Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Cinq mille tracts circulent depuis plusieurs jours afin d’alerter la population auxerroise. Ils émanent de l’association « Auxerre Ecologie Solidarités » qui tire à boulet rouge sur la nouvelle stratégie de l’Agglomération de l’Auxerrois, envisagée en matière de collecte des déchets. En parallèle, une pétition en ligne a déjà réuni plus de 1 121 signatures. Prochain objectif : dépasser le seuil de 1 500 mécontents. Une question de jours, visiblement…

 

AUXERRE : Pas contents, les membres de l’association « Auxerre Ecologie Solidarités » ! Et ils vont le faire savoir, à partir de 19 heures, ce soir dans les locaux de la Maison du Bâtiment, où se tiendra une réunion publique ouverte à celles et à ceux qui veulent en savoir davantage sur la fin de la collecte des déchets au porte à porte et la suppression des cinq déchèteries sur sept que comptent le bassin de l’Auxerrois.

Si des tracts circulent en nombre afin de toucher le maximum d’habitants de l’Auxerrois, c’est aussi par le biais d’une pétition mise en ligne depuis peu que la structure associative véhicule ses messages et informations. Plus de 1 120 personnes l’ont déjà signée à date, et cela devrait considérablement augmenter à l’issue de ce rendez-vous, prévu en soirée.

Lancée par Denis MARTIN, la pétition détaille le projet communautaire, le qualifiant de « réel recul qui nous coûtera cher demain ! ».

« Il y aura 700 points d’apports volontaires (PAV), où nous devrons apporter nos déchets, explique le document, ces espaces posent partout de nombreux problèmes : perte d’efficacité du tri, nuisances dues aux dépôts sauvages, difficultés d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Cette régression nous coûtera de plus en plus cher d’année en année avec l’augmentation de la TGAP sur le traitement des ultimes. Nous ne sommes pas d’accord ! Il faut maintenir le ramassage en porte-à-porte et la conservation d’un réseau de déchetteries proche des habitants… ».

Et la structure associative de réclamer quelques lignes plus loin, « la modernisation et mise aux normes de sécurité des déchetteries, la mise en place d’une filière de collecte et de traitement des bio déchets dans les délais prévus par la loi, l’instauration d’un financement qui valorise et incite chaque citoyen à réduire sa part de déchets voués à l’enfouissement et à s’engager dans un tri précis favorisant la valorisation… ».

Rendez-vous ce soir pour en savoir davantage sur les réactions des résidents !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il ne pouvait pas en faire abstraction lors de sa prise de parole. Evoquer la forêt hexagonale, ses potentialités économiques et sociétales – un poumon vert très important en termes de surface qui est à préserver pour mieux réguler le trop plein de carbone – fut l’angle d’attaque de Thierry CADEVILLE à l’issue de la visite des Pépinières NAUDET, concoctée par la CCI de l’Yonne, sous l’égide des « Positives Entreprises »…

 

CHEU : Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne aime profiter des tribunes qui se présentent à lui, au gré de son calendrier évènementiel, pour y marteler quelques évidences, apportant ainsi son lot de réflexion nourrissant les esprits.

En l’occurrence, à la fin de la découverte des sites de productions des Pépinières NAUDET, proposées dans le cadre des « Brunchs des Positives Entreprises », un focus non exhaustif fut proposé sur l’état de la forêt française et de la filière bois/sylviculture en France.

Quatrième plus grande zone boisée d’Europe avec ses 17 millions d’hectares – cela représente 30 % de notre territoire -, la forêt française offre en cela de belles opportunités pour les professionnels qui en assurent l’exploitation, la transformation et l’entretien.

Avec un accroissement annuel de 85 000 ha par an (l’équivalent de cent mille terrains de football, tout de même !), elle dépasse même – cela semble très curieux ! – la surface qui existait jadis au Moyen-Age !

Trois quarts de cette forêt appartiennent au domaine privé et sont exploités par plus de 3,5 millions propriétaires particuliers. Des chiffres qui sont distillés par Thierry CADEVILLE, ce dernier s’étant appuyé sur les données officielles d’une enquête réalisée par un site numérique forêt/bois en France.

