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Tous les salariés en ont rêvé et la pandémie leur a permis de réaliser ce vieux fantasme : éviter les bouchons, le métro, la cantine. Voire ce collègue qui oublie tous les matins de prendre sa douche et le chefaillon qui emploie ses journées à vérifier qu’on ne passe pas notre temps à réserver nos prochaines vacances sur le web ! Mais après un an de télétravail, c’est l’heure de la rentrée : le moment est venu de retourner au bureau…

 

TRIBUNE : Seulement voilà, selon un sondage Opinionways de ces jours derniers, 74 % des Français ne veulent pas y retourner. Les bouchons, le chefaillon et les collègues odorants, c’est niet !

Alors les entreprises et leurs DRH tergiversent. Ils négocient. Du présentiel, il en faut, et du distanciel, leurs salariés en redemandent.

Vient donc le temps de l’entre-deux. Deux jours à la maison et trois jours au bureau, c’est selon. Mais d’autres refusent toujours le télétravail et d’autres encore vont jusqu’à l’autoriser à 100 %. Qui a tort, qui a raison ?

Les dirigeants qui souhaitent du présentiel tout le temps ou ceux qui préfèrent que leurs ouailles restent à la maison, histoire de faire quelques substantielles économies immobilières ?

De fait, tout le monde a raison. Toutes les entreprises le reconnaissent aujourd’hui : la productivité de leurs salariés n’a pas baissé après une année de home working.

Au contraire, les horaires sont devenus élastiques et se sont rallongés. Quant à la capacité de concentration, elle a augmenté puisque le salarié n’est plus dérangé toutes les cinq minutes par Ghislaine de la compta qui veut prendre un café, ou par Thibaut du marketing qui veut absolument raconter les derniers « Gossips » de l’étage du dessus.

A l’inverse, les fans du présentiel n’ont pas tort non plus. Car ils ont bien remarqué qu’avec le télétravail à 100 %, l’imagination et l'innovation étaient en berne. Car ces choses-là se développent en équipe. Lorsqu’un salarié rebondit sur l’idée d’un autre et ainsi de suite. Et ils savent que les visioconférences ne remplaceront jamais les conversations de bureau impromptues, au détour d’un couloir ou à la machine à café.

Pour ou contre, nombre d’entreprises ont choisi de ne pas choisir. Le télétravail partiel devrait perdurer longtemps et tout le monde devrait en être content.

Le chefaillon vérifiera qu’on n'est pas sur Expedia toute la journée à coups de zooms répétés, et peut-être même que le collègue odorant, travaillant à quelques mètres de sa salle de bains, pourra s’y rendre de temps en temps !

 

Anne-Charlotte LAUGIER

 

 


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Ah, cette maudite recherche de collaborateurs ! Celle qui perturbe au plus haut degré les responsables des ressources humaines, ne sachant plus à quels saints patrons se vouer pour trouver la solution idoine ! Celle qui hante de ses nuits blafardes des chefs d’entreprise dont les carnets de commandes croulent sous les exigences ultra réactives de leur clientèle. Pas sérieux s’abstenir quand on veut prétendre à l’emploi. Formatrice chez CoRessources, Sabine THOMAS tentera d’apporter les solutions les plus pertinentes à ce « Rubik’s Cube » grandeur nature : celui du recrutement…

 

AUXERRE : Combien sont-ils autour de nous ces entrepreneurs qui se morfondent à l’idée de ne jamais pouvoir recruter la perle rare dont ils auraient grandement besoin dans leur société ?

Un réel paradoxe alors que le nombre de demandeurs d’emploi, même s’il diminue quelque peu dans l’Hexagone, reste au demeurant très élevé selon les secteurs d’activités et les tranches d’âge.

Recruter est aujourd’hui aussi difficile que de dégoter une aiguille dans une botte de foin. Un passage obligé très complexe, pour ne pas dire plus dans un environnement économique qui a été torpillé par une crise sanitaire sans précédent !

