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Et si l’Yonne s’inspirait de ses voisins de Saône-et-Loire ? Là-bas, un centre de santé départemental coordonne plusieurs unités de soins (elles sont au nombre de six) et vingt-deux antennes médicales. A date, 63 généralistes salariés et sept autres praticiens y exercent la médecine. Une solution probante afin de lutter contre la désertification médicale réclamée par plus de 700 signataires d’une pétition soutenue, entre autres, par le Parti Communiste…

 

AUXERRE : Plus de 700 personnes ont déjà signé la pétition qui circule sur la toile en faveur de l’adoption d’un projet d’ouverture de centre de santé départemental dans l’Yonne. Une solution qui pourrait, selon les instigateurs de cette requête, résoudre l’une des préoccupations majeures des Icaunais dans le cadre de leur vie quotidienne : celle de l’accès aux soins.

L’idée sera d’ailleurs abordée lors d’une conférence débat, organisée dans l’amphithéâtre de la FFB 89, ce jeudi 10 mars, aux alentours de 19 heures. L’intervenant, le docteur Richard LOPEZ, directeur national de « La Fabrique des centres de Santé », y exposera avec moult détails ses arguments. Ceux liés à ce réseau de centres pluridisciplinaires qui accueillent des médecins salariés.

Commentaires d’Alain RAYMONT, secrétaire départemental du Parti Communiste Français (PCF), « il est nécessaire et urgent de lever le frein qui interdit la mise en place d’un tel projet sur notre département… ».

Un refus que l’homme politique de gauche impute au président du Conseil départemental de l’Yonne et à sa majorité.

 

 

L’Yonne parmi les trois mauvais élèves de l’Hexagone pour l’accès aux soins…

 

Un baromètre, celui de « Santé Sociale », positionne le territoire de l’Yonne parmi les plus mauvais élèves en matière d’accès aux soins dans l’Hexagone. Cinq conditions sont ainsi requises pour attirer et fidéliser ces praticiens de toutes disciplines médicales : un salaire fixe qui s’appuie sur la grille de la fonction publique hospitalière ; le travail en équipe et sa coordination avec les structures hospitalières, sanitaires et sociales ; le choix du temps de travail ; un nécessaire appui avec des secrétaires médicales et enfin, la mise en place d’actions de prévention et d’éducation.

Selon le représentant départemental du PCF, « les efforts méritoires, à saluer, de quelques collectivités locales dans l’Yonne restent partiels, et souvent dérisoires ».

Des efforts, à minima, semble-t-il, qui ne suffisent pas de permettre l’accès aux soins au plus grand nombre de nos concitoyens. Ni partout sur le territoire.

Ceci explique cette initiative à se mobiliser et à organiser des comités « Alerte aux déserts médicaux ! ».

De précieux outils qui auront pour objectif d’analyser les situations et les besoins réels de notre territoire en matière d’offres sanitaires. Avec en sus, une pression supplémentaire exercée sur le Conseil départemental de l’Yonne pour qu’il développe une plus large politique de création de centres.

 

En savoir plus :

Conférence débat organisée le 10 mars 2022 à 19 heures à la Fédération du Bâtiment, rue de l'Ocrerie à Auxerre, en présence du directeur national de la « Fabrique des centres de santé », le Docteur Richard LOPEZ.

Contact sur la référence suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 


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Si un secteur professionnel n’est jamais en disette pour proposer des offres d’emploi aux jeunes pousses montantes, c’est bien de celui-ci dont on peut parler ! Le profil est simple. Etre détenteur d’un diplôme de niveau licence, posséder quelques appétences aux relations humaines et à l’écoute, le reste suivra après immersion dans cette sphère du marketing et de l’offre commerciale. A l’instar de la Caisse d’Epargne en quête de candidats !

 

AUXERRE : Mine de rien, c’est fou comme les établissements bancaires recrutent chaque année ! Ils ne sont jamais à court de bonnes idées, et surtout de postes pérennes, parfaitement identifiés, à disposer de suite pour subvenir aux besoins des plus jeunes d’entre nous : un métier !

La Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté ne déroge pas à cette règle. Elle qui a déjà ajouté une dizaine d’embauches supplémentaires à son escarcelle au cours de ce dernier semestre sur le seul territoire de l’Yonne !

Les profils sont à caractère commerciaux. Logique pour cette typologie d’établissement qui raisonne en parts de marché réalisées sur la vente de produits financiers et de crédits, voire sur le conseil en gestion patrimoniale. Le must des services préconisés par un acteur du monde bancaire, aujourd’hui.

 

Les titulaires de Bac + 3 dans le viseur de la Caisse d’Epargne…

 

Dans l’absolu, la directrice du groupe de l’Yonne, Florence FORZINETTI, recherche des postulants devant pourvoir à trois opportunités professionnelles de manière immédiate. Des postes qui bénéficient d’un contrat à durée indéterminée. Du conseiller généraliste au chargé d’affaires en gestion patrimoniale, sans oublier celui de conseiller en clientèle.

Présente à l’agence commerciale de Toucy ce jeudi en fin de matinée, l’encadrante bancaire a confirmé ce besoin.

« Généralement, précisa-t-elle, nous puisons nos nouvelles recrues parmi un vivier de diplômés de niveau baccalauréat, bac + 3 (licence) – le plus souvent force de vente – qui possèdent la fibre du conseil et de la relation à l’autre ».

L’alternance est également usitée à bon escient. L’année dernière, cinq apprenants issus de l’Ecole de Commerce et de Gestion, accueillie au sein du pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie à Sens, ont intégré les services de la Caisse d’Epargne, afin d’y poursuivre leur cursus. Preuve que les portes sont grandes ouvertes pour celles et ceux de ces jeunes gens qui désirent s’initier aux pratiques de la commercialisation bancaire.

 

Trois postes à pourvoir à l’instant « t » dans l’Yonne…

 

Toutefois, le parcours de progression en interne demeure favorisé par la direction des ressources humaines. Les notions de promotion ne sont donc pas galvaudées selon l’exemple de la directrice de la vitrine commerciale de Toucy, Kelly PAYET, qui officie en qualité de responsable d’un point d’ancrage ouvert au public depuis trois ans. Elle, qui a pu assez rapidement se hisser vers le haut de la pyramide en gravissant les échelons sur un rythme bien soutenu, se dit très satisfaite de son sort.

Prenez-en de la graine, mesdemoiselles et messieurs les postulants, avant d’adresser vos lettres de motivation et autres CV afin de décrocher la timbale de ces trois nouveaux postes qui vous tendent la main !

 

Thierry BRET

 

 


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C'était une de ces matinées, fleurant quelque peu la fin de ce drôle d'hiver. Dans cette petite rue proche du marché de Sens,  un panneau à l'impeccable calligraphie - digne des institutrices et instituteurs d'avant 68 - m'interpella. Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! Séquence souvenir, de feu l’ORTF, avec le commissaire BOURREL et ses « Cinq dernières minutes ! ». J'y reconnus alors la patte de Laëtitia, que l'on a découvert jadis au « Martin bel air », sis à Saint-Martin-du-Tertre. Une bonne petite table locale que l'on évoquera un de ces quatre dans cette chronique....

 

SENS : Appréciée de la clientèle, elle n'avait pas son pareil pour préparer un « Américano », avec LA recette de son père-grand ! Après un court passage dans une chaîne que je ne citerai pas, là-voilà, à sa place, chef de salle de  la toute nouvelle « Table du Boucher ».

Bienvenue à la maison TROTOUX ! Guillaume y prit la suite de son père Rémi, après avoir exercé dans de belles boutiques, tant à Lille, que chez « Pouy » à la capitale. Voici trois ans, par le biais d'importants travaux, il créa cette boucherie du XXIème siècle, avec son étal arrondi.

