Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Il ne faudra pas trop faire rêver les automobilistes. Même si 95 % des personnes ayant répondu favorablement à la grande consultation du Conseil départemental de l’Yonne va dans ce sens. Seuls 500 kilomètres, la portion congrue sur les près de cinq mille kilomètres d’asphalte gérés par l’organe institutionnel, pourraient retrouver au cours du second semestre sa vitesse originelle à 90 km/h. Une décision assortie à un vote majoritaire obtenu dans l’hémicycle le 11 février prochain…

 

AUXERRE : Celles et ceux qui croyaient pouvoir circuler à 90 km/h sur l’ensemble du réseau routier de l’Yonne devront modérer quelque peu leurs ardeurs lorsqu’ils prendront le volant ! Car, si le sondage effectué par l’organe institutionnel départemental auprès des Icaunais revient favorable à 95 % à cette prise de décision, qui va certes dans le bon sens, il faut être nettement plus nuancé quant aux conséquences futures de ce projet et à son mode opératoire applicatif.

Proposée en décembre dernier, cette enquête auprès du grand public sur l’hypothétique retour en grâce de ladite vitesse (celle qui servait de référence d’avant le 01er juillet 2018) aura mobilisé bon nombre de nos concitoyens.

9 016 réponses ont ainsi été obtenues par les services du Département chargés de cette étude. Un succès, au premier chef, mais il est vrai que ce sujet sociétal (paradoxalement peu abordé par les prétendants à l’échéance élyséenne) préoccupe beaucoup les Français. Et par un effet gigogne très naturel les automobilistes que nous sommes tous ou presque !

De ce chiffre, il a été admis in fine que 8 565 avis sont positifs à ce retour à la vitesse de croisière que les conducteurs regrettaient depuis bientôt quatre ans. Toutefois, si retour il y a (il faudra pour cela que le Conseil départemental de l’Yonne acte la décision à l’issue d’un scrutin programmé le 11 février prochain en séance plénière et obtenu à la majorité), il ne sera que partiel. Conformément aux règles fixées de manière dérogatoire par l’Etat.

 

Le plébiscite des citoyens pour la mesure mais peu de kilomètres concernés…

 

C’est à partir de cet élément disruptif que le ballon de baudruche, fait d’enthousiasme et de sensations de liberté retrouvée derrière le volant, se dégonfle petit à petit. Sans pour autant faire un pschitt notoire !

En effet, pour rappel, ce sont seulement cinq cents kilomètres sur les 4 875 kilomètres de voirie départementale gérés par le Département qui sont réellement concernés par cet éventuel retournement de situation. D’un côté le plébiscite pour les citoyens de l’Yonne, emballés à l’idée de se procurer un peu plus de plaisir dans leur conduite quotidienne ; de l’autre, le sentiment de frustration d’avoir si peu de kilométrages pour en abuser !

 

 

Outre la présentation officielle des résultats de cet audit auprès du public aux élus départementaux, les services du Département devront se concerter avec ceux de la Commission départementale de la Sécurité routière, placée sous l’autorité du préfet de l’Yonne, pour avis.

Rappelons, si cela vous avait échappé, que le territoire le plus septentrional de la Bourgogne reste dans le peloton de tête des départements hexagonaux dont le taux d’accidentologie vire au rouge chaque année avec sa cohorte de décès et de tragédies sur les routes. Qu’elles soient nationales, départementales ou communales.

 

 

Une enveloppe de 110 000 euros pour changer la signalisation…

 

Moyennant quoi, et à l’issue de cet avis qui n’a de valeur que consultative, le Conseil départemental de l’Yonne pourra alors se prononcer en faveur ou pas sur la révision de la vitesse autorisée. Pour une entrée en vigueur au second semestre.  

Si tel était le cas, il sera alors temps de provisionner le changement des panneaux de signalisation limitant la vitesse sur le réseau départemental, soit une enveloppe de 110 000 euros pour y parvenir. Un budget supporté à 100 % par l’institution territoriale, sans l’aide de l’Etat qui a tout de même chamboulé toutes les règles en 2018.

