question. En proposant la création d’un Conseil départemental des jeunes où des projets y seraient débattus comme chez les adultes. La vision moderniste de ces collèges de demain passerait aussi par l’adoption d’une alimentation saine et goûteuse, à base de produits bio ou issus de l’agriculture raisonnée.

 

 

Préserver l’autonomie des personnes âgées en favorisant leur domiciliation chez elles dans des conditions optimales intègre l’un des axiomes largement commentés par les deux candidats et leurs remplaçants.

D’une part, il est question de rendre plus attractif qu’il n’est le métier d’aide à domicile. D’autre part, encourager la pratique d’activités sportives ne peut être que respectable pour nos seniors.

Reste l’ultime thématique de ce programme très fourni, celle relative à la solidarité. Le projet fondamental qui y est porté se rapporte à la mise en exergue du dispositif « Territoire zéro chômeur longue durée ». Un concept déjà adoubé par cent cinquante zones géographiques en France.

S’adressant aux allocataires du RSA, il leur permettra de renouer de manière progressive avec une activité professionnelle. Sous la forme d’une recyclerie associative et l’exploitation d’une légumerie dont les débouchés en termes de distribution seraient locaux, voire également franciliens. Donc in fine, créateurs d’emplois !

La version exhaustive du programme de cette liste sera dévoilée d’ici quelques jours. En attendant la suite de l’épisode, les habitants du canton d’Auxerre 4 (et les autres) peuvent se familiariser avec les visages de ces quatre candidats et leurs desiderata de campagne en visionnant le fameux clip.

Une récréation visuelle qui provoque le buzz sur les réseaux sociaux et enjolive avec ses images l’une des vertus que tout bon électeur doit posséder envers son candidat de cœur : la patience…    

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le Centre Interprofessionnel de Formation d’Apprentis (C.I.F.A) d’Auxerre possède au total sept cycles pédagogiques au pôle mécanique. L’un d’entre eux s’y est ajouté sous la forme d’une mention. Elle propose l’étude des systèmes embarqués et se réalise en douze mois.

 

AUXERRE : Le pôle automobile et mécanique vient de connaître un sérieux coup de lifting. Objectif : créer un environnement qui se rapproche au plus près des situations professionnelles réelles. L’établissement de l’Yonne a investi 5 millions d’euros en 2019 et en 2020 dont 200 000 euros pour l’acquisition du matériel mécanique.

Ce pôle se décompose en trois bâtiments de plus de 1 000 mètres carrés consacrés à l’apprentissage des élèves. Une salle est réservée à la peinture et celle plus spécifique de la peinture de carrosserie, une autre aux espaces vert et agricole. Enfin, un autre espace accueille l’atelier mécanique.

La formation, depuis 2017, a augmenté de 70 % sa capacité d’accueil en élèves. Avec des classes allant de 10 à 15 jeunes, le CIFA dispose d’environ trente véhicules en statique pour approfondir les connaissances des jeunes pousses à la motorisation.

Certaines de ces automobiles ont été récupérées sous la forme de dons qui sont parfois anciens ou neufs. C’est environ 150 jeunes qui sont ainsi formés chaque année dans les métiers de la mécanique auto. Mais aussi en poids lourds et engins agricoles. Le centre auxerrois bénéficie d’un parc d’équipements pointus tel qu’un laboratoire pour les systèmes embarqués, une station de dépannage des véhicules électriques, etc.

 

Un accompagnement complet pour les jeunes…

 

L’objectif du CIFA étant dans un premier temps la réussite de ses élèves, il a alors mis en place de nombreux dispositifs afin que les jeunes gens puissent apprendre au mieux.

Avec la crise de la COVID-19, de nombreuses formations ont été interrompues. Et ce, notamment lors du confinement allant de mars à mai 2020. Le CIFA consacre ses enseignements à des matières générales mais surtout de la pratique dans l’établissement et en entreprise, l’arrêt de l’école était pour eux compliqué.

 

 

Le centre a dû à l’instar des autres formations générales ou professionnelles de France passés en « e-learning », un apprentissage en ligne. Avec « E-CIFA », les élèves ont pu suivre leurs différents cours depuis chez eux. Les matières pratiques n’ont alors pas été délaissées car des schémas explicatifs de pièces de moteur par exemple ont été mis à leurs dispositions pour continuer d’apprendre dans de meilleures conditions.