Ce n'est pas la première fois que se crée à Sens un restaurant à viandes. Le précédent, ce fut voici il y a quelques années « Le Cav's », comme comptoir à viandes. C'était bon, certes, mais cher et chichiteux. Je me souviens encore des salsifis au chocolat en dessert ! Cela ne dura point. Peut-être y manquait-il un brin de gourmandise tout simplement ? Si certains clients vont au restaurant, d'autres s’y rendent aussi pour manger. CQFD !

Mais revenons rue Etienne Mimard, et poussons la porte vitrée de ce petit antre. Notre calligraphe est là, sa craie est rangée : les clients peuvent arriver ! Le décor est chaleureux, et la juxtaposition de tables hautes et basses, y est plutôt heureuse. Quelques saucissons pendouillent, juste histoire de  nous narguer !

 

 

La possibilité de se sustenter dès potron-minet !


« La Table du Boucher » pour Guillaume, c'est le prolongement de sa boutique, avec la possibilité pour la clientèle, de choisir un morceau sur l'étal. Même de bon matin, pour un « p'tit mâchon », plus très diététiquement correct en 2022, mais ayant l'avantage de faire plaisir, c'est déjà ça !

On s'attable donc confortablement dans cette petite salle contiguë à la boucherie. La planche-apéritif,  composée  de saucisson de porc noir de Bigorre bien poivré et de chorizo est plaisante. Avec ce joli  vin de Fixin. Aujourd'hui, la maison propose une souris d'agneau ou une entrecôte blonde d'Aquitaine. Le tout est accompagné de gratins (chou-fleur ou courgettes). Ou bien votre autre choix se portera sur le bel étal que l'on zyeute depuis notre table !

Quelques crudités pour commencer : de la betterave, une bonne piémontaise et une salade grecque, sans sirtaki, dommage ! Une dame seule se régale à la table voisine. Derrière nous, des parents déjeunent avec leur fille restauratrice. Elle est établie avec son mari, en terre vendéenne, à Aizenay. L'établissement s'appelle « La Sitelle ». Le Michelin parle de recettes originales avec de nombreux accords terre-mer, ainsi que d'un accueil agréable et attentionné.

 

 

 

Les petites « blagounettes » entre deux assiettes !

 

Le pain, ça compte ! Il est bon et bien cuit. Il provient de la proche boulangerie- pâtisserie tenue par Eric GAUFILLIER. On en profite pour saluer ce sympathique artisan, présent dans la cité de Brennus depuis plus de trente ans. Son frère, pâtissier, officie à Provins.

L'entrecôte arrive impeccablement saignante. Elle fut cuite à la plancha. C'est la mode ! Personnellement, il me semble que pareil morceau poêlé et arrosé durant cuisson, ce serait bon aussi. Même si ce n'est pas très « comme j'aime », ainsi que  le serine la pub sur machin-tv ou autre ! Le gratin de chou-fleur est fort bon, bien assaisonné ; on y perçoit de fines effluves de l'indispensable muscade.

Laëtitia, quant à elle, passe de table en table, un mot gentil pour chacun, une « blagounette » entre deux assiettes !

Le dessert maison du jour est une tarte aux figues. D'autres sont préparés par la maison GAUFILLIER et proposés à la dégustation. Bonne pioche que cette tarte aux figues, ce fruit si finement granuleux. Puis, vient le moment du café servi avec un nougat local.

C'est chouette, cette « p'tite Table du Boucher ». Bravo au courageux Guillaume qui ignore les trente-cinq heures. Et bravo aussi à notre calligraphe préférée !  Nous reviendrons pour une viande poêlée cette fois-ci ! Tant pis pour « comme j'aime » !

 

 

En savoir plus :

 

Les + : cadre agréable, originalité du concept, service au top, prix des vins raisonnables avec notamment un Irancy de chez CANTIN servi à 25 euros la bouteille, c'est rare !