Mais, nous n’en sommes pas encore là même si Patrick GENDRAUD, président de l’exécutif départemental, est convaincu que la position des Icaunais en faveur de ce rétablissement partiel de la vitesse sera entendue par les pouvoirs publics. Espérons-le et croisons les doigts même pour ces quelques cinq cents kilomètres de routes départementales on l’on pourra de nouveau circuler à vitesse normale…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La mobilité durable est au centre des débats. Ce volet de la transition écologique n’est d’ailleurs pas le seul à avoir capté l’intérêt des collectivités. Les réseaux d’éclairage, l’éclairage public et l’optimisation énergétique constituent les autres thèmes de premier choix servant de critères au nouveau label « Terre d’Innovation » qui leur est  destiné. Un sésame porté par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne.

 

AUXERRE : Mettre en lumière les actions abouties des collectivités territoriales qui s’engagent dans le schéma salvateur de la transition écologique. Voilà sur quoi repose le ferment de ce nouveau label, « Terre d’Innovation » que le SDEY a créé de toute pièce afin de les inciter à sauter le pas.

Force est de constater qu’à l’amorce de cette année 2022, elles sont de plus en plus nombreuses à l’avoir fait. D’ailleurs, dix d’entre elles recevront une distinction pour leur engagement au service de leurs administrés et de la planète.

Lauréates de cette première édition, ces communes de l’Yonne se verront remettre le précieux label qui les distinguera des autres. De celles qui ne leur ont pas encore emboîté le pas et qui peut-être hésiteraient quelque peu.

Ce distinguo est beaucoup plus important qu’il n’y paraît. La démarche voulue par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne se veut unique dans l’Hexagone et s’inscrit dans la feuille de route menée par le président Jean-Noël LOURY et ses équipes, « Energie Yonne 2026 ».

 

 

Une manifestation à vivre en visioconférence en toute tranquillité…

 

Valoriser les communes et leurs élus qui ont à cœur de faire bouger les lignes aurait dû se concevoir dans les faits par une cérémonie protocolaire en présentiel si la situation sanitaire était revenue à la normale.

Or, comme chacun le sait, il n’en est rien. Et c’est donc la mort dans l’âme que le SDEY a pris la décision d’annuler la cérémonie des vœux initialement prévue le 20 janvier. Conformément aux recommandations préfectorales qui allaient dans ce sens.

Toutefois, l’idée de concocter un évènementiel spécifique autour de cette remise de label a germé dans les esprits réfléchis de l’organisme. Un plan B qui va se traduire par le biais de la sacro-sainte visioconférence proposée autour de ce cérémonial.

Celui se déroulera le jeudi 20 janvier à 18 heures.

Il suffit de consulter le site du SDEY (www.sdey.fr) et de cliquer sur la rubrique ad hoc pour découvrir les modalités techniques permettant de suivre depuis son domicile ou à son bureau le futur évènement.

Cerise sur le gâteau pour les dix communes bénéficiaires de ce label : une signalétique sera visible à l’entrée de ces localités courant 2022. Une manière supplémentaire de mettre un coup de projecteur appuyé sur les agglomérations attractives de l’Yonne qui jouent pleinement le jeu de la transition énergétique avec le concours du syndicat d’énergies.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Petit à petit, l’oiseau fait son nid, précise le dicton. Même si pour l’heure, la crainte de ne pas recevoir le précieux adoubement faisant foi de parrainage par l’un des 42 000 élus de l’Hexagone est présente dans tous les esprits. Le candidat de Debout La France Nicolas DUPONT-AIGNAN n’a pas encore toutes les garanties de figurer sur la grille de départ de cette course à l’Elysée 2022. Ce qui n’empêche nullement deux de ses porte-voix de sillonner la région pour rameuter les troupes…

 

NEVERS (Nièvre) : La concurrence est rude à la droite de la droite à quelques 90 jours de l’échéance présidentielle. Surtout pour s’affirmer publiquement dans les médias aux horaires de prime time en pensant disposer des cinq cents parrainages indispensables à la qualification à cette course effrénée.

Candidat déclaré de Debout La France (DLF), ainsi que l’a validé le conseil national de la formation souverainiste réunie le 27 novembre dernier à Yerres, NDA (Nicolas DUPONT-AIGNAN) croit plus que jamais en sa bonne étoile même si la présence d’Eric ZEMMOUR vient considérablement perturber le jeu dans la quête des précieux accessits auprès des élus.

 

Occuper le terrain pour promouvoir les actions…

 

Deux de ses porte-étendards, le Nivernais Pascal LEPETIT, délégué régional pour la Bourgogne Franche-Comté et secrétaire départemental de la Nièvre ainsi que l’Icaunais Patrick MOREAU, secrétaire départemental de l’Yonne, redoublent depuis d’efforts pour légitimer la présence de leur chef de file sur la ligne de départ au matin du 10 avril.

