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Penser l’économie et partager les richesses ne sont pas des idées nouvelles. D’abord, en Mésopotamie vers 4000 avant JC. Puis, avec le Code d’Hammourabi (1700 av JC). Enfin, en Inde, grâce au Chânakya (340 av JC). Ces principes abordent la répartition des richesses et parlent du bien-être (précurseur du B.N.B., le Bonheur national brut). A travers l’histoire, n’oublions pas aussi les dogmes religieux et philosophiques : Ancien et Nouveau Testament, le Coran, Xénophon et Aristote, Pline l’Ancien, Marx, Keynes, Friedman…L’argent et sa répartition, le patrimoine, le travail, la production : ce sont autant d’éléments qui focalisent l’attention des responsables des états depuis les toutes premières civilisations…

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, la répartition des richesses et les inégalités sociales conduisent aux discussions et autres revendications. La stratégie économique et financière des états en dépend. Des chiffres qui sont proprement vertigineux : 83 % du patrimoine mondial est détenu par 8,4 % de la population. Tandis que les 1 % des plus fortunés contrôlent 46 % dudit patrimoine…

Pour la France, la fortune de Bernard ARNAULT (101 milliards de dollars US) pourrait financer deux fois le déficit de la Sécurité sociale. 10 % des plus riches détiennent 50 % du patrimoine de l’Hexagone…

Ces chiffres étonnants soulignent les inégalités dans le monde, sans aucune volonté de stigmatiser les plus riches !

La richesse créée et  à partager se définit via le fameux P.I.B. (Produit intérieur brut, généré par les agents économiques). Chaque activité (sociétés, commerçants, artisans…) rédige tous les ans une déclaration fiscale. Le but de la comptabilité en France est de calculer le montant de l’impôt à payer. Entre le chiffre d’affaires déclaré et le bénéfice imposable, on met en valeur quelques soldes intermédiaires de gestion.

Le plus important de tous demeure incontestablement la valeur ajoutée. La somme de ces valeurs ajoutées équivaut au P.I.B. Celle-ci correspond au total de la production vendue – le total des consommations (matières premières consommées, achats marchandises…).

Ensuite, vient la répartition de la valeur ajoutée. Qui « profite » de cette dernière et qui la finance ? Qui en réclame le plus ? Il s’agit d’un rapport de force pour déterminer ce qui est le plus important !

 

L’implacable règle de l’euro investi et de l’euro gagné…

 

La suite de la liasse fiscale nous éclaire sur la répartition. Les salariés déclarent que sans eux, l’entreprise n’existe pas (salaires, charges sociales, formations, participations…).

Quant aux actionnaires (dividendes versés), ils justifient leur rémunération : sans le capital qu’ils investissent, il n’y a pas d’entreprise ! L’Etat (impôts) édicte ses règles. Les banques, quant à elles, pratiquent les agios, les intérêts d’emprunts. Parfois, les investissements sont impossibles si elles ne suivent pas.

Enfin, du côté de l’entreprise, il y a la part des bénéfices non distribués, les dotations aux amortissements et les provisions : sans une structure juridico-sociale à la clé, l’activité n’est pas envisageable.

Le débat reste toujours ouvert : il n’est d’ailleurs pas prêt de se refermer.  Aujourd’hui, la priorité est donnée aux actionnaires.

Dans certains modèles de calculs,  le taux de croissance des dividendes futurs est réputé constant sur un horizon infini. De plus, afin d’encourager les actionnaires, le délai de retour sur investissement (pay-back) court sur une période de douze mois.

Lorsque l’entreprise investit un euro, elle doit gagner un euro (plus le coût du financement !) au bout d’un an. Avec des taux d’emprunts très bas, le coût bancaire du financement des investissements devient moins coûteux que le taux du dividende versé : c’est à méditer !

Entre alors en ligne de compte, les arbitrages. Coût du capital et coût de la banque. Les salariés attendent alors une hypothétique augmentation de salaire. Les plus pauvres cherchent un abri et les consultants modélisent la répartition des richesses.

Alors à quand, l’instauration du Bonheur national brut ? « La richesse n’est pas la quantité d’argent mais la façon dont on l’utilise… ». Comme l’a si bien écrit l’auteur brésilien Paulo COELHO.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Entrepreneurs et décideurs économiques étaient conviés par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, mardi soir, à prendre part à Auxerre à un exercice devenu aussi traditionnel que la cérémonie des vœux chaque année : la présentation dans ses moindres détails de la nouvelle loi de finances…

AUXERRE : Pour poser les jalons de ce rendez-vous annuel ô combien nécessaire à la saine compréhension dudit texte, le directeur de la chambre consulaire en personne, Jérôme MAYEL, accueillait, plutôt décontracté, les « courageux » participants à cette séance explicative, placée néanmoins sous de bons augures.

En effet, les deux intervenants qui feraient office d’orateurs dans les minutes à suivre n’étaient autres que les présidents de la Chambre départementale des notaires de l’Yonne, Me Laurent TOPIN, et son homologue, à la tête de la chambre départementale des experts-comptables, Marc DEMONTEIX.

 

 

Bref : un tandem de poids et de choc pour s’infiltrer parmi les méandres tarabiscotés des technocrates de Bercy qui ont concocté ce texte approuvé ensuite par les parlementaires.

Il fallait profiter de l’esprit de vulgarisation et de la capacité adaptative de nos deux intervenants, esthètes dans l’art de la synthèse, pour que les chefs d’entreprises, tous secteurs confondus, ne se perdent pas dans ce dédale d’alinéas fort touffus.  

 

 

 

 

Certes, la loi de finances ne fut pas abordée dans ses moindres circonvolutions intellectuelles mais bien dans ses grandes lignes.

L’exercice, agrémenté de slides visualisés à l’écran, permit aux deux spécialistes de la filière du chiffre et du droit d’analyser durant une heure et demie, avant de se soumettre au traditionnel jeu des questions/réponses, un texte, manifestement aussi complexe que celui voté l’année dernière.

L’indispensable collation qui suivit dans une salle annexe de l’amphithéâtre de la CCI de l’Yonne permit aux entrepreneurs de disserter à loisir et en vis-à-vis avec les intervenants ; sans aucun doute sur des points précis et particuliers

 

 


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Ils ont pu défendre les intérêts et les valeurs de leur filière. Cette dernière étant plutôt malmenée en termes d’emploi et de recrutement à l’heure actuelle. Reçue par deux conseillers du Premier ministre à Matignon, une petite délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accompagnée du député de la seconde circonscription André VILLIERS et de la porte-parole de l’UMIH, Corinne ROGUIER, a eu l’heureuse opportunité, deux heures durant, de pouvoir présenter en toute liberté et sans langue de bois leurs nombreuses doléances au plus haut sommet de l’Etat. Ont-ils été entendus pour autant ?

PARIS : C’est un cri du cœur qui a été prononcé il y a quelques jours par les représentants de la délégation d’hôteliers/restaurateurs de l’Yonne, accueillie à l’hôtel Matignon. Une opportunité unique pour ces dirigeants d’entreprises qui ont pu ainsi, séance tenante, dès leur arrivée et ce, durant deux heures, obtenir une entrevue avec deux proches conseillers du Premier ministre, Edouard PHILIPPE. L’objectif était de faire connaître à la gouvernance étatique leur position quant aux difficultés de recruter dans leur filière de prédilection.

Et à ce jeu-là, celle de la prise parole proposée sous la forme non protocolaire d’un tour de table nourri d’échanges, on peut dire aisément que les professionnels de l’Yonne ont su adresser les messages appropriés à leurs interlocuteurs attentifs.

Certains visiblement étaient déçus de n’avoir pu être accueillis par le Premier ministre en personne.

Mais, l’actualité sociale complexe de ce début d’année ne lui aura pas permis d’honorer ce rendez-vous, pourtant programmé de longue date.

 

 

Qu’importe ! Les Icaunais purent deviser sans retenue avec les deux fonctionnaires en charge de collecter les précieuses informations venant du terrain.

Organisée à la demande du député UDI de la seconde circonscription de l’Yonne, André VILLIERS, la rencontre est née d’une invitation faite par le parlementaire auprès de 270 chefs d’entreprise de l’est et du sud du territoire en novembre 2019. Seuls une douzaine d’entrepreneurs avaient signifié leur présence ce qui est proprement dommageable. Toutefois, il résulta au terme de ce rendez-vous conçu avec Pôle Emploi et la Chambre de Commerce et d’Industrie, qu’une initiative insolite allait poindre à brève échéance. La venue d’une délégation icaunaise vers le plus haut degré de la sphère gouvernementale !

 

Des contrats d’apprentissage qui se résilient à qui mieux mieux…

 

A la tête de celle-ci, une figure emblématique de l’art culinaire de Bourgogne mena les discussions. Francis SALAMOLARD, éminente toque de « L’Auberge de l’âtre » énonça bille en tête une longue litanie de dysfonctionnements et d’absurdités administratives qui pénalisent quotidiennement les artisans dans l’exercice de leurs fonctions.

Il dénonça au passage l’instauration du revenu universel et l’abondance de contrats de résiliation qui fleurissent désormais çà et là dans le paysage de l’hôtellerie-restauration.

Réduisant à néant tous les efforts d’intégration entrepris en amont.

« Les jeunes restent six mois à peine en entreprise, précisa le chef établi au cœur du Morvan, avant de nous claquer leur contrat de résiliation presque au nez et à la barbe en moins de quarante-huit heures ! C’est navrant… ».

Chiffres à l’appui, le nombre de résiliations de contrats d’apprentissage s’élève presque à 30 % désormais. Alors qu’à l’autre bout de la lorgnette, 7 % de