Les - : les tarifs sont raisonnables, mais au prix d'un bon restaurant cependant (soit environ celui d'un menu à 35 euros, référence du « Bib gourmand » dans le guide Michelin), l’établissement aura tout intérêt à prendre avec le temps - Paris ne s'étant pas fait en un jour - un virage, un peu plus cuisiné. On pense aux sauces et jus, notamment. Beurre d'herbes, sauce bordelaise et autres sauces Foyot s’accorderaient volontiers avec miss entrecôte (blonde d'Aquitaine ou brune des Alpes, c'est vous qui voyez !). Un noble support de choix...

 

 

La Table du Boucher Maison TROTOUX (sur Facebook)

09, rue Etienne Mimard

SENS

Tel  03. 86. 65. 18. 20.

Boucherie-charcuterie : du mercredi au lundi.

La salle est ouverte lundi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 09 à 19 heures.

Précisions : l’établissement n'étant pas un restaurant, au sens légal du terme, il n'y est pas servi d'alcools forts (apéritifs,  digestifs...).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Parmi les conséquences de la guerre russo-ukrainienne, la plus forte à long terme sera surtout la flambée des prix du baril de Brent. Les pays producteurs de pétrole ne pourront pas pallier l’arrêt des importations venant de Russie, face à une demande croissante. De plus, les réserves de l’Europe ne sont pas au plus haut et la France assure trois mois d’autonomie. Un impact certain sur l’automobile…

 

TRIBUNE : Si la Russie ne peut plus exporter son pétrole, c’est tout de même le troisième producteur mondial, le Brent pourrait rapidement atteindre 120 dollars le baril ! On peut difficilement compter sur d’autres pays qui sont déjà au taquet. L’Iran peut cependant augmenter sa production de un million de barils/jour et les Etats-Unis peuvent dépasser les 11,5 millions de barils/jour. Pour cela, il faut réaliser des investissements qui ne produiront leurs effets qu’en fin d’année 2022. De plus, il y a fort à parier que l’Iran en profitera pour exiger des assouplissements concernant sa production d’uranium enrichi…

A 120 dollars le baril, nous serons à plus de deux euros le litre d’essence. Contrairement à ce que dit le patron du MEDEF, les taxes à elles seules n'expliquent pas tout. Il y a une autre raison : c'est la valeur de l'euro face au dollar, plus faible aujourd'hui qu'il y a une dizaine d'années. L'euro a perdu environ 15 % de sa valeur face à la monnaie américaine. Cela pèse fortement sur la facture pétrolière de la France puisque nous payons toujours l'or noir en dollars. Peut-on jouer sur les taxes de l’Etat ?

La composition du prix du carburant est la suivante : pétrole brut (37,6 %), raffinage (6,1 %), transport et distribution (7,2 %), fiscalité (49,1 %). L’Etat prélève ainsi près de la moitié du prix de l’essence. Peut-il diminuer les taxes ? Oui en théorie car il l’a fait dans le passé, alors pourquoi pas de prévision de diminution substantielle ?

 

Comparatif véhicule à essence / voiture électrique…

 

Parlons du prix : toutes aides confondues (Etat, région), une Renault ZOE tout électrique de 110 CV peut passer de 32 000 euros à 18 000 euros. En comparaison,  une CLIO essence de 65 CV est facturée 17 500 euros. Avec une voiture électrique, le prix d'un plein électrique est en moyenne de deux euros pour cent kilomètres en profitant d'un système de charge à domicile. Soit environ 400 euros pour 20 000 kilomètres, c'est à dire 2 100 euros de moins que le véhicule thermique. Si vous rechargez votre voiture à la maison, vous pouvez également opter pour des contrats d'électricité adaptés à la recharge de voitures électriques, sous le mode d'alternance heures pleines-heures creuses, qui vous permettront de recharger au meilleur moment pour votre budget.

Il est recommandé de réaliser un entretien du véhicule électrique tous les 30 000 km, contre 15 à 20 000 pour les voitures thermiques. Selon l’étude de « Consumer Reports », sur la durée de vie totale d’un véhicule électrique, les économies moyennes s’élèveraient à un montant presque égal à 4 000 euros.

