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« L’Homme en bleu », prince de la nuit, créateur de spectacles à la scénographie si inspirée (il a lancé la mode du transformisme dans les années 60) s’est donc éteint au petit matin blême de ce triste lundi de janvier. Au bel âge de 88 ans. Aimant la vie et le rire, Michel CATTY, alias « MICHOU », ne laissera que des souvenirs sympathiques pour celles et ceux qui l’ont côtoyé de près. Ce fut le cas d’un Icaunais, Cyril PARMENTIER. Aujourd’hui, propriétaire de l’hôtel/restaurant « Le Seignelay » à Auxerre, mais dans une vie professionnelle antérieure à la tête d’un média audiovisuel local (TV Diffusion), celui-ci a eu l’opportunité de réaliser plusieurs courts-métrages pour le célèbre directeur du cabaret parisien…

PARIS : Ses costumes bleus représentaient sa marque de fabrique. Une griffe raffinée et intemporelle qui a eu tôt fait d’être reconnaissable aux quatre coins de l’Hexagone, voire d’horizons plus lointains. Tant ce noctambule adorait l’existence. Chantre des nuits parisiennes, il était au faîte de la gloire depuis si longtemps.

Son cabaret à Montmartre accueillait une clientèle éclectique venue du monde entier. A l’instar du Lido, du Crazy Horse ou des Folies Bergères, on allait chez « Michou » pour y vivre une soirée endiablée et d’exception. Agrémentée, c’était le rituel, d’une coupe de champagne à la couleur maison. Le bleu !

La perte brutale de cet artiste laisse déjà un grand vide. D’autant que la fameuse maison devrait clore ses portes de manière irrémédiable afin de se conformer aux ultimes volontés de la vedette. Laissant orphelins une multitude d’amis et d’admirateurs.

Cyril PARMENTIER compte parmi ceux-ci. L’Icaunais avait eu l’opportunité de connaître le fameux personnage sur le tard de son parcours terrestre. Depuis 2013.

« C’est un autre géant du milieu artistique, l’inénarrable Michel GALABRU que je fréquentais à l’époque à titre professionnel qui m’a mis en relation avec MICHOU… ».

 

Un projet de long métrage pour fêter ses 90 ans…

 

Son départ qu’il a appris à la radio lui fait l’effet d’un vide abyssal. D’autant que Cyril PARMENTIER, aujourd’hui reconverti dans l’hôtellerie/restauration, gérait il y a peu un média audio local (TV Diffusion) avec lequel il concevait des vidéos autour du monde du show-biz.

MICHOU était devenu l’une de ses cibles préférées tant le fantasque personnage avait le sens de l’empathie et aimait se prêter au jeu devant une caméra.

« Nous nous étions revus au mois de novembre, confie le témoin de l’Yonne, nous avions évoqué la possibilité de réaliser un documentaire qui aurait retracé ses quatre-vingt-dix années d’existence… ».

Cultivant le sens du relationnel et de l’amitié, avec toujours en prime une petite coupe de champagne à déguster boisson effervescente dont il raffolait, MICHOU avait invité son ami de l’Yonne lors de la célébration de son 85ème anniversaire. Une manifestation célébrée en grandes pompes dans le cabaret de Montmartre en présence de Jean-Paul BELMONDO et d’Alain DELON.

« Il m’aura permis de connaître et d’approcher de grands artistes, ajoute avec un zeste de nostalgie, Cyril PARMENTIER.  

Sa disparition marque la fin d’une époque. Faisant chanceler un nouveau pan de la culture à la française…

 

 

 

 


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Un long-métrage, « Les Petits maîtres du Grand hôtel », sera à l’affiche de l’infrastructure cinématographique d’Auxerre ce vendredi 24 janvier à 13h45. Ce documentaire qui narre les coulisses de la filière hôtellerie/restauration, mâtinée en comédie musicale, est l’œuvre du réalisateur Icaunais, Jacques DESCHAMPS. Les élèves de la section hôtelière du lycée Vauban auront le privilège de le découvrir pour parfaire leurs connaissances de ce milieu professionnel…

AUXERRE : Tourné en Isère dans le lycée hôtelier de Grenoble, entre mai et juin 2017, ce film a pour vocation d’immerger les spectateurs au cœur d’une filière qui porte les valeurs fortes d’un savoir-faire à la française au-delà de nos frontières.

Il relate sous la forme d’un pastiche astucieux de comédie musicale et de documentaire l’univers de l’apprentissage. Vu et vécu par des jeunes gens qui se trouvent confrontés face à la réalité du quotidien. Pour parvenir, peut-être in fine, à exercer l’un des plus beaux métiers du monde ?

Réalisé par le cinéaste originaire de Puisaye, Jacques DESCHAMPS, « Les Petits maîtres du Grand Hôtel » offre un synopsis flamboyant parmi les maîtres d’hôtel, noble profession qui demeure la clé de voûte de l’hôtellerie/restauration.

Pour espérer un jour suivre les traces du champion du monde de la discipline, le Belge Lef VANHONNACKER qui à 42 ans a glaner ce titre suprême lors de l’épreuve organisée à Auxerre, les jeunes pousses du lycée des métiers Vauban ont besoin de comprendre et d’apprendre tous les arcanes liés à cette spécialité de la corporation.

Aussi, leur professeur en hôtellerie/restauration, Isabelle BRUGNON, les accompagnera lors de la séance du début d’après-midi pour qu’ils puissent s’exalter devant chacune des images de ce film révélateur de l’exigence des clients et de la dureté d’un job où il est indispensable de courir, servir et…sourire. Le propre de la perfection hôtelière…

 


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Propriété de 110 Bourgogne, le « BATARDEAU », cet ensemble de silos placés telle une verrue gênante aux abords du centre-ville, est à vendre. Si des investisseurs sont intéressés par ce site, idéalement bien placé à proximité du cœur d’Auxerre et une fois rendu propre à la construction, un ensemble de logements pourrait en sortir de terre. Oui mais, voilà, tout est désormais une question de prix pour accélérer la transaction que beaucoup espèrent…

AUXERRE : Dans la continuité de la politique de rénovation et d’aménagement de ce quartier de la capitale de l’Yonne poursuivie par la Ville, l’urbanisme pourrait présenter une toute autre physionomie d’ici quelques mois.

L’édifice à l’aspect si incongru et tellement décalé dans ce paysage urbain (un ensemble de silos à grains toujours fonctionnel en limite du centre-ville) pourrait être cédé à moyenne échéance.

A la condition sine qua non que les parties en présence s’accordent enfin sur le prix réel de cette transaction plutôt insolite !

D’ici peu, un établissement public régional devrait prendre attache avec les propriétaires du lieu, en l’occurrence la coopérative « 110 Bourgogne ». La teneur de la conversation concernerait alors les modalités pratico-pratiques d’une future cession ainsi que les tarifs du bien à négocier.

L’entrepôt de grains auxerrois, vestige du temps jadis où l’agriculture était encore partie prenante de l’activité économique intra-muros de la ville, deviendrait alors obsolète. Et disparaitrait de nos regards, après démolition.

A la plus grande joie de nombreux habitants qui en déplorent l’existence et veulent s’affranchir de sa vision peu académique, malgré la présence d’une monumentale fresque artistique qui en recouvre la façade.

 

 

Se mettre d’accord sur le prix de cession…

 

Originellement, le BATARDEAU permit le stockage de céréales dont les Moulins DUMEE avaient besoin avec abondance à la fabrication de leurs différentes variétés de farines. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Visiblement, tous les acteurs de ce dossier semblent convenir de la nécessité de céder le site à vocation agricole. Il faudra dorénavant procéder aux âpres négociations en matière de prix.

Il y a peu, lors d’une conférence de presse, Guy FEREZ, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, précisait que « les partis devaient se mettre d’accord sur les prix ».

Autrefois estimée dans une fourchette comprise entre 5,5 et 6 millions d’euros, l’infrastructure agricole du BATARDEAU pourrait se vendre dans un rapport tarifaire moindre. L’estimation accrédite une cession du complexe entre 1,2 et 1,5 million d’euros.

Le désir de Guy FEREZ serait d’attirer des investisseurs sérieux, munis d’un vrai projet urbain qui permettrait à ce quartier de changer du tout au tout. Depuis la zone des MONTARDOINS jusqu’aux abords de l’Yonne sur plusieurs hectares…

 

Acheteur et vendeur doivent y trouver leur compte…

 

 

Interrogé, le président de la coopérative « 110 Bourgogne », Gérard DELAGNEAU, a confirmé qu’il était temps effectivement de se mettre autour de la table afin d’étudier la question. Mais, attention, prévient-il : « les négociations doivent satisfaire l’acheteur et le vendeur… ».

En filigrane, la coopérative ne vendra pas à n’importe quel prix ce bâtiment si décrié et convoité pour l’aménagement logique de cette zone urbaine.

Et de conclure sous forme d’une boutade : « Sinon, on remettra les tracteurs dans la ville dès les moissons revenues ou nous construirons nos propres logements coopératifs pour y installer nos retraités qui ne peuvent s’installer en Suisse ! ».

Dans l’art de l’humour qui fait mouche, le sémillant président de 110 Bourgogne sait manier la litote à la perfection !

 

 

Quant à Guillaume LARRIVE, il devait aussi réagir à cette actualité qui refait surface. S’insurgeant contre la municipalité de ne pas avoir su procéder à la vente de ces silos et à leur destruction depuis si longtemps.

« Un million d’euros avait été budgété d’ailleurs sous la mandature du préfet Pascal LELARGE, explique-t-il, les acteurs de ce dossier n’ont pas su saisir l’opportunité qui s’offrait à eux en ce temps-là. Conséquence : dix ans ont été perdus dans l’opération ! ».

Et le député des Républicains d’ajouter que « l’’intérêt des acteurs actuels est de ne pas laisser en état cette friche qui occulte la vision panoramique de la ville et de ces édifices historiques… ».

La vente du BATARDEAU sera-t-elle le feuilleton à multiples épisodes à suivre au cours de ce premier semestre ? Allez, c'est un thème dont pourrait s'emparer la plateforme NETFLIX si le manque d'inspiration lui arrivait...

 

 

 


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La virtuose s’immergera le temps d’un récital caritatif donné au profit des actions altruistes du KIWANIS Ycaunae de Sens parmi l’univers pianistique national. Histoire de raviver à nos oreilles la douce musicalité de grandes œuvres empruntées au répertoire de Claude DEBUSSY, Camille SAINT-SAENS ou de Gabriel FAURE. Une soirée ouverte aux mélomanes avertis mais aussi aux béotiens qui voudraient coupler l’utile à la l’agréable…

 

SENS : L’artiste sénonaise, pétrie de talent, apporte sa caution personnelle et instrumentale à l’œuvre solidaire déclinée par le KYS, le KIWANIS Ycaunae de Sens. Le 31 janvier, la musicienne donnera un  récital, s’inspirant des trésors de la musique française, au profit du club service.

Les œuvres célèbres mais aussi méconnues de références incontournables du romantisme pianistique à la française (SAINT-SAENS, DEBUSSY, FAURE, SATIE…)  y seront jouées avec maestria par la pianiste icaunaise.

Le second temps fort de ce concert soutenant la cause de l’enfance malheureuse et malade s’articulera autour de l’improvisation. La musicienne se prêtera à cet incroyable exercice où pêle-mêle elle invitera l’auditoire à se promener entre la Belle Epoque et la romance russe. Sans omettre une autre tendance musicale qu’elle affectionne tout particulièrement : le jazz.

Cette soirée ne sera pas placée sous l’emprise de la monotonie puisque diverses surprises viendront la ponctuer !

La soirée aura lieu le 31 janvier à Malay-le-Grand près de Sens, à 19h30, à la salle Prestige (derrière l’hôtel VIRGINIA).

Réservation en ligne obligatoire sur le lien suivant :

https://www.helloasso.com/associations/kiwanis-sens-ycaunae/evenements/apero-concert-piano-bar

 

 


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Plasticienne et photographe de son état, c’est ce que nous mentionne son panégyrique professionnel, l’artiste icaunaise à l’appellation slave investira après plusieurs mois d’absence la Maison du Pays Coulangeois. Un cadre idéal pour y effectuer un come-back très attendu sous le feu nourri des projecteurs le 25 janvier. Invitant le public à se plonger dans une œuvre iconoclaste, troublante, subtile et terriblement sensuelle, l’artiste proposera un voyage onirique « Jusqu’à l’intimité »…

COULANGES-LA-VINEUSE : Le nouveau périple émotionnel, concocté par l’artiste de l’Yonne à la carrière si prometteuse, part de la surface du derme pour nous entraîner vers d’insondables profondeurs de notre corps…jusqu’à l’intimité.

Le ton est donné pour ce premier rendez-vous culturel qu’elle nous a préparé avec suavité ! Que de chemin parcouru, d’ailleurs, depuis ses dernières pérégrinations assurées dans le domaine viticole de Jean-Marc BROCARD ! Celle qui se faisait affubler à l’époque d’un étrange nom de baptême aux consonances si britanniques (l’énigmatique « London Eye ») nous revient beaucoup plus naturelle, avec des œuvres 100 % originales et hétéroclites.

Elles se positionnent aux antipodes des aventures de « Nina et Michka », ces références patronymiques empruntées au duo de chats que la belle possède à la maison.

 

Un patchwork créatif à plusieurs degrés…

 

L’univers de Silvana (Sylvie, London Eye…) repose sur la curiosité à fleur de peau que la jeune femme originaire de Serbie impose à ses conceptions, fruits de techniques éclectiques et disparates inattendues dont elle ne se départit jamais. Le rendu de ce travail est saisissant. Parfois, il déroute l’œil et la perception de l’amateur. Mais, il suscite toujours autant de questionnements et de mystères autour de la jeune femme qui codifie ainsi ses messages visuels.

Dans ce patchwork à plusieurs degrés, finalement accessible à tous, Silvana VUCIC veut montrer ses envies, ses passions, ses colères, ses peines et ses joies. Bref : une femme à l’état pur qui se met à nue à l’aide de précieux auxiliaires qui se nomment le bois, la peinture, la photographie, le collage, et l’assemblage des œuvres.

 

 

Un vrai travail besogneux de petite fourmi qui nous révèle toutes les passions qui la muent au quotidien. Ce qu’elle aime dans cette série de créations nouvelles et opportunes à la libre expression créatrice : ce sont ses diptyques qui entremêlent plusieurs iconographies qui forment un puzzle imaginatif et débridé.

L’une de ses phrases fétiches est la suivante : « Pour de nombreuses choses, il suffit de creuser un peu pour voir ce qu’il y a derrière la façade : la curiosité est autorisée car, elle ne fait pas partie des pêchés ! ». Alléluia !

 

 

Diptyques et fresque décalés, sujets à interrogation…

 

Déclinant un sens de l’observation aiguisé et une finesse d’esprit où le bout de son regard artistique flirte en douceur avec le côté acidulé des choses, l’artiste icaunaise surprendra sans doute, comme à l’accoutumée durant cette quinzaine, où le public se doit d’honorer ce rendez-vous.

En bonus, l’artiste se prêtera au jeu de la tentation en y présentant la perception imagée qu’elle se fait de ses sept péchés capitaux et de ses sept vertus ; le tout corrélé par une fresque aussi surprenante que décalée conçue autour de la prise de vues de seins immortalisés par l’objectif sous couvert d’anonymat : « Stand Art » !

 

 

Exposition Silvana VUCIC

Maison du Pays Coulangeois

Coulanges-la-Vineuse

Du 25 janvier au 09 février 2020

Vernissage en présence de l’artiste le vendredi 24 janvier à 18 heures.

 


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