 

Trente forêts de la planète se consument chaque jour

 

Micro à la main et devant un auditoire d’entrepreneurs tout ouïe, réceptifs aux propos du président consulaire, le patron de la CCI de l’Yonne bifurqua ensuite tout naturellement vers les effets du changement climatique, la plaie de ce vingt-et-unième siècle dont on observe au quotidien les effets nocifs sur notre environnement.        

« 62 000 hectares de forêts ont été détruits par les incendies en France, sur la seule année 2022, constate Thierry CADEVILLE se référant de temps à autre à ses notes, un triste record que nous n’avions pas connu depuis l’année 1976, certains parmi vous s’en souviennent peut-être encore… ».

Plus stupéfiant : plus de trente sinistres forestiers se déclarent à la surface du globe au quotidien et sont observables par les satellites de la NASA. De quoi dramatiser davantage une situation déjà précaire, comme cela a été démontré au Brésil ou au Canada au fil de ces dernières semaines.

 

 

Entre ZAN et réindustrialiser, il y a une antinomie…

 

Quant à la croissance de la forêt, Thierry CADEVILLE est formel : elle s’effectue par sa régénération plutôt que par le biais de l’artificialisation. Néanmoins, bon nombre de professionnels sont aussi très sollicités pour assurer des campagnes de plantation en masse.

Pour autant, la filière forêt/bois est fondamentale, de l’avis du président de la CCI Yonne. « Elle propose une régénération raisonnée des forêts, explique-t-il, n’oublions jamais que la forêt absorbe le carbone par photosynthèse, tout en rejetant l’oxygène et que les arbres agissent comme de véritables poumons de la planète… ».

Toutefois, le président de la chambre consulaire ne pouvait occulter de ses propos la démarche « ZAN », pour « Zéro Artificialisation Nette ». Démarche pour le moins contradictoire, à bien l’écouter.

L’objectif fixé pour 2050 est de réduire de 50 % le rythme d’artificialisation et de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers, bien avant cette date butoir.

« C’est paradoxal : on manque de foncier dans le pays, précise Thierry CADEVILLE, à titre d’exemple, pour le PETR du nord de l’Yonne, on dispose de 150 hectares qui sont accessibles sachant que chaque commune en possède 120 et ont droit d’utiliser un hectare. C’est pratiquement rien ! A côté de cela, le gouvernement nous demande de réindustrialiser la France coûte que coûte ! Il y a donc une antinomie manifeste entre les deux mesures et cela va être très compliqué à réaliser. C’est un débat qu’il faut avoir à l’esprit, quand même… ».

Un président CADEVILLE qui aura fait mouche avec sa conclusion en jetant le doute dans les esprits des entrepreneurs, conscients de cette énième incohérence…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elles sont 217 victimes de la modernisation technologique. 217 personnes qui auront peut-être un jour leurs noms gravés sur une stèle de marbre, blanc comme un linceul, sur l’autel du souvenir passéiste et du travail mémoriel que l’on sait tant cultiver en France ? Sur l’épitaphe, une formule toute trouvée sera inscrite : « disparu par perte et profit dans l’intérêt de la productivité au nom de la sacro-sainte prédominance technologique ! ».

Même Georges ORWELL n’aurait pas fait mieux dans « 1984 », ouvrage à lire et à relire, sans cesse, dont on pourrait méditer longtemps les théories.

 

Les premiers sacrifiés sur l’autel de la dérive technologique

 

L’information est donc tombée comme une lettre très discrète à La Poste avec un timbre facilitant l’envoi au ralenti : une société spécialisée dans la veille médiatique – c’est très inquiétant pour le devenir de ces métiers intellectuels et de réflexion -, originaire de l’Hexagone, malgré son appellation aux références anglicistes (« ONCLUSIVE »), a pris acte de se séparer cette semaine de 217 de ses collaborateurs, sacrifiés sous le sceau de l’adoption de l’intelligence artificielle.

Cette fameuse abréviation, « IA », dont on nous rabâche tant les oreilles depuis des mois et que l’on porte aux nues de la réussite absolue pour mieux révolutionner le monde du travail à grands coups de modernisme asocial s’avère être un…implacable cancer qui va ronger petit à petit et de manière incurable, la plupart des représentants de l’humanité…

Une humanité, tellement vulnérable et bien trop faible pour réagir devant l’inaltérable alors qu’il est encore temps de bouger et de dire stop à toutes ces dérives que l’homme, premier prédateur de l’homme, sait si bien inventer. Une vulnérabilité qui a atteint son paroxysme comme devant le réchauffement climatique, la dérive totalitaire des autocraties, l’absence de maîtrise de l’inflation voulue par les spéculateurs, la perte des libertés et celle des valeurs civiques qui se font égorgées au coin de la rue.

