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Les paires de ciseaux devraient être remisées dans les tiroirs des salons : c’est une évidence chez les coiffeurs de l’Yonne qui exerçaient leurs activités ce lundi après-midi ! La réunion-débat, concoctée lors de l’inauguration du nouvel espace de l’UNEC (Union nationale des entreprises de coiffure) à Auxerre, accueillera le président national de la première organisation professionnelle du secteur, Christophe DORE. Il évoquera les enjeux d’une filière en pleine mutation économique…

 

AUXERRE: On ne coupera pas les cheveux en quatre mais ce n’est pas tous les jours que se déplace dans l’Yonne un haut représentant de la filière coiffure ! L’un des derniers à l’avoir fait n’était autre que le charismatique Franck PROVOST, à l’occasion d’une soirée débat économique organisée par les instances départementales de la CPME. Il y a déjà quelques années de cela : c’était en juin 2013…

Alors que ce secteur professionnel représente le second pôle de l’artisanat en France (la Bourgogne Franche-Comté recense à elle seule plus de 4 000 établissements !), il était important pour les responsables de l’UNEC (Union nationale des entreprises de coiffure) de notre contrée de profiter de la venue du « big boss » Christophe DORE à Auxerre pour y favoriser une rencontre. Un échange constructif avec les coiffeuses et coiffeurs du territoire icaunais, confrontés à la réalité économique d’aujourd’hui.

 

 

Le deuxième pôle de l’artisanat en France : la coiffure !

 

On imagine aisément que le président national de l’UNEC (l’organisme vieux de cent vingt ans compte plus de 6 000 adhérents et 114 antennes dans l’Hexagone) a des choses à dire tant sur l’actualité de la filière que sur ses enjeux et perspectives. Le volet de la formation devrait également au centre des débats.

Auparavant, Christophe DORE aura assisté à la cérémonie inaugurale des nouveaux locaux accueillant l’UNEC Yonne, à Auxerre au 6 de la rue de Jemmapes. Une visite d’une entreprise, « Passage Bleu », est également biffée à son agenda.

Rappelons que la coiffure représente plus de 100 100 établissements en France en 2022, employant près de 175 800 actifs dont 19 000 apprentis. Le chiffre d’affaires annuel du secteur dépasse les 6,1 milliards d’euros.

 

Thierry BRET

 


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« Elle cause plus, elle flingue… ! ». Mais qu’elle est donc la cible suggérée par la célèbre phrase cinématographique, à l’empreinte si caractéristique du regretté Michel AUDIARD, sortie en 1972 et qui pourrait être totalement en phase avec la réalité d’aujourd’hui dans le monde économique !? Je vous le donne en mille : l’entreprise, bien sûr ! La gente féminine n’hésite plus à passer à l’acte et à casser irrémédiablement les codes du travail, un système vieux comme le monde et patriarcal à souhait qu’il est ô combien nécessaire de dépoussiérer dès que possible, en oubliant même les canaux de la parité !

Désormais, les filles se muent en…de véritables patronnes ! Oui, Monsieur ! En tailleurs, jupes et pantalons, avec chemisiers froufroutants à l’appui et rouge à lèvre aux entournures, queues de cheval ou coupes à la garçonne !

On fait fi désormais du sexisme de bas étage qui sévit encore dans bien des bureaux de France et de Navarre et on ne rigole surtout plus : les « wineuses » osent enfin se montrer au grand jour, et évoquer leur irrésistible parcours qui les aura menés au firmament de la réussite !

 

 

Franchir le pas de la création…

 

Sans plaisanter, il était grand temps de montrer sous le soleil, à défaut sous le projecteur d’un amphithéâtre, ces femmes, mères ou grand-mères, coquettes et féminines jusqu’à la pointe des pieds qui entreprennent en véritables stratèges de l’économie qu’elles sont devenues !

La femme au foyer et le balai-brosse à la main, c’est terminé ! Le cliché d’Epinal aura duré assez longtemps dans l’esprit chafouin de quelques bonhommes au mode de fonctionnement archaïque qui hantent encore certains ateliers et bureaux ! Aujourd’hui, être femme des années 2020 – tiens, tiens, on dirait du SARDOU dans le texte ! -, c’est de reprendre sa destinée en main, de s’épanouir allègrement dans des postes à fortes responsabilités, y compris dans les domaines scientifiques ou ceux réputés très machistes comme le bâtiment ou l’industrie.

