Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La gare de Tonnerre a donc subi au fil de ces derniers mois une sérieuse cure de jouvence. Des travaux qui ont été entrepris par la Région Bourgogne Franche-Comté et SNCF Gares & Connexions. Ils avaient pour objectif d’améliorer les performances thermiques de l’infrastructure, de remplacer la toiture et les menuiseries, mais aussi d’optimiser l’isolation de l’édifice tout en ravalant la façade. Epilogue, ce mardi, avec l’inauguration officielle du site…

 

TONNERRE : Réalisé dans le cadre de la Convention de Financement Patrimoine, entre la Région BFC et SNCF Gares & Connexions, ce chantier a fait l’objet d’une étude d’impact carbone, d’un diagnostic et d’un schéma d’organisation de la gestion des déchets. Autant dire que l’ouvrage favorisant le transport ferroviaire en y accueillant des passagers du Tonnerrois a été relooké selon un cahier des charges environnemental précis, suivi au pied de la lettre par les maîtres d’œuvre et les entreprises, choisies localement.

Un chantier qui s’est décliné en différents travaux d’embellissement (le ravalement de la façade grâce à un décapage permettant une reprise des fissures du bâtiment) comme de l’optimisation des capacités thermiques (une isolation répondant aux indices de performance thermique propre à la réglementation en vigueur) du site.

Esthétiquement, car il en est également question, le remplacement de la toiture vétuste par du zinc offre une agréable vision de l’ensemble. Il était nécessaire de respecter les valeurs environnementales en cours. Sachant que les éléments en bois sont, quant à eux, issus des filières FSC (Forest Stewardship Council) et PEFC (programme de reconnaissance des certifications forestières).

 

 

A l’intérieur de l’édifice, au rez-de-chaussée, la réfection complète de dix-huit menuiseries par des supports en acier favorisant les performances thermiques confère un cachet spécifique à la gare.

Quant au coût de ce chantier, il s’élève à 580 000 euros, intégralement financé par la Région Bourgogne Franche-Comté. Le résultat a été apprécié lors de la cérémonie inaugurale par Michel NEUGNOT, premier vice-président du Conseil régional, l’édile de Tonnerre, Cédric CLECH, Marie-Josée VAILLANT, présidente de l’Office de tourisme et maire de Chablis, et Sophie DUCORDEAUX, directrice du développement des gares de Bourgogne Franche-Comté pour la SNCF.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est l’un des leitmotivs du jour, fréquemment rappelé lors de ces échanges constructifs. Peut-être à inscrire dans la feuille de route de la ministre déléguée en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Bérangère COUILLARD, qui n’aura pas perdu une miette de ces discussions. Face à elle : des spécialistes de l’entrepreneuriat au féminin. Avec leur spécificité toute particulière se rapportant à l’employabilité dans le milieu rural…

 

CHABLIS : L’emploi et l’entrepreneuriat des femmes en milieu rural – la parfaite typicité du territoire de l’Yonne - constituaient l’ossature principale de la seconde partie du déplacement en terre icaunaise de la ministre déléguée en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Bérangère COUILLARD. Accueillie par Marie-Josée VAILLANT, mairesse de Chablis, la représentante du gouvernement a pu goûter tout à loisir, non pas le subtil breuvage local dont la réputation n’est plus à faire au-delà des océans, mais les propos explicites de ses « invités », venus la rencontrer lors d’un échange informatif des plus courtois et républicain.

Si le matin de ce déplacement aura permis à la représentante de l’Etat d’aborder la lutte contre les violences conjugales, le tantôt lui permit de constater qu’en matière de disparités entre les deux sexes, notamment en termes de rémunérations, de qualifications, de formations, d’a priori discriminatoires et sexistes observés dans certaines filières corporatistes, il restait encore beaucoup de travail à accomplir dans l’Hexagone afin de faire bouger les lignes et surtout les mentalités.

Logique, en fait, que la dame s’y intéresse, puisque l’autre versant de sa mission ministérielle se rapporte à la lutte contre les discriminations. Et, comme chacun le sait, le monde du travail est loin d’être un modèle de vertu à ce sujet !

 

Le masculin en minorité durant les échanges !

 

Même si l’apport de l’écriture inclusive dans les offres d’emploi permet d’atténuer quelque peu les clivages entre féminité et masculinité, fera remarquer fort justement en guise de préambule la ministre qui par ailleurs à titre personnel n’est guère favorable à son utilisation dans la langue française.