 

Un XXIème siècle de progrès et d’évolutions sociétales !

 

Les premières victimes en France ont donc chuté cette semaine, dans une relative et discrète indifférence médiatique, entre le voyage papal faisant halte au vélodrome de Marseille – il n’y a donc que les supporters de l’OM à croire encore au miracle alors que leur équipe vit une de ses pires crises entre dirigeants ! - et les fastes culinaires permettant aux monarques de Grande-Bretagne de rejouer les grandes eaux de Versailles en se sustentant richement à nos frais.

Mais, symboliquement, les « grandes eaux », ce sont sans doute les pleurs de ces 217 sacrifiés et de leurs familles dont les têtes sont tombées sur le billot du progrès et de la modernisation à tout crin, de la froide rentabilité et des économies à rationnaliser à tous les étages de la société, et surtout dans les moindres recoins de la vie entrepreneuriale. Mais, dans quel monde vit-on ?! Et, on ose parler de XXIème siècle et de ses évolutions !

La statistique fait froid dans le dos, car évidemment, sur ce sujet qui fait saliver d’aise tous ces petits génies de l’électronique, des « big data » et du numérique déshumanisés, le pire est devant nous. Comme l’inexorable fonte des icebergs et des glaciers devant disparaître d’ici une cinquantaine d’années.

 

 

 

La perte de plus de 300 millions d’emplois à moyenne échéance

 

Plusieurs études l’attestent : il est dit que l’intelligence artificielle remplacera 85 millions d’emplois d’ici 2025 de par le monde. Et, les spécialistes, tout de go, d’ajouter que cette même intelligence artificielle au cœur décharné et au sang de navet (!) devrait créer 97 millions d’emplois sur la même période, soit un différentiel en solde positif de 12 millions de jobs à ajouter dans l’escarcelle de la valeur ajoutée.

Oui mais…cela reste naturellement à prouver et ce ne sont pas les 217 premières victimes officielles de France qui diront le contraire lorsque d’ici quelques jours elles quitteront la tête dans les chaussettes et le moral en berne leur lieu de travail avant de se remettre sur le marché de l’emploi, en tentant de se reconvertir tant bien que mal selon les âges ou à défaut d’aller pointer au chômage jusqu’à percevoir le salvateur RSA, synonyme de précarité et de misère!

Dans l’absolu, toutes les projections réalisées par les plus grandes structures de l’économie américaine se rejoignent dès qu’elles anticipent l’avenir de l’emploi. Ce sont au bas mot plus de 300 millions de postes qui devraient être supplantés par l’intelligence artificielle d’ici une génération. Combien de temps, en fait, dix ans, vingt ans, un peu plus ou un peu moins avant que le couperet ne s’abatte sur les gorges offertes au sacrifice ?

Seul point de satisfaction qui pourrait redonner le sourire – il est plutôt jaune citron acide en vérité -, c’est le coup de booster apporté aux entreprises au niveau de la productivité. L’intelligence artificielle pourrait faire augmenter le produit intérieur brut mondial de…7 % !

A la bonne heure pour les multimilliardaires de la planète et autres spéculateurs qui s’enrichissent aux dépens des malheurs des autres et qui en verront les fruits en espèces sonnantes et trébuchantes, n’en doutez pas !

 

 

Deux emplois sur trois impactés par ce fléau technologique

 

Mais alors, quid de toutes ces personnes actives, vous et moi, aujourd’hui menacées par l’expansion inévitable de ces « chatGPT » et consorts de la même veine qui équivalent au quart de l’activité économique mondiale à supprimer ?

45 % des tâches administratives et des fonctions support ne seront plus effectués par des humains à l’avenir dans les entreprises. Cela fait peur ! L’automatisation des processus va gangréner progressivement des pans entiers de l’économie à l’instar des filières de l’industrie, des banques, des assurances, des services, du commerce, de la presse, des arts, de la musique, de la gestion, du droit, de l’agriculture, de l’automobile, de la mobilité, de l’énergie…La liste est loin d’être limitative, sic !

