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Ce n’est pas une surprise : l’été reste la période idéale et propice aux passations de pouvoirs et à la prise de nouvelles responsabilités, au sein des clubs service. Ainsi, il incombe désormais au jeune Pierre-Nicolas JOLIOT, membre du club Auxerre Phoenix, d’endosser la vêture de président de zone à l’occasion de cette nouvelle saison qui démarre.

 

AUXERRE : L’exercice se décline aux quatre coins de l’Hexagone à pareille époque. Parmi les 25 000 bénévoles qui, au sein des 1 200 clubs, s’engagent à mener des opérations d’intérêt général au service de l’humanisme et de la solidarité. On appelle cela des passations de pouvoirs entre deux exécutifs qui reprennent les rênes de la structure associative.

Dans le cas présent, ce n’est pas un changement de gouvernance à la tête d’un club. Mais, d’une zone. Celle-ci correspond à un secteur géographique qui permet de découper dans chaque district régional des périmètres précis permettant à une dizaine de clubs – parfois, c’est moins – de travailler ensemble et dans la même direction. Au profit d’une noble et juste cause. Partant du postulat qu’il existe quinze districts régionaux, composant le district national 103 – l’Hexagone, en quelque sorte – on imagine aisément que ces zones internes aux régions se sont multipliées comme des petits pains au fil des années, facilitant la construction de l’édifice Lions qui récolte tout de même la bagatelle de 20 millions d’euros chaque année, via ses nombreuses actions sociales réalisées sur le terrain !

 

 

Sensibiliser et recruter de nouveaux membres

 

On en dénombre annuellement près de 5 000 de ces animations altruistes et généreuses dont les fonds sont intégralement reversés aux causes de grande et plus petite envergure.

Dans sa zone, Pierre-Nicolas JOLIOT – on le connaît pour être à la manœuvre avec sers camarades de club derrière le succès de « la Soupe des Chefs », l’évènementiel de la Foire Saint-Martin à Auxerre, entre autres…- aura pour objectif de sensibiliser les clubs à poursuivre leurs actions solidaires, à recruter de nouveaux membres investis de cette mission sociétale du partage et de l’humilité, à jouer le rôle de partenaire de la cité et à être en adéquation avec les besoins de la jeunesse en étant à son écoute. Bref, les valeurs incarnées par le mouvement, le « lionisme », qui a pris racine en Europe, et en France en particulier, dès 1948. Un rôle qui va comme un gant à ce juriste, expert dans des biens des domaines…

 

Thierry BRET

 

 


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Existerait-il un micro climat de la bonne santé et de la vieillesse assumée à Thorigny-sur-Oreuse !? Notamment dans l’établissement qui accueille les personnes âgées, à savoir la résidence Jasmin. Toujours est-il que le directeur de la maison, Christophe FOGEL, vient d’y célébrer la troisième centenaire de l’année, Janine LESAINT – au patronyme de circonstance ! – en compagnie du fils de la résidente, Alain…

 

THORIGNY-SUR-OREUSE : Et de trois ! Depuis le début de l’année, la résidence Jasmin dirigée par Christophe FOGEL fête la présence d’une nouvelle centenaire. En l’occurrence, cette fois-ci, il s’agit de Janine LESAINT qui, aux côtés de son fils, Alain, a soufflé les bougies symboliques de cet anniversaire plutôt enthousiasmant.

Native de Nézel, petit village des Yvelines – sa date de naissance est le 16 juillet 1923 -, Janine, résidente si simple, si humble et si agréable (elle n’a jamais un mot plus haut que l’autre !) s’est vue honorer par cette célébration, organisée par l’établissement.

Retraçons les grandes lignes de sa longue existence : ses parents sont maraîchers et possèdent également des vergers. Sans doute faute de temps, les parents placent Janine en nourrice jusqu’à six ans. Puis, c’est le moment de partir à l’école ! Elle se situe à deux kilomètres et c’est bien sûr à pied que Janine et ses copines effectuent le trajet quatre fois par jour !

Tout se passe bien pour Janine à l’école : d’abord, elle obtient le certificat d’études, puis, ce sera le brevet.

 

 

Janine se sent bien à la résidence, elle compte y rester longtemps !

 

Ensuite, Janine tombe malade : elle doit interrompre durant deux ans son parcours scolaire. Alors que faire ? Non, Janine ne veut pas travailler avec ses parents comme maraîchère, ni reprendre l’exploitation, alors elle suit des cours de « commercial ». Aussi, elle travaille en étude notariale plusieurs années et c’est en prenant le train quotidiennement qu’elle rencontre Gérard, son futur mari !

Deux enfants naissent de cette union : Alain, puis Martine. Janine continue son métier et gère sa petite famille. Les années passent, c’est le temps de la retraite. Pour se rapprocher de ses enfants, le couple quitte la région parisienne. Il intègre la résidence Jasmin le 17 novembre 2012.

Aujourd’hui, Gérard n’est plus de ce monde mais Janine reste alerte, marche avec ou sans canne, lit énormément, regarde la télévision, mange au restaurant de l’établissement tous les midis, arrose ses fleurs… Oui, Janine se sent bien ici et compte bien y rester encore longtemps !

Ce serait le plus beau des cadeaux qu’elle pourrait faire à toutes celles et ceux qui l’aiment et qui l’entourent de leur affection…

 

Thierry BRET

 

 


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Peut-être que ce dossier, si brûlant mais tellement peu médiatique à l’instar de l’abaya, finira-t-il par arriver un jour sur le bureau du nouveau ministre de l’Education nationale, Gabriel ATTAL afin qu’il se penche mieux dessus ? Ou peut-être pas, d’ailleurs, car bloqué par l’un des services nébuleux de la tentaculaire maison que même le sémillant et dithyrambique Claude ALLEGRE jadis sous l’ère mitterrandienne ne put se résoudre à dégraisser. On appelait alors cela, le « mammouth » !

En tout cas, le ras-le-bol se généralise à peu près partout en France, et pas uniquement par la voix des syndicalistes purs et durs de la corporation de la filière pédagogique. Trop, c’est trop ! Tant pour le corps enseignant que chez les élèves qui ne supportent plus d’être entassés, que dis-je, parqués à l’échelle de 35, 36, 37 ou 38 unités comme des troupeaux de ruminants que l’on mènerait à l’étable (pour ne pas dire à l’abattoir de l’absence de savoir !) dans ces classes si petites et inappropriées qu’elles ne peuvent même plus les accueillir.

Ne parlons pas des familles qui se font un sang d’encre à chaque retour le soir à la maison de leur progéniture désabusée qui ne cesse de s’épandre en jérémiades bien légitimes contre un système éducatif qui ne tourne vraiment pas bien rond dans ce pays. Cocorico, sur ce domaine, la France demeure et de très loin championne du monde…  

 

 

Exit l’épanouissement et l’enrichissement des connaissances à plus de trente élèves

 

Le fléau touche principalement les lycées de France et de Navarre. Alors que les collèges sont à peu près épargnés par cet engorgement inéluctable de potaches qui arrivent en très grand nombre dès les classes de secondes. La faute à la courbe démographique ?

A titre d’exemple caractéristique, on recense tout de même la bagatelle de 23 de ces secondes aux classes surchargées au possible ne serait-ce que dans l’un des lycées phares de la Bourgogne Franche-Comté, celui de Sens – l’un des plus importants en nombre -, qui accueille bon an mal an près de trois mille scolaires en ces murs !

Comment, mais il faudra sans aucun doute poser la question directement au ministre lui-même lors de son premier déplacement dans notre contrée, peut-on décemment penser, travailler, étudier, réfléchir et s’épanouir ainsi que se perfectionner au contact de ses professeurs dans des classes de seconde, de première ou de terminale qui accueillent plus de trente gamins à minima !?

Le regretté humoriste Robert LAMOUREUX l’avait écrit un jour dans le cadre d’un scénario pour l’une de ses pièces triomphales, « Impossible n’est pas Français ! ». Malheureusement, il faut pourtant croire que si !

 

 

La norme idéale se situe à 26/28 élèves par classe

 

La problématique de ces classes de cours hyper bondées et totalement inaptes à l’exercice du métier d’enseignant ne date pourtant pas d’aujourd’hui. En 1978, à titre personnel, je fréquentai une classe de seconde dans un lycée public de la Bourgogne du Sud qui accueillait déjà la somme de…38 élèves ! Chose positive au demeurant, nous n’étions que cinq garçons pour un reliquat très confortable de trente-trois filles, l’année de rêve en somme !