Durant ce court exercice de prise de parole – une soixantaine de minutes, montre en main et vérifiée scrupuleusement par la maîtresse du temps, Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et de l’égalité de l’Yonne -, plusieurs personnalités spécialistes de l’emploi sur notre territoire eurent l’opportunité de pouvoir exposer leur point de vue avec Bérangère COUILLARD.

Ainsi, interviendront tour à tour au fil des échanges Evelyne CHAPUIS que l’on ne présente plus : elle qui avec son époux, Didier, est à la tête de l’un des fleurons économiques de l’Yonne, FESTINS ; Isabelle JOAQUINA, directrice de RENOUER 89, structure associative spécialiste de l’insertion ; Emmanuèle BONNEAU, dirigeante de société évoluant dans le BTP et présidente du MEDEF 89 ou encore Claire DUCHET, responsable de l’antenne icaunaise de FETE (Femmes Egalité Emploi). La seule touche de parité en faveur de la gent masculine (tiens, tiens, cela change enfin pour une fois !) était apportée par Yves HUTIN, directeur départemental de Pôle Emploi qui eut à présenter, notes à l’appui, les stratégies territoriales mises en place par la structure.

 

 

Un panorama autour des discriminations…

 

Pour ouvrir le bal, la conseillère départementale Isabelle JOAQUINA proposa à l’assistance une immersion résumée en quelques minutes parmi les arcanes de RENOUER 89. Avec en toile de fond, les problématiques inhérentes à la reconversion des populations en délicatesse, bien malgré elles, avec l’emploi.

Assurant avec son appétence en communication qui est la sienne, Claire DUCHET fit une excellente promotion du prochain « Carrefour des Carrières au féminin », la traditionnelle manifestation annuelle, prévue dans le cadre de sa future édition, la vingt-septième, en janvier 2024, vraisemblablement à Appoigny. Un « Carrefour » qui a le mérite devait-elle rappeler, d’inciter le public féminin à s’intéresser davantage aux filières professionnelles dites masculines. Interpellée par le témoignage, Bérangère COUILLARD a pris des notes : et si elle revenait dans l’Yonne début 2024 afin d’inaugurer ces nouvelles retrouvailles du public avec l’entrepreneuriat au féminin ?

A la question ministérielle qui lui fut adressée, relative aux différentes discriminations subies par les femmes et observées par la responsable de FETE, Claire DUCHET répondit tout de go : la situation de famille, l’apparence physique, le handicap – un argument valable pour les deux sexes en règle générale -, les moqueries dans certaines corporations à l’instar de l’industrie, des transports ou du BTP.

Les grands classiques des préjugés masculins, en vérité.

Puis, Bérangère COUILLARD mit les pieds dans le plat, en évoquant la disparité des rémunérations entre les deux sexes. « Nous avons conscience au gouvernement de ces écarts trop importants… ».

 

Faites visiter les entreprises par les plus jeunes !

 

Renchérissant, elle fit un focus sur la sempiternelle problématique de la garde d’enfant. Citant l’exemple des crèches, implantées au plus près des entreprises, voire en s’appuyant sur le service public de la petite enfance afin de résoudre ces difficultés récurrentes dans le monde du travail.

Toutefois, la discrimination contre les genres revint au cœur des discussions, suivies avec grand intérêt par la sénatrice Dominique VERIEN – on l’a sait très engagée sur bon nombre de ces sujets de société – et le préfet de l’Yonne, Pascal JAN.

« La mise en place d’un service public de « testing » dans les entreprises est envisageable, devait concéder la ministre, peu avare en explications, avec leurs corollaires en actions correctives à trois ans… ».

La priorité à la défense des droits individuels dans ces espaces collectifs que sont les entreprises ne pouvant être bafouée, visiblement.

Quant à Evelyne CHAPUIS, elle ne se fit pas prier pour mettre le doigt là où cela fait parfois très mal : « l’Education nationale doit s’ouvrir de plus en plus aux entreprises ! ». Du petit lait pour Pascal JAN qui avait tenu lui aussi ce genre de propos il y a quelques semaines face aux représentants du club consulaire, porté par la CCI, des « Entreprises qui s’engagent ». Un préfet qui parle en connaissance de cause, lui-même ancien recteur d’académie !