 

 

Une boutique virtuelle à la haute technologie pour créer des situations réelles...

 

Malgré les cours à suivre en présentiel, le CIFA a choisi de conserver le concept de l’enseignement à distance au cas où un élève éprouverait le besoin de compléter sa leçon s’il n’avait pas bien compris la séance de la journée.

Quant au un magasin virtuel, le « Clic’Store », il a été mis en place sur une surface de 80 mètres carrés. Développé avec Le concours de la société IDXPROD, ce projet a été créé en 2017. Il représente une nouveauté unique en France.

Celui-ci permet de mettre les élèves en situation réelle avec huit contextes différents : l’habillement, le sport, l’art de la table, etc.

Les Bac Pro mécanique véhicules auto (MVA) ayant une partie livraison peuvent eux aussi profiter de ce concept à la technologie avant-gardiste grâce au contexte automobile qui les immerge dans une boutique de vente.

Ces huit contextes sont changés à partir d’une tablette. Elle permet de modifier la situation choisie en zoomant sur un siège automobile pour la vente de voitures, par exemple.

Le CIFA pousse également les élèves à évoluer grâce à des concours. C’est le cas de Sonny DOIN, apprenti en BAC Pro Maintenance automobile. Il a terminé à la première place du concours général des métiers du jeune espoir professionnel à Lille en 2017 dans la catégorie maintenance automobile.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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La place de la femme dans la société a souvent été remise en cause. Aujourd’hui, elles luttent pour obtenir une réelle égalité avec les hommes. Création d’entreprises, PDG, les femmes décident. Selon l’INSEE, en 2020, c’est 39 % des nouvelles entreprises individuelles qui ont été créé par des femmes. Ces chiffres sont en évolution depuis les vingt dernières années. Mais, les corps de métiers restent, eux, assez restreint.

 

TRIBUNE : Les femmes sont plus souvent assignées à effectuer un travail administratif ou dans le domaine de l’éducation. Celles-ci sont moins représentées dans les postes à responsabilités. Elles sont souvent moins prises au sérieux que les hommes et ce, davantage dans le secteur de l’entreprenariat et de l’économie. Selon l’INSEE, « en 2017, en France, les femmes salariées du secteur privé gagnent en moyenne 16,8 % de moins que les hommes en équivalent temps plein ».[1]

 

Un changement progressif des mentalités…

 

Les femmes sont toujours aussi déterminées à obtenir l’égalité entre elles et les hommes. Elles veulent faire entendre leur voix et elles sont aidées. C’est le cas avec Elisabeth MORENO, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargé de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances.

En effet, elle a lancé un appel à projet afin de permettre d’aider la création de l’entreprenariat féminin. Elle l’a annoncé le 22 avril dernier lorsqu’elle a rencontré Julia CATTIN qui à seulement 34 ans est la PDG de FIMM, un concepteur et fabricant français de solutions de manutention à Joigny. La ministre déléguée y invite toutes les femmes qui souhaitent créer leur entreprise ou bien alors relancer cette dernière. La représentante de l’Etat vise pleinement une indépendance économique pour les femmes.

Celles-ci sont aussi aidées par d’autres femmes. « L-start » – La réussite au féminin[2], est une plateforme en ligne totalement dédiée à la création d’entreprise. Conçue par deux femmes, Dominique DESCAMPS et Sophie COURTIN-BERNARDO qui ont construit depuis presque trente ans, une expérience entrepreneuriale. Elles ont alors imaginé « L-Start » qui va apporter des outils pratiques, des formations, des méthodologies validées aux femmes qui veulent se lancer. Tout ceci sous la forme d’abonnement mensuel sans engagement.

63 % des femmes considèrent qu’il est plus motivant pour elles de créer leur propre entreprise plutôt qu’être salariée. Leurs motivations sont claires : « concrétiser une idée personnelle (47 %) », « donner du sens à leur vie professionnelle (46 %) » et « gagner en liberté (34 %) ».

