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A l’instar de ce qui se pratique déjà en Charente-Maritime, le tribunal de Commerce d’Auxerre devrait mettre en place d’ici peu un dispositif de soutien destiné aux entrepreneurs en souffrance. Une réunion d’information, organisée en présentiel se déroulera ce jeudi 03 décembre dans la grande salle des fêtes de VENOY (et dans le respect des gestes barrière) à 14h30. Elle offrira l’opportunité au président de l’institution Pascal BAILLY de faire toute la lumière sur ce projet. Dont il évoque les contours dans cette tribune…

TRIBUNE : La crise sanitaire inédite que nous traversons s’inscrit dans la longueur et nous oblige à la plus grande prudence et à une grande vigilance.

Tout d’abord, l’accueil et l’activité du Tribunal de Commerce fonctionnent tous les jours de la semaine, par téléphone, par mail, ou sur rendez-vous pour respecter les gestes « barrière ».

Les audiences de contentieux et procédures collectives se tiennent en présentiel dans le respect le plus strict de mesures sanitaires.

A ce jour, l’activité du Tribunal de Commerce d’Auxerre est depuis le début de cette crise sanitaire très nettement en baisse concernant les demandes de redressement judiciaire.

Alors qu’à l’opposé, le nombre de créations et inscriptions au registre du commerce conserve une activité normale.

 

Agir à plusieurs niveaux pour faire face aux difficultés…

 

Au premier regard, la photographie que nous pourrions faire aujourd’hui, pourrait nous satisfaire mais n’est peut-être pas le reflet le plus juste de la situation économique, compte tenu des aides et délais octroyés.

Alors, comme évoqué dans mon propos introductif, ce constat nous oblige d’une part à la plus grande prudence mais surtout à une grande vigilance. Les difficultés de toute nature des entreprises sont souvent autant d’épreuves également personnelles pour les chefs d’entreprises.

Ainsi, face aux difficultés que pourraient rencontrer les entrepreneurs, les magistrats du Tribunal de commerce sont convaincus qu’il faut agir dès à présent, à plusieurs niveaux.

 

Banque Populaire

 

D’emblée, en plus des mesures préventives prévues dans les textes, le Président ou un magistrat délégué à la prévention se tiennent à disposition des chefs d’entreprises en difficultés pour des rendez-vous confidentiels.

Par ailleurs, le Tribunal de commerce travaille à la mise en place d’une association d’aide psychologique à destination des entrepreneurs leur permettant de bénéficier gratuitement d’un soutien psychologique (APESA). Cette association à vocation départementale sera mise en place dans les prochains jours.

 

Un soutien psychologique adapté aux besoins des entrepreneurs…

 

Depuis 2013, ce dispositif original appelé APESA (Aide Psychologique aux Entrepreneurs en Souffrance Aiguë) initié d’abord au Tribunal de Commerce de Saintes a vu le jour et a été adopté par de nombreuses juridictions. Celui d’Auxerre a décidé de mettre en place ce dispositif et d’y associer les structures et organismes qui vivent au quotidien par les entreprises et pour les entreprises  afin de permettre aux entrepreneurs en souffrance de trouver, gratuitement et s’il le souhaite, d’un soutien psychologique adapté.

Cette démarche s’inscrit dans la philosophie de notre institution consulaire qui se veut pragmatique, efficace, à l’écoute des justiciables et également préoccupée des conséquences humaines de ses décisions.

 

En savoir plus :

 

Pour en connaître davantage sur le dispositif, consulter la référence suivante : www.apesa-france.com

 

Pascal BAILLY

Président du Tribunal de Commerce d’Auxerre.

 


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Ils en ont gros sur le cœur. Contraints d’avoir fermé leur outil de travail depuis des semaines, voire des mois pour certaines filières. Désormais, c’est le ras-le-bol généralisé. Ils ont décidé de réagir. Tout de noir vêtu pour marquer le deuil de leur projet professionnel perdu ? En manifestant ce mercredi 02 décembre à Auxerre. Devant la préfecture de l’Yonne. Tout un symbole du rejet des mesures d’aides et d’accompagnement jugées trop « insignifiantes »…

AUXERRE : Pas de déambulation à prévoir pour ce rassemblement contestataire du monde entrepreneurial. Simplement, il se déroulera en version statique. Face à l’hôtel de la préfecture, ce mercredi 02 décembre aux alentours de 15 heures.

A l’invitation de la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), de l’UMIH (Union des métiers de l’industrie hôtelière) et de France Active (fédération des salles de sport), les cheffes et chefs d’entreprises icaunais impactés par la fermeture administrative de leur outil de travail prendront part à cet évènement revendicatif qui en dit très long sur le moral des troupes.

Excédés, inquiets et désireux de se faire entendre d’une manière plus significative que par simple envoi d’un communiqué de presse, les acteurs de la sphère économique issus des TPE/PME ont la ferme intention de réagir. Et de le faire savoir avec davantage de visibilité et de force.

 

 

Deux établissements sur trois de l’hôtellerie/restauration condamnés à disparaître…

 

Alors que les fermetures imputables aux périodes de confinement voulues par le gouvernement s’amoncellent en cascade, les organisations professionnelles tirent la sonnette d’alarme auprès de leurs ouailles.

L’heure est grave pour une kyrielle d’établissements qui pourraient disparaître in fine du paysage économique. Cela concerne les cafés, bars, hôtels, restaurants, discothèques, bowlings, salles de sport, traiteurs…

Les syndicats patronaux dénoncent par ailleurs l’insuffisance des aides et accompagnements face à la crise sanitaire. « Nous ne sommes pas respectés, clament-ils en chœur. Les critères d’obtention de ces aides sont bien trop restrictifs ; les sommes allouées trop insignifiantes… ».

Dans le même temps, les loyers qui ne cessent de courir tuent à petit feu les professionnels contraints à l’inactivité : les charges fixes représentant un poids bien trop lourd à supporter.

Les trois organisations pointent aussi du doigt le manque de soutien des assureurs : « ils brillent vraiment par leur absence ! ».

L’heure est donc à la mobilisation. Une mobilisation qui se veut plus large et éclectique que jamais puisque les organisateurs de cette « colère noire » (chacun des manifestants devant être vêtu avec un habit de ce coloris mis en évidence) voudraient rassembler fournisseurs, salariés, et même clients.

C’est sûr : le drapeau noir flotte au-dessus de la marmite bouillonnante de la contestation entrepreneuriale ! Sera-ce suffisant pour se faire entendre ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ce mardi 1er décembre devrait être chaud bouillant pour la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté. Participant au comité de suivi du fonds de développement de l’industriel américain GENERAL ELECTRIC, Marie-Guite DUFAY entend bien défendre le projet de reprise d’activité déposé par les salariés de GE Hydro. Contre l’avis du directeur général de la filiale française…

DIJON (Côte d’Or) : Entre GENERAL ELECTRIC et l’exécutif de la Région Bourgogne Franche-Comté, le torchon brûle. Surtout après l’annonce de nouvelles suppressions de postes dans le cadre de la réorganisation de l’industriel américain. Ce sont 300 emplois qui sont sur la sellette dont 240 affectés au site de Belfort dans la branche du « steam power ». Celle qui conçoit la fabrication des turbines présentes dans les réacteurs des centrales nucléaires.

S’entretenant il y a peu avec le ministre de l’Economie et de la Relance Bruno LE MAIRE, Marie-Guite DUFAY endosse une fois de plus sa vêture de chevalier blanc, en défenseuse toute acquise à la préservation de l’emploi dans sa zone géographique de prédilection.

Favorable à un rachat par EDF et FRAMATOME de l’ensemble de la branche énergie de GENERAL ELECTRIC, ce qui favoriserait la création d’un grand groupe énergéticien aux couleurs nationales, l’élue régionale sollicite pour la énième fois la présidence de la République.

Depuis deux ans, Marie-Guite DUFAY multiplie en effet les contacts auprès d’Emmanuel MACRON afin que ce dernier s’empare enfin du dossier. En vain. Pour l’heure, rien ne bouge et ses demandes restent lettres mortes.

« Sans l’intervention du chef de l’Etat, nous assisterons à la destruction massive d’emplois et de compétences uniques au monde, souligne-t-elle dans un communiqué de presse, les intérêts de notre pays et la filière française de l’énergie sont menacés… ».

 

 

Exit le temps des promesses, des mensonges et des trahisons…

 

Fustigeant l’attitude du géant américain qui n’a pas tenu ses promesses (« depuis le rachat de la branche énergie d’ALSTOM, ce n’est que mensonges et trahisons…), Marie-Guite DUFAY dénonce la stratégie de l’industriel.

Une politique qui touche à la souveraineté industrielle de la France tout en mettant en péril notre indépendance énergétique et notre sécurité nationale à terme.

Il y a un an, GENERAL ELECTRIC s’était engagé après d’âpres tractations à signer un accord pour pérenniser l’activité gaz à Belfort. Mais, aujourd’hui, les négociations ne sont toujours pas abouties.

Quant aux mille emplois promis en France par l’industriel nord-américain, ils se sont évanouis comme par enchantement dans la nature. Laissant la place, en revanche, à de multiples plans sociaux ou de départs volontaires qui se succèdent en cascade.

Enfin, rappelons, qu’au mois de septembre dernier, ce sont 83 salariés de la filière Hydro qui ont été sortis des effectifs au nom d’une restructuration comptable.

Mardi, face à Hugh BAILEY, directeur général de GE France, et contre son avis, la présidente de région soutiendra mordicus les intérêts des salariés de GE Hydro qui consiste en une reprise de leur activité. Une rencontre qui sera certainement « électrique » entre les deux parties…

 

 


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Déjà une décennie de présence grâce à deux générations de modèles. Synonymes de succès qui se traduit par la vente de 500 000 exemplaires, dont 180 000 en Europe. Fleuron de la gamme électrique du constructeur japonais, la LEAF plaît aux consommateurs de l’Hexagone. La preuve, ils ont acheté 25 000 de ces véhicules. Un chiffre qui augmentera au premier trimestre prochain avec la mise en vente de la version 2021…

PARIS : C’est l’effervescence dans le réseau des concessionnaires NISSAN. Les commandes de la LEAF 2021 sont ouvertes depuis plusieurs semaines. Afin d’assurer les premières livraisons de la petite dernière issue de la gamme électrique du constructeur nippon et ce, dès le début de la nouvelle année.

Pionnière de la mobilité 100 % électrique depuis 2010, l’automobile a été totalement renouvelée sept ans plus tard. Pour sa nouvelle version, l’ingénierie propose un produit qui accentue sa connectivité en lui apportant des équipements supplémentaires.

Cette berline compacte est toujours disponible en deux versions. La LEAF 150 ch/40 kWh équivaut à plus des trois quarts des ventes et la LEAF e+ 217 ch/82 kWh, commercialisée depuis dix-huit mois.

 

Davantage de technologies embarquées à son bord…

 

La Nissan LEAF a inauguré la conduite assistée « ProPILOT » en Europe. Cela constitue l’étape initiale menant à la conduite autonome. Elle bénéficie également de la technologie « e-Pedal ». Ce qui permet d'accélérer, ralentir, freiner et même s'arrêter avec la seule pédale d'accélérateur dans 90 % des cas. Pour cette version 2021, plusieurs technologies de sécurité s'y ajoutent : un détecteur d'angle mort intelligent et un système de maintien dans la voie qui équipent désormais tous les modèles.

 

 

On l’aura compris : le constructeur choisit de lancer sur le marché l’une de ses automobiles les plus connectées, à l’image de JUKE début 2020. Grâce à l’application spécifique, on peut optimiser de nouvelles fonctionnalités comme le verrouillage/déverrouillage des portes à distance ou l’autonomie et l’état de charge. Les conducteurs peuvent recevoir une alerte si le véhicule sort d'une zone ou dépasse une vitesse préalablement prédéfinie. Cerise sur le gâteau : le Wifi est accessible sur simple abonnement.

 

Innovation particulière : un rétroviseur intérieur ultra intelligent….

 

La plupart des conducteurs en ont déjà fait l'expérience. L'usage du rétroviseur intérieur peut être perturbé par la présence d’un objet volumineux que l'on transporte à l’arrière. Voire par la tête d’un passager. Ne parlons pas des conditions météo parfois très défavorables. Pour garantir la vision optimale dans toutes les situations, NISSAN innove sur la LEAF 2021 en introduisant un rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique.

Celui-ci comporte deux positions : un rétroviseur-miroir traditionnel et un mode écran. Quand le mode écran s’active, il est alors connecté à une caméra fixée en haut de la lunette arrière. Il suffit au conducteur d'actionner une commande située en bas du rétroviseur pour passer instantanément d'un mode à l'autre.

Ce système, déjà plébiscité sur de nombreux véhicules de la marque au Japon et en Amérique du Nord, a su faire ses preuves. Ce rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique sera disponible de série  sur la finition « Tekna » du futur modèle tant attendu en 2021.

Pour conclure, précisons qu’une toute nouvelle couleur de carrosserie s’ajoute à la gamme chromatique. Il s’agit d’un coloris gris argile qui peut aussi se décliner avec la présence de noir sur le toit.

 

 


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Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Même si celle-ci arbore une fourrure de la plus belle des textures. Mais à l’annonce du concept entrepreneurial qui pourrait tomber dans l’escarcelle du Grand-Sénonais à l’horizon 2022, il y a des raisons d’espérer. Si l’appel à projets lui revient favorablement, c’est la plateforme logistique d’un grand groupe européen positionné dans le e-commerce qui s’implanterait alors à Sens. Créant au passage la bagatelle de plusieurs milliers d’emplois…

SENS : Non, il ne s’agit pas du géant américain, AMAZON qui a déjà choisi Chalon-sur-Saône comme point d’ancrage en Bourgogne Franche-Comté ! Mais, ce serait tout comme, si d’aventure le projet venait à se concrétiser d’ici les prochaines semaines.

Les perspectives induites seraient très alléchantes pour le bassin d’emploi du Sénonais. Et par effet gigogne, à l’ensemble des strates économiques de ce territoire, avec en priorité les artisans et les sociétés de service.

L’édification de cette future base logistique – la plus importante dans l’Hexagone pour ce commanditaire européen spécialiste du e-commerce dont l’identité n’a pas été relevée pour l’heure pour cause de confidentialité par le porteur de projet, la société PANHARD– apporterait une embellie durable et circonstanciée à la cause de l’emploi sur le secteur septentrional de l’Yonne.

Un projet qui ne date pas d’hier comme devait le préciser lors d’une conférence de presse permettant de faire toute la lumière sur ce dossier, l’édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, Marie-Louise FORT.

Cela fait deux ans déjà que les fonts baptismaux de ce dossier très attendu par le sérail local ont été posés sur la table des tractations. La Ville de Sens n’avait pas, jusqu’alors souhaité l’évoquer, à l’instar de tant d’autres projets en gestation, parce que sa politique de communication s’articule seulement autour de programmes ayant une chance d’aboutir in fine.

Une entrée en matière explicative très véhémente de l’élue de l’Yonne qui a voulu remettre les pendules à l’heure après avoir été accusée lors du conseil municipal du lundi 23 novembre par son opposition verte de ne pas dire toute la vérité sur ce dossier.

 

 

 

Une motte de beurre dans l’assiette d’épinards du Sénonais…

 

De quoi s’agit-il précisément ? Un major européen de la « supply chain » et de la logistique dans le e-commerce – visiblement originaire d’Outre-Rhin par simple déduction – a lancé un appel d’offres national portant sur la recherche d’une zone d’aménagement en vue de l’installation de son futur centre logistique dans l’Hexagone. Et plus particulièrement sur l’axe Paris/Lyon.

Une quarantaine de sites ont fait acte de candidature dès l’annonce de ce projet qui remonte à vingt-deux mois.

Spécialiste de l’immobilier industriel dont celui de l’implantation de bases de logistique en France, le groupe PANHARD (rien à voir avec feu la célèbre enseigne automobile) est entré dans la danse.

 

Banque Populaire

 

En prenant fait et cause pour imposer le territoire de Sens dans les négociations !

Si à date, rien n’est encore fait quant à l’attribution définitive de cette implantation, il ne resterait plus, aux dires de Jean-Louis LAZUECH, directeur général du développement logistique de la société, que deux à trois sites figurant encore sur les rangs. Dont celui qui intéresse le bassin d’emploi du Sénonais ! Une énorme motte de beurre dans une assiette d’épinards pour le développement économique du territoire !

 

 

Un chantier titanesque avec 150 000 mètres carrés de bâtiment !

 

Dans les faits, le projet est proprement colossal. La plateforme s’étalerait sur 150 000 mètres carrés de superficie dont 50 000 mètres carrés en étage. Ce qui en ferait de facto l’une des plus importantes bases logistique de l’Hexagone !

Son coût reviendrait à 300 millions d’euros, financés pour moitié par le porteur du projet lui-même.

L’investissement humain atteindrait des proportions très conséquentes pour le microcosme local : avec une jauge estimative fixée à près de deux mille cinq cents emplois dont 50 % établis en contrat à durée indéterminée.

Parmi les profils essentiels de ces postes, citons celui des caristes dont la future société aurait grandement besoin pour rendre opérationnel l’ensemble. Les cadres et personnels administratifs seraient accueillis dans douze mille mètres carrés de bureaux.

Sur les trente hectares occupés pour le développement de ce projet, une dizaine serait consacrée à l’aménagement de plan d’eau (deux hectares), de la préservation du biotope, de la plantation de quelques neuf cents arbres et végétaux, de la pose de ruchers.

Bref, un concept résolument vert et écologique qui, pour couronner le tout, se verrait aussi doter de panneaux photovoltaïques sur la toiture de l’édifice. Ceux-ci d’une puissance de cinq MgW pourraient répondre aux besoins en énergie électrique de mille deux cents foyers.

Les abords du site logistique seraient également repensés. Avec à la clé, des accès menant vers la rocade de contournement de Sens. Il s’agirait de rendre plus fluide la circulation des poids lourds, évalués de 400 à 500 véhicules par jour dans ce périmètre.

S’il était retenu, le chantier de construction de cette plateforme de très belle envergure nécessiterait près de vingt-quatre mois de labeur. Auxquels il faudrait ajouter de six à huit mois supplémentaires pour l’agencement du lieu. Quant au recrutement des futurs salariés, il incomberait aux services de Pôle Emploi.

Marie-Louise FORT, tout comme son adjointe en charge de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique Clarisse QUENTIN, se disent confiantes. « Notre dossier est bon, nos arguments aussi… ».

Il n’y a plus qu’à croiser les doigts et patienter jusqu’en 2021 pour que cette nouvelle année vienne égayer de ses lumières (et de l’acceptation de ce dossier) le paysage sociétal sénonais…

 

Thierry BRET

 

 


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