Deux emplois sur trois seront impactés par l’intelligence artificielle, d’après les projections émises par tous les spécialistes. Mieux que le réchauffement climatique, les coronavirus et les menaces belliqueuses des états impérialistes proches de déclencher la Troisième Guerre mondiale, voilà l’IA et son insidieuse déclinaison qui va détruire l’homme dans ce qui lui est le plus cher : son travail, auxiliaire nourricier de toute son existence, et de sa famille…

Tous les métiers dits « intellectuels », condamnés à disparaître, sont les cibles potentielles de ce nouveau fléau des temps modernes, véritable cancer de la société d’aujourd’hui et de demain.

Souhaitez-vous vous laisser guider avec un sourire béat à l’abattoir, sans protester comme des moutons de Panurge ? Il est grand temps de changer de paradigme, de revenir aux fondamentaux des valeurs humaines… et d’arrêter enfin ce jeu de massacre planétaire qui nous guette !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le 27 avril dernier, il effectuait un déplacement important dans l’Yonne, en prenant le temps de se poser au lycée de Sens et au collège de Pont-sur-Yonne. Le voici de retour dans la capitale de l’Yonne, ce jeudi, à l’occasion de l’inauguration du Parcours d’Accès Spécifique Santé (le PASS), dans l’amphithéâtre de l’IUT Auxerre. Satisfait de se retrouver en pareille circonstance, Pierre N’GAHANE, recteur de l’Académie de Dijon, ne peut que se « réjouir de la mise en forme de ce projet », prometteur pour le territoire icaunais…

 

AUXERRE : Il est très aimable et souriant, le recteur de l’Académie de Dijon. Un petit mot adressé à l’un des élus qu’il croise. Une franche poignée de main et un bonjour très courtois aux représentants de la presse, avant qu’il ne gagne son siège aux premiers rangs de cet amphithéâtre de l’IUT d’Auxerre qui, dans quelques minutes, vivra l’avènement officiel de ce parcours d’accès spécifique aux métiers de la santé, le PASS dont les élus du cru attendent beaucoup.

On les comprend au vu de l’enjeu et de l’engagement de ses suiveurs. Cette grande première aura réuni tout un aréopage de personnalités du terroir et de professionnels de santé, aux alentours de 18 heures, ce jeudi après-midi.

En poste depuis mars 2022 en Bourgogne Franche-Comté, Pierre N’GAHANE est invité à la tribune pour y prendre la parole. Succédant ainsi aux deux parlementaires, la sénatrice Dominique VERIEN et le député André VILLIERS, et avant eux, la représentante du Conseil Régional Isabelle POIFOL-FERREIRA, qui avaient exposé leurs commentaires face aux invités. Il y avouera publiquement sa « relative surprise sur les caractéristiques du département de l’Yonne ».

 

L’effet de surprise, une fois les caractéristiques de l’Yonne analysées

 

Ne soupçonnant pas le caractère « rural » de notre territoire, pourtant le plus septentrional de Bourgogne et limitrophe à l’énorme poids lourd économique qu’est l’Ile-de-France, Pierre N’GAHANE n’imaginait pas que notre département ait autant de différences fondamentales et défavorables par rapport à la…Nièvre. « C’est un territoire sur lequel nous devons avoir une attention très particulière… ».

Un item que le haut fonctionnaire aura maintes fois partagé avec ses homologues et élus lors de ces immersions en terre icaunaise, « l’offre, en matière d’enseignement supérieure, est proportionnellement moins importante que dans la Nièvre ».

C’est donc ouvert à la création de nouveaux projets en lien avec l’Université de Bourgogne, permettant de renforcer les potentialités générées par l’enseignement supérieur, que Pierre N’GAHANE a assisté à ce grand rendez-vous inaugural, permettant à une trentaine d’étudiants de bénéficier d’une première année de santé, baptisée « PASS ».

 

Le plus faible taux d’espérance de France pour un 6ème de rejoindre la terminale !

 

« Nous souhaitons accompagner ces projets qui sont les bienvenus et qui possèdent de l’ambition, ajouta-t-il, nous sommes une académie avec des caractéristiques singulières : l’espérance pour un jeune qui rentre en sixième d’aboutir à la terminale est le plus faible de France. On se situe à 72 % en taux d’espérance… ».

A contrario, celles et ceux qui optent pour la voie professionnelle sont les plus importants de l’Hexagone, avec un taux de sortie le plus élevé six mois après avoir obtenu le diplôme. Les jeunes générations de notre contrée n’auraient donc pas la bosse des longues études supérieures ?!

« Est-ce une question d’ambition ou d’opportunité de l’offre disponible ?, s’interroge alors le recteur prenant son auditoire à témoin, c’est quelque chose qu’il faut regarder de près… ».

 

 

 

Un PASS porteur de réelle ambition et de nouvelles possibilités pour l’Yonne

 

 

Etrange paradoxe que celui-ci, en vérité. Pour autant, selon Pierre N’GAHANE, « l’initiative prise autour de cet accès au parcours spécifique de santé par le Conseil départemental de l’Yonne – le recteur se retourne alors vers Patrick GENDRAUD, président de l’exécutif icaunais et le préfet Pascal JAN assis au premier rang-, est prometteuse avec ses 33 étudiants inscrits dont huit viennent de l’Yonne… ».

Ce PASS représente aux yeux du recteur, un réel besoin d’attractivité pour le territoire d’accueil de ces nouveaux apprenants, que l’académie accompagnera dans la structuration de l’offre scolaire et universitaire.

Avec, pourquoi pas, selon lui – mais il n’en dira pas davantage dans ses propos – un élargissement de l’offre à envisager. Que l’Yonne dispose désormais de plus de possibilités en matière d’enseignement supérieur afin d’attirer des étudiants et de maintenir les siens sur son territoire, personne ne s’en plaindra !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Des mois de préparatifs. Mêlés d’inquiétude, de doute, de stress et d’angoisse ! Sombre tableau, en vérité ! Mais que l’on ne s’y méprenne pas : c’est grâce à la somme de tous ces ingrédients, vrais stimulants pour les organisateurs, pour qu’un tel évènement arrive à produire de l’exceptionnel. Ce sera sans doute le cas en cette journée dominicale du 24 septembre, entre Saint-Fargeau et Toucy, tout au long de 170 kilomètres de course…

 

TOUCY: C’est le troisième acte de cette dramaturgie sportive locale. Un de plus, pourrait-on dire, mais qui va gagner encore en incertitude quant à son résultat final et surtout en qualité, du fait d’un plateau de coureurs très relevé. La plupart viennent de l’Hexagone. Mais pas que ! On dénombre des natifs de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de Biélorussie…

De jeunes pousses qui ne rêvent que d’exploits et de triomphes lors de cette épreuve à multiple épisode qui se nomme la Coupe de France cycliste. Celle de Nationale 2, pour être plus précis. Un cinquième opus – le dernier de la saison – qui à l’instar d’une bonne série audiovisuelle va livrer son verdict définitif au soir de ce premier dimanche automnal (mais de surcroît plutôt ensoleillé selon les prévisionnistes de la météo) du côté de Toucy, après s’être disputé au détour de différents endroits de l’Hexagone.

Pour mémoire, et il est toujours important de la saluer, ce rendez-vous en terre de l’Yonne est donc le troisième que l’on doit à l’appellation de « Classique Puisaye-Forterre Souvenir Philippe GERBAULT ». En hommage au regretté ancien président du Vélo Club de Toucy dont il prit les rênes quelques années avant sa disparition accidentelle tragique...

 

 

 

Ce dimanche, ils seront donc 138 coureurs représentants 23 équipes qui s’élanceront à 12h35 précises de Saint-Fargeau. L’épreuve se déroulera sur une distance de 170 kilomètres (pas mal !) dont 118 kms en ligne et 13 kms sous la forme d’un circuit final, soit quatre passages où le public, amateur de cyclisme, pourra applaudir les tentatives d’échappées et les coureurs les plus combatifs.

L’an passé, le Belge Louka MATTHYS avait empoché la mise en coiffant sur le fil deux coureurs français, Justin DUCRET et Kevin LE CUNFF. Qui pour lui succéder cette année ? Sachant que c’est le team de Bricquebec Cotentin qui occupe à date la tête de leader du classement général de cette coupe hexagonale…

En mars, dernier, Jérémy MAISON, ancien coureur professionnel et chef de file de l’organisation de cette course de belle facture avait présenté lors d’une soirée conviviale à ses sponsors et partenaires la physionomie de cette édition 2023. Cette fois, c’est chose faite : les organisateurs sont dans le dur, la course se lancera dans 48 heures !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil