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L’exercice se reproduit chaque année à la même période. Durant le mois de l’ESS. C’est-à-dire, l’Economie Sociale et Solidaire. Une série d’actions est ainsi déployée par les caisses régionales du Crédit Agricole sur leurs territoires. Le but est simple : se mobiliser autour du développement du tissu associatif afin de mieux accompagner les populations fragilisées.

 

DIJON (Côte d’Or) : Dans l’Yonne, deux dates sont d’ores et déjà à biffer sur les agendas. L’une est proposée à l’Espace Sanglier à Sens, le 15 novembre. L’autre se déroulera le lundi 20 novembre à la Mission Locale d’Auxerre. Des rendez-vous qui correspondent à des ateliers. Ceux qui sont déclinés par le Crédit Agricole Champagne Bourgogne dans le cadre des Semaines du Sociétariat.

Des ateliers à forte connotation budgétaire, à dire vrai ! Assurés par le dispositif « Point Passerelle » - celui-ci est animé par sept conseillers issus du réseau de la banque verte mais aussi une quarantaine de bénévoles, anciens salariés et administrateurs -, ces derniers proposent aux jeunes gens, âgés de 16 à 25 ans, de mieux se familiariser aux notions budgétaires, bancaires mais aussi au milieu de l’assurance et du logement.

Une initiative qui obtient toujours le même succès, d’année en année. D’ailleurs, depuis son lancement survenu en 2015, ce sont plus de 182 ateliers qui ont ainsi été déclinés auprès de 1 735 jeunes de la double région, Champagne et Bourgogne, à l’aide d’un support efficace : un questionnaire interactif dans lequel les participants répondent au quizz via leurs téléphones. Succès garanti auprès des nouvelles générations car ce format de jeu en ligne offre un apprentissage divertissant et dynamique.

 

 

Une marche organisée en faveur des pompiers…

 

Précisons que différents partenaires de l’établissement mutualiste se joignent à la découverte de ce dispositif judicieux dont l’Ecole de la Seconde Chance, les Maisons Familiales et Rurales (MFR) mais aussi les lycées professionnels ou les Missions Locales, à l’instar de celle d’Auxerre qui accueillera en ses murs ce futur rendez-vous.

En parallèle sera proposé un challenge sportif, « Bon pour la Santé, bon pour la Planète », réunissant annuellement toutes les générations autour d’un défi solidaire, en l’occurrence cette année une opération baptisée « Marchons pour nos pompiers », où grâce à tous les pas réalisés par les participants, des fonds seront ainsi collectés au profit des quatre associations départementales des pompiers évoluant dans la zone d’influence du Crédit Agricole Champagne Bourgogne, à savoir la Côte d’Or et l’Yonne, pour la partie bourguignonne, et l’Aube et la Haute-Marne, pour la partie champenoise. Ces marches seront organisées à l’initiative des caisses locales et de leurs agences.

Enfin, pour couronner le tout, des rencontres autour du sociétariat seront également assurées durant cette opération.

 

En savoir plus :

Semaines du Sociétariat du Crédit Agricole

Du 10 novembre au 25 novembre 2023

Avec dans l’Yonne, deux dates : le mercredi 15 novembre 2023 à 13h45 à la Mission locale de Sens (Espace Sanglier) et le lundi 20 novembre 2023 à 14h à la Mission Locale d’Auxerre, 1 avenue Rodin.

 

Thierry BRET

 


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Sommes-nous tous désormais intoxiqués et dépendants à la technique ? Oui, ce n’est plus un fait établi, c’est une certitude avérée ! D’ailleurs, une étude mené par le centre de recherche de l'institut  Rafael en partenariat avec l'observatoire Santé PRO BTP, l’atteste, chiffre à l’appui : 97 % de nos compatriotes estiment consacrer beaucoup trop de temps aux ordinateurs et aux écrans, en règle générale !

Ouf, voilà enfin une once de jugeote mais cela ne change rien à la problématique du reste ! C’est bien de le reconnaître mais cela n’évite absolument pas cette incurie qui n’est autre qu’une intoxication qui vire à l’indigestion totale, pour ne pas dire à l’addiction complète !

Pensez donc ! Dès potron-minet, quand il ne s’agit pas de la nuit entière – aussi blafarde qu’un écran 22 pouces où les images auraient totalement disparu – et pour le reste de la journée, certaines et certains de nos semblables – ce n’est pas possible, « elles » et « ils » ne nous ressemblent pas à ce point- là ! – vivent, respirent, mangent, travaillent, dorment (s’ils le peuvent encore malgré les maux de tête, les brûlures dans les rétines et des insomnies à n’en plus finir), raisonnent, se meuvent…en technologie numérique !

Purée, cela fait peur ! La France des cerveaux est devenue au fil des décennies la France des robots et des accros qui ne peuvent rien faire ni dire ni agir ni penser sans se soumettre à leur écran d’ordinateur, de tablette, de smartphone, voire encore de leur téléviseur pour les plus anciens d’entre nous. Puisque on le sait, les trentenaires et autres « milléniums » se passent très volontiers de cet ustensile de distraction que l’on appelait jadis une télévision ! C’est vrai, chez certains de ces ados totalement immergés dans leur monde virtuel, une télé n’est autre qu’un Minitel mais en plus grand ! Vu et entendu : aïe, aïe, aïe, bonjour les neurones !

 

 

L’addiction numérique poussée vers l’absurde !

 

C’est pourtant vrai, qu’il est très agréable de se lever le matin en posant le pied gauche de préférence sur le parquet de sa chambre en vérifiant immédiatement s’il y a toujours de la connexion sur le portable – on ne sait jamais, la nuit, certaines entités fantomatiques pourraient se nourrir de cette énergie pour subsister dans leurs hantises ! – afin de découvrir le flot d’informations nébuleuses et mortifères qui inondent à grands coups de notifications sonores ledit appareil, de consulter les yeux encore embuées de sommeil ses messages mails et SMS qui la plupart du temps sont soit un rappel à l’ordre intrusif de votre vie professionnelle qui vous tend les bras pour les heures à venir, soit ne servent strictement à rien, au niveau informatif avant de se mouvoir, encore vêtu de son pyjama, vers la cuisine pour y prendre son petit-déjeuner !

 

 

Remarquez, vous n’avez pas encore franchi la porte de la cuisine que déjà vous vous précipitez vers l’écran du téléviseur dans le salon, cette fois, avant d’en allumer l’une des chaînes en boucle pour mieux pouvoir se gorger d’immondes nouvelles venues des quatre coins de la planète, mauvaises comme de bien entendu à grand renforts de meurtres, assassinats, attentats, guerres, menaces nucléaires, destruction des peuples, catastrophes naturelles, et qui pourraient vous donner la nausée avant d’avaler thé ou café. Dans la salle de bains, on sera accompagné de sa tablette pour y vivre les ultimes péripéties de sa série sur Netflix ou Disney + en cours.

Dis « Monsieur Apple ou Samsung, tu ne pourrais pas les faire waterproof tes tablettes, ordinateurs et autres portables pour que je puisse en profiter à loisir sous la douche ?! »…

Et ceci n’est que le début de la journée, évidemment.

 

 

Un monde dépourvu de supplément d’âme

 

Inquiétant, n’est-ce pas ? Mais, malheureusement, cette sinistre réalité est vécue par 97 % des Français qui considèrent passer trop de temps devant les écrans. Même si – cela pourrait nous rassurer quelque peu – 92,5 % de la population hexagonale possède un accès à Internet.

Moralité, il ne reste plus grand monde dans ce pays qui ne soit pas encore contaminé par le virus numérique qui se répand plus vite que notre ombre et la COVID réunies ! 

Bon, soyons sérieux. A l’heure où la 5G se propage progressivement dans les grandes agglomérations, à l’heure où la nécessaire fibre optique gagne de plus en plus terrain sur l’ADSL, à l’heure où l’intelligence artificielle est capable de ressusciter et purifier la voix de John LENNON pour en faire, associée aux prestations vocales et instrumentales de ses trois autres complices, l’ultime tube des BEATLES à paraître en 2023, à l’heure où les progrès scientifiques puisent leurs ressources dans les miracles de la technologie et des DATA, il serait inconvenant de faire la fine bouche devant tant de prouesses, indispensables à l’humanité.

Toutefois, l’accélération de l’incivilité, de l’individualisme, de la permissivité imputable à l’existence de ces mondes connexes – metaverse – et virtuels ne peuvent qu’engendrer si l’on n’y prend pas garde vers le déclin de la pensée et de l’intellectualisme. La chaleur humaine et la relation à l’autre, aussi. Bref, un monde dépourvu d’âme…

Qu’il s’agisse de réseaux sociaux (« asociaux » serait le terme le plus approprié à utiliser au vu de ce qu’il en découle réellement au quotidien), de jeux de hasard faisant miroiter fortunes et gains à tous les étages, de jeux vidéo qui plongent ses aficionados vers des mondes imaginaires où ils sont parfois les héros surarmés et immortels tuant tout ce qui bouge, des jeux d’argent en ligne où l’appât du gain attire jusqu’aux allocataires du RSA… : il y a manifestement danger à trop les pratiquer.

Pourtant, la France n’est que le quatorzième pays de l’Union européenne à être pourvu en accessibilité à Internet. C’est dire si le problème addictif de l’usage des écrans  est devenu mondial – cela concerne majoritairement les jeunes générations mais pas que – et affole dans leurs alcôves spécialistes de la santé, enseignants, éducateurs, psychologues, ainsi que les parents.

Ce n’est pas tout de constater qu’on use et qu’on abuse de trop d’écrans dans son quotidien, pour y accomplir diverses tâches. Il serait bon d’y ajouter aussi de salvateurs remèdes et sortir de cette frénésie absurde où même les vieux couples se retrouvant dans une salle de restaurant passent plus de temps à pianoter sur leurs smartphones austères et froids sans se dire un mot, que de simplement se parler et se conter fleurette. Où est donc le romantisme d’antan ?!

Ces comportements numériques, addictifs, voire totalement maladifs pour certains ne sont finalement que le reflet de notre société actuelle, dite « civilisée », faite de désamour et de déshumanisation. Un précipice vers l’abîme…

Bonne lecture : moi, je retourne devant mon écran pour y rédiger l’article suivant !

 

Thierry BRET

 


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Et si ce rendez-vous donnait le ton et la tendance de ce que sera l’année 2024 ? Totalement décalée, sans langue de bois, un tantinet humoristique, éthérée, audacieuse…Bon nombre d’acteurs des milieux institutionnels et économiques de l’Yonne (et d’ailleurs) signeraient tout de suite au bas de la page pour que ces douze futurs mois soient placés sous ces excellents auspices ! En invitant l’ancienne ministre de la Santé et des Sports aux vœux 2024 de l’UIMM, MEDEF et de la FFB, Claude VAUCOULOUX souhaite nous offrir un feu d’artifice. Mais, attention, pas son bouquet final !

 

AUXERRE : Pratiquant le jeu du chat et de la souris, il fait durer le plaisir, le délégué général de l’UIMM et du MEDEF de l’Yonne. Prenant son temps dans ses explicatifs, avec une certaine délectation avant de révéler enfin le patronyme de la personnalité qui assurera l’animation de la traditionnelle cérémonie des vœux des milieux économiques.

Déjà, Claude VAUCOULOUX consent à livrer la date de l’évènement. Elle est à biffer sur tous les agendas, dès à présent : le jeudi 25 janvier 2024. Les montres devront être réglées pour 18 heures tapantes, pour le début des festivités !

Surtout, ne tardez pas à vous inscrire ! Les deux cents places que constitue l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise devraient être prises d’assaut par le public pour être aux premières loges et surtout ne manquer aucune miette que l’on suppose déjà savoureuse du « show », proposé ce soir-là.

 

Un Claude VAUCOULOUX disruptif en 2024 ?!

 

Esthètes de la géopolitique, férus de la croissance économique, gourous de l’intelligence artificielle et de la digitalisation à tout crin, adeptes analytiques de la presse qu’elle qu’en soit la forme…, vous ne tiendrez pas en haleine, une fois n’est pas coutume, l’auditoire d’ordinaire très studieux de la Maison de l’Entreprise, cette année !   

« J’avais envie d’autre chose, commente Claude VAUCOULOUX sans qu’il n’ait lâché la moindre bribe informative sur la vedette devant assurer le spectacle, d’aborder l’actualité économique avec plus de mordant… ». Voire de piquant ?

 

 

Diantre, « ils » nous l’auraient changé, le « Monsieur Loyal » de la future soirée ?! Disruptif et insolent, avec ça !

Que l’on se rassure, Claude VAUCOULOUX aime se renouveler à maintes occasions dans les programmations de ces rendez-vous évènementiels. Il sait aussi qu’avec l’humour et parfois l’autodérision, bon nombre de messages, même les plus importants, peuvent être ainsi véhiculés à bon escient et pénétrer les neurones. Tout ce que possède…Roselyne BACHELOT, puisque c’est bien d’elle dont il s’agit !

 

Entre bons mots et banderilles, l'humour est assuré avec la pensionnaire des « Grosses Têtes » !

 

L’ancienne ministre de l’Ecologie et du Développement durable, sous le gouvernement de Jean-Pierre RAFFARIN, puis ministre de la Santé et des Sports sous l’ère de Nicolas SARKOZY et de François FILLON nous livrera donc ses impressions (prévisions et analyses ?) sur ce que devrait être une année 2024, sur le papier plus que chaotique, tant au niveau de la géopolitique qu’au plan économique, via de nécessaires ricochets.

Bon, on n’oubliera pas que cette Nivernaise de naissance s’est aussi acoquinée de près après son passage ministériel avec le monde des médias et surtout RTL où elle est devenue une fidèle pensionnaire des « Grosses Têtes » animée par le remplaçant de l’éternel Philippe BOUVARD, Laurent RUQUIER !

Maniant la verve humoristique comme le lancer de banderilles si une chose ou quelqu’un ne lui revient pas, l’auteur de « Ma vie en rose » - son autobiographie – a su résumer sa carrière politique dans l’ouvrage truculent, baptisé « 682 jours », paru chez Plon, dont les bonnes feuilles sont à réserver à tous les amateurs de politique ! Des livres qu’elle dédicacera au terme de sa conférence avec le concours du partenaire de la soirée, la librairie « Obliques », il va de soi !

D’ailleurs, résolument décidé à donner un grand coup de pied dans la fourmilière organisationnelle habituelle, Claude VAUCOULOUX prévient : les vœux économiques 2024 réserveront leur lot de surprises et d’improvisations ! Qu’on se le dise ! Ce sera un véritable feu d’artifice mais pas son bouquet final !

 

Thierry BRET

 


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C’est un véritable pavé dans la mare qui nous est proposé de découvrir. Au bout des 448 pages de cet opus publié en 2022, on en aurait presque des frissons dans le dos, tant la réalité nous dépasse, nous autres pauvres mortels. Tout savoir sur le financement occulte, ou pas, du terrorisme à travers un abécédaire bien ficelé. Un sujet brûlant qui revient en tête de gondole de l’actualité en ces moments troubles, entre la série d’attentats perpétrés en Europe par des loups solitaires radicalisés et la nouvelle guerre au Moyen-Orient. Invitée de l’UDI 89, la sénatrice Nathalie GOULET, auteure de ce livre, aura tenu en haleine un auditoire, certes peu nombreux, mais passionné par une thématique à fleur de peau…

 

APPOIGNY : Elle n’a pas froid aux yeux, la sénatrice de l’Orne, Nathalie GOULET. Et sa relative désinvolture lors de ses prises de parole face au public n’en enlève rien de sa témérité. Ni de son courage. Elle qui a osé enquêter et publier un vrai brûlot, empli de vérités, sur l’un des sujets majeurs de ce siècle : le terrorisme et ses multiples moyens de financement. A terme d’une très longue investigation, la pensionnaire du Palais du Luxembourg – elle a renouvelé son bail en juin dernier pour un troisième mandat – révèle des choses qui sont inquiétantes, surprenantes, pour ne pas dire édifiantes !

Son livre, se présentant sous la forme d’un copieux abécédaire, traite du financement – des financements devrait-on dire pour être exact – du terrorisme. Un passage en revue détaillé, contenant moult exemples, des principaux stratagèmes financiers qui sont utilisés par les terroristes afin de continuer leurs combats à travers la planète. Surtout contre l’Occident. Car, ici comme ailleurs, le nerf de la guerre – sans jeu de mot, bien sûr ! – c’est l’argent !

 

Contribuons-nous à financer le terrorisme sans le savoir ?

 

Parmi les items qui animent d’ordinaire le travail de cette vaillante sénatrice au quotidien avec les élus de proximité de son territoire normand : la défense de la ruralité, la maîtrise de la dette publique. Mais, il y a aussi la sécurité et la lutte contre la fraude sociale et fiscale. Des domaines qui ne pouvaient que la faire basculer intellectuellement vers la réflexion menant à la lutte contre le terrorisme.

Au fil de la causerie, devant un parterre d’élus et de sympathisants de l’UDI de l’Yonne, organisatrice de ce rendez-vous qui aurait mérité plus ample présence parmi le public, Nathalie GOULET nous estomaque. Ses révélations frappent au foie. Bing, et cela fait mal à attendre avec cette lancinante question : « et si vous financiez le terrorisme à votre insu ? ». Même son homologue, Dominique VERIEN qui anime la conférence semble ébranlée par tant d’arguments.

 

 

Même la crypto-monnaie est dans le collimateur

 

Aujourd’hui, les réseaux terroristes qui développent de plus en plus la pratique des attentats low-cost, peu coûteux en moyens humains et financiers, s’appuient sur le commerce d’objets d’art, les cagnottes en ligne, la contrefaçon, les crédits à la consommation (ben, voyons dirait ZEMMOUR !), le trafic en tout genre, même celui du chocolat dans la bande de Gaza, à l’épicentre de l’actualité depuis le 07 octobre. Des canaux d’alimentation financiers qui sont devenus insoupçonnables pour le grand public mais qui se révèlent très fructueux pour faire tourner la pompe à fric à plein régime afin d’acheter les armes et faire fonctionner le système logistique. Un constat de la part de la parlementaire : « Remonter jusqu’aux réseaux organisés n’est pas une mince affaire… ».

Comment alors endiguer ce phénomène mouvant et opportuniste ? Comment lutter avec efficience contre la fraude ? Que faire contre l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent ?

Réponse de l’intéressée : « la question du financement est centrale. Même si on est passé d’un terrorisme d’état voyou au terrorisme low-cost. A titre d’exemples, celui du 14 juillet à Nice aura coûté la simple location d’un poids lourd. Celui du Bataclan est estimé à 8 000 euros. Certaines mosquées pratiquent sous la forme de dons obligatoires le blanchiment d’argent. N’oublions aussi que la crypto-monnaie est sous la loupe des observateurs depuis 2020, car ce système finance lui aussi le terrorisme… ».

 

Les aberrations de l’Europe sur les notions de radicalisation

 

On aura donc compris qu’en multipliant les activités illicites, le fléau de ce siècle (mais aussi du précédent) se nourrit de la délinquance financière à haute dose. Et qu’il est temps de tirer la sonnette d’alarme à l’échelle mondiale.

« Il faudra prendre un jour ou l’autre les mesures qui s’imposent, ajoute Nathalie GOULET, il est nécessaire que les lois soient appliquées et que le respect du droit républicain (laïcité) ne soit plus bafoué… ».

Quid alors du droit d’asile en ces périodes troubles de grande mutation civilisationnelle ? « Je vous rappelle que des migrants accueillis dans des camps de réfugiés en Grèce en attente de déplacement vers l’Europe ont applaudi à la connaissance des massacres perpétrés par le Hamas sur le sol d’Israël… ».

Un débat passionnant et passionné qui fut proposé là, à l’initiative de l’UDI 89, qui aura révélé la méconnaissance du plus grand nombre envers ces trafics et autres moyens de blanchiment d’argent, sans omettre les aberrations existantes en Europe (et en France) sur les notions de radicalisation. Pas de quoi nous rassurer, en vérité !

 

Thierry BRET

 


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On ne badine pas avec l’horaire lorsque l’on assiste aux « Entretiens de Champignelles » ! Début des opérations prévues à 09h30 et l’on s’y tient ! C’est une question de respect et de principe, eu égard aux nombreux intervenant(e)s qui se succèdent à la tribune durant ce long séminaire formatif, exclusivement réservé aux élus locaux, mais aussi à leurs adjoints et aux conseillers territoriaux de la Puisaye-Forterre.

 

CHAMPIGNELLES : Avant-gardiste, la terre de Puisaye-Forterre en matière d’éducation de ses élus ? Oui, sans aucun doute ! Il suffit de s’immerger dans le saint des saints de ce qui se fait de mieux actuellement dans l’Yonne en  matière de pédagogie et de formation, destinée à celles et ceux qui assurent la gouvernance républicaine de nos territoires, pour s’en persuader. Un concept qui perdure depuis trente-quatre ans déjà et qui en est le vivifiant reflet intellectuel : « les Entretiens de CHAMPIGNELLES », nom de baptême qui aura permis à la petite localité de se faire sinon un nom, une solide réputation institutionnelle dans le landerneau.

D’autant que chaque année, les organisateurs remettent l’ouvrage sur le métier, en se réinventant sans cesse dans les thématiques retenues et à débattre de manière collective, véritables ossatures de ces trois pôles de rendez-vous qui se déclinent sur une période d’un mois. La première vient de se dérouler il y a quelques jours, coïncidant avec l’amorce de la période automnale. Celle où les feuilles des végétaux changent de couleur. Et, où le retour de la pluie est espéré par tous, surtout pour remplir des nappes phréatiques vidées de leur substance.

De l’eau, justement, il en sera abondamment question le 24 novembre prochain, au terme de ces séances de réflexion bénéfiques pour emmagasiner beaucoup de choses dans les neurones. L’eau, une ressource qui n’est pas inépuisable, qu’on se le dise une bonne fois pour toute !

    

Les financements et la gestion du patrimoine comme entrée en matière

 

Pour la première journée de ces sessions, globalement bien suivies par les élus de la Puisaye Forterre et les élus départementaux/régionaux, deux items intéressants figuraient à l’ordre du jour de ces retrouvailles automnales. Un planning scrupuleusement monté par l’immuable maître de cérémonie de cet exercice où l’oralité prime sur tout autre chose, Jacques GILET. L’ancien maire de Champignelles n’a rien perdu ni de sa verve ni de son enthousiasme tel un étudiant ambitieux en soif d’apprendre qui retournerait sur les bancs de la faculté pour se bourrer d’informations utiles à mettre en pratique !

Deux thématiques, donc, composaient le menu du jour, peut-être un peu abscondes pour le commun des mortels mais si importantes à l’exercice de la fonction d’élu de nos jours, à savoir le financement des communes via deux taxes spécifiques et l’appui de l’Etat aux collectivités, et la gestion du patrimoine, argument plutôt tendance par les temps qui courent et popularisé dans l’Hexagone par les initiatives mises en place par la fondation du même nom, voire les missions audiovisuelles proposées par un Stéphane BERN virevoltant face caméra.

Il revenait à l’élu local, Eric PAURON,  d’ouvrir le bal à la minute près – donc, dès 09h30 tapantes ! – et de profiter de l’instant présent pour évoquer la future porte ouverte organisée à la MANA, le 04 novembre prochain (« si il y avait des sceptiques sur le fonctionnement de l’établissement, je les invite à venir ! » dira-t-il un brin goguenard), avant de céder la parole à Jacques GILET, ordonnateur en chef de cet évènement annuel qui se décline en  triptyque – les élus s’envoleront par ailleurs vers Hambourg en Allemagne dès le 05 novembre pour un séjour de quatre journées de travail et de visites intenses –, avant de se retrouver le 24 novembre au même endroit pour le troisième volet de ce rendez-vous, consacré à l’épuisement des ressources aquatiques, à l’origine de tant de maux et de sécheresse dans nos campagnes.

 

 

 

Des éléments informatifs utiles à l’exercice du mandat

 

Sujet ô combien sensible pour les édiles et leurs équipes, surtout en période inflationniste et conjoncturelle aussi complexes, la construction du budget fut ainsi disséqué au grand jour par les intervenants qui ne se privèrent d’étayer leurs arguties via des thèmes de conférences très explicites, « les taxes injustes ou créatives de service », « la responsabilité des gestionnaires publics », « l’accompagnement des maires » vu sous le prisme de la DDFIP (Direction départementale des Finances Publiques de l’Yonne) ou encore le soutien accru de l’Etat auprès des collectivités locales, comme devait le préciser dans son préambule, Pauline GIRARDOT, la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne.

Des éléments informatifs probants et utiles alors que les charges de fonctionnement, autrefois compensées par la taxe d’habitation, s’envolent au grand dam des élus et de leurs services qui ne savent plus à quels saints se vouer pour trouver de nouvelles recettes…

En parallèle, les présences de la sénatrice Dominique VERIEN – la parlementaire était quasiment chez elle dans son fief, elle qui fut autrefois la maire de Saint-Sauveur-en-Pusaye – ou de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre donnèrent du relief supplémentaire à cette première journée de travail qui vit la prestation de belle facture du sénateur du Cantal, Bernard DELCROS, abordant le délicat sujet de la taxation en guise d’ouverture. Bref, des « Entretiens » de bon aloi qui trois décennies plus tard ne cessent de se bonifier au gré des sujets et dont les thématiques sont loin d’être taries…pas comme l’eau, un élément traité le 24 novembre prochain.

 

Thierry BRET

  

 

 


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