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Il a le sens de la formule, c’est sûr, Alexandre PESLE. Adorant jongler avec les mots, juste pour faire rire. Tout en étant un adepte de l’humour corrosif, grinçant, celui qui pique et qui titille l’épiderme. Normal, le garçon s’est émancipé au fil de ses pérégrinations cathodiques, chez Canal +, avec les Nuls. Mais, aussi au service des « Guignols » ou de la série « H ». Présenté au festival off en Avignon, son dernier « pesletâcle » se jouera dimanche 28 mai à Châtel-Censoir à l’invitation de TRIODARTS…

 

CHATEL-CENSOIR : Il interprétait jadis le personnage de Sylvain le comptable – un être un peu naïf aux entournures – dans la série populaire, « Caméra Café ». Pourtant, Alexandre PESLE a de la jugeote en lui et plus d’un tour malicieux dans son sac pour faire rire à gorge déployée une salle, venue l’applaudir.

Parrain de la seconde édition du festival « L’humour en zone rurale », porté brillamment par l’association TRIODARTS, dirigée par la pétulante Nadia FENNIRI, l’artiste se présentera seul en scène ce dimanche après-midi aux alentours de 16 heures pour un moment exceptionnel, en digne héritier de SMAIN, l’instigateur de ce beau projet culturel concocté depuis deux ans en terre de l’Yonne.

Pour son deuxième one man show, Alexandre PESLE a choisi d’aborder des thèmes délicats et d’actualité pour faire travailler nos zygomatiques. Pas sérieux s’abstenir mais attention toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire !

« Si les thèmes de mon humour piquent et grattent, c’est pour mieux les désinfecter, précise dans sa présentation le comédien, auteur historique des « Guignols de l’Info ».

Le garçon a collaboré avec des pointures de la comédie : Marc JOLIVET, Alex GOUDE et la regrettée Marion GAME, récemment disparue. Depuis 2005, il sillonne l’Hexagone au détour d’un nouveau spectacle – le « pesletâcle » ! – comme il s’en amuse. Une œuvre qu’il a présentée dans le cadre du festival off d’Avignon.

Dimanche, cet amuseur invétéré sera dans l’Yonne. A la salle des fêtes de Châtel-Censoir, pour le plaisir de tous…

 

 

En savoir plus :

Alexandre PESLE est en « pesletâcle » au Festival L’Humour en zone rurale

Dimanche 28 mai 2023 à Châtel-Censoir à 16 heures.

Thierry BRET

 

 

 


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Programmée tous les jours de la semaine, accueillie à la Conciergerie, l’exposition, présentée par le Centre des monuments nationaux, mérite l’attention. Notamment chez les férus de bonne chère, épicuriens dans l’âme. L’art culinaire est mis à l’honneur à travers les siècles ; logique que Paris qui possède de belles références en la matière s’en fasse l’écho auprès d’un large public…

 

PARIS : Et depuis nos gares de Bercy ou de Lyon, le bus 87 s'arrête à deux cents mètres de la Conciergerie ! Une exposition aussi intéressante qu'émouvante, et fort bien illustrée. Au détour d'antiques menus de brasseries et autres, on peut y voir mentionner les vins de Joigny ou ceux de Chably.....ainsi orthographié.

La carte gastronomique de la France nous promène un peu partout sur le territoire.  Paron y est même évoqué pour ses galettes ! Sens pour ses jambons et févettes ?

Ne loupez pas l'excellente vidéo sur l'œuf mayo, tourné au bar à vins « Le Griffonnier », une emblématique enseigne de la capitale !

Cette exposition peut contribuer à conforter tout un chacun dans la reconnaissance de notre pays et de ses valeurs spécifiques. Il est dommage que l'école publique, par un regrettable dogmatisme, néglige cet aspect depuis des lustres. Un peu comme si aimer son pays était considéré comme une valeur honteuse et totalement  surannée… 

 

 

En savoir plus :

« Paris, capitale de la Gastronomie »

A la Conciergerie jusqu’au 16 juillet 2023

Tous les jours de 09h30 à 18 heures, le samedi jusqu’à 20 heures.

Entrée : 11,50 euros.

Renseignements : conciergerie.monuments-nationaux.fr


Gauthier PAJONA

 

 

 


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Invité du mois des « Conversations de l’Abbaye », l’historien et écrivain Camille PASCAL fut aussi conseiller et « plume » du président Nicolas SARKOZY les deux dernières années de son mandat. Une immersion au cœur du pouvoir et un parcours littéraire racontés sous les voûtes de Saint-Germain, avec passion et moult anecdotes, devant un public d’habitués de ce rendez-vous qui est devenu traditionnel.

 

AUXERRE : Camille PASCAL n’était encore jamais venu à Auxerre. Mais, il ne s’y est pas rendu pour autant en terre inconnue, retrouvant pour l’y accueillir, son désormais « collègue de bureau » au Conseil d’Etat, l’ancien député Guillaume LARRIVÉ. Les deux hommes se connaissent bien, pour avoir en leur temps, « joué » ensemble dans la même cour, en l’occurrence celle de l’Elysée, en qualité de conseillers du président.

Pour autant, rien ne prédisposait ce haut fonctionnaire, agrégé d'histoire et ancien secrétaire général de France Télévisions, à collaborer avec Henri GUAINO, à l’écriture des discours mémoriels prononcés par Nicolas SARKOZY. Son arrivée au « Château », un matin d’hiver 2010 à la demande du Président qui cherchait à renouveler son équipe en vue d’un second quinquennat, n’était pas vraiment attendue, à commencer par le secrétaire général d’alors, Claude GUEANT, l’informant que le poste pressenti était déjà pourvu.

 

Nicolas SARKOZY ? Une force à la fois physique et psychologique…

 

De l’aveu même de l’intéressé, « c’était très mal parti ! ». Faute de mieux, on lui demanda d’écrire dans l’urgence le discours des vœux du Président aux autorités religieuses, axé sur les chrétiens d’Orient victimes alors, de différents attentats meurtriers au Moyen-Orient. Le discours plut au « patron », qui lui fit cet aveu : « je l’ai lu à Carla, elle a pleuré ! ». Le début confesse Camille PASCAL, « d’une aventure plus personnelle que politique, d’une aventure humaine extraordinaire ».

Témoin privilégié, il fut de toutes les réunions, afin de mieux s’imprégner et pouvoir restituer dans un discours, la personnalité et les idées de celui qui aurait à le prononcer. Ne cachant pas une certaine admiration pour le personnage : « j’ai compris avec Nicolas SARKOZY ce qu’était le charisme. Une personnalité qui lorsqu’elle rentre dans une pièce, en change immédiatement l’atmosphère, une force à la fois physique et psychologique… ».

 

 

Un regard irrévérencieux sur le pouvoir et ceux qui l’exercent…

 

L’aventure prit fin en même temps que s’achevât le mandat présidentiel : « quand cela s’est arrêté, j’ai eu un moment de très grande déstabilisation. En fait, je suffoquais de tout ce que j’avais emmagasiné comme idées et concepts… ». D’où l’envie d’un livre écrit en trois mois, nourri par le souvenir de tout ce qu’il avait vu et entendu sous les lambris dorés du « Palais », au titre évocateur : « Scènes de la vie quotidienne à l’Elysée ».

C’est un premier succès littéraire et avec lui, l’idée de se lancer dans l’écriture romanesque, avec un opus initial, « l’Été des quatre rois », où fort de son érudition d’historien, il raconte par le détail ces journées de juillet 1830, ces « Trois glorieuses » qui conduisirent à la destitution de Charles X et à la fin de la Restauration. Une forme d’écriture et d’expression née de son statut de témoin privilégié pendant ces deux années passées rue du Faubourg Saint-Honoré : « j’essaie de prendre le lecteur par la main pour le plonger dans l’Histoire en recréant une réalité et en étant très attentif au décor, comme je l’étais déjà dans les scènes de la vie quotidienne à l’Elysée ».

Donnant à ses ouvrages un ton particulier, où l’auteur s’efface pour privilégier un récit immersif : « il est pour moi primordial que l’écrivain disparaisse et fasse du lecteur un spectateur du passé… ».
Des livres liés pour la plupart au pouvoir ou à la perte de pouvoir, et un regard sans concession, voire parfois irrévérencieux sur ceux qui l’exercent ou gravitent autour, rappelant pour l’occasion cette pensée de La BRUYERE : « L'esclave n'a qu'un maître ; l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens utiles à sa fortune ». Une familiarité avec le pouvoir que Camille PASCAL s’efforce d’appliquer à ses personnages historiques et un style qui lui a déjà valu de nombreuses récompenses littéraires, notamment le Grand prix du roman de l’Académie française en 2018.

 

 

En savoir plus :

 

Prochain volet des « Conversations de l’Abbaye », le jeudi 15 juin à 18h30, en la salle de conférence de l’Abbaye Saint-Germain, avec une légende du cinéma français, l’auxerrois Jean-Paul RAPPENEAU. Réalisateur de nombreux chefs d’œuvre parmi lesquels : « Cyrano de Bergerac » avec Gérard DEPARDIEU, « La vie de château » avec Catherine DENEUVE ou encore « Tout feu, tout flamme » avec Yves MONTAND et Isabelle ADJANI.

Dernier ouvrage de Camille PASCAL : « L’air était tout en feu » (Ed Robert Laffont). Une plongée historique et passionnante au temps de la Régence et de l’enfance du Roi-Soleil.

 

Dominique BERNERD

 


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Ferait-elle des infidélités à ses origines russes, la blonde Ekaterina ?! Une fois n’est pas coutume, la concertiste sénonaise, adepte chevronnée du piano, délaisse le temps d’une prestation scénique, prévue ce prochain dimanche à Pont-sur-Yonne, le répertoire des maîtres russes qu’elle affectionne tant pour une immersion parmi les œuvres incontournables des compositeurs tricolores.

 

PONT-SUR-YONNE : Elle change de registre, la virtuose du clavier, Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN ! L’instrumentiste russe a choisi pour ses retrouvailles printanières avec son public de fidèles de proposer un récital consacré aux « trésors de la musique classique hexagonale ». Un rendez-vous qui est programmé lors de la prochaine journée dominicale, à l’église de Pont-sur-Yonne en milieu d’après-midi, à 17 heures.

A sa manière habituelle, l’artiste commentera brièvement les œuvres interprétés par ses soins. De quoi nourrir les esprits bien intentionnés et ouverts à ces purs joyaux du romantisme que sont les pièces musicales composées par Camille SAINT-SAENS, Gabriel FAURE, Erik SATIE ou Léo DELIBES. La mélomane aguerrie proposera aussi une autre facette du patrimoine pianistique français, en jouant les œuvres de Claude DEBUSSY ou de Maurice RAVEL.

Que l’on soit adorateur de musique classique ou total néophyte en besoin d’apprentissage et de points de repère ; rendez-vous avec Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN le 21 mai !

 

En savoir plus :

Récital Ekaterina DENISSOVA-BRUGGEMAN

Eglise de Pont-sur-Yonne

Le dimanche 21 mai à 17 heures.

Entrée : 15 euros. Gratuit pour les moins de 18 ans.

Réservation et renseignements : 06.81.63.85.34.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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Le site est un vivre ensemble permanent. Bien mieux qu’une ponctuelle et brève fête des voisins qui ne revient qu’une fois l’an. Une ancienne commanderie templière sert désormais de point d’ancrage aux désirs de convivialité de la population, depuis le 06 mai. Et ce, jusqu’au 29 juillet prochain. Un plaisir qui se partage en famille et avec des amis entre victuailles appétissantes du terroir, des nectars du cru des plus sympathiques, une omniprésence artistique qui s’affiche aux quatre coins du bâtiment, y compris à l’extérieur. Quant à l’atmosphère ambiante, elle est limite exotique et entraîne l’imaginaire du côté de Marrakech ou à Montmartre, selon les goûts et l’inspiration…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le clavier du piano se dévoile au premier regard dès que l’on pénètre dans cet antre culturel nimbé d’une certaine pénombre très agréable à l’œil. Parmi le « fatras » volontaire d’objets hétéroclites qui ornementent la grande salle faisant office de lieu d’accueil. De plantes vertes en tableaux picturaux, de céramiques aux œuvres d’art, de prises de vues vigneronnes accrochées à leurs cimaises – il faut prendre le temps d’admirer les jolis clichés de la talentueuse Flavie CULOT, codirigeante de la société VINO UP qui nous a d’ordinaire plutôt habitué à parler de vin à défaut de focale et de photographies ! -, des poufs aux tapis orientaux respirant bon le cuir de l’Atlas du royaume chérifien : on se croirait presque dans la caverne d’Ali Baba, la veille d’une porte ouverte jute avant les soldes !

 

Un plaisir hédoniste juste le temps d’un été ?

 

Que nenni, « ma brave dame » ! Bienvenue dans le nouvel établissement à vocation commerciale de la localité viticole de l’Auxerrois ! Un bar, de surcroît ! Rien d’étonnant à cela surtout si l’on désire découvrir dans les règles de l’art de la dégustation œnologique des crus de ce terroir si prisé des Icaunais. Un bar, oui mais éphémère ! Avec une date de péremption à la clé ne devant pas excéder le 29 juillet, en principe. Etrange et pour le moins curieux paradoxe, par ailleurs, que le choix avéré de cette date butoir alors que la haute saison touristique battra son plein dans ce joli village de Saint-Bris qui porte bien son nom avec sa référence vigneronne gouleyante.

Mais, peut-être que cela évoluera en termes de timing, surtout si le succès est au rendez-vous. Et cela semble être déjà le cas.

L’inauguration officielle du nouvel endroit festif et branché de l’Auxerrois, le 06 mai, l’atteste après le succès observé au niveau de l’affluence. L’initiative prise par deux des habitants de la commune – encouragée à 100 % par le maire Olivier FELIX qui a mis à disposition un bâtiment communal non occupé – de vouloir créer cet espace propice à la détente, au farniente et à l’amusement – présence de musiciens, d’artistes de rue – est probante. Un zeste d’hédonisme qui ne durerait donc que le temps du chant des cigales ? Pas possible, voyons !

 

 

Une contribution collective avec l’implication des villageois…

 

L’établissement, baptisé « L’Eph » - oui, c’est peut-être un tantinet trop simpliste pour en définir sa raison sociale ! -, est promis à de belles et longues soirées estivales devant s’étendre hors les murs jusque dans la rue, au beau milieu de la petite place centrale du village où se concentrent toutes les échoppes stratégiques de la bourgade. Il y a un petit côté Montmartre qui sied bien à l’ensemble, la cohorte de Japonais affublés de leur Nikon en moins !

Le concept se veut collectif. Tout le monde – les villageois – ont contribué à son ouverture en y apportant sa pierre angulaire à l’édifice. Objet décoratif après objet fonctionnel. Ici, des coussins. Là, de vieux meubles qui créent une atmosphère surannée à l’ensemble. Dans un recoin, des transats. Des verres, des lampes, des bibelots, de la verdure naturelle et végétalisée. Il y a aussi des bouquins rangés dans une bibliothèque. On peut se sustenter d’un fromage de chèvre en provenance de la production de Claire GENET – de succulentes réalisations fromagères qui sont souvent primées dans les concours nationaux comme le Salon de l’Agriculture -, découvrir un blanc local – les domaines ne manquent pas -, avaler une pâtisserie en laissant filer le temps. Tranquille et en parfaite sérénité avec sa conscience. Le Graal a porté de main…

 

 

Au nom de la cohésion sociale et de l’attractivité de nos campagnes…

 

La « fée Mélusine » qui a permis cela d’un seul coup de baguette magique avec une bonne dose de volonté à revendre et de conviction profonde se nomme…Anne-Charlotte LAUGIER. Tiens, tiens, l’écrivaine à l’imaginaire si fécond et totalement débridé – la saga dithyrambique de la pétulante « Pétasse » servie à toutes les sauces humoristiques et cocasses de l’existence le prouve – a donc fait une sacrée entorse à son emploi du temps pourtant très serré.

Outre des séances de dédicaces qui la promènent aux quatre coins de l’Hexagone et ce jusque sur la Côte d’Azur – le dernier volet de la trilogie de son caricatural personnage est aussi décapant et irrésistible que les deux précédents opus – elle a eu le temps, en compagnie de l’une de ses connaissances locales, Driss – il est également commerçant à Saint-Bris – de phosphorer sur le concept de ce bar éphémère novateur, décidément ne ressemblant à rien d’autre d’existant dans l’Yonne.

 

 

 

Logique que les médias nationaux et régionaux (France Info, Ouest-France, France 3…) entrent depuis l’ouverture dudit établissement dans cette brèche béante de l’information sensationnelle pour en humer la substantifique moelle nourricière !

Réimplanter un bar avec une telle déontologie et la participation de tous, même de courte durée en zone rurale, ferait presque figure d’évènement hexagonal devant subjuguer les Gaulois réfractaires à la morosité, par Toutatis !

Un concept peu ordinaire qui pourrait d’ailleurs faire des émules dans bien des endroits de nos campagnes, qu’ils soient touristiques ou pas !

Et si le projet initial du bar éphémère se muait en un développement durable de son existence au nom du retour en grâce de la cohésion sociale et de joyeuses retrouvailles au fin fond de la ruralité ?

Personne, c’est sûr, ne s’en plaindrait ; encore moins les empêcheurs de tourner en rond qui ne savent plus apprécier les justes valeurs cardinales de la convivialité…

 

Thierry BRET

 

 


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