C’est ce qu’à montrer le sondage réalisé par OpinionWay en 2020 pour France Active et BPI France.[3]

Aujourd’hui, les femmes osent. Le monde est porté par le numérique et notamment avec les réseaux sociaux. De ce fait, les femmes ont le pouvoir de se faire entendre, de véhiculer une information et d’être soutenue. Cela n’était pas forcément le cas avant l’arrivée de toutes ces technologies ; elles n’avaient pas la possibilité d’être soutenue.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4514861

[2] https://l-start.com

[3] https://www.franceactive.org/wp-content/uploads/2018/03/CP-Femmes-entrepreneurs-Etude-France-Active-Bpifrance-V7.pdf


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Le poste ne sera pas resté vacant très longtemps. Quelques jours après l’envol de son prédécesseur Tristan RIQUELME vers les Antilles, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Marion AOUSTIN-ROTH, a pris ses fonctions le 26 avril. Elle arrive de la préfecture du Doubs où elle officiait en qualité de cheffe du bureau de la sécurité intérieure et de l’ordre public. 

AUXERRE: Il n’est pas si courant pour la préfecture de l’Yonne d’accueillir en son sein une personne passée successivement par le Centre pénitentiaire de Fresne, la Maison d’arrêt de Bois-d’Arcy et celle de Besançon ! Un parcours pourtant des plus classiques si l’on se réfère au cursus de Marion AOUSTIN-ROTH.

De formation juridique, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne a en effet par la suite intégré l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire (ENAP) et fait ses classes dans le Val-de-Marne, puis dans les Yvelines, avant de diriger pendant quatre ans la Maison d’arrêt de Besançon. Depuis septembre 2018, elle avait en charge le pôle sécurité intérieure et ordre public de la préfecture du Doubs, en qualité d’attachée de liaison Intérieur/Justice.

Sa nomination dans le département ne relève pas d’un « choix subit », mais bien de la volonté de parfaire un parcours entamé en Franche-Comté : « j’aurai ainsi une vision globale de la nouvelle région en continuant à la découvrir… ».

 

Dans l’Yonne, le premier poste dans l’administration préfectorale…

 

« Plus qu’une fierté, c’est surtout une grande responsabilité ! ». Bien décidée à trouver un équilibre entre la gestion des dossiers, les urgences et la proximité avec les gens sur le terrain : « si vous n’aimez pas le contact, si vous n’aimez pas aller vers autrui, avec l’envie de comprendre, d’écouter, vous ne parvenez pas en deux ans, à vous imprégner d’un département… Vous ne pouvez pas donner des décisions et conduire des stratégies d’ordre public si vous ne visualisez pas les lieux ».

Sa feuille de route est déjà tracée : s’articulant sur des enjeux de sécurité publique au premier rang desquels bien sûr, la gestion de la pandémie et la perspective de sortie de crise, comme annoncée par Emmanuel MACRON, mais aussi la préparation des prochaines élections en juin ou la mise en œuvre de la période estivale en matière d’ordre public.

Si les derniers chiffres concernant l’accidentologie routière dans le département sont encourageants, en lien avec le confinement et le couvre-feu en vigueur, faut-il s’attendre à un retour à la hausse une fois les restrictions levées ?

Marion AOUSTIN-ROTH se refuse à une telle éventualité : « alcool, vitesse, comportements infractionnels sont une réalité pour ce département et nous resterons vigilants… ».

Cette jeune sportive de 33 ans, passionnée de trails et autres courses nature se dit par ailleurs bien décidée à en perpétuer la discipline le temps de son séjour icaunais. Nul doute que les coteaux du Chablisien ou les forêts morvandelles lui en offriront la redoutable opportunité !     

 

Dominique BERNERD

 

 


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Les pays européens prévoient l’interdiction à la vente des véhicules à propulsion thermique dès 2025 en Norvège, en 2030 pour le reste de la Scandinavie ou les Pays-Bas, en 2035 en Grande-Bretagne ou en 2040 dans l’Hexagone. Attendue pour 2025, la norme « EURO 7 » signe la fin de l’ère de l’essence et du diesel. Pourtant, ce virage technique, dixit les constructeurs, est impossible à réaliser en si peu de temps et se présente comme une catastrophe pour tout le secteur.

 

TRIBUNE: Si les voitures diesel d’occasion connaissent un franc succès compte tenu des prix de vente, les marques abandonnent peu à peu la filière.  Une course contre la montre s’est désormais engagée avec des milliards d’investissement à la clé pour répondre à la maîtrise des émissions de Co2 et à la construction de véhicules électriques et hybrides. Tout le monde réclame à la Commission européenne un ajustement du calendrier. Les courts délais sont assortis de pénalités pharaoniques pour les dépassements de Co2 fixés. Le dictat européen met à mal un secteur économique important : près de 14 millions d’emplois en Europe dont 350 000 en France. Dès 2035, l’Europe veut interdire la production des moteurs thermiques. Essence et diesel tombent à l’eau, au profit de la seule voiture électrique ?

