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Etre au cœur du bassin de vie. Plus proche de sa clientèle, qu’elle soit issue du segment des particuliers. Comme des milieux professionnels, artisans et commerçants en tête. C’est tout l’enjeu de la présence de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté sur ce carrefour ô combien stratégique de la Puisaye. Inaugurée le 25 mars dernier, à la suite d’un sérieux lifting lui permettant de retrouver une nouvelle jeunesse opérationnelle, l’agence de la rue Philippe Verger répond ainsi à ses ambitions.

 

TOUCY : Le sas d’accueil de la vitrine commerciale apporte une impeccable flamboyance dans l’appréciation des couleurs. Un joli rouge vermillon, nullement agressif qui confère une touche de modernité et de dynamisme à l’ensemble de la pièce. Au sol, un revêtement imitation parquet qui est du plus bel effet. Deux automates destinés aux dépôts des chèques et des espèces (l’un pour les commerçants, un premier indice sur la volonté d’être au service de la clientèle professionnelle, l’autre pour le commun des mortels) sont positionnés au beau milieu de la surface murale. Le coloris gris métallique contraste avec le ton chromatique principal. Pas mal, la première impression de cet espace !

 

Un concept réalisé par des entreprises artisanales du sérail…

 

Bienvenue dans la nouvelle configuration esthétique de ce point d’ancrage de la Caisse d’Epargne au cœur de la Puisaye. A Toucy, cité au charme bucolique qui partage le titre de capitale de l’entité territoriale avec la plus lointaine Saint-Fargeau !     

L’ouvrage, vu sous son nouveau prisme ergonomique et structurel, traduit la qualité de travail élaboré par des entreprises artisanales du cru qui, cinq mois durant, se sont adaptées au cahier des charges initial afin d’aboutir à ce résultat. Une surface totale de cent vingt mètres carrés, entièrement réhabilitée au concept de la « mobil bank » imaginé par le donneur d’ordre, l’établissement bancaire régional.

A l’extérieur, la façade de l’agence bancaire a reçu un salvateur nettoyage avant de se voir recouverte de nouvelles couches de peinture. Dedans, l’aménagement est remarquable. Certes, à l’instant « t » de ce reportage, peu de clients pouvaient réellement en témoigner. Mais, selon les commentaires enthousiastes de la jeune Kelly PAYET, responsable de la petite cellule de trois collaboratrices qui officient in situ : « la clientèle se dit satisfaite des nouveaux atours pratico-pratiques » de ce site commercial ».

 

Les services et la convivialité en prime !

 

Il est vrai que l’apport de services supplémentaires explique sans doute cela. Dépôt de valeurs, zone de libre-service assurant une prestation 7j/7 entre 06 et 22 heures, dépôt de chèque possible toute la semaine… : voilà ce qui attend la clientèle de l’établissement côté réjouissances ! La convivialité n’est jamais éloignée, non plus avec le salvateur café servi à la clientèle.

Ouverte du mardi au samedi (l’après-midi uniquement sur rendez-vous afin de pouvoir bénéficier du flux occasionné par le marché), la vitrine de la Caisse d’Epargne ne peut pas être mieux située. Sur un axe stratégique où convergent les habitants qui fréquentent le cœur de ville.

 

 

A l’intérieur, outre les bureaux privatifs qui facilitent les échanges confidentiels lors des rendez-vous, on découvre un autre aspect de ce site. L’ouverture sur l’art. Des photographies locales (certaines ont été réalisées par Kelly PAYET décidément au four et au moulin dans son agence au détour de balades dans la cité de Puisaye) ornementent les surfaces murales de l’endroit. Des clichés, parfois en noir et blanc, subtils.

 

Un réel potentiel de développement qui ne demande qu’à croître…

 

Toucy, comme le confie Florence FORZINETTI, directrice du groupe bancaire dans l’Yonne, occupe une place importante sur l’Auxerrois et la Puisaye-Forterre, premier secteur en termes de résultats de la Bourgogne Franche-Comté.

« Ici, ajoute-t-elle, le potentiel de développement est réel. Tant en termes de crédits immobiliers qu’au niveau des aides fournies auprès des entreprises… ».

Sans omettre, l’aspect un peu haut de gamme de la clientèle francilienne qui séjourne avec régularité constante sur le territoire depuis la crise sanitaire. Une pépite parmi par les 152 agences que compte le groupe sur sa prégnance régionale ? Directrice du secteur Auxerrois/Puisaye, Nathalie TOUSSAINT acquiesce.