La dirigeante des FESTINS aborda son intervention en mettant l’accent sur la prime à l’emploi d’une femme. En posant tout simplement la question dans son préambule : combien cela coûte-t-il exactement ? Un dossier que l’entrepreneuse icaunaise connaît bien puisque son entreprise emploie 47 % de représentantes de la gent féminine. Elle poursuivit sur l’impérieuse nécessité d’un rapprochement entre l’Education nationale et le monde de l’entrepreneuriat.

« Faites visiter les entreprises, affirma-t-elle, emmenez les jeunes dans les champs du possible ! Faites venir des assistantes sociales au sein des structures professionnelles ! ».

 

 

Favoriser la mixité des métiers en milieu rural

 

Un son de cloche quasi similaire résonna avec les propos de la patronne du MEDEF 89, Emmanuèle BONNEAU. Elle qui rêvait, petite, de conduire un tracteur, se retrouve aujourd’hui à la tête d’une PME positionnée dans le BTP et à présider à la destinée du syndicat patronal sur sa zone de prédilection.

« J’apprécie ce genre d’initiative, souligne-t-elle, car la parole libère et permet d’avancer ! ».

Pourtant, Emmanuèle évoque l’image de la femme dans le secteur du bâtiment. Pourquoi obliger les entreprises à avoir des locaux spécifiques aux hommes, et ceux destinés aux femmes, s’interroge-t-elle, « n’est-ce pas contre-productif en termes de discriminations ? ». Sans compter le bilan carbone et le coût imputable à ce dédoublement de locaux !

Bérangère COUILLARD ne se dérobe pas dans sa réponse : « En France, on vit en « absurdistan » ! On est souvent dans un entre deux au niveau des décisions… ».

Voilà qui a le mérite d’être clair, sans la pratique de la langue de bois !

Il ne restait plus qu’au seul homme de cette table ronde informelle de s’exprimer, un Yves HUTIN qui brossa ensuite un portrait très concret des axes d’intervention de l’organisme qu’il représentait, à savoir Pôle Emploi 89. Il devait saluer la grande première nationale imputable récemment à ses services, soit le recrutement de la première femme conductrice de poids lourds avec une reconnaissance de travailleuse handicapée au profit d’une entreprise de l’Yonne !

Soudain, Juliette ROME, en excellente gardienne du temps minutieuse qu’elle était, se rappela au bon souvenir de tous les intervenants, en sifflant le terme définitif de ces échanges nourris et passionnants, permettant ainsi à la ministre de passage sur le territoire d’honorer le rendez-vous suivant, c’est-à-dire la visite du domaine viticole de Charlène et Laurent PINSON.

Consciente de la situation – les difficultés des femmes dans le monde entrepreneurial en ruralité (mais aussi en ville) -, Bérangère COUILLARD pouvait quitter la réunion avec bon nombre d’exemples concrets au fond de sa besace, de vrais outils favorisant la mixité des métiers entre les sexes.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’exercice se reproduit chaque année à la même période. Durant le mois de l’ESS. C’est-à-dire, l’Economie Sociale et Solidaire. Une série d’actions est ainsi déployée par les caisses régionales du Crédit Agricole sur leurs territoires. Le but est simple : se mobiliser autour du développement du tissu associatif afin de mieux accompagner les populations fragilisées.

 

DIJON (Côte d’Or) : Dans l’Yonne, deux dates sont d’ores et déjà à biffer sur les agendas. L’une est proposée à l’Espace Sanglier à Sens, le 15 novembre. L’autre se déroulera le lundi 20 novembre à la Mission Locale d’Auxerre. Des rendez-vous qui correspondent à des ateliers. Ceux qui sont déclinés par le Crédit Agricole Champagne Bourgogne dans le cadre des Semaines du Sociétariat.

Des ateliers à forte connotation budgétaire, à dire vrai ! Assurés par le dispositif « Point Passerelle » - celui-ci est animé par sept conseillers issus du réseau de la banque verte mais aussi une quarantaine de bénévoles, anciens salariés et administrateurs -, ces derniers proposent aux jeunes gens, âgés de 16 à 25 ans, de mieux se familiariser aux notions budgétaires, bancaires mais aussi au milieu de l’assurance et du logement.

Une initiative qui obtient toujours le même succès, d’année en année. D’ailleurs, depuis son lancement survenu en 2015, ce sont plus de 182 ateliers qui ont ainsi été déclinés auprès de 1 735 jeunes de la double région, Champagne et Bourgogne, à l’aide d’un support efficace : un questionnaire interactif dans lequel les participants répondent au quizz via leurs téléphones. Succès garanti auprès des nouvelles générations car ce format de jeu en ligne offre un apprentissage divertissant et dynamique.

 

 

Une marche organisée en faveur des pompiers…

 

Précisons que différents partenaires de l’établissement mutualiste se joignent à la découverte de ce dispositif judicieux dont l’Ecole de la Seconde Chance, les Maisons Familiales et Rurales (MFR) mais aussi les lycées professionnels ou les Missions Locales, à l’instar de celle d’Auxerre qui accueillera en ses murs ce futur rendez-vous.

En parallèle sera proposé un challenge sportif, « Bon pour la Santé, bon pour la Planète », réunissant annuellement toutes les générations autour d’un défi solidaire, en l’occurrence cette année une opération baptisée « Marchons pour nos pompiers », où grâce à tous les pas réalisés par les participants, des fonds seront ainsi collectés au profit des quatre associations départementales des pompiers évoluant dans la zone d’influence du Crédit Agricole Champagne Bourgogne, à savoir la Côte d’Or et l’Yonne, pour la partie bourguignonne, et l’Aube et la Haute-Marne, pour la partie champenoise. Ces marches seront organisées à l’initiative des caisses locales et de leurs agences.

Enfin, pour couronner le tout, des rencontres autour du sociétariat seront également assurées durant cette opération.

 

En savoir plus :

Semaines du Sociétariat du Crédit Agricole

Du 10 novembre au 25 novembre 2023

Avec dans l’Yonne, deux dates : le mercredi 15 novembre 2023 à 13h45 à la Mission locale de Sens (Espace Sanglier) et le lundi 20 novembre 2023 à 14h à la Mission Locale d’Auxerre, 1 avenue Rodin.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sommes-nous tous désormais intoxiqués et dépendants à la technique ? Oui, ce n’est plus un fait établi, c’est une certitude avérée ! D’ailleurs, une étude mené par le centre de recherche de l'institut  Rafael en partenariat avec l'observatoire Santé PRO BTP, l’atteste, chiffre à l’appui : 97 % de nos compatriotes estiment consacrer beaucoup trop de temps aux ordinateurs et aux écrans, en règle générale !

Ouf, voilà enfin une once de jugeote mais cela ne change rien à la problématique du reste ! C’est bien de le reconnaître mais cela n’évite absolument pas cette incurie qui n’est autre qu’une intoxication qui vire à l’indigestion totale, pour ne pas dire à l’addiction complète !

Pensez donc ! Dès potron-minet, quand il ne s’agit pas de la nuit entière – aussi blafarde qu’un écran 22 pouces où les images auraient totalement disparu – et pour le reste de la journée, certaines et certains de nos semblables – ce n’est pas possible, « elles » et « ils » ne nous ressemblent pas à ce point- là ! – vivent, respirent, mangent, travaillent, dorment (s’ils le peuvent encore malgré les maux de tête, les brûlures dans les rétines et des insomnies à n’en plus finir), raisonnent, se meuvent…en technologie numérique !

Purée, cela fait peur ! La France des cerveaux est devenue au fil des décennies la France des robots et des accros qui ne peuvent rien faire ni dire ni agir ni penser sans se soumettre à leur écran d’ordinateur, de tablette, de smartphone, voire encore de leur téléviseur pour les plus anciens d’entre nous. Puisque on le sait, les trentenaires et autres « milléniums » se passent très volontiers de cet ustensile de distraction que l’on appelait jadis une télévision ! C’est vrai, chez certains de ces ados totalement immergés dans leur monde virtuel, une télé n’est autre qu’un Minitel mais en plus grand ! Vu et entendu : aïe, aïe, aïe, bonjour les neurones !

 

 

L’addiction numérique poussée vers l’absurde !

 

C’est pourtant vrai, qu’il est très agréable de se lever le matin en posant le pied gauche de préférence sur le parquet de sa chambre en vérifiant immédiatement s’il y a toujours de la connexion sur le portable – on ne sait jamais, la nuit, certaines entités fantomatiques pourraient se nourrir de cette énergie pour subsister dans leurs hantises ! – afin de découvrir le flot d’informations nébuleuses et mortifères qui inondent à grands coups de notifications sonores ledit appareil, de consulter les yeux encore embuées de sommeil ses messages mails et SMS qui la plupart du temps sont soit un rappel à l’ordre intrusif de votre vie professionnelle qui vous tend les bras pour les heures à venir, soit ne servent strictement à rien, au niveau informatif avant de se mouvoir, encore vêtu de son pyjama, vers la cuisine pour y prendre son petit-déjeuner !