A la décharge des autorités européennes, on ne peut pas dire que les constructeurs ont été pris au dépourvu ! Dès la fin des années 1990, les nouvelles règles étaient mises sur la table et diffusées. Les lobbyistes de l’automobile ont cru qu’ils exerceraient les pressions nécessaires à des contournements des règles édictées…

 

Les véhicules électriques, des avantages évidents pour la nature…

 

La voiture électrique ne produit pas de Co2 ou de polluants de l'air à l’utilisation. Elle offre donc de solides avantages, surtout au cœur des villes. Allons-nous tous rouler un jour à l’électricité ? Est-elle réellement le véhicule du futur ? La voiture électrique est alimentée uniquement par... de l’électricité. Elle possède un ou plusieurs moteurs électriques, équipés de batteries, et se recharge chez soi ou à l'extérieur via une borne spéciale, dans la rue, sur des parkings ou des stations-service. Il existe également des voitures hybrides, qui possèdent un moteur électrique et un moteur thermique, ainsi que des hybrides rechargeables ou plug-in. Elles peuvent se recharger en roulant.

La production des batteries, a contrario, pose de sérieux problèmes environnementaux et sociaux. On utilise de plus en plus de batteries au lithium pour les véhicules mais aussi pour leurs équipements informatiques et électroniques. Cela accroît la pression sur ce métal rare.

 

 

Le lithium – aussi surnommé or blanc – provient souvent d’Amérique latine. Sa production, très gourmande en eau, met à mal les écosystèmes et la survie des populations locales dans des zones où la sécheresse est déjà très problématique.

On ne pourra pas tous avoir une voiture électrique et rouler de la même façon qu’aujourd’hui. Il faut aussi noter que pour l’instant un véhicule électrique coûte pas moins de 30 000 euros. Précisons également que pour une voiture de moins de 45 000 euros, le bonus accordé par l’Etat s’élève à 6 000 euros. Mais, quid de la situation réelle lorsque les aides s’arrêteront ?

 

 

Les concessionnaires sont-ils vraiment en danger ?

 

Même si certains le prédisent, ils ne disparaîtront pas du paysage. Leur nombre va diminuer, à cause de la vente en ligne. Conséquence : une adaptation sera nécessaire, notamment en matière de surface. Certaines concessions ressemblent à des châteaux de verre ! La réparation et l’entretien des véhicules électriques est plus simple et va faire disparaître le bon vieux « mécano »  traditionnel. Fini le mécanicien dans les garages, que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître : juste à l’oreille, il identifiait l’origine de la panne…

On peut prévoir aussi que les grands groupes s’adapteront et résisteront mieux aux mutations. Il est certain que des marques disparaîtront au passage. D’autres se créeront sans doute. Mais, la réduction du carbone passe nécessairement par l’hydrogène. L’échéance est fixée à 2050 : zéro carbone pour tout le monde !

Le problème, c’est que pour produire de l’hydrogène, il faut beaucoup d’eau et d’électricité. Par contre, c’est un carburant propre. STELLANTIS fabrique déjà des camionnettes à hydrogène. Elles roulent grâce à des piles à combustible développées par la NASA. Aujourd’hui, un kilo d’hydrogène coûte dix euros. Un plein de 60 euros permet de réaliser 600 kilomètres. Le prix va aller en diminuant au fil des années. Par contre, le prix de vente de ces véhicules reste très prohibitif autour des 70 000 euros !

Un très vieux gag de l’humoriste Francis BLANCHE montrait ce dernier poussant sa voiture manifestement en panne d’essence. Sous le regard médusé du pompiste, il remplissait son réservoir avec un arrosoir rempli d’eau ! La réalité dépassera sans doute la fiction un jour. Nous ne sommes pas si loin d’un moteur transformant directement l’eau en hydrogène ! Alors s’il vous plaît, monsieur le pompiste, donnez-nous encore un peu d’essence pour les briquets et dix litres d’eau pour la voiture !

 

Jean-Paul ALLOU  

 


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