Cela méritait bien d’injecter 300 000 euros pour rénover de fonds en comble cette boutique. Celle qui donne pignon sur rue à la Caisse d’Epargne dans le cœur de ville de Toucy, plus que jamais établissement de proximité.

 

Thierry BRET

 

 


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Serait-ce la résurgence de souvenirs sportifs, issus de sa jeunesse lorsqu’il se destinait à un cursus de sport étude, dans sa discipline de prédilection, à savoir le football ? Où est-ce le tempérament bien construit de ce personnage affable et communicatif de vouloir faire évoluer les lignes en y apportant son savoir-faire, ses expériences et ses envies ? Toujours est-il que le nouveau préfet de l’Yonne a d’ores et déjà affiché ses intentions dès sa prise de parole initiale avec la presse. Celles de rendre encore plus attractive l’Yonne à travers ses atouts. En éradiquant tous les obstacles !

 

AUXERRE : Sportif dans l’âme, c’est en compétiteur de l’attractivité du territoire et en soutien inconditionnel à l’économie que s’est présenté le successeur d’Henri PREVOST lors de sa première prise de contact formelle avec la presse, mardi en fin de matinée. Accueillant avec cordialité et sens de la communication parfaitement bien huilé les représentants médiatiques du département, Pascal JAN s’est offert un exercice oratoire d’une trentaine de minutes façon « livre ouvert » dans son vaste bureau, la tasse de café à la main. Balayant les uns après les autres les grands dossiers sur lesquels il devra très vite plancher une fois le temps d’installation passé.

Un entretien prolixe où le haut fonctionnaire aura pu narrer en le résumant son parcours éclectique et riche qui devait conduire ce natif de Tours successivement à Bordeaux (notamment à Sciences Po où il officia es qualité de professeur agrégé des universités en droit public) et à Fort-de-France, où il fut encore il y a peu le recteur de la région académique de la Martinique.

 

 

Un premier poste au sein de la préfectorale pour ce quinquagénaire à l’allure sportive…

 

Troquant la touffeur humide de l’île exotique pour des températures printanières nettement moins clémentes en Bourgogne, ce sagittaire, ayant convolé en justes noces et père de trois enfants, est arrivé depuis quelques jours à Auxerre, découvrant ainsi son premier poste au sein de la préfectorale. Une prometteuse promotion pour ce quinquagénaire (il est âgé de 54 ans) à l’allure svelte et sportive, féru du ballon rond et désolé de voir se morfondre dans les limbes de la Ligue 1, des Girondins de Bordeaux (l’un de ses clubs fétiches) aux portes de la division inférieure. Sans doute, se consolera-t-il très vite avec la possible accession de l’AJ Auxerre parmi l’élite ?

Naturellement, ce n’est pas de football ni des plaisirs gourmands que cet épicurien aura à cœur de découvrir au détour de ses nombreuses pérégrinations durant ces deux prochaines années de présence en terre icaunaise dont il fut question !

Répondant aux interrogations de la palette journalistique qui se présentait à lui, Pascal JAN aura abordé avec franchise et en nourrissant ses propos de ressentis personnels inhérents à sa nouvelle fonction un panel de sujets qui fait le lit de l’actualité icaunaise habituelle.

 

 

« L’Yonne n’a pas de faiblesses, elle subit seulement des contraintes qu’il faut éradiquer… »…

 

Des difficultés quotidiennes des milieux agri/viticoles aux problématiques de la sous-traitance industrielle (le volet automobile) avec l’emploi, de la sécurité routière (vaste fléau que celui-ci dans l’Yonne, territoire remportant le pompon de l’accidentologie au plan hexagonal) à la présence des forces de l’ordre au plus près des concitoyens, rien ne manquera in fine dans cet inventaire à la Prévert des missions régaliennes qui incombent au représentant de l’Etat.

D’ailleurs, lorsqu’on lui pose la question d’identifier les « forces et les faiblesses » de l’Yonne, en matière d’attractivité, Pascal JAN répond péremptoire que le terme de « faiblesse » n’est pas du tout adapté à la réalité de ce département. « Disons qu’il existe des contraintes extérieures dont il faudra tout mettre en œuvre pour les supprimer… ».

Un positionnement combattif et impliqué pour le nouveau venu qui défend déjà bec et ongles les atouts du territoire le plus septentrional de la Bourgogne, du fait de sa ruralité et de sa proximité avec l’Ile-de-France limitrophe. Déjà un bon point dans sa besace et une attitude ambitieuse qui devrait plaire aux milieux économiques du sérail.

 

 

Les milieux agri/viticoles, cibles de ses premières visites sur le terrain…

 

Car, de l’appétence à l’économie, il en aura été beaucoup question durant ces courtes trente minutes de conversation où Pascal JAN déflora la feuille de route de ses futures actions sans trop en détailler la substantifique moelle. Une manière goûteuse de mettre les médias en appétit et d’attendre avec impatience les premières apparitions du haut fonctionnaire sur le terrain.

Ses primes visites seront justement destinées au monde agricole d’ici la fin de la semaine. D’autant qu’un épisode gélif d’importance a occasionné de sérieux dégâts tant dans l’arboriculture que chez les vignerons.

Ayant bénéficié lui-même d’une expérience d’élu municipal dans une vie antérieure – entre 2008 et 2014 en Gironde sur la localité de Saint-Morillon – le nouveau préfet ne pourra rencontrer pour l’heure les personnalités de la sphère politique, devant respecter le principe de réserve imputable à la présidentielle.

Poursuivant sur la continuité de ses prédécesseurs, Pascal JAN semble posséder la sagesse analytique et induite des représentants de l’Education Nationale à laquelle il a appartenu durant tant d’années. Son trop court vécu de footballeur étudiant lui a sans aucun doute conféré aussi cette insatiable volonté de bien faire, de se projeter en avant, droit au but même s’il portait jadis le maillot d’arrière gauche.

Un volontarisme qui pourrait peut-être l’aider à « tacler » toutes les aspérités et les freins qui peuvent ralentir l’attractivité économique de notre département…

 

Thierry BRET

 

 


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Ils en ont voulu. Ils ont bossé. Parfois à la limite du doute. En connaissant les affres du trac qui étrangle la parole, face à un jury. Un exercice oratoire qui n’est jamais facile à appréhender. Mais, in fine, l’objectif est atteint. L’obtention du diplôme de REAB. Traduction littérale : « Responsable de l’Entreprise Artisanale du Bâtiment ». Un titre qui au-delà de la gloriole personnelle (« ils l’ont fait ! ») accompagne les ambitions de ces jeunes entrepreneurs du bâtiment…

 

AUXERRE : C’est la pleine maîtrise de soi, au plan managérial, lorsque l’on peut s’enorgueillir de posséder dans sa besace personnelle le diplôme correspondant à cette formation. Le « REAB » : un précieux sésame que tout chef d’entreprise du bâtiment tente de conquérir après moult difficultés car l’exercice n’est guère aisé à appréhender. On l’aura encore constaté, ce 05 avril au siège de la CAPEB de l’Yonne, où trois récipiendaires du fameux trophée ont reçu leur titre distinctif.

Un peu timide, ces trois gaillards ! Ils masquent sans doute leur émotion. D’autant que l’un d’entre eux, Benjamin ASSIMON, plombier chauffagiste de son état, est accompagné de ses parents. Logique : il a repris la société familiale. Donc, au-delà des mots de félicitation qui lui sont adressés par Eric GUYOU, le futur successeur de Jean-Pierre RICHARD, inamovible président de la CAPEB excusé pour la circonstance, c’est un sentiment de fierté qui brille dans le regard du jeune homme.

Les parents savourent. Cela crépite de photos afin d’immortaliser l’instant…

Son voisin de gauche, René MAGOTOE, électricien de base mais touche-à-tout expérimenté en climatisation et en…plomberie car il s’aventure vers le large éclectisme potentiel des métiers de cette corporation, est, quant à lui, nettement plus volubile. Manifestement très heureux de se retrouver là, sans que ce soit vraiment le fruit du hasard.

 

 

« Construire Demain » : le sens pédagogique idéal à ce cursus…

 

Enfin, Dimitri MORIN exerce l’activité de peintre. On dirait, du fait de son apparence juvénile, un jeune étudiant qui vient de toucher le Graal à l’issue de son cursus universitaire sanctionné d’un examen. Se dandinant sur une jambe, puis l’autre. Ce fut parfois très complexe mais il a réussi. Sa gratitude va immédiatement au formateur, Jacky LECURET, de la société Construire Demain, qui a suivi ce trio d’apprenants plusieurs mois durant malgré les soubresauts intempestifs de la crise sanitaire. Jamais facile de transmettre le savoir derrière un écran d’ordinateur !