Pire pour les coincés du bulbe et autres misogynes de première main : c’est aussi l’opportunité pour la femme de créer son entreprise !

Désormais, elles osent franchir le Rubicon, en toute impunité et avec enthousiasme. Grand bien leur fasse ! Il y eut à l’origine quelques légers frémissements dans la stratosphère étatique – ce fut le cas avec la loi Copé Zimmermann il y a une dizaine d’années de cela – en instaurant des quotas de présence dans les conseils d’administration des directions d’entreprises. Certes, les femmes n’accédaient pas encore aux commandes de la boîte mais, un savant rééquilibrage leurs permettaient enfin de patienter et de ronger leur frein. Mais, cette avancée pour le moins spectaculaire ne concernait uniquement les CA mais pas les instances décisionnelles des directions ! D’où, la subtilité…

 

 

 

Peu de postes à responsabilité dans la stratosphère hexagonale

 

Aujourd’hui, elles osent le cap de l’entrepreneuriat et le proclament haut et fort. D’ailleurs, le MEDEF de l’Yonne ne s’y est point trompé en choisissant comme sujet de réflexion de la rentrée économique, ce focus sur l’entrepreneuriat au féminin ! Oui, mais ! Les inégalités sont encore très importantes entre les deux sexes, et pas uniquement sur le volet de la rémunération.

Souhaitez-vous des exemples concrets ? C’est simple : aucune femme n’est à ce jour parvenue à diriger le pays depuis son bureau élyséen. Bing, cela vous en jette un coin, non ? Mais, d’autres nous diraient : il y a déjà Elisabeth BORNE à Matignon !

Mais, raisonnons avec de pures entreprises, celles du CAC 40, les bien-nommées. Des poids lourds de l’économie qui se nomment BOUYGUES, L’OREAL, LAFARGE, LVMH, Saint-Gobain ou ACCOR. Trois femmes gèrent leur destinée avec le titre de…directrice générale, dépendantes évidemment d’un homme à qui échoit la fonction de président !

Et pensez-vous que les licornes, ces fameuses startups dont la valorisation dépasse le milliard d’euros soient mieux dotées en dirigeantes féminines ? Que nenni, ma « brave dame » ! C’est le zéro pointé à tous les étages au niveau responsabilité féminine sur les vingt-six d’entre elles !

 

 

Créer des instances réservées aux femmes entrepreneuses…

 

Il suffirait aussi de s’intéresser aux PME/TPE, aux groupes industriels, aux exploitations agricoles, au milieu du bâtiment et de l’automobile ; et le tour serait complet. Reste peut-être le seul domaine des services qui soit un peu épargné par cette hégémonie masculine qui n’a eu de cesse de se renforcer depuis des lustres.

Question : que manquerait-il donc aux femmes pour se propulser vers l’avant en matière d’entrepreneuriat ? Marie-Virginie KLEIN, auteure d’un ouvrage au titre évocateur « Femmes dirigeantes : comment elles ont osé ? » répond tout de go : de l’audace !

Le public féminin n’ose-t-il donc pas assez s’émanciper des sempiternels carcans patriarcaux de l’entreprise ? Possible, également. L’auto-censeure que les femmes se pratiquent à elles-mêmes parfois fait aussi office de postulat.

Il est donc grand temps que les femmes prennent leur envol et se propulsent vers les sommets en endossant la vêture de capitaine d’industrie, à l’image d’une Anne LAUVERGEON ! Et c’est un homme qui l’écrit !

Ce serait utile pour faire tomber les statistiques et les préjugés qui ne leur sont pas vraiment favorables : une femme sur trois dirige une société en France et 6 % des entreprises de typicité grosse PME, soit plus de 250 salariés, sont pilotées par une femme. C’est trop peu, on en convient.

Reste que la féminisation gagne aussi les instances patronales. La présidente des Femmes du MEDEF de France, Dominique CARLAC’H a insisté sur ce fait : son objectif est de vulgariser l’entrepreneuriat au féminin dans les cinq ans et passer de 5 % de femmes cheffes d’entreprises dans les rangs à 30 % ! Sachant qu’à date, elles sont 21 % à avoir rejoint les structures ad hoc réservées uniquement aux cheffes d’entreprises.

Vive le matriarcat dans l’entreprise !

 

Thierry BRET

 


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« Baobab ». Réputé pour la circonférence de son tronc, le végétal africain est aujourd’hui, bien malgré lui, au centre de l’actualité politique dans le landerneau. C’est le terme peu commun qui aurait été utilisé par le premier vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, le socialiste Michel NEUGNOT, à l’encontre de l’un des élus de la Ville de Nevers, Mahamadou SANGARE. Créant ainsi une polémique sur fond de racisme relaté par de nombreux médias hexagonaux. L’un confirme le propos. L’autre le dément. Conséquence immédiate : le bureau national du PS n’a pas ergoté pour suspendre à titre conservatoire le premier fédéral de Côte d’Or de ses fonctions…en attendant de faire toute la lumière.

 

DIJON (Côte d’Or) : Voilà un arbre évoluant d’ordinaire au beau milieu de la savane africaine qui est aujourd’hui la cause d’une nouvelle polémique au sein de la sphère politique nationale. Un végétal 100 % tropical, donc exotique ! Sauf que dans le cas présent, l’histoire ne se déroule pas sous les ors des édifices calfeutrés de la capitale mais bel et bien en Bourgogne Franche-Comté !

Elle met en scène une figure de la Région, son premier vice-président, le socialiste Michel NEUGNOT. Il est reproché à ce dernier d’avoir tenu des propos racistes à l’encontre d’un élu de la Ville de Nevers, Mahamadou SANGARE, lors d’une réunion de travail, organisée le 22 août à Imphy (Nièvre).

Des faits jugés suffisamment sérieux par le bureau national du PS qui a donc décidé de suspendre à titre conservatoire le premier secrétaire fédéral de la Côte d’Or, une décision entérinée le 12 septembre, à la suite d’une réunion organisée en région parisienne. Saisie par les instances nationales, la commission des conflits devrait livrer son verdict d’ici quelques jours après enquête.

 

Michel NEUGNOT prend acte pour se défendre en toute sérénité…

 

Or, Michel NEUGNOT, premier vice-président de la Région en charge de la modernisation de l’administration, des transports, des déplacements et de l’intermodalité depuis 2010 réfute ces allégations.

« Je prends acte de ma suspension à titre conservatoire de premier fédéral, décidé par le bureau national du Parti socialiste du 12 septembre 2023, explique-t-il dans un court communiqué de presse adressé aux rédactions. Cette décision me permettra de me défendre sereinement. J’affirme que je ne me suis jamais adressé à cet élu dans les termes qui me sont reprochés… ».

Puis, l’élu incriminé de rajouter : « Plusieurs témoignages de participants à la réunion du 22 août confirment cette version des faits. Ils seront versés au dossier. Je ne doute pas que le débat contradictoire annoncé par mon parti permettra de rétablir les faits réels. Je ne peux imaginer que mon parti balaie cinquante ans d’engagements en faveur des valeurs socialistes et humanistes sur la seule foi d’un témoignage d’un opposant politique… ».

 

 

L’élu de Nevers ira jusqu’au bout s’il le faut…

 

De son côté, l’élu de Nevers Mahamadou SANGARE ne l’entend pas de cette oreille et s’indigne de la posture du premier vice-président de la Région. « Un élu qui se dit de gauche, de surcroît ! ». Pour l’heure, le conseiller communautaire de Nevers Agglomération n’a déposé aucune plainte contre son homologue qui siège à Dijon. Même « s’il ira jusqu’au bout si nécessaire ». C’est-à-dire en justice si l’on comprend bien entre les lignes.

Du côté du Parti Socialiste, toute la lumière sera faite sur les accusations portées à l’égard de Michel NEUGNOT. Si les faits s’avéraient exacts, ils seraient graves, car contenant des propos racistes tenus à l’encontre d’un confrère représentant les citoyens. Si les faits étaient faux, ils le seraient tout autant pour tromperie et accusation à tort d’un élu.

Bref : le nouveau feuilleton automnal à vivre dans notre contrée sous le prisme politique s’annonce déjà kafkaïen pour se faire une véritable opinion…

 

Thierry BRET

 


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Des ennuis de santé l’avaient écarté depuis le mois de mars de toute activité institutionnelle et économique, c’est avec grand plaisir que bon nombre d’invités de la pose de la première pierre du projet « Octopus » - le bien-nommé ! – concocté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ont eu le plaisir de saluer l’une des femmes en pointe de la vie entrepreneuriale de notre département, la déléguée territoriale du groupe La Poste dans l’Yonne, Christine MORANGE…

 

AUXERRE: Exit ou presque les ennuis de santé ! Place à la vie active et au retour progressif à la normalité professionnelle. Depuis quelques jours, la silhouette gracile de Christine MORANGE, déléguée territoriale du groupe La Poste dans l’Yonne, est de nouveau visible dans le landerneau après plusieurs mois d’absence, imputables à une série de pépins physiques l’ayant obligé à se mettre en retrait de toute activité durant plus d’un semestre.

C’est donc avec une réelle émotion que la « patronne » du groupe postal sur le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté a effectué un retour remarqué, à l’occasion de la manifestation évènementielle organisée par la CCI de l’Yonne, à la pépinière d’entreprises, mardi en milieu de matinée. Une Christine MORANGE, tout sourire et en pleine forme qui a oublié ses déboires physiques pour se concentrer sur les échanges et le relationnel avec les nombreux invités. Le groupe La Poste ayant noué beaucoup de partenariats avec le monde des entreprises et les collectivités. Un come-back au tout premier plan qui fait plaisir à voir !

 

Thierry BRET

 

 


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Installé sur la façade extérieure de l’agence de Toucy, l’appareil est visible de tous. Un endroit plutôt judicieux, si un passant lambda ou un client de l’assureur mutualiste se voyait dans l’obligation de s’en servir avec spontanéité. Une dizaine de défibrillateur sont ainsi accessibles aux besoins de la population locale. Celui-là est financé par GROUPAMA. Il a été inauguré par les représentants de la structure et le maire, Michel KOTOVCHIKHINE…

 

TOUCY : GROUPAMA et le volet sanitaire, ce n’est pas d’aujourd’hui. Depuis très longtemps, dans un souci d’arrimer davantage sa présence territoriale au plus près de ses sociétaires mais aussi des autres personnes, le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance décline vers qui veut l’entendre des animations à caractère pédagogique, facilitant la sensibilisation et l’éducation, accessibles à tous.

Comme le constate Benjamin MARTIN, responsable commercial de l’entité professionnelle sur le département de l’Yonne, « on est beaucoup dans la prévention, on propose la révision des extincteurs, on initie aux gestes qui sauvent, on installe des défibrillateurs, on informe sur la cybercriminalité, on intervient sur tous les champs. Là, c’est la suite logique avec la pose sur la façade de notre enseigne d’un défibrillateur. Et nous en sommes très fiers… ».

Un appareillage fort utile pour prévenir les accidents de risques cardio-vasculaires pouvant survenir à n’importe quel moment dans la rue, voire dans un commerce. Mercredi en milieu de matinée, une petite cérémonie, à laquelle participaient Hervé CHAPUIS, président de la Caisse locale, Benjamin MARTIN – déjà cité- et la caporale-cheffe Ophélie BORDET (la jeune femme, sapeur-pompier volontaire, représentait sa responsable Nadège VIVANT du Centre de secours de Toucy), s’est déroulée presque devant l’entrée de la vitrine commerciale de GROUPAMA.

 

 

Vedette du jour : l’appareil renfermé dans un boîtier de verre, un défibrillateur !

« C’est une bonne chose, affirma l’édile de Toucy, Michel KOTOVCHIKHINE, aujourd’hui une dizaine de ces appareils ont fleuri dans notre localité… ».

Après Sens et Tonnerre, Toucy devient donc la troisième agence de l’assureur mutualiste à être pourvue de ce précieux système de réanimation en cas de problème cardiaque.

Responsable de la Vie mutualiste, Valérie ZEKL est formelle : « GROUPAMA recense dix agences sur le territoire de l’Yonne, toutes seront progressivement équipées de ces appareillages nécessaires à la sauvegarde de la vie… ».

On ne connaît pas en revanche le calendrier desdites installations. Mais, selon la représentante de la structure, tous les équipements financés par les deniers de l’enseigne devraient être posés d’ici le terme de la saison.

Prodiguer les premiers secours aux personnes en souffrance cardiaque n’est pas le seul axe de réflexion de GROUPAMA. Un nouveau cycle de formation aux gestes qui sauvent va se mettre en place dès le 26 septembre. Notamment, avec une première réunion accueillie à Auxerre. Le 29 septembre, ce sera à Pont-sur-Yonne, ville septentrionale qui avait déjà réalisé plusieurs sessions les saisons dernières. Ajoutons-y deux dates en novembre (le 09 à Chablis et le 21 à Avallon), et le tour pédagogique décliné par GROUPAMA dans l’Yonne sera bouclé !

Thierry BRET

 

 


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