Néanmoins, il n’y aura pas d’autre alternative possible avec l’amorce de la reprise qui pointe le bout de son nez pour celles de ces PME/TPE qui veulent repartir de l’avant.

Dirigeants stressés et DRH au comble du désespoir auront peut-être des réponses pertinentes et précises de la part d’une consultante en évolution professionnelle (la belle formule !) qui interviendra lors d’une causerie à l’heure du déjeuner.

Surtout pour celles et ceux qui en ont eu l’opportunité, grâce à un rendez-vous pris ou à prendre ce mardi 08 juin entre 12 et 14 heures entre Chablis et Tonnerre sur invitation.

C’est précisément l’animatrice icaunaise de la structure GERME Catherine GUIGNARD-MILLET qui a concocté ces retrouvailles en présentiel, gustatives et intellectuelles, baptisées « Les Rencontres du Champ des Possibles », ouvertes à tous. Là aussi, c’est la formulation adéquate pour résumer l’initiative !

Ancienne cadre dans une société de service, aujourd’hui composante d’un triangle 100 % féminin à la tête de CoRessources aux côtés de Florence PUJADE et Florence CLEMENT-DIETRICH, Sabine THOMAS, conférencière d’un jour, posera les jalons de son exercice oratoire autour de la thématique suivante : « Comment recruter quand j’ai le sentiment d’avoir tout essayé ? ».

Question liminaire, certes, mais qui va aiguiser bien des appétits pour en savoir davantage sur les procédés permettant à terme de trouver l’oiseau rare…

 

Thierry BRET

 


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Le retour à la normalité vers l’emploi. Il ne s’agit que de cela, en résumé, dans la ligne de conduite à laquelle les responsables de la structure associative ne dérogent jamais d’un iota. Même dans les moments les plus délicats, en référence à la crise sanitaire. Celle-ci a contraint l’entité à suspendre toutes ses activités pendant deux mois lors du premier confinement. Une adaptation qui fut l’objet de dynamique pour l’atelier couture, confectionnant des masques de protection contre la COVID-19…

 

AUXERRE: Le sens de l’adaptabilité est une vertu léonine que sait s’appliquer à elle-même l’association AMIDON 89 ! L’épidémie du coronavirus l’aura démontré à maintes reprises au cours de ces derniers mois. Normal, lorsque l’un de ses deux ateliers accueillant des personnes sur le chemin de la réinsertion professionnelle se consacre à la couture !

Opiniâtres, les boussoles éclairantes de cette entité dont ne présente plus le travail accompli depuis tant d’années dans le microcosme icaunais ont cru bon au plus fort moment de la crise sanitaire de rejoindre le projet Contrat de Ville. Un programme qui leur aura permis de poursuivre à travers des ateliers installés dans de grandes salles de deux équipements de quartier de concevoir…des masques en tissu avec le concours altruiste de riveraines. Ce fut une étape fondamentale pour faire faux bond à l’adversité de l’époque et tenir ferme, au niveau du moral.

De cela, de ces états d’âme, de ces instants de doutes et d’atermoiements, de ces espérances aussi, il en aura été question lors de la prise de parole servant de préambule aux travaux de l’assemblée générale par le président Guy PARIS. Devant une assistance plus que restreinte (obligations sanitaires à respecter en limitant la jauge de participation), la session a pu se dérouler dans son antre habituel : l’amphithéâtre du Phare.

Entre résolutions successives (au nombre de douze autant que les travaux d’Hercule/Héraclès pour les puristes helléniques !), et slides comprenant moult camemberts affichant une visibilité immédiate au plan de la statistique, la séance de travail s’est étirée tranquillement avec les interventions de la directrice de la structure, nouvellement nommée en août dernier, Sophie GOIRAND, et le président.

