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Elle a toujours la cote, la grande dame de la chanson québécoise ! Honorée d’être la marraine de la sixième édition du Salon des seniors de l’Yonne, concocté par le Département et Centre France Parc Expo, l’interprète des « Uns contre les autres » ne semblait pas du tout se mouvoir dans un « monde stone » lors de sa visite inaugurale à la manifestation. Fans de la première heure et représentants institutionnels ont été sous son charme durant l’animation où la chanteuse a interprété ses plus grands succès…

 

AUXERRE : « Je suis ravie d’être ici ! ». Arborant un large sourire, très accessible, à l’écoute de toutes les interventions officielles et prenant soin de discuter avec le public, Fabienne THIBEAULT a pu juger de sa côte de popularité, aucunement entamée après presque cinquante ans de carrière, lors de sa venue au Salon des Seniors, à Auxerre, ces deux jours durant.

Une Fabienne THIBEAULT rayonnante dans les allées du complexe auxerrois, qui a rappelé à maintes occasions son « plaisir d’être là et de retrouver son public ». Accueillie par le président du Conseil départemental de l’Yonne, Patrick GENDRAUD et le préfet Pascal JAN, la star des années 80 – on se souvient de son interprétation majeure dans l’opéra-rock « Starmania » signé Luc PLAMONDON et Michel BERGER en 1977 de plusieurs tubes dont « Le monde est stone », « La complainte de la serveuse automate » ou des « Uns contre les Autres » - n’a rien perdu de sa superbe.

 

 

Accompagnée de son époux, Christian MONTAGNAC – l’ancien régisseur de la Compagnie Créole -, la native de Montréal gardera un excellent souvenir de cette immersion en terre de l’Yonne – Patrick GENDRAUD l’avait déjà rencontrée lors d’une manifestation similaire à Tonnerre il y a quelques années – avant de regagner les Yvelines où la chanteuse vit désormais.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Certes, c’était une promesse de campagne prononcée en 2022. Mais, il semble bien aujourd’hui face à la recrudescence des incivilités et des émeutes à répétition qui secouent régulièrement le pays que le chef de l’Etat ait voulu taper du poing sur la table en prenant cette décision et en l’accélérant coûte que coûte.

Dès le début de la semaine prochaine, en déplacement dans une localité du Lot-et-Garonne, Emmanuel MACRON dévoilera la carte des deux cents nouvelles brigades de gendarmerie qui vont être ainsi constituées dans l’intervalle de 2027 en France.

Qu’elles soient fixes ou mobiles, ces brigades réparties aux quatre coins de l’Hexagone permettront de déployer au plus près des Français plus de deux mille nouvelles recrues, soit 2 144 gendarmes plus exactement, amenées à rassurer et à sécuriser les citoyens dans leur quotidien.

Des citoyens qui n’en peuvent plus de subir les affres des petites frappes dans les banlieues, des dealers et leurs immondes trafics dans les zones urbaines, des cambriolages se densifiant à qui mieux mieux jusqu’aux tréfonds de la rase campagne !

De quoi tordre le cou aux idées reçues et fabriquées parfois de toute pièce concernant le laxisme étatique, et celui de la gouvernance qui ne prendrait pas les mesures adéquates pour endiguer réellement les problèmes.

 

Une mesure historique depuis 1791 !

 

Selon une source élyséenne, cet engagement sécuritaire fort de la Nation n’a d’autre but que d’optimiser les efforts de sécurisation envers les Français. Et, de démontrer en toile de fond que le locataire du Château réaffirme son titre de président des territoires. Même si celui de l’Yonne, en particulier, se sent toujours aussi orphelin de l’absence de visite présidentielle depuis maintenant six ans et le début de la mandature d’Emmanuel MACRON. Il se susurre tout de même dans les chaumières que notre attente ne sera pas vaine très longtemps puisque un prochain congrès national sur la santé, accueilli dans l’antre d’AUXERREXPO le 11 octobre, pourrait voir la venue du chef de l’Etat et d’un quarteron de ministres et secrétaires d’Etat afin d’inaugurer ledit évènementiel ! Mais, là, n’est pas le propos du jour.

Qualifiée « d’effort historique » par le porte-voix de l’Elysée, la mesure est d’importance car jamais une telle décision n’avait été prise depuis l’apparition de la gendarmerie nationale datant de…1791 ! Le 16 février, précisément où fut instaurée la naissance de l’institution nouvelle, résolument plus moderne dans son mode de fonctionnement.

