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L’endroit se nomme « La Côte de l’Etang ». C’est un coteau de 25 hectares, surplombant la vallée de la Cure. Il se compose de fourrés, de forêts et de pelouses calcaires. Depuis son sommet, on y jouit d’une vision remarquable sur l’architecture du village, implanté en contrebas. De l’avis des exégètes, le dépaysement y est total. Une impression de se mouvoir dans un petit « causse » atypique. C’est ici qu’a été labellisé le premier Espace Naturel Sensible (ENS) de l’Yonne…

 

VOUTENAY-SUR-CURE : Voilà un patrimoine naturel presque à couper le souffle. Un lieu à parcourir mille fois pour en mémoriser chacun de ses aspects. Entre une végétation rase qui n’est pas sans rappeler celle qui borde la Méditerranée et ces plantes qui profitent des rayons salvateurs d’un chaud soleil l’été revenu. Ici, les espèces prolifèrent à merveille. Parce que les conditions particulières facilitant le déploiement de la vie y sont bien présentes. Entre quiétude et parfaite sérénité.

Une aubaine pour celles et ceux qui aiment Dame Nature. La protègent. L’estiment dans le moindre recoin du paysage.

La flore offre ses particularismes. Les spécialistes y suivent leurs plantes vedettes. A l’instar du liseron des monts Cantabriques (une région ibérique) ou encore cette trinie glauque qui y poussent avec aisance. La faune, de son côté, se porte bien ! Plusieurs espèces protégées ont été répertoriées sur ce site aujourd’hui labellisé. Des oiseaux comme l’alouette lulu, le pouillot de Bonelli ou le circaète viennent s’y alimenter. Des variétés de papillons diurnes s’y développent en abondance.

 

 

Un partenaire légitime à l’accompagnement de ce projet : le CENB…

 

L’homme est également présent sur ce plateau qui lui est pourtant austère. Par son action plus que par sa représentation physique. Grâce à un agriculteur, partenaire de l’opération de sauvegarde de cet espace naturel, qui y fait paître une vingtaine de brebis. Une manière écologique et fortement nourricière pour les ovins d’entretenir depuis 2020 et dans le cadre d’un contrat NATURA 2000 une partie de ces pelouses où le calcaire est à fleur de peau.

Depuis peu, le lieu est porteur d’un label. ENS : traduction de l’acronyme, Espace Naturel Sensible. Une certification dont sont signataires le Conseil départemental de l’Yonne par la main de son président Patrick GENDRAUD, la mairie de Voutenay-sur-Cure (Didier SWIATKOWSKI, premier des élus) et évidemment, le Conservatoire d’Espaces Naturels de Bourgogne.

Un choix délibérément acté par le Département qui l’a inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de son Schéma des espaces naturels sensibles en mars 2017. Le partenaire idoine devant accompagner l’organe institutionnel dans cette démarche n’est autre que le Conservatoire d’espaces naturels de Bourgogne. Mais, d’autres structures compétentes évoluant sur le territoire de l’Yonne ont été consultées. C’est le cas du Conservatoire Botanique National du Bassin Parisien ainsi que la Société d’histoire naturelle d’Autun, en Saône-et-Loire.

 

 

Un site qui va intégrer le futur réseau des ESN...

 

En voulant s’engager sur ce site, le Département et ses partenaires souhaitent peser sur la préservation de l’espace naturel. La maîtrise foncière du site est assurée pour un tiers par la commune de Voutenay, 20 % par le Conservatoire d’Espaces naturels de Bourgogne (CENB) et le reste par des propriétaires privés.

A noter que le Département est en cours d’acquisition d’une parcelle d’environ un hectare dans le périmètre de labellisation du site.

Munie de son sésame, « La Côte de l’Etang » intègrera le futur réseau des espaces naturels sensibles de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 


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Tout le monde veut écrire, c’est sans doute une bonne chose. Mais, nous sommes de moins en moins nombreux à lire des livres. Les librairies diminuent à cause des tablettes. La concurrence des ventes par correspondance s’est accélérée avec la pandémie. L’e-book progresse : en 2019, le livre numérique intéressait 5 % des Français avec 2,3 millions d’exemplaires vendus contre 29 millions de livres papier. Les maisons d’édition souffrent : librairies temporairement fermées, séances de dédicaces en berne et pas d’aide particulière de l’Etat…

 

TRIBUNE : Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir raconter notre histoire (conséquences d’une société narcissique ?). Pour ceux qui souhaitent faire appel à un « porte-plume », donc utiliser une main d’œuvre extérieure, il faut compter sur un budget de 60 euros de l’heure ou en moyenne sur une somme de 3 000 euros. La volonté de transmettre l’histoire familiale n’intéressera que la famille des personnes concernées…Mais pourquoi pas ?

Pour les écrivains en mal d’éditeur, on peut conseiller de cibler, lorsque c’est possible, les spécialités de la société d’édition : policier, histoire, poésie…

Face à la pléthore d’éditeurs possibles, souvent les novices procèdent au hasard en utilisant un moteur de recherches sur Internet. Conforme à la moyenne européenne, la France compte près de 10 000 éditeurs. Dans le trio des plus importantes citons : Gallimard, Flammarion et Milan.

Si la plus ancienne maison d’édition est « Hachette » (1826) pour la France, soulignons que l’une des plus vieilles de la planète, c’est la « Cambridge University Press »  née en 1534 en Angleterre ! Il n’est guère étonnant que Cambridge soit l’une des meilleures universités de la planète !

 

Le parcours du combattant selon les différentes éditions…

 

Il existe trois types d'éditions en France : l'édition à compte d'éditeur est la plus connue et la plus sollicitée. L’éditeur accepte votre manuscrit et prend à sa charge tous les frais. Parfois, il peut même verser une avance avant même d’avoir reçu le manuscrit ! C’est le nirvana pour un auteur…

Publié chez « Michel Lafon », mon ouvrage « Tous les banquiers ne finissent pas en prison…Moi c’était dans la rue » a pu bénéficier de cette situation avantageuse. Pour la promotion de l’ouvrage trois attachées de presse : une pour le plan média national, une pour le régional et une autre qui partait à la recherche d’un producteur de cinéma ! Résultat après de nombreuses télés, radios nationales, journaux quotidiens, magasines, dédicaces rencontres dans de grandes librairies : plus de 6 000 exemplaires se sont vendus.

Sans médiatisation, les ventes vont être difficiles. Dans ce cas, il faut viser les médias régionaux, journaux, radios locales…

L'autoédition se répand à vitesse grand V. L’auteur s’occupe de tout (impression, diffusion, promotion…). C’est la certitude d’être édité mais les contraintes découragent souvent les velléitaires de l’écriture !

Et enfin, l'édition à compte d'auteur/ Elle est souvent confondue à tort avec la première, pour le plus grand désarroi des jeunes auteurs. L'édition à compte d'auteur consiste pour un auteur, à faire éditer ses ouvrages par un éditeur qui assure seulement la partie technique de l'édition et de la diffusion, en dehors du choix éditorial proprement dit.

C'est donc l'auteur qui paie les frais d'impression et de publicité de son livre. Certains éditeurs proposent de prendre en charge l’impression : on imprime qu’à la demande et de fait, l’auteur ne fait aucune avance. On peut donc aujourd’hui éditer sans bourse déliée. Attention aux éditeurs peu scrupuleux, aux annonces alléchantes « éditer gratuitement votre ouvrage, réponse assurée sous quinze jours ». Retenez que certains éditeurs ne répondent jamais, que d’autres demandent une participation de 800 ou 1 000 euros pour la correction des textes, en arguant du fait que la diffusion est impossible sans la participation d’un correcteur agréé. Argument fallacieux à plus d’un titre : il n’existe pas de correcteurs agréés, pas plus que d’impossibilité de diffusion, si ledit correcteur n’intervient pas. Restez vigilant, si c’est gratuit cela doit l’être jusqu’au bout ! 

 

 

Censure et chausse-trappes à tous les étages…

 

Au cours de ma carrière d’écrivain, j’ai eu le privilège d’éditer deux autobiographies à compte d’éditeur,  un recueil de poésies comme auto éditeur et une dizaine de recueils de poésie à compte d’auteur chez quelques sociétés d’édition.

Lorsque je souhaite une couverture personnalisée, je règle aujourd’hui une centaine d’euros, mais ce n’est pas imposé par mon éditeur. Tous les autres services proposés par l’éditeur, et payants, sont souvent inutiles : référencement sur des sites, invitation dans des « salons du livre ». Les « salons du livre » sont à votre charge (emplacement, hébergement, transport…) et ne concernent que les vedettes locales.

La majorité des auteurs présents ne sont que les faire-valoir des invités vedettes ! Pour la promotion, notons l’intérêt des réseaux sociaux, les contacts directs avec les correspondants de presse des journaux locaux, les radios locales.

Depuis plus de dix ans, Radio Avallon m’a toujours accordé des interviews lors de la publication de mes ouvrages ! Il est important de rédiger un texte de présentation et un CV personnalisé qui montre vos motivations pour sortir le livre. Une dernière précision : très récemment, je me suis vu refusé mon dernier manuscrit par quelques maisons d’éditions.

Mes poèmes constituent des pamphlets tournés contre le pouvoir, les ministres et notre président. Rien de méchant mais une forme de journal traitant nos élus à la manière des « chansonniers » d’hier. Souhaitant quelques précisions j’ai obtenu les précisions suivantes : « impossible d’éditer ce texte, trop engagé », « nous ne voulons pas de problèmes », « cela peut choquer certains de nos auteurs ou de nos lecteurs »…

Cerise sur le gâteau : « Il n’y a plus de liberté d’opinion aujourd’hui » et « allez chez Amazon, ils éditent n’importe qui » ! C’est sans doute cela la gloire du poète, se faire rejeter comme Eric ZEMMOUR et ultime consécration,  le poète embastillé pour propos inconvenants !

Madame « Anastasie », bonjour ! On pourrait dire anesthésie ! Retenons que l’origine grecque d’« Anastasie », c’est « résurrection » : la liberté ne meurt jamais. Pour les plus jeunes d’entre nous, « Anastasie », c’est le nom donné à la censure en France dès 1914 !

Tout le monde peut écrire et se faire publier à peu de frais, mais restons prudents, si la poésie et la dramaturgie font partie des arts majeurs, tout le monde ne pourra pas signer es qualité « artiste ».

La publication à la portée de chacun de nous, c’est sans nul doute une bonne chose offerte par le monde moderne. Attention, il faut beaucoup de travail : écrire, réécrire, corriger au moins cinq ou fois le texte, se faire corriger par un ou plusieurs amis ou membres de la famille.

Mon expérience : je me relis au moins une fois oralement, cela me permet de relever certaines erreurs, et lorsque je trouve que mon travail ne vaut rien et que c’est à vomir, là, j’arrête tout et il est temps d’envoyer le manuscrit à un éditeur ! « Sans travail, le talent n’est qu’une sale manie ». Georges Brassens.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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La sixième édition de la Journée des Restaurateurs et des Commerçants Indépendants a été organisée chez METRO. Plusieurs personnalités dont la députée Michèle CROUZET y participaient. Répondant ainsi à l’invitation de Philippe BULANT, le directeur de l’enseigne, qui proposa un rendez-vous placé sous le signe de la fête des papilles et de l'enchantement…

 

AUXERRE : Ce fut un déjeuner de partenariat servi au restaurant éphémère, installé de toute pièce chez METRO. Et quel déjeuner ! Un vrai menu gastronomique, confectionné par l’un des maîtres étoilés du Michelin dans l’Yonne : Franco BOWANEE.

Le chef du Château de Vault-de-Lugny a su faire rayonner au fond des assiettes des produits de saison, agrémentés à ses recettes culinaires.

« C'était une très belle journée, une très belle initiative », commenta ravie Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription, présente en ce rendez-vous des plus agréables.

METRO et toute son équipe avaient mis en effet les petits plats dans les grands pour faire de cet instant exceptionnel, un moment inoubliable placé sous l'entente chaleureuse, conviviale et constructive.

L’enseigne a honoré les restaurateurs et commerçants de l’Yonne qui ont su se mobiliser durant les périodes difficiles de ces confinements successifs imputables à la crise sanitaire. Ce sont ces mêmes restaurateurs qui se sont démenés, en essayant d'innover, de construire des stratégies économiques pour ne pas perdre courage face aux aléas conjoncturels. Ils ont eu la volonté de continuer à distribuer des repas, sans pour autant rentrer en concurrence avec les producteurs locaux.

 

 

 

De son côté, le directeur de METRO Auxerre, Philippe BULANT, a mis en place une stratégie s’appuyant sur la création d'un marché d'intérêt local en vue de favoriser la présentation et l'essor des produits de saison. Le but étant de redynamiser la filière des producteurs locaux, agriculteurs, céréaliers, maraîchers certifiés bio...

Cette vitrine locale est encouragée par des centres de formation professionnelle à l’instar du CIFA ou de l'IFAG, d’organisations patronales dont le MEDEF, des établissements spécialisés dans la confection de produits alimentaires du cru comme « Le BORVO » ou les « FESTINS » de Bourgogne.

On notait aussi la présence de Géraldine HERQIX, de la gérante de la pizzéria « SHACKNP (La Cabane à pizza) à Vincelles où ses produits sont concoctées avec du fromage de chèvre venant de la chèvrerie  de Saint-Bris-le-Vineux ou des légumes de la Ferme de Saint-Georges.

Acteur économique incontestable au cœur de la filière des métiers de bouche, METRO se positionne sur cette dynamique de valorisation des produits de saison, prenant en compte la qualité nutritionnelle de notre alimentation. Un item qui titille positivement aux oreilles de Michèle CROUZET puisque la parlementaire a présenté différents travaux sur cet item dans le cadre de la commission d’enquête sur l’alimentation au Palais Bourbon.

 

Merouan MOKADDEM

 

 

 


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Issu du plan « 1 Jeune 1 Solution », le Contrat Initiative Emploi (CIE) offre l’opportunité à un salarié de moins de 26 ans (ou à un travailleur handicapé de moins de 30 ans) de bénéficier d’une formation aux pratiques d’une entreprise évoluant sur le secteur non marchand. Le PEC (Parcours Emploi Compétence) repose un triple volet emploi-formation-accompagnement, avec l’inclusion durable vers l’emploi des personnes les plus éloignées du travail. Trois de ces contrats ont vu le jour à Avallon la semaine dernière.

 

AVALLON : Timide, la jeune femme s’exprime devant l’assistance. Prenant sur soi pour raconter dans les moindres détails un parcours plutôt erratique, semé d’embûches, au niveau professionnel. Son jeune âge, elle n’a que 17 ans, n’explique peut-être pas tout. En choisissant de s’orienter vers des formations ou métiers dominés pour l’essentiel par la gent masculine, nécessitant une bonne condition physique, ses tentatives de s’insérer dans le monde professionnel se sont soldées par des échecs répétitifs.

Cuisante réalité de l’existence pour cette jeune femme. Pourtant, Marie POUPEE n’a jamais perdu espoir. C’est en discutant avec une conseillère de la Mission Locale d’Avallon, à laquelle elle avait remis son cursus, que la lumière s’est faite au grand jour dans sa vie.

Cette dernière lui propose un emploi en maçonnerie du fait de son sérieux, son engagement et sa motivation observé tout au long du parcours. La jeune fille est en effet l’une des signataires de ce fameux Contrat Initiative Emploi (CIE). Son employeur témoigne. Faisant part de ses difficultés à recruter pour son entreprise, et plus globalement dans le secteur du bâtiment. Un segment de l’économie dont les carnets de commandes regorgent cependant. Mais, où la main d’œuvre peine à se manifester.

 

Accompagner, former, acquérir : un triptyque efficace…

 

Nonobstant, le dirigeant de la société PRESTIGE Construction (une entité spécialisée dans la construction et la rénovation dont le siège est situé à Montillot) M. FERREIRA exprime sa volonté à accueillir des jeunes gens très motivés par le travail, de les former, de les accompagner et de leur permettre d’acquérir les compétences requises en vue de s’insérer dans le monde professionnel.

Un témoignage qui fait chaud au cœur. Il prouve sans ambages du bien-fondé de ce dispositif qui a été au centre des intérêts, une fois le petit déjeuner des employeurs terminé.

Rappelons que cette agape matinale se veut être une réunion d’échanges constructifs avec des entreprises du territoire, des organismes de formation, des structures d’insertion, la Mission Locale et Pôle Emploi. Objectif de ces retrouvailles régulières : aborder les problématiques du territoire dans l’optique de pouvoir travailler ensemble avec les services de l’Etat afin de proposer des préconisations utiles.

Assistaient à cette réunion matinale la Mission Locale, la DDETSPP, mais aussi la sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon, Cécile RACKETTE qui suit avec pugnacité les dossiers traitant de l’emploi et de l’insertion des jeunes. On notait aussi la présence de Jamilah HABSAOUI, maire d’Avallon.

 

 

La motivation de deux jeunes filles décidées !

 

Dans un second temps, la représentante de l’Etat s’intéresse à l’association ATOME. La structure a signé un contrat PEC (Parcours Emploi Compétence) en secteur non marchand avec une jeune fille âgée de 18 ans, Célia PAULA.

But de la manœuvre : privilégier le recrutement de néophytes dans la filière de l’aide à domicile, pan de l’économie qui ne trouve pas toujours aisément des salariés auprès des plus jeunes. Logique, il existe une noria de freins à l’emploi dont le permis de conduire, les conditions de travail, l’image du métier et la rémunération.

Célia explique avant de déposer sa griffe au bas du document qu’elle a toujours été attirée par le métier de l'aide à domicile. Elle a accompagné sa grand-mère dans une maison de retraite. Un déclic personnel qui s’est mué en une formation suivie au GRETA d’Avallon.

« J’ai obtenu mon diplôme d'auxiliaire de vie en juillet 2021, ajoute-t-elle ravie.

Un sésame qui lui aura permis d'être orientée par la Mission Locale auprès de l'association ATOME. Celle-ci lui ayant proposé un contrat de travail dans le cadre du PEC.

Au travers de ces deux parcours qui ont illustré cette cérémonie de signature, ce sont les motivations des deux jeunes filles qui demeurent. Malgré les difficultés, elles ont toujours continué à persévérer en cherchant des formations puis en cherchant un emploi par l'intermédiaire de la Mission Locale de Tonnerre-Avallon, qui a fait un travail remarquable d'accompagnement et de ciblage du besoin des entreprises. Présentant les profils adéquats de jeunes gens motivés aux employeurs.

« C’est également le pari et l'engagement d'entreprises ou association qui font confiance à des jeunes pour leur offrir une opportunité de s'insérer dans la vie professionnelle à travers des contrats aidés par l'Etat dans le cadre du Plan 1 Jeune 1 Solution, devait ajouter la sous-préfète Cécile RACKETTE.

 

 

En savoir plus :

Le Contrat Initiative Emploi (CIE) est un dispositif issu du plan « 1 Jeune 1 Solution » à destination du secteur non marchand dont l’objectif est de former un salarié aux méthodes pratiques, de lui transmettre un savoir faire et  de l’aider à s’insérer professionnellement. Il concerne les jeunes de moins de 26 ans ou un jeune reconnu travailleur handicapé de moins de 30 ans.
Chaque mois une aide à l’insertion professionnelle est versée par l’État de 47 % du Smic horaire brut, soit le maximum légal.
De plus, l’entreprise est exonérée des cotisations patronales (dans la limite du Smic), de la taxe sur les salaires, de la taxe d’apprentissage, des participations dues au titre de l’effort de construction,  des indemnités de fin de contrat pour un CDD.
Le contrat de travail peut être soit un CDD d’une durée minimale de 6 mois renouvelable dans la limite de 24 mois ou un CDI pour une durée hebdomadaire d’au moins 20 heures payées au Smic.)

Le PEC repose sur le triptyque emploi-formation-accompagnement: un emploi permettant de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un accompagnement tout au long du parcours tant par l’employeur que par le service public de l’emploi, avec pour objectif l’inclusion durable dans l’emploi des personnes les plus éloignées du marché du travail.

Dans le cadre du parcours emploi compétences, les employeurs peuvent bénéficier d’une aide mensuelle à l’insertion professionnelle versée par l’État d’un montant de 30 % du SMIC horaire brut. 
Pour ce qui est des PEC jeunes le montant de l’aide est de 60 % avec une majoration à 85 % en cas de recrutement d’un jeune issu d’un QPV (Quartier Politique de la Ville) ou d’une ZRR (Zone de Revitalisation Rurale).

Thierry BRET

 


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Les vacances. Un thème cher aux français, déclinable à souhait pour les personnes âgées. Logique : elles ne sont plus soumises aux sempiternelles contraintes imposées par la loi du travail. Alors, forcément, le sujet est fédérateur et ne peut que séduire l’assistance. D’ailleurs, la thématique a été largement exploitée lors de ce 4ème salon, concocté par le Département. Avec un invité qui a coiffé sa casquette de parrain : Philippe CANDELORO.

 

AUXERRE : Colliers à fleurs à la tahitienne autour du cou, l’un après l’autre, les élus du Conseil départemental de l’Yonne gagnent le centre de l’estrade, le temps des allocutions officielles. Et de poser pour la photo de famille !

Parmi eux, quelques personnes étrangères au sérail politique. Dont le nouveau délégué départemental de l’Agence régionale de Santé (ARS), Yann de KERGUENEC. Déjà aperçu il y a quelques jours lors de l’inauguration de la clinique de Régennes à Appoigny.

Ce dernier prend ses marques petit à petit sur son nouveau territoire de prédilection : l’Yonne. Il y découvre les fastes et les typicités de l’un des premiers évènements de la saison : le Salon des Seniors. Quatrième de rang. Un concept évènementiel informatif, géré conjointement par le service communication du Département et Centre France Parc Expo.

 

 

L’empathie des « Cheveux d’argent » pour ce rendez-vous…

 

Non loin de lui, et pour l’heure en proie à une très grande discrétion, Philippe CANDELORO. Une figure. « LA » figure du patinage artistique dans sa version moderne. Il est si loin le temps d’Alain CALMAT. Champion du monde et médaillé d’argent aux Jeux Olympiques d’Innsbruck en 1964. Qui fut aussi ministre de la Jeunesse et des Sports sous l’ère Mitterrand. Autre temps, autre époque. Un chemin vers lequel le partenaire audiovisuel de l’inénarrable Nelson MONTFORT qui écoute posément les discours envisage d’emprunter un jour ?

Pendant ce temps, Sébastien FUENTES, directeur de Centre France Parc Expo, filiale quasi éponyme du groupe de presse régional,  rappelle les raisons d’être de ce rendez-vous qui nous revient tous les ans dès l’automne.

Une manifestation accueillie avec empathie par celles et ceux de la population qui possèdent déjà des cheveux blancs. Les « cheveux d’argent », selon la formule élégante du terme pour désigner les seniors. Celles et ceux qui sont âgés de plus de 45 ans selon les codes officiels de l’INSEE.

 

 

 

Pour autant, l’édition 2021 de ce rendez-vous pluriculturel n’engendre pas la mélancolie. Le public est présent et c’est une bonne chose après de si longs mois de privation. En nombre. Massé derrière les barrières pour apercevoir et échanger quelques mots lors d’une séance de dédicaces avec l’ancien sportif de très haut niveau reconvertit depuis en animateur de télévision.

A son palmarès : « Danse avec les Stars » où le double médaillé de bronze olympique de Lillehammmer (1994) et de Nagano, quatre ans plus tard, a excellé avec sa partenaire en matière de chorégraphie.

Mais, pour l’heure, ce sont les vacances qui occupent la vedette. Normal, c’est le thème fédérateur qui a été choisi par l’organisation pour positionner leur projet. Des vacances que les retraités apprécient tout particulièrement en fonction de leur emploi du temps allégé.

 

 

« Nous n’avons pas à rougir de notre politique senior dans l’Yonne »…

 

Quatre-vingt professionnels répartis selon huit univers thématisés bénéficieront de ces deux journées d’exposition pour évoquer le meilleur de leurs opportunités. Démonstrations à l’appui. Via leurs services et produits. Carnets de commande dans la poche ! On ne sait jamais : un salon justifie aussi son existence pour les bonnes affaires que l’on peut aussi y réaliser.

Astucieusement, comme le fera remarquer lors de sa prise de parole Patrick GENDRAUD, le salon a ouvert ses portes un premier octobre. A la date de la Journée internationale des personnes âgées !

« Nous sommes leurs héritiers. Ils ont bâti notre monde. C’est-à-dire cette société moderne dans laquelle nous vivons. Il me semble que nous leur devons plus qu'un simple respect. C'est en tout cas ce que je pense en tant que président du Conseil départemental de l'Yonne. Mes collègues le partagent, j'en suis persuadé...confiera le patron de l’exécutif.

Il est vrai que le Département exerce une politique des plus dynamiques à destination des aînés. Une politique qui agit pour l'autonomie. Une politique qui privilégie le maintien à domicile. Une politique structurée au cœur du schéma départemental de l'autonomie. Applicable dans le cadre d’un schéma directeur, fruit d'une concertation avec l'ensemble des partenaires de la politique autonomie sur le territoire.

Et le président d’en évoquer les grandes lignes à travers une noria d’objectifs.

« Il est question de préserver l'autonomie des personnes âgées et ou en situation de handicap en développant la prévention, en favorisant le maintien à domicile tant que faire se peut, de conforter la qualité de l'accueil en établissement et diversifier l'offre en valeur de fluidité des parcours de vie et de l'inclusion. Il est de notre devoir de renforcer encore l'attractivité des métiers du grand âge et ou du handicap et d’accompagner enfin la professionnalisation. Cette politique, nous n'avons pas à rougir. Et si, comme j'ai coutume de dire, si tout est perfectible, bien vieillir dans l'Yonne, c'est possible ! ».

Au vu des mines réjouies qui assistent à la célébration parmi l’assistance, on se dit que c’est la réalité. Les seniors sont heureux de prendre le temps de vivre et d’arpenter en toute quiétude les allées bien garnies du grand espace d’AUXERREXPO pour y glaner des renseignements utiles. Opération réussie pour les organisateurs !

 

Thierry BRET

 


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