 

 

La durée de vie d'un moteur de voiture électrique moderne est estimée à plusieurs millions de kilomètres. Pour un usage dans la moyenne (soit 30 à 40 km par jour, ou 20 000 km par an), le moteur pourrait donc fonctionner parfaitement pendant plus de cinquante ans !

On le voit bien, non seulement l’acquisition d’une voiture électrique est rentable à court terme mais également à long terme.

On peut ajouter que RENAULT vend à la Russie presque autant qu’en France. La crise ukrainienne peut aussi déboucher sur une crise dans le secteur automobile.

 

 

L’Etat travaille-t-il à une stratégie consumériste ?

 

On peut se poser la question. Existe-t-il, du côté de l’Etat, une stratégie concernant un prix de l’essence le plus haut possible afin de booster les véhicules électriques? Pourquoi pas et ce serait non seulement bénéfique pour tout le monde et y compris pour l’écologie !

Les constructeurs automobiles pourraient de leur côté réaliser une étude approfondie : quelle zone de prix acceptable par le plus grand nombre de consommateurs, pour le prix d’une voiture électrique, en tenant compte de deux facteurs. Les aides possibles de l’Etat et le seuil de rentabilité d’une telle configuration ? Plus simplement, il faudrait vendre combien de voitures au minimum  et à quel prix maximum ?

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Solennité de l’instant. Décontraction, aussi dans les propos liminaires prononcés par l’édile de Sens. Visiblement, satisfaite de se retrouver là, en pareilles circonstances, prête à se munir de son stylo où elle couchera d’ici peu sa signature au bas du document. Un véritable pavé de…350 pages ! Rien que cela, à l’heure de la dématérialisation ! Celui qui place en orbite le projet de réédification de la nouvelle poste des Champs-Plaisants, partie en fumée, en 2017…

 

SENS: C’est une manière efficace de tourner la page. Radicale, même d’envoyer aux oubliettes de la mémoire collective le sinistre incendie qui avait consumé l’ancien bureau de La Poste dans le quartier des Champs-Plaisants, en 2017. Cinq ans, plus tard, la tonalité n’est plus similaire. La physionomie des faits se veut nettement plus conviviale, voire tranquille, pour noircir un paraphe, déclencheur de nouveaux travaux. Ceux qui concernent la nouvelle agence postale, devant être livrée début juin.

Répondre à une attente. C’était là tout l’enjeu de cette signature conventionnelle entre deux partenaires : la collectivité territoriale de Sens et l’opérateur de services postaux, banque, assurance et autres prestations. Avant l’été, les habitants du quartier des Champs-Plaisants profiteront d’un point d’accueil flambant neuf, d’une surface de 107 mètres carrés. Un bureau recevant également les neuf structures qui opèrent sous le vocable habituel du programme France Services. Précisons, qu’un foyer socio-éducatif verra aussi le jour ainsi que le réaménagement de la place centrale. Histoire de conforter l’offre de prestations auprès des citoyens.

« Et de l’espoir aux gens, complète Marie-Louise FORT, parce qu’ils attendent nombreux le retour fonctionnel de ce bureau de poste ».

 

 

Un budget de 290 000 euros HT répartis entre la CDPPT et la Ville…

 

Financés en majeure partie par la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT), à hauteur de 150 000 euros, les travaux nécessiteront un budget de 290 000 euros in fine. La charge de la ville sera de 92 000 euros hors taxes.

Commentaires de l’ « asset manager immobilier » du groupe postal en Bourgogne, Sandrine GERLAUD, signataire du document, « nous sommes très contents de nous réinstaller aux Champs-Plaisants, et d’y apporter les services de La Poste. ».

Elle ne sera pas la seule : la fréquence ordinaire des files d’attente sur les autres bureaux postaux de la ville prouve que ce futur point représente une bénédiction pour tous les habitants de ce quartier. Encore un peu de patience, désormais, avant de pouvoir en profiter pleinement…

 

Thierry BRET

 

 


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