« Construire Demain » : la noble appellation ! Une structure de formation qui depuis trois décennies déploie à l’aide de ses formateurs chevronnés toute son énergie sur le terrain du bâtiment pour accompagner les gestionnaires de ces TPE/PME et leurs conjoints vers le rendez-vous avec le succès.

 

 

Une maîtrise approfondie de la gestion d’une entreprise…

 

Celui de faire progresser l’outil qui est leur appartenance et dont ils ont pris les rênes de la destinée : leur entreprise. C’est clair : à date, plus de dix mille structures implantées aux quatre coins de l’Hexagone leur ont déjà fait confiance. D’où cette collaboration naturelle avec les services de la CAPEB. C’est ce que devait rappeler Christophe BERTEAU, le coordinateur du syndicat professionnel dans l’Yonne, lors de sa prise de parole, plutôt enjouée.

Une formation utile pour René MAGOTOE qui a la tête de son entité, « Phoenix Conception », a su renaître de ses cendres alors qu’il ne savait pas s’il allait pouvoir surmonter la crise de la COVID et son tombereau d’incertitudes pesant sur son chiffre d’affaires.

Des hommes de l’art, pas forcément spécialistes de la gestion d’une structure professionnelle, voilà ce qu’étaient auparavant les trois lauréats comme devait le stipuler Dimitri MORIN. Chose aujourd’hui révolue grâce à ce « REAB » obtenu en deux ans dont ils en redemanderaient presque une prolongation…

 

Thierry BRET

 

 


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Qu’il s’agisse de la guerre en Ukraine ou de la pandémie, les profiteurs spéculent toujours sur le dos des plus pauvres. Le libéralisme atteint ses limites quand le droit à manger des plus humbles est concerné. La spéculation fait partie de notre système économique. Le problème, c’est que l’on peut difficilement classer les « méchants » parmi les spéculateurs et les « gentils »,  au sein de ceux qui investissent légitimement sur les marchés en bons gestionnaires…

 

TRIBUNE : Pour qu’un marché existe, il faut qu’il soit liquide, et la liquidité est bien assurée par les spéculateurs ! Alors ? Une nuance réside sans doute dans l’intention. L’intention de profiter encore plus de la détresse des uns pour augmenter la richesse des autres.

L’envolée des cours des sociétés qui fabriquent des armes semble cohérente avec la réalité de la guerre en Ukraine. Par contre, on s’attendait à plus d’engouement pour les sociétés pétrolières. On peut juste leur reprocher d’appliquer en temps réel la croissance du prix du baril sur le prix à la pompe alors qu’il faut attendre un peu plus longtemps lorsque les cours du Brent baissent. Mais, le plus surprenant se passe sur le marché des céréales.

 

De la culture du blé au métier de « céréale killer » !

  

Sur les marchés à terme du blé, on est passé de 240 euros la tonne à presque 400 euros ! Les bourses de matières premières, comme Chicago pour citer la plus importante, font la pluie et le beau temps sur le prix des dites matières. La crise ukrainienne fait peser une lourde menace sur les prix du blé donc sur ceux du pain, des pâtes et autres dérivés de cette céréale vitale pour la planète. La Russie et l’Ukraine sont largement exportatrices de blé. La guerre va raréfier les exportations, avec moins d’offres, les prix vont naturellement augmenter.

La spéculation concerne les investisseurs sur les marchés des matières premières. Prenons un exemple : j’achète en février 2022, 1 000 contrats de blé à 240 euros la tonne échéance mai 2022. Le contrat vaut 400 euros. Je suis certain de gagner 376 X 1 000= 376 000 euros. Les prix à terme s’imposent au marché. A moi de calculer la différence entre l’achat en temps réel et la vente spéculative à terme. Si je pense que la guerre va s’arrêter et que les cours du blé vont chuter, je suis vendeur à terme de 1 000 contrats à 400 euros et en mai, si le temps réel fait que le blé vaut 100 euros la tonne, j’encaisse la différence, soit 300 euros par tonne. La spéculation à la baisse est risquée car je devrais nécessairement acheter à terme et ce, quel que soit le cours. 

 

 

Plus il y a d’acheteur, plus la valeur monte. Inversement, plus nombreux sont les vendeurs, plus cela fait baisser le cours. Tout principe de spéculation repose donc sur l’anticipation d’une rupture dans l’équilibre de l’offre et de la demande, qui ferait varier la cotation dans un sens ou dans l’autre. La spéculation à la hausse est le cas le plus simple, et le premier auquel on pense. Il consiste à acheter des valeurs avant qu’elles ne montent et de les revendre ensuite pour réaliser une plus-value :

  1. Achat de blés à un cours « faible »
  2. Montée du cours sur ces titres
  3. Revente du blé  avant la baisse

Le fait d’acheter des contrats (étape 1) déséquilibre le rapport entre l’offre et la demande en faveur des acheteurs et fait par conséquence monter le cours. Dans un premier temps, la prédiction est donc une prophétie auto-réalisatrice. Le fait même de spéculer à la hausse sur une valeur, entraîne mécaniquement sa hausse.

 

Une frontière ténue en moralité et immoralité…

 

Avec un effet pyramidal : les derniers à acheter avant que ça ne baisse perdent de l’argent ou gagnent beaucoup moins en achetant des titres survalorisés. La financiarisation des marchés de matières premières, démontre le principe même de la spéculation : je n’ai pas besoin d’être producteur pour interagir sur lesdits marchés. Je peux vendre ce que je ne possède pas et les prix de la spéculation s’imposent aux petits producteurs. Les céréaliers sont aussi tentés de stocker dans des périodes de hausse des cours, donc de peser sur la raréfaction artificielle de l’offre et ainsi de réaliser de belles plus-values. La frontière entre immoralité et amoralité semble faible pour ceux qui sont avides de profits. L’Etat doit évidemment intervenir lorsque la concurrence est faussée par l’avidité des uns au détriment des plus démunis. C’est tout le principe capitaliste qu’il faut repenser : si l’égalité est impossible dans nos systèmes, l’équité doit nous permettre de retrouver les bases de l’humanisme. Le prix de l’essence à conduit à la révolte des Gilets jaunes, celui du pain à parfois amené des révolutions !

« Le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le communisme ? C’est le contraire ». Henri JEANSON.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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C’est la voiture de sport la plus vendue dans le monde. Pas étonnant donc qu’au détour d’un déplacement sur nos routes de campagne dès le soleil revenu, mais aussi en zones urbaines, nous apercevions l’un de ces rutilants petits bolides, pur produit du savoir-faire de l’ingénierie britannique. A Auxerre où la marque est de nouveau commercialisée par JEANNIN Automobiles, la belle anglaise est de sortie. Pour le plaisir des yeux !

 

AUXERRE : « Flame Red ». Littéralement, « rouge flamme ». C’est le nom de code officiel de ce petit bijou de la mécanique qui s’aperçoit au détour d’un déplacement dans les rues de la capitale de l’Yonne depuis quelques jours.

Une appellation des plus appropriées qui rappelle le caractère tonique de son heureuse propriétaire ! Une collectionneuse de l’Auxerrois, inconditionnelle de ces merveilleuses automobiles d’antan qui ne fonctionnent pas dans le silence sans âme et insipide avec des batteries électriques !

Sa première mise en circulation remonte à 1971. Les années heureuses où Georges POMPIDOU gouvernait une France qui avait encore une réelle vision de son avenir, au sortir des « trente glorieuses ».

Toutefois, à la lecture de son pédigrée, la belle anglaise est considérée comme un modèle à l’estampille de 1972. Mais, qu’importe. Sa conductrice qui la nomme affectueusement son « bébé » n’en a cure !

Dès les premiers rayons de soleil revenus, l’émérite passionnée de la pédale d’accélérateur appuyée sort de son garage hivernal ce petit prodige de la mécanique. Un moteur de 1 800 centimètres cube qui déploie ses 95 chevaux !   

 

 

Les puristes auront compris. On ne  badine pas avec ce genre de véhicule à mettre uniquement dans des mains expertes !

Le compteur, en miles (une évidence pour une enseigne de la perfide Albion !), nous renseigne : l’équivalent de 75 976 kilomètres ! C’est presque une jeune fille, cette demoiselle, tout de rouge vêtue.

Naturellement, pour des commodités fichtrement compréhensibles, il y a eu quelques modifications dans l’habitacle. Notamment le passage de la conduite de droite à gauche. Restons cocardier, tout de même !

Nous reviendrons lors d’un prochain article consacré à la marque anglaise à la genèse et aux évolutions ayant marqué la vie de ce spécimen qui peut offrir un bon 170 km/h de pointe avec un confort d’accélération accru. Pour l’heure, contentons-nous de l’apprécier à sa juste valeur et sans modération !

 

Thierry BRET

 

 


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