 

 

Une activité couture aux contours d’employabilité satisfaisant…

 

Loin d’un ronron aux accents passablement ennuyeux, la séance aura mis en exergue les particularismes de cette association efficace dans ses réalisations. Dans le détail, au plan comptable, les états financiers arrêtés au 31 décembre 2020 livrent un aperçu positif de la situation. Pour un budget s’élevant à 650 000 euros, le résultat d’exploitation équivaut à 17 766 euros.

Quant au nombre d’adhérents, il se maintient avec 262 personnes qui sollicitent les besoins de la structure selon les trois ateliers opérationnels à Auxerre, Chablis et Saint-Florentin.

Au niveau du nombre de demandeurs d’emploi de longue durée, à forte majorité féminine, ils ont été quarante-trois à bénéficier de cette main tendue par AMIDON 89 pour exercer un travail.

Salariées, ces femmes, jeunes ou moins jeunes, bénéficiaires des minima sociaux, habitantes dans les quartiers prioritaires de la ville, ont su apporter leur savoir-faire au cours de cette année si spécifique de 2020. Tant à l’atelier repassage qu’à celui proposant des travaux de couture.

La moitié d’entre elles a pu se diriger par la suite vers un emploi stable ou à défaut une formation. Un résultat plus mitigé que l’année précédente pour Guy PARIS qui, compte tenu du contexte de la pandémie, demeure tout à fait honorable en l’état.

Si l’activité couture peine encore à trouver ses marques, notamment dans sa rentabilité financière, elle offre pourtant la possibilité aux salariées en insertion d’acquérir de nouvelles compétences. Un levier vers l’emploi supplémentaire que nul ne doit ignorer. Des partenariats ont pu ainsi se développer avec Au Bonheur des Chutes ou LOCAVOR.

Un accent particulier a été mis sur le développement de la communication en cette année 2020, synonyme de trente années d’existence. Présence accrue sur les réseaux sociaux et relookage du site Internet offrent une vitrine satisfaisante des réalisations de la structure.

 

 

 

L’intervention de mécènes pour aider au renouvellement du matériel…

 

 

Prolixe dans ses explications, Guy PARIS n’a pas manqué d’aborder le devenir de ce porte-flambeau de la tolérance et de l’insertion efficiente que représente AMIDON 89.

Débuté en 2017, le retour à l’équilibre de l’association entre fonctionnement organisationnel et financier optimum pourrait nécessiter une période de trois ans supplémentaires. Cette projection ne pourra prendre sa source effective uniquement par le prisme de la diversification des activités.

Avec ce constat qui en dit long sur les fondements mêmes de la structure : « L’activité repassage auprès de clients particuliers demeure utile, observe l’ancien premier adjoint de la Ville d’Auxerre, mais cela est désormais moins nécessaire pour de nombreux foyers… ».

Se diversifier est indispensable. Offrir de nouveaux services à la clientèle mais aussi s’adapter aux besoins de celle-ci demeurent des pistes concrètes à travailler à l’avenir pour subsister de manière honorable.

Les responsables y réfléchissent avec une expérimentation mise en place à Chablis depuis la fin mai. Une nouvelle responsable d’atelier a été nommée. Elle n’est pas la seule puisqu’un chargé de mission de développement commercial l’a rejoint.

D’ici peu, le recrutement de quatre à cinq salariés en insertion étofferaient ainsi l’effectif. Une démarche analogue aurait lieu ensuite à Auxerre et à Saint-Florentin. In fine, l’objectif est la conquête d’une centaine de nouveaux clients de plus en douze mois. Pour atteindre un chiffre d’affaires en prestations équivalent à 120 000 euros par an.

Reste le rôle des mécènes. Il est fondamental pour la bonne santé de la structure en quête d’une enveloppe annuelle de 70 000 euros pour assurer le remplacement de ses tables à repasser. Certains agissent en ce sens : c’est le cas de la FAPE EDF, AG2R La Mondiale, du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté.

Récemment, la responsable  de l’Association départementale de Prévoyance Santé (ADPS) Andrée DEBERT remettait une précieuse obole de trois mille euros devant être utilisée à l’achat d’une nouvelle table. Une autre entité, l’AACUC, offre généreusement 50 000 euros pour contribuer au projet de développement.

On le voit, la marge de manœuvre est étroite pour AMIDON 89 qui doit jouer à la fois sur une politique d’économies et une politique d’investissement pour améliorer le chiffre d’affaires.

Un casse-tête chinois à renouveler chaque année pour ne pas oublier que la priorité essentielle de cette structure spécialiste de l’insertion vise toujours le chiffre de 70 % de sorties positives pour les personnes qui fréquentent ses ateliers…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il le clame haut et fort. « Ce sera mon ultime mandat ! ». Condition sine qua non de cette affirmation : s’il est élu, bien sûr ! Pourtant, Michel DUCROUX, conseiller sortant de cette équipe newlook, du haut de ses 73 printemps, ferait presque office de jeune homme tant il a de l’énergie à revendre et des idées qui lui fourmillent dans la tête. Aux côtés de l’adjointe à la Ville d’Auxerre Emmanuelle MIREDIN aux multiples casquettes, il forme un binôme orienté sur les investissements, la formation et la solidarité…

 

AUXERRE : Il est âgé de 73 ans Michel DUCROUX ? Qui pourrait le croire, en effet, lorsque qu’il annonce de manière anodine et tout sourire son âge en expliquant sa profession de foi ! Et ses motivations à reprendre le collier lors de cette campagne électorale amputée de ses réunions et autres meetings, à l’assaut d’un nouveau mandat.

Ce toujours fringuant jeune homme de la politique icaunaise possède pourtant un joli pedigree derrière lui. Il officie en qualité de premier adjoint dans la commune de Saint-Georges-sur-Baulche et est l’un des élus de la majorité départementale à porter aux nues vers le fauteuil de président, son candidat de prédilection pour cette joute 2021, Patrick GENDRAUD.

Alors, le retrouver sur la grille de départ de cette nouvelle compétition qui a débuté officiellement le 01er juin n’a vraiment rien de surprenant, en soi. Mais de là à l’entendre dire que quoi qu’il advienne (en cas de réélection, de toute évidence !) qu’il ne briguerait pas un autre mandat au terme de ces six prochaines années, c’est là que se situe l’effet de surprise.    

 

 

 

Parce que dès qu’il évoque le bilan de la majorité départementale (une réduction drastique de la dette qui offre aujourd’hui de réelles perspectives d’investissements à la collectivité), le regard de Michel DUCROUX brille de mille feux, enthousiaste. Surtout si les fruits de cet excédent qui n’a rien de providentiel peuvent arroser le canton qui lui est cher, soit celui d’Auxerre 1.

D’un mandat de pure gestion à ses débuts, la gouvernance voulue par Patrick GENDRAUD s’est donc transformée finalement en mandat d’investissement. Les conseillers sortants veulent désormais profiter de la manne pour resocialiser et développer les zones territoriales dont ils sont les porte-paroles.

Pour l’épauler dans cette phase de conviction à faire entendre à ses administrés, Michel DUCROUX ne sera pas seul, bien évidemment.

 

 

 

Un binôme au versant féminin orienté vers la solidarité et l’emploi…

 

L’autre facette de ce binôme inédit qui ne manque pas de peps à première vue se nomme Emmanuelle MIREDIN. On ne présente plus cette dernière. Secrétaire générale de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME), la quadragénaire a eu l’opportunité de se faire les dents et de les aiguiser sur moult dossiers d’importance dans le sérail complexe de ce corporatisme en apprenant les rudiments du métier avec Olivier TRICON, son président. Pas si simple, en vérité !

En outre, la jeune femme a esquissé ses premiers pas dans la sphère politique en 2020, figurant en pole-position des lieutenants inconditionnels inféodés à la cause de Crescent MARAULT ; devenu entre-temps président de l’Agglo et édile du chef-lieu de l’Yonne.

Grand bien lui en a pris ! Car, désormais Emmanuelle MIREDIN se taille la part du lion dans les délégations municipales à gérer. Puisqu’elle est en charge de la communication, du développement numérique et surtout de la formation professionnelle/insertion (sa véritable priorité) dont elle fait son cheval de bataille en cas de succès au soir des 20 et 27 juin.

 

 

L’autre item qui lui tient à cœur, c’est la solidarité. En créant, selon ses propos, des liens en étroite osmose avec l’emploi.

Du côté des suppléants, on retrouve dans cette liste aux couleurs de la droite, du centre droit et des indépendants, deux autres figures du landerneau politique. D’une part, Nordine BOUCHROU, adjoint à la Ville d’Auxerre en charge de l’urbanisme et des travaux, entrepreneur lui-même puisque dirigeant une PME spécialisée dans le conditionnement de bois, et d’autre part, la conseillère municipale de Lindry qui officie aux finances, Marie-Claire REROLE.

Au-delà du projet qu’ils incarnent, ces quatre composantes de cette liste qui veut offrir une vision globale sur la mandature à venir en appellent aux abstentionnistes de les soutenir, afin d’empêcher les candidats du Rassemblement National de glaner de précieuses voix…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Serait-ce une rencontre au sommet, immortalisée par la focale d’un appareil photographique entre ces trois personnages ? Peut-être ! En tout cas, les discussions entre ces représentants de la sphère industrielle, du bâtiment et de la politique se seront prolongées. Longuement ! Il aura été question de perspectives, de chiffres et de projets économiques entre ces trois-là, réunis dans l’une des salles du Pôle environnemental d’Auxerre. Lieu de visite du candidat aux régionales, Denis THURIOT, ce mardi…

 

AUXERRE : Fidèle à lui-même dans l’approche perfectionniste qu’il l’anime, Jean-Marc DENIS s’était préparé à cet entretien avec l’un des prétendants au fauteuil présidentiel de la Région, devant disserter avec lui en ce mardi 01er juin sur les réalités économiques du département de l’Yonne. Et en particulier, sur l’une des facettes industrielles qui en a fait sa renommée : c’est-à-dire la filière de l’aéronautique.

Le représentant de la Maison de l'Entreprise 58/89 avait affûté ses nombreux arguments quelques instants avant ce rendez-vous, en s’isolant dans son automobile afin d’y préparer la somme de ces informations qu’il ne manquerait pas de distiller pour expliquer les origines du groupement GISEAéro.

Un assemblage de composantes entrepreneuriales, faites de sous-traitants et de PME de niche, dans l’une des filières qui aura été la plus en souffrance avec les effets néfastes de la pandémie : l’aéronautique dont l’Yonne est un digne représentant.

En déplacement sur le territoire le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté, la tête de liste de la représentativité présidentielle candidatant aux échéances régionales, le maire de Nevers LREM Denis THURIOT, proposa cette rencontre informelle, très éloignée des sacro-saints principes protocolaires d’usage pour entamer la conversation avec le porte-parole des milieux industriels. Afin de mieux toucher du doigt les opportunités offertes par ce secteur d’activité.

 

 

Devait se joindre dans ce face-à-face courtois et studieux entre les deux interlocuteurs : le secrétaire général de la Fédération départementale du bâtiment Christian DUCHET.

Débuta alors une discussion sur le futur de l’économie au travers ses perspectives et les filières industrielles qui se déploient sur notre territoire. Un entretien devant se prolonger un long moment avant qu’il n’accueille un quatrième intervenant en la personne d’un chef d’entreprise à la tête d’une PME du cru.

Bref : que du grain à moudre en termes de réflexion pour Denis THURIOT qui prit bonne note de toutes ces informations reçues en vrac lui servant sans doute à peaufiner davantage sa feuille de route stratégique sur le volet économique. Utile lorsque l’on brigue le Graal territorial dont c’est l’une des compétences régaliennes, n’est-ce pas ?

 

Thierry BRET

 

 


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