 

 

Remarquez, vous n’avez pas encore franchi la porte de la cuisine que déjà vous vous précipitez vers l’écran du téléviseur dans le salon, cette fois, avant d’en allumer l’une des chaînes en boucle pour mieux pouvoir se gorger d’immondes nouvelles venues des quatre coins de la planète, mauvaises comme de bien entendu à grand renforts de meurtres, assassinats, attentats, guerres, menaces nucléaires, destruction des peuples, catastrophes naturelles, et qui pourraient vous donner la nausée avant d’avaler thé ou café. Dans la salle de bains, on sera accompagné de sa tablette pour y vivre les ultimes péripéties de sa série sur Netflix ou Disney + en cours.

Dis « Monsieur Apple ou Samsung, tu ne pourrais pas les faire waterproof tes tablettes, ordinateurs et autres portables pour que je puisse en profiter à loisir sous la douche ?! »…

Et ceci n’est que le début de la journée, évidemment.

 

 

Un monde dépourvu de supplément d’âme

 

Inquiétant, n’est-ce pas ? Mais, malheureusement, cette sinistre réalité est vécue par 97 % des Français qui considèrent passer trop de temps devant les écrans. Même si – cela pourrait nous rassurer quelque peu – 92,5 % de la population hexagonale possède un accès à Internet.

Moralité, il ne reste plus grand monde dans ce pays qui ne soit pas encore contaminé par le virus numérique qui se répand plus vite que notre ombre et la COVID réunies ! 

Bon, soyons sérieux. A l’heure où la 5G se propage progressivement dans les grandes agglomérations, à l’heure où la nécessaire fibre optique gagne de plus en plus terrain sur l’ADSL, à l’heure où l’intelligence artificielle est capable de ressusciter et purifier la voix de John LENNON pour en faire, associée aux prestations vocales et instrumentales de ses trois autres complices, l’ultime tube des BEATLES à paraître en 2023, à l’heure où les progrès scientifiques puisent leurs ressources dans les miracles de la technologie et des DATA, il serait inconvenant de faire la fine bouche devant tant de prouesses, indispensables à l’humanité.

Toutefois, l’accélération de l’incivilité, de l’individualisme, de la permissivité imputable à l’existence de ces mondes connexes – metaverse – et virtuels ne peuvent qu’engendrer si l’on n’y prend pas garde vers le déclin de la pensée et de l’intellectualisme. La chaleur humaine et la relation à l’autre, aussi. Bref, un monde dépourvu d’âme…

Qu’il s’agisse de réseaux sociaux (« asociaux » serait le terme le plus approprié à utiliser au vu de ce qu’il en découle réellement au quotidien), de jeux de hasard faisant miroiter fortunes et gains à tous les étages, de jeux vidéo qui plongent ses aficionados vers des mondes imaginaires où ils sont parfois les héros surarmés et immortels tuant tout ce qui bouge, des jeux d’argent en ligne où l’appât du gain attire jusqu’aux allocataires du RSA… : il y a manifestement danger à trop les pratiquer.

Pourtant, la France n’est que le quatorzième pays de l’Union européenne à être pourvu en accessibilité à Internet. C’est dire si le problème addictif de l’usage des écrans  est devenu mondial – cela concerne majoritairement les jeunes générations mais pas que – et affole dans leurs alcôves spécialistes de la santé, enseignants, éducateurs, psychologues, ainsi que les parents.

Ce n’est pas tout de constater qu’on use et qu’on abuse de trop d’écrans dans son quotidien, pour y accomplir diverses tâches. Il serait bon d’y ajouter aussi de salvateurs remèdes et sortir de cette frénésie absurde où même les vieux couples se retrouvant dans une salle de restaurant passent plus de temps à pianoter sur leurs smartphones austères et froids sans se dire un mot, que de simplement se parler et se conter fleurette. Où est donc le romantisme d’antan ?!

Ces comportements numériques, addictifs, voire totalement maladifs pour certains ne sont finalement que le reflet de notre société actuelle, dite « civilisée », faite de désamour et de déshumanisation. Un précipice vers l’abîme…

Bonne lecture : moi, je retourne devant mon écran pour y rédiger l’article suivant !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Et si ce rendez-vous donnait le ton et la tendance de ce que sera l’année 2024 ? Totalement décalée, sans langue de bois, un tantinet humoristique, éthérée, audacieuse…Bon nombre d’acteurs des milieux institutionnels et économiques de l’Yonne (et d’ailleurs) signeraient tout de suite au bas de la page pour que ces douze futurs mois soient placés sous ces excellents auspices ! En invitant l’ancienne ministre de la Santé et des Sports aux vœux 2024 de l’UIMM, MEDEF et de la FFB, Claude VAUCOULOUX souhaite nous offrir un feu d’artifice. Mais, attention, pas son bouquet final !

 

AUXERRE : Pratiquant le jeu du chat et de la souris, il fait durer le plaisir, le délégué général de l’UIMM et du MEDEF de l’Yonne. Prenant son temps dans ses explicatifs, avec une certaine délectation avant de révéler enfin le patronyme de la personnalité qui assurera l’animation de la traditionnelle cérémonie des vœux des milieux économiques.

Déjà, Claude VAUCOULOUX consent à livrer la date de l’évènement. Elle est à biffer sur tous les agendas, dès à présent : le jeudi 25 janvier 2024. Les montres devront être réglées pour 18 heures tapantes, pour le début des festivités !

Surtout, ne tardez pas à vous inscrire ! Les deux cents places que constitue l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise devraient être prises d’assaut par le public pour être aux premières loges et surtout ne manquer aucune miette que l’on suppose déjà savoureuse du « show », proposé ce soir-là.

 

Un Claude VAUCOULOUX disruptif en 2024 ?!

 

Esthètes de la géopolitique, férus de la croissance économique, gourous de l’intelligence artificielle et de la digitalisation à tout crin, adeptes analytiques de la presse qu’elle qu’en soit la forme…, vous ne tiendrez pas en haleine, une fois n’est pas coutume, l’auditoire d’ordinaire très studieux de la Maison de l’Entreprise, cette année !   

« J’avais envie d’autre chose, commente Claude VAUCOULOUX sans qu’il n’ait lâché la moindre bribe informative sur la vedette devant assurer le spectacle, d’aborder l’actualité économique avec plus de mordant… ». Voire de piquant ?

 

 

Diantre, « ils » nous l’auraient changé, le « Monsieur Loyal » de la future soirée ?! Disruptif et insolent, avec ça !

Que l’on se rassure, Claude VAUCOULOUX aime se renouveler à maintes occasions dans les programmations de ces rendez-vous évènementiels. Il sait aussi qu’avec l’humour et parfois l’autodérision, bon nombre de messages, même les plus importants, peuvent être ainsi véhiculés à bon escient et pénétrer les neurones. Tout ce que possède…Roselyne BACHELOT, puisque c’est bien d’elle dont il s’agit !

 

Entre bons mots et banderilles, l'humour est assuré avec la pensionnaire des « Grosses Têtes » !

 

L’ancienne ministre de l’Ecologie et du Développement durable, sous le gouvernement de Jean-Pierre RAFFARIN, puis ministre de la Santé et des Sports sous l’ère de Nicolas SARKOZY et de François FILLON nous livrera donc ses impressions (prévisions et analyses ?) sur ce que devrait être une année 2024, sur le papier plus que chaotique, tant au niveau de la géopolitique qu’au plan économique, via de nécessaires ricochets.

Bon, on n’oubliera pas que cette Nivernaise de naissance s’est aussi acoquinée de près après son passage ministériel avec le monde des médias et surtout RTL où elle est devenue une fidèle pensionnaire des « Grosses Têtes » animée par le remplaçant de l’éternel Philippe BOUVARD, Laurent RUQUIER !

Maniant la verve humoristique comme le lancer de banderilles si une chose ou quelqu’un ne lui revient pas, l’auteur de « Ma vie en rose » - son autobiographie – a su résumer sa carrière politique dans l’ouvrage truculent, baptisé « 682 jours », paru chez Plon, dont les bonnes feuilles sont à réserver à tous les amateurs de politique ! Des livres qu’elle dédicacera au terme de sa conférence avec le concours du partenaire de la soirée, la librairie « Obliques », il va de soi !

D’ailleurs, résolument décidé à donner un grand coup de pied dans la fourmilière organisationnelle habituelle, Claude VAUCOULOUX prévient : les vœux économiques 2024 réserveront leur lot de surprises et d’improvisations ! Qu’on se le dise ! Ce sera un véritable feu d’artifice mais pas son bouquet final !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil