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Ce n’est in fine un secret de polichinelle pour personne. Et surtout pas pour les aficionados de l’actualité automobile qui suivent scrupuleusement le moindre petit doigt qui bouge au gré des stratégies économiques dans le microcosme. Supposée dès le début de l’automne, l’acquisition par le groupe JEANNIN Automobiles de quatre vitrines commerciales jusque-là à l’estampille de la société ROSE en Seine-et-Marne s’est donc concrétisée ce premier janvier. Un acte d’achat qui est désormais officiel…

 

AUXERRE : Les informations bruissaient avec plus ou moins de certitude depuis un moment dans le landerneau de l’activité automobile. Plus exactement depuis le mois de septembre selon une note émise par l’Autorité de la Concurrence.

Il aura donc fallu s’armer de patience et attendre que les transactions se concluent de manière définitive pour que le dirigeant du groupe JEANNIN Automobiles valide enfin l’acquisition de quatre nouvelles concessions implantées en Seine-et-Marne.

Accueillant les marques Volkswagen et Audi, ces points de vente appartenaient jusque-là au groupe éponyme piloté par Jean-Louis ROSE. Une famille toute acquise à la cause automobile.

Les droits à la retraite de ce dernier ont sans doute accélérer le processus de cession de l’activité entrepreneuriale. Localisés en périphérie de Melun et de Fontainebleau, ces points de vente offrent de réelles perspectives pour le distributeur de l’Yonne, déjà présent au sud de l’Ile-de-France depuis 2016 avec Nissan. Une présence qui se renforcera deux années plus tard avec la gestion des enseignes Seat, Skoda, Mazda et Suzuki.

 

 

La reprise d’un groupe pesant 69 millions d’euros de chiffre d’affaires…

 

L’ajout à son escarcelle du groupe ROSE est synonyme d’excellentes perspectives pour le dirigeant Yves JEANNIN. Non seulement, la structure salarie 88 collaborateurs qui auront atteint leurs objectifs en commercialisant 1 580 véhicules neufs et près de mille véhicules d’occasion l’année dernière malgré le contexte de crise économique que l’on connaît. Mais en outre, l’entreprise rachetée pèse à date 69 millions d’euros de chiffre d’affaires. Preuve de sa rentabilité.

Stratégiquement, JEANNIN apparaît plus fort que jamais sur ce territoire de conquête de parts de marché que représente la Seine-et-Marne, porte d’entrée légitime sur l’Ile-de-France. Avec sa diversité protéiforme reposant sur une offre commerciale articulée autour de plusieurs marques, l’entreprise de l’Yonne continue de progresser là où bien d’autres de ses concurrents piétinent en faisant du surplace.

Le groupe aux 26 concessions qui développe depuis peu les produits MG et Cupra conforte ainsi sa brillante 65ème position au classement des cent principaux groupes de distribution automobile en France.

Réalisant un chiffre d’affaires de 205 millions d’euros en 2020, JEANNIN Automobiles qui agit sur un terrain de jeu englobant l’Aube, la Seine-et-Marne et l’Yonne, a obtenu des résultats plus qu’honorables l’an passé avec la vente de 11 000 véhicules neufs et d’occasion, et des activités générant au passage un flux de 70 000 véhicules dans ses ateliers.

 

Thierry BRET

 

 


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Les Icaunais aiment les circuits courts. Ils ne sont pas les seuls, évidemment, à privilégier cette filière de consommation qui aura fait florès au plus fort de la crise sanitaire l’an dernier. Avec plus de 12 200 connexions obtenues au terme de 2021, la plateforme « J’veux du Local » promue par la Chambre d’Agriculture de l’Yonne a répondu à leurs attentes. Ce n’est sans doute pas fini…

 

AUXERRE : L’alimentation reste l’une des priorités essentielles de la Chambre départementale d’Agriculture au plan stratégique avec cette nouvelle année qui débute. De la pure logique quand on sait ce qu’apportent la filière et ses diverses composantes dans notre paysage sociétal.

Aussi, le développement des circuits courts, ceux qui permettent de mettre en relation directe producteurs et consommateurs dans leurs échanges, fait partie intégrante des axes de réflexion et de concrétisation du vénérable organisme. Cela ne devrait pas déroger en 2022.

Surtout à l’annonce des résultats de la fréquentation de la plateforme « J’veux du local » qui est fonctionnelle depuis le mois de mai 2020.

Obtenant plus de  12 200 connexions depuis son lancement, le support est sur de bons rails. Lancé au summum de l’épidémie de COVID-19 au printemps dernier, l’outil s’est petit à petit imposé comme une référence incontournable auprès d’internautes en quête de renseignements utiles sur les lieux leur permettant d’acheter des produits de qualité.

 

Un potentiel d’une centaine de nouveaux producteurs d’ici fin 2022…

 

Désormais, le site élaboré avec le concours du Conseil départemental et soutenu par la Région regorge d’adresses indispensables à connaître presque par cœur.

Attention, toutefois, il y en a, à date, déjà 253 ! Ce chiffre fait référence au nombre de professionnels issus de diverses filières agricoles et viticoles qui commercialisent une production au-dessus de tout soupçon. Côté qualitatif et traçabilité, il va de soi !

Toujours aussi enthousiaste quand il en évoque les fondements, Arnaud DELESTRE, président de l’organe consulaire qui en assure la promotion, trace la feuille de route de ce concept, répandu aujourd’hui à l’ensemble de la contrée régionale, pour les douze prochains mois. L’objectif est simple : atteindre, voire dépasser les trois cents adresses de contacts d’ici la fin 2022. Autant dire que cela est du domaine du réalisable pour ses services qui animent le support.

« Le potentiel pour pouvoir intégrer de nouveaux adhérents à ce dispositif est important, précise-t-il, pas moins d’une centaine de représentants de la filière agricole… ».  

Une filière qui devra se rajouter à la viticulture encore peu présente sur cette vitrine du made in Yonne. Signalons que les marchés figurent sur le site. L’ajout de restaurateurs s’approvisionnant en produits locaux pourrait suivre d’ici peu.

Récemment, Arnaud DELESTRE a rencontré la plupart des présidents des EPCI de l’Yonne afin de s’entretenir avec ces derniers sur le développement des circuits courts au service des collectivités. L’une des priorités du Conseil départemental. Sans doute, aura-t-il fait allusion au site « Agrilocal 89 », favorisant la relation entre les gestionnaires de la restauration collective, les cuisiniers et les producteurs. Une rencontre entre ces différents acteurs est d’ailleurs inscrite au planning du président de la chambre consulaire, le 30 mars prochain à Tonnerre.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Une chose semble déjà évidente : la consultation engagée par le Département de l’Yonne depuis le 01er décembre sur le possible retour à la normale, soit 90 km/h sur certaines routes départementales, mobilise les internautes de notre territoire. Même s’il reste encore quelques jours d’ici le 31 décembre pour répondre au questionnaire figurant sur le site de l’organe institutionnel, les Icaunais ont un avis et le font savoir !

 

AUXERRE: Visiblement, la prise de pouls des citoyens par le Conseil départemental de l’Yonne sur l’épineuse question de la remise aux normes de la vitesse autorisée à 90 km/h sur nos routes passionne les internautes icaunais. Débuté au premier jour de décembre, via le site numérique de l’organisme, celle-ci s’achèvera le 31 de ce mois, le jour de la Saint-Sylvestre. Peut-être sera-ce l’occasion d’aborder la question entre la dinde et le fromage lors du traditionnel réveillon, susceptible d’être agrémenté par ce genre de propos ! Il faut bien trouver des sujets de discussion divertissants en cette période de rebond de la pandémie !

Toujours est-il que l’hypothétique retour à une vitesse plafonnée à 90 km/h ne concernerait pas la totalité des 4 875 kilomètres de routes départementales que compte notre territoire. Qui plus est, si cela venait à se réaliser en 2022, la décision ne s’appliquerait que sur quelques tronçons clairement identifiés.

  

Patrick GENDRAUD, l’un des 36 signataires à l’époque du refus…

 

L’idée de cette consultation populaire ne correspond pas au fruit du hasard. Que nenni ! On se souvient que l’item était au centre de la dernière campagne électorale des départementales de juin. Notamment des candidats de la liste majoritaire, « Unis pour l’Yonne », conduite par le président Patrick GENDRAUD.

A l’époque de l’application de ce texte de loi en 2018, l’ancien maire de Chablis s’était opposé à sa mise en forme. Il s’était offusqué de ce passage en force et sans consultation au 80 km/h qui avait pris tout le monde de court, suite aux préconisations du Premier ministre d’alors, Edouard PHILIPPE. Rappelons pour mémoire que Patrick GENDRAUD est l’un des 36 signataires d’une tribune rendue publique rédigée par des présidents de département insatisfaits par la tournure des évènements.

 

 

Rendre sa vitesse normale à cinq cents kilomètres de routes…

 

Mis en ligne sur le site de l’organe institutionnel, un questionnaire comprenant quelques réflexions fondamentales sur l’appréciation des Icaunais vis-à-vis de la route permet durant ce dernier mois de l’année de recueillir de précieuses indications, sans doute déterminantes sur le verdict qui sera rendu par la suite.

Grâce à la promulgation du texte législatif du 24 décembre 2019, offrant l’opportunité aux départements de revenir à la vitesse antérieure, le Conseil de l’Yonne a pu se saisir de l’occasion afin de consulter les citoyens. Dans un véritable esprit participatif.

S’appuyant sur ces retours informatifs avant d’entériner leurs décisions, les élus devront tranchés pour que 500 kilomètres de routes départementales, dites pénétrantes (celles en liaison avec les territoires limitrophes) et qui les traversent de part en part, soient concernées par ce retour au 90 km/h.

Dans les faits, cela supposerait le changement de près de 500 panneaux de signalisation, la logique, et le coût de 110 000 euros à la charge du Département pour le faire. Une somme, certes, appréciable pour revenir en marche arrière mais qui ne semble pas être un frein…

 

En savoir plus :

Rappel : l’Yonne reste un département où l’accidentologie est élevée. De juillet 2016 à juin 2018 inclus (soit 24 mois), on dénombre ainsi 225 blessés et 32 tués sur le réseau routier départemental.

De juillet 2018 à juin 2020 inclus, après la mise en place du 80 km/h, ces statistiques s’établissent à 277 blessés et 38 tués sur une période identique.

Aujourd’hui, environ 1/3 des départements métropolitains a fait le choix de revenir, généralement partiellement, à 90 km/h. C’est notamment le cas du Loiret, de la Seine-et-Marne, de l’Aube et de la Côte d’Or, départements limitrophes de l’Yonne, qui ont repassé en moyenne 13 % de leur réseau routier à 90 km/h, en ciblant les axes pénétrants et structurants.

Le réseau routier départemental Icaunais représente environ 4 875 km de chaussée. L’installation, nécessaire, de panneaux de limitation de vitesse à 90 km/h est, en cas de souhait de déroger à la réglementation nationale, à la charge de la collectivité locale gestionnaire du réseau.

 

Thierry BRET

 


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Par essence, qu’elle est la mission réelle du service téléphonique « 36 46 » au sein de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne ? Un jeu d’enfant, en vérité, puisque c’est un service gratuit, assorti du coût de l’appel, qui a pour vocation d’honorer tout ce qui concerne de loin ou de près les remboursements de prestations des assurés. En aucun cas, il ne traite de sujets liés à la COVID. Or, le service est à l’heure actuelle à saturation !

 

AUXERRE : La plateforme téléphonique, baptisée « 36 46 » de la CPAM de l’Yonne, est au bord de l’apoplexie depuis plusieurs jours. Saturée d’appels en tout genre se rapportant aux nombreuses problématiques de la crise sanitaire et de ses questionnements qui y sont affectés, le service ploie sous les coups de boutoirs insistants des téléphones d’assurés qui ne cessent de sonner de façon répétitive.

Un renseignement sur le passe sanitaire à résoudre par ici, une interrogation sur l’injection de la troisième dose par là et le tour est joué : le « 36 46 » ne souhaite plus répondre à ces sollicitations pour cause de surchauffe !

« Notre plateforme téléphonique reçoit actuellement beaucoup d’appels d’assurés qui ont eu leur troisième injection, précise la direction de la communication, et cette troisième injection ne figure pas sur leur passe sanitaire… ».

Diverses origines peuvent ainsi expliquer cette absence d’annotation dans le dossier. Un problème informatique, un retard, voire un  oubli. Or, la situation est telle depuis plusieurs jours que les opérateurs de la plateforme croulent sous des demandes qui ne les concernent pas.

 

 

Le « 36 46 » ne peut rien faire en guise de réponse concrète puisque ne s’occupant que de problématiques inhérentes aux remboursements des prestations.

Le message transmis par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie est d’ailleurs sans équivoque sur la démarche à suivre : pour obtenir les réponses adéquates à leurs interrogations, les assurés doivent retourner au centre de vaccination ou revoir le professionnel de santé ayant vacciné la personne.

Apparemment, les assurés ne sont pas les seuls à s’être posé ces questions en sollicitant la plateforme téléphonique de la CPAM. Des professionnels de santé, tels que des médecins, ont fait de même sur ce fameux numéro 36 46. Qui aujourd’hui ne peut plus répondre !

 

Thierry BRET

 


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Emploi, formation et accompagnement. Une trilogie qui sied très bien à la Mission Locale rayonnant sur l’Avallonnais et le Tonnerrois. C’est aussi le principe fédérateur du PEC. Le Parcours Emploi Compétences dont deux nouveaux signataires profitent depuis mercredi des avantages. Le recours à ce dispositif est-il une solution de recrutement efficace pour les collectivités territoriales ?

 

AVALLON : Elle se félicite de la tournure des évènements. Elle ? Ni plus ni moins que Cécile RACKETTE ! La sous-préfète inféodée à 100 % à sa mission promotionnelle de l’un des dispositifs astucieux, mettant en exergue le partenariat corrélé entre l’Etat, les collectivités territoriales (en l’occurrence dans le cas présent la municipalité d’Avallon), la MILO (Mission locale du cru) et in fine…le jeune signataire !

Deux nouveaux contrats viennent d’être validés cette semaine sur ce secteur géographique. Ils démontrent en substance que cet accord multipartite se révèle plutôt fructueux à bien des égards. D’autant que les jeunes bénéficiaires disposent d’un contrat de travail de huit mois dans leur besace, agrémentés d’un accompagnement tout au long de cette expérience afin de poursuivre la réalisation de leurs propres projets professionnels.

 

 

Des emplois proposés dans le secteur du périscolaire…

 

Bref, ce processus du deux en un judicieux qui offre une possibilité de recrutement pour les collectivités territoriales qui se prêtent volontiers au jeu. Dans l’illustration du jour, ces deux emplois ont été pourvus dans un secteur en extrême tension : celui du périscolaire.

Précisons que l’Etat prend à sa charge 80 % du salaire des jeunes recrutés qui évoluent en zone de revitalisation rurale ; ce qui n’est pas rien in fine.

Rappelons que le PEC repose sur ce triptyque emploi-formation-accompagnement. Le dispositif permet de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un suivi tout au long de ce parcours, tant par l’employeur que par le service public de l’emploi.

 

Thierry BRET

 

 


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