 

 

Brigades mobiles et fixes selon les besoins

 

Si, aujourd’hui, 3 500 brigades de gendarmerie sont opérationnelles sur la France métropolitaine et les DOM-TOM, cela n’était pas suffisant pour répondre aux nouveaux périples d’une société, davantage orientée vers la violence et l’agressivité. Le lot quotidien des faits divers qui ornementent les colonnes de certaines gazettes est là pour le rappeler à nos mémoires : le monde change de peau, comme l’interprétait en 1978 un certain Alain SOUCHON, et il devient laid plutôt que beau.

Dans l’absolu, et la carte hexagonale qui sera officiellement présentée ce lundi 02 octobre dans le Sud-Ouest de la France le confirmera, ce sont d’une à quatre nouvelles brigades qui fleuriront par département. Toutefois, attention, il y a un sérieux particularisme dans ces créations.

Ces nouvelles brigades pourront être mobiles – la majorité d’entre elles, apparemment, pouvant se constituer autour d’une force d’une demi-douzaine de militaires qui pourront se mouvoir à bord de camions ou de véhicules automobile dans les communes ou fixes où dans ce registre-là, elles accueilleront une dizaine de personnels installés dans des locaux à construire, à rénover ou déjà existants. C’est le choix du roi quant à la formule retenue au cas par cas selon les possibilités offertes par territoire en lien avec les élus.

 

 

Plus de 500 brigades supprimées entre 2009 et 2016

 

Mais, attention, précise la source élyséenne contactée ce vendredi après-midi par voie téléphonique, qui dit brigade mobile, dit qualité et sérieux dans les moyens mis à disposition pour les militaires, tant au plan numérique que technologique ! Il ne manquerait plus que cela que les brigades mobiles soient au rabais par rapport aux autres, les fixes, qui disposeraient des édifices et du matériel adéquats !

Si l’enveloppe budgétaire globale s’élève à quinze milliards d’euros sur cinq ans – la somme est inscrite dans la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur -, il faut savoir qu’à l’unité, le coût d’une brigade mobile à l’année revient à environ 70 000 euros de fonctionnement. Coût nettement plus complexe à calculer pour une brigade fixe qui doit s’appuyer sur les frais inhérents liés aux bâtiments.

C’est à partir de novembre de cette année que les premières brigades mobiles verront le jour. Un sacré pied-de-nez fait aux anciennes gouvernances (surtout celle de Nicolas SARKOZY !) qui avaient largement épuré les forces de l’ordre dite de proximité et supprimé plus de 10 000 fonctionnaires de leurs rôles.

Rendant obsolète et de manière incertaine la présence policière dans les grands ensembles en Ile-de-France ou dans les agglomérations importantes du pays. Sur la période comprise entre 2009 et 2016, ce furent cinq cents brigades qui passèrent de profit à perte, sans crier gare…Or, les mêmes qui avaient pris ces décisions s’étonnent aujourd’hui de la remontée fulgurante des infractions et de l’incivisme dans le pays !

Quant à ces affectations, elles seront déployées dans les territoires ayant besoin de l’Etat et besoin de sécurité. A vrai dire, ce n’est pas ce qui manque dans le landerneau !

Les préfets auront au préalable transmis les dossiers de candidature au ministère de l’Intérieur avant que le verdict ne soit rendu.

Enoncé des réponses : ce 02 octobre avec sans doute des surprises agréables pour certains de nos compatriotes, et son lot de déception pour ceux qui espéraient davantage d’écoute…

 

Thierry BRET

 


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Il fallait bien que cela arrive. Etait-ce inéluctable ? Légitime ? Logique ? En tout cas, la décision prise par Evelyne et Cyrille BRASSEUR, à la tête de la société TTB (Techno Textiles de Bourgogne) a été mûrement réfléchie par les dirigeants de la SAS. Le spécialiste icaunais de la confection de bâches à multiples  usages (agricole, bâtiment, poids lourds, protection de matériel…) continuera désormais sa route sans son tandem charismatique originel. Un binôme qui lui avait permis d’occuper une place privilégiée sur les marchés de Bourgogne Franche-Comté et d’Ile-de-France.

 

MONETEAU : Rideau, pourrait-on dire même dans le monde spécifique de la bâche, après la décision qui est survenue ces jours-ci ! L’entreprise, rachetée en janvier 2008 par le couple Evelyne et Cyrille BRASSEUR (elle se nommait à l’époque « Auxerre Bâches ») va continuer sa belle aventure dans ce segment d’activité si spécifique, à partir du 1er octobre 2023, sans ses gérants charismatiques qui lui avaient pourtant donné ses lettres de noblesse, en la rebaptisant par cet acronyme, connu des professionnels de l’artisanat, du bâtiment et de l’industrie, « TTB ». Un sigle signifiant « Techno Textiles de Bourgogne »…

 

Changement de statut en 2021 : de SARL à SAS…

 

Déjà présente dans les années 70, cette société quinquagénaire à la dynamique flamboyante a su se remettre au diapason des nouvelles  techniques et des marchés en pleine croissance sur les domaines de la protection de matériel et la séparation de bâtiments sous sa nouvelle appellation.

Se muant de SARL en SAS en 2021, TTB n’a eu de cesse de croître et d’agrandir ses potentialités de développement. Installée depuis 2014 sur la zone des Macherins – ce fut le tout premier bâtiment qui sortira de terre grâce à la complicité experte de l’agence Yonne Développement et de son corollaire Yonne Equipement -, elle accueille aujourd’hui un effectif d’une petite dizaine de personnes en ses murs. Des professionnels qui exercent leur savoir-faire dans un bâtiment d’une surface importante (plus de 4 000 mètres carrés), ergonomique et fonctionnel dans l’accomplissement de leur métier.

 

 

Un pied dans l’Aube avec le rachat d’une TPE

 

Président de la SAS, Cyrille BRASSEUR est une figure connue et reconnue par ses pairs. Non seulement il est un visage apprécié de ses collègues et adhérents de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME) mais  ce quinquagénaire investi dans le monde de l’entrepreneuriat, l’est aussi de l’autre côté de la frontière séparant l’Aube de l’Yonne. En juillet 2013, une opportunité de rachat d’une structure identique à la sienne se présente. Une TPE qui est positionnée près de Troyes, à La Chapelle Saint-Luc, sur le segment de la bâche, en version store et protection solaire. Le couple n’hésite pas et acquiert cette entreprise, répondant à l’appellation des établissements COLSON-FROMONT. Une SARL créée à l’origine au beau milieu des années 1970. Avec cette entité qui va désormais les accaparer à temps plein, le couple s’est fixé de nouveaux objectifs, en assurant la promotion de la voile d’ombrage et de la protection solaire, décidément très en verve à l’heure actuelle compte tenu de la recrudescence des épisodes de fortes poussées de fièvre de l’astre diurne !

 

La cession des parts à son successeur effective au 1er octobre 2023

 

D’ailleurs, Cyrille BRASSEUR a rejoint l’association de la zone industrielle de La Chapelle Saint-Luc dont il est le trésorier depuis deux ans. Ingénieur dans le secteur de la production et de la maintenance, Cyrille a fait de TTB une belle pépite dont le chiffre d’affaires annuel initial de 500 000 euros dépasse allégrement les 30 % de progression. Un chiffre qui pourrait poursuivre sa progression avec la cession de l’affaire – toutes les parts détenues par le couple ont été cédées – à un successeur légitime tout trouvé, Xavier BERTHEREAU et son partenaire financier. Xavier BERTHEREAU était jusque-là responsable d’atelier de TTB, et avait été recruté juste avant la crise sanitaire en 2020. C’est en 2022 que le projet de cession aura mûri solidement entre les deux parties. Xavier BERTHEREAU deviendra le futur Directeur Général de la structure, avec en bonus, une période d’accompagnement au cours du dernier trimestre qui sera assurée par Cyrille BRASSEUR.

Fan de rugby – cela tombe bien avec la Coupe du Monde actuelle ! -, adepte de la musique – il joue de la batterie en mode rock’n’roll ! -, Cyrille et son épouse, installée dans l’Aube depuis 2018, tourneront bientôt définitivement la page d’une existence riche et prospère sur le sol de l’Yonne. Pratiquant à ses moments perdus la moto et aficionados de moto-ball – super, il existe un club à Troyes ! -, l’ancien patron de TTB promet de revenir voir ses nombreux amis dans l’Yonne en qualité de membre de plusieurs structures entrepreneuriales…On revient toujours sur les lieux de ses premières amours, même quand on est un Nancéen d’origine !

 

Thierry BRET

 


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Maison fondée en 1844, « Le Conservateur » est un acteur de référence sur le marché patrimonial français. Spécialiste de la gestion d’épargne de moyen et de long terme, il accompagne ses clients dans une approche sur mesure pour la gestion et la valorisation de leur patrimoine personnel et professionnel.

 

AUXERRE : Au fil du temps, « Le Conservateur » a élaboré une vaste gamme de produits (assurance-vie, prévoyance, épargne retraite, placements financiers…) dont une solution d'épargne originale : la tontine.

Groupe indépendant porté par un réseau de conseillers en gestion de patrimoine, agents généraux d’assurance, implanté sur l’ensemble du territoire, « Le Conservateur » place l’intérêt de ses sociétaires (les familles, les dirigeants et leurs entreprises, etc.) au cœur de ses priorités. Il attache une importance particulière à la qualité de la relation qu’il tisse avec chacun d’entre eux : une relation personnalisée et durable dans une convergence d’intérêts, qui accompagne les différentes étapes de la vie de chacun.

Ainsi, en ouvrant son nouveau bureau à Auxerre, l’enseigne est au plus proche des Icaunais. La rentrée 2023 est riche en événements avec un programme de conférences, dont le lundi 06 novembre, en partenariat avec le magazine « Le Revenu » une soirée débat au Domaine BROCARD sur le thème « Comment gérer et dynamiser son patrimoine ? ».

Pour réserver votre place et participer à l’un de ces évènements contact à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Maryline GANDON

 

 


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Il est copieux, le menu pédagogique proposé par le CNFPT, le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale de l’Yonne ! Se déclinant dans ses versions théorique et pratique, il se compose de 400 heures de formation à assurer auprès des collectivités locales. Celles et ceux des demandeurs d’emploi qui souhaitaient embrasser un jour le métier de secrétaire de mairie en commune rurale sont donc servis. Royalement, au vu des seize modules du cursus ! Gare à l’indigestion !

 

AUXERRE : Elles et ils écoutent en silence les propos liminaires tenus par le président de la vénérable institution, Jean-Pierre GERARDIN, lors de la phase de présentation. La nouvelle promotion des quinze demandeurs d’emploi, débutant ce cycle de formation au métier de secrétaire de mairie en commune rurale, assise autour de tables placées en U, est donc dans les starting-blocks, prête à en découdre avec le volumineux programme didactique qui l’attend.

Au bas mot, ce sont seize modules de formation qui permettent de préparer les stagiaires aux arcanes du poste de secrétaire de mairie, une fonction essentielle par excellence, dans les rouages d’une collectivité rurale.

Pêle-mêle, on y trouve dans le contenu (très bien ordonné, quant à lui !), la connaissance du milieu territorial, celle de la fonction publique qui s’y rapporte, la gestion des rémunérations, la comptabilité et les budgets – le nerf de la guerre de toute collectivité qui se respecte ! -, la rédaction administrative, l’état civil, les élections, l’urbanisme, les marchés publics ou encore la gestion des archives. Il y a même un chapitre pédagogique concernant la gestion du stress en situation d’accueil. A croire que les secrétaires de mairie sont exposées à la vindicte populaire ! Plus sérieusement, ce métier aux multiples tâches n’est pas si facile à exercer car en première ligne face aux revendications parfois agressives de quelques citoyens réfractaires au respect du droit et de la loi !

 

 

Répondre aux besoins des localités rurales

 

Souvent, le secrétaire de mairie – seul collaborateur de l’élu parfois dans certaines communes – est un précieux auxiliaire qui ne ménage pas sa peine. Son absence, même temporaire, peut engendrer des dysfonctionnements importants en raison de la diversité et multiplicité des tâches. Quant à la réglementation, sa complexité aurait pu en rebuter plus d’un : ce qui ne fut pas le cas, lundi matin, dans l’une des salles municipales auxerroises où le Centre de gestion de la Fonction publique territoriale (CNFPT) a pris habitude de recevoir lors de ses sessions de recrutement régulières.

Pour ces demandeurs d’emploi, c’est donc une excellente opportunité de pouvoir transformer l’essai – ils seront des agents de remplacement dans un premier temps – mais ils peuvent avoir l’opportunité de pérenniser leur poste par voie de concours ou par recrutement direct. D’autre part, l’initiative, judicieuse, du CNFPT est aussi de répondre aux besoins des territoires, plus particulièrement ceux des zones rurales.  

Lors de cette prise de contact, ce fut le temps des explications dans le détail avec la présentation du cursus aux stagiaires et du métier de secrétaire de mairie. Etaient présents les tuteurs qui ont évoqué leur métier avec moult témoignages, les élus et les candidats. Un échange nourri et constructif pour faire toute la lumière sur ce métier indispensable où les pré-acquis sont la loyauté, la discrétion, la disponibilité et…les compétences pour tenir le poste, tout de même !

 

Thierry BRET

 


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