Blague à part, il semble illogique et anormal que 45 ans après cet état de fait qui était déjà décrié par tout ce qui comptait de syndicalistes, d’élèves et de parents à l’époque, voire de politiques, rien ne semble avoir changé d’un iota dans le monde de l’Education nationale à ce propos.

Pourquoi des classes sont-elles toujours aussi surchargées en France ? Alors que la norme prescrite par les recommandations étatiques situe à 26/28 élèves le nombre idéal de jeunes filles et de jeunes hommes à accueillir dans les lycées pour parfaire leurs connaissances intellectuelles en toute sérénité.

Comment, peut-on effet suivre des cours de physique/chimie ou de sciences naturelles,  dans des espaces ressemblant à des laboratoires avec tout leur attirail en termes d’équipement si précisément il n’y a pas assez de postes de travail avec les outils adéquats permettant aux élèves de suivre un cours convenablement et de pratiquer dans le même temps les exercices indiqués par le professeur ?

 

 

Même le saint patron des enseignants brûle des cierges pour que cela change !

 

Comment apprendre et comprendre une langue étrangère en la parlant le plus possible avec son enseignant ? Et ne pas suivre bêtement un cours magistral où la malheureuse professeure d’anglais aura bien du mal à intéresser et à échanger oralement avec sa quarantaine d’élèves en soixante minutes ?

Cela ne surprend personne quand on dit que les Français s’expriment dans la langue de Shakespeare comme une vache espagnole ! Mais, la réciproque est tout à fait la même dans la langue de Cervantès ou de Goethe !

On ne rit pas : cela arrive tous les jours dans les lycées de France, au grand dam des élèves et des enseignants qui ne savent plus à quels saints se vouer ! Même Saint-Jean-Baptiste-de-la Salle, patron des enseignants, a déposé il y a bien longtemps les armes devant un tel chaos orchestré de main de maître depuis tant de décennies par une technocratie aveugle et sourde aux changements…

Comment peut-on accueillir dans un minimum de respect et de conscience, voire de qualité alimentaire optimale – de cela, c’est autre débat ! -, des jeunes lycéens à la cantine lorsque l’établissement nourricier ne peut contenir tout le monde dans ses murs au même instant ?

Là où il est prévu 800 places (ce qui n’est déjà pas rien !), ce sont 1 200 gamins qui déboulent simultanément sur le coup de midi pour une heure de pause alimentaire bien méritée ! On imagine le désarroi du personnel face à une telle meute de garnements affamés et pressés de trouver la place idoine afin de se sustenter ! Pas sûr, qu’il y ait du rab pour tout le monde au fond de l’assiette !

Voilà donc, en cette période de rentrée, du grain à moudre pour le nouveau ministre de l’Education nationale qui veut marquer de son empreinte son passage à l’hôtel de Rochechouart, qui comme chacun ne le sait pas, accueille son ministère ! Bonne rentrée, Monsieur le ministre, et surtout ne vous y méprenez pas : « tout ne va pas très bien Madame la Marquise, dans le monde de l’Education nationale ! ».

 

Thierry BRET

 

 


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Bien joué ! Le colonel du SDIS 89, Sébastien BERTAU, sur le fil du rasoir, a su reprendre la balle au bond, au moment où le gong final allait clore le séminaire de rentrée du MEDEF de l’Yonne, consacré aux femmes cheffes d’entreprises. « Il a osé » prendre la parole à l’ultime minute de la manifestation pour inciter la gent féminine à postuler auprès des services départementaux des sapeurs-pompiers. Logique : la filière ouvre ses portes à la féminisation de ses personnels…

 

AUXERRE: Pro de la communication, le colonel Sébastien BERTAU, directeur du service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne ? Assurément, oui ! Le patron des sapeurs-pompiers de l’Yonne a profité de la toute dernière minute de la manifestation du jour, le colloque de rentrée du MEDEF 89 consacré aux femmes cheffes d’entreprises, pour évoquer devant un auditoire en très large majorité de femmes les besoins de féminisation de la structure.

A date, 21 % des sapeurs-pompiers sont issus des rangs de la gent féminine en France (et encore, il y a beaucoup de personnels infirmiers). Or, le responsable du SDIS de l’Yonne aimerait accroître cette tendance ; son message aura été on ne peut plus clair : « osez Mesdames, devenir lieutenant ou capitaine des sapeurs-pompiers ! ».

Sachant que des conventions de partenariat ont été initiées – et elles le sont toujours ! – entre le SDIS et les entreprises du cru dans le cadre d’un plan de développement territorial, sur le registre du volontariat, pour renforcer aussi les rangs des sapeurs-pompiers volontaires. Où les femmes sont admises, bien évidemment !

Malin, le colonel aura rappelé à bon escient que chez les fonctionnaires, l’égalité était parfaite en matière de salaires ! On n’est donc bien loin de ce qui pratique habituellement dans le privé !

Prochainement, le SDIS de l’Yonne s’enrichira du savoir-faire d’une jeune femme, titulaire d’un master de droit et gestion, un apport très appréciable pour le territoire…

 

Thierry BRET

 


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En marge de la conférence de presse consacrée à la rentrée des collégiens de l’Yonne ce mardi, le Conseil départemental qui possède les compétences légitimes sur le sujet explore la possibilité de créer, tôt ou tard, un campus éducatif dans la localité de Puisaye. Projet novateur pour notre territoire, celui-ci s’inspirerait de ce qui se pratique avec réussite dans l’Eure, où à Mesnil-en-Ouche, ce complexe offre un environnement propice aux études, tout en mutualisant les coûts…

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Et pourquoi pas la mutualisation ? Le plus souvent synonyme de rationalisation financière dans bien des cas. L’idée fait plus que son chemin du côté de la Puisaye, puisque les études liées à la création d’un nouveau concept expérimental en matière de concentration scolaire ont débuté. Une information qui a été donnée par le premier vice-président du Département, le maire de Pont-sur-Yonne, Grégory DORTE, lors de la conférence de presse, inhérente à la rentrée des collèges 2023.

Créer un campus éducatif dans l’agglomération de Puisaye n’a rien d’un poisson d’avril ! D’autant que le concept existe déjà et que les services du Conseil départemental de l’Yonne s’y sont penchés en l’examinant de près, dans la commune de Mesnil-en-Ouche, située dans le département de l’Eure, en Normandie.

De l’aveu même de Grégory DORTE – peut-être l’a-t-il découvert de visu lors d’un déplacement ? – cette infrastructure fonctionne très bien. De quoi s’agit-il précisément ? Du regroupement sur un même lieu (le même bâtiment aussi après qu’il ait subi des modifications usuelles) d’une école maternelle, élémentaire, primaire et…collège ! Du quatre en un, en vérité !

 

Un concept élaboré en « bonne intelligence »

 

Accueillant environ 260 élèves dont une trentaine d’internes (on peut y adosser effectivement un internat), le nouveau campus de la localité normande fait déjà office de référence dans le landerneau pédagogique hexagonal. Un projet qui a vu le jour il y a peu, ayant reçu la bénédiction urbi et orbi du Conseil départemental de l’Eure, de l’Académie de Normandie et de la commune d’accueil.

Autant dire que les mêmes ingrédients pourraient se décliner à l’avenir dans l’Yonne, si le bilan des études en cours se révélait positif à la conceptualisation du projet.

Elaboré en « bonne intelligence », la réalisation si elle voyait le jour nécessiterait une enveloppe budgétaire d’environ 8 à 10 millions d’euros pour construire et aménager ce complexe dans la localité de Puisaye. Une déclinaison qui pourrait ensuite s’exporter vers d’autres sites pédagogiques de la ruralité, à l’instar d’Ancy-le-Franc.

Ambitieux, le projet repose sur la réussite scolaire des élèves : le leitmotiv de la gouvernance départementale, assumée par son président Patrick GENDRAUD.

En filigrane, regrouper sur un seul et unique complexe pédagogique les jeunes apprenants serait également favorable à la maîtrise des coûts et à la réduction des dépenses. Le nerf de la guerre de toute institution par les temps qui courent !

Une piste qui n’est donc pas à négliger au Conseil départemental…

 

Thierry BRET

 


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