Courant décembre, les deux relais de DLF assuraient communément le lancement de la campagne du parlementaire de l’Essonne sur le territoire de l’Yonne, à Foissy-les-Vézelay, où Patrick MOREAU a été élu maire.

S’appuyant sur des rencontres directes avec les représentants du mouvement politique, les deux hommes devaient présenter les cinq axes prioritaires de la campagne ainsi que tous les supports de communication qui en découleront pour en assurer le rayonnement et la promotion.

Rappelons que le programme du candidat souverainiste s’articule autour de la hausse du pouvoir d’achat, la méritocratie dans le travail, la restauration de l’ordre, la reconstruction des services publics et l’engagement de la nation vers une écologie humaine et pragmatique.

Comme le précise Pascal LEPETIT, « le leader de Debout La France est le seul des prétendants à la présidentielle à avoir véritablement chiffré son projet de façon précise en y mentionnant ses sources ».  

 

Des parrainages plus difficiles à obtenir qu’en 2017 du fait de la levée de l’anonymat…

 

Logique, Nicolas DUPONT-AIGNAN a fait des chiffres et statistiques sa priorité, des valeurs mathématiques que l’on découvre abondamment dans son dernier opus, « Où va le pognon ? » que le pensionnaire du Palais Bourbon vient de publier il y a peu pour dénoncer les abus de la gouvernance actuelle.

Pascal LEPETIT reconnaît lui aussi qu’il est plus délicat de recueillir les parrainages des élus cette année comparativement à l’élection précédente de 2017.

« La levée de l'anonymat place les maires en situation de devoir se justifier vis-à-vis de leur conseil municipal, de leurs administrés, des intercommunalités ou des conseil départementaux, avec les conséquences en termes de fonctionnement que l'on peut imaginer si le parrainage, qui pourtant n'est pas un soutien politique, n'est pas de la couleur locale. C’est donc difficile cette année pour Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Jean-Luc MELENCHON et…Nicolas DUPONT-AIGNAN ».

Mais, pour l’heure, cela n’enlève nullement la volonté des partisans de NDA de se battre jusqu’au bout, selon leur volonté commune, de « sauver la France ». Aux dernières nouvelles, NDA affirme avoir déjà obtenu 450 signatures en sa faveur. Il se dit optimiste pour la suite des opérations…

 

 

En savoir plus :

 

Les grands axes du programme de Debout La France :

1)  Une France indépendante, des français libres : NDA veut renouer avec la Vème République telle que la voulait le Général Charles de GAULLE en associant  les Français sur les grands sujets par référendum (Union européenne, immigration, réforme du Code Pénal). Il souhaite faire entrer les Français à l'Elysée.

En outre, il est prévu de mettre en place le RIC déclenché à partir de 500 000 signatures, retour au septennat avec un référendum révocatoire à mi-parcours, si 20 % du corps électoral le demande. 

2) Récompenser le travail 

- Hausse des salaires de 8 %, soit un mois supplémentaire, entièrement financée par la suppression des fausses cartes Vitale,

- 75 % de la commande publique réservée aux produits fabriqués en France,

- Diviser par deux les impôts sur le bénéfice pour les entreprises qui investissent en France,

- Indexation des retraites, des salaires des fonctionnaires et du livret A sur l'inflation.

3) Reconstruire les services publics

- Réouverture d'un hôpital ou d'une maternité par département (un projet financé par les neuf milliards de trop versés à l’Europe car l'objectif est que le coût de contribution à l'Union soit ramené à un milliard comme sous Jacques CHIRAC),  

- Renforcer les apprentissages fondamentaux,

- Renationalisation des autoroutes et suppression des péages en cinq ans,

4) Rétablir l'ordre

- Tolérance zéro : une peine sera appliquée à chaque condamnation pour délit,

- Expulsion des délinquants étrangers,

- Contrôle des frontières, sortie de Schengen,

- Suppression du droit du sol.

5) Engager une écologie humaine et pragmatique

- Pratiquer une protection de l’environnement non sectaire,

- Il y aura zéro éolienne sur la durée du mandat. L'argent qui sert à les financer sera investi pour doubler les aides à l'isolation thermique des habitations pour réduire la facture d'énergie,

- Crédit d'impôts Produit en France afin de favoriser l’incitation des entreprises à rapatrier les productions et les emplois en France,

- Réduction de la pollution.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils ont jusqu’à ce soir pour rejoindre les rangs de la grève ou pas. Remontés tels des coucous suisse contre les décisions gouvernementales dans la manière dont est gérée la crise sanitaire à l’école, les enseignants ont déposé par le biais de leurs syndicats (SNUipp, FSU, SNE, CGT, UNSA, Sud Education, FO…) un préavis pour ce jeudi 13 janvier. Ce mouvement sera suivi par les fédérations de parents d’élèves et par les scolaires eux-mêmes…

 

AUXERRE : Pagaille en perspective dans les rues des grandes villes de l’Hexagone, ce jeudi, mais pagaille qui vient surtout mettre l’accent sur la manière dont est gérée la crise sanitaire à l’école.

Devant une situation épidémique qui flirte avec les sommets en ce mois de janvier du fait de la virulence des variants de la COVID (le nombre de contaminations explose chaque jour un peu plus chez les élèves et leurs enseignants), les syndicats de l’Education nationale appellent ces derniers à faire grève pour s’insurger contre le protocole sanitaire en vigueur, jugé « inacceptable » et « ingérable ».

L’Yonne ne devrait pas déroger à la règle de cette mobilisation, souhaitée par une intersyndicale regroupant tous les acteurs sociaux de l’éducation. Le secrétaire départemental de la  FSU 89 Philippe WANTE le confirme pour expliquer ce nouveau mouvement de grève : « la situation n’est plus tenable ».

Lors de l’audience qui a été demandée auprès de la DASEN (direction départementale des services de l’Education nationale de l’Yonne) et sans doute accordée, la délégation intersyndicale ne se privera pas de faire connaître ses nombreuses doléances auprès de ses interlocuteurs.  

 

Un ministre de l’Education qui reste sourd aux doléances du terrain…

 

« Le ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER continue de faire le choix de maintenir les écoles ouvertes selon le principe du « quoi qu’il en coûte, précise Philippe WANTE au nom de l’intersyndicale, il allège les mesures protectrices notamment sur les fermetures de classe et l’isolement des élèves, désorganisant totalement l’école… ».

Ce qui provoque un profond désarroi et une extrême lassitude de la part des personnels mais aussi des familles et des élèves qui devraient s’inviter dans les cortèges.

Considérant que le ministre reste sourd à toutes les sollicitations de la base, alors qu’il a enfin admis lors des questions au gouvernement au Sénat mercredi dernier que les difficultés étaient bien réelles, les syndicats de l’éducation mais aussi les fédérations de parents d’élèves (FCPE) et les mouvements de collégiens/lycéens, ont décidé une fois de plus de descendre dans la rue afin de protester et de se faire entendre. Il y va aussi du respect et de la protection des enseignants, en souffrance professionnelle face à ces mesures d’une rare complexité.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Soixante mille doses de vaccins sont disponibles à l’heure actuelle dans le département de l’Yonne pour transformer l’essai de la vaccination anti-COVID en schéma sanitaire complet. Processus qui garantit le maintien du passe sanitaire au-delà de la date butoir arrêtée par le gouvernement au 15 janvier 2022. Or, à date, 17 573 Icaunais n’ont pas encore pris de rendez-vous pour la troisième injection.

 

AUXERRE : Il ne reste plus que quelques jours à plus de dix-sept mille habitants de l’Yonne pour se faire injecter la troisième dose de vaccin permettant de juguler les effets dévastateurs de la crise épidémique du moment.

En effet, passé le délai inéluctable fixé par le gouvernement au 15 janvier 2022, il sera en principe trop tard si aucune extension ou dérogation émanant du ministère de la Santé n’est possible. Un compte à rebours qui vient de se déclencher et que les Icaunais en attente de la troisième injection se doivent de connaître afin de mieux l’anticiper ?

 

 

D’autant que les personnes ciblées par ce message ont déjà reçu il y a au moins sept mois de cela la seconde dose vaccinale.

En visite au centre de vaccination d’Auxerre, en début de semaine, puis de celui de Sens, ce vendredi 07 janvier, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a bien insisté sur le nombre de doses disponibles sur le département. Soixante mille unités qui, on l’aura compris, couvrent allègrement les besoins quantitatifs de ces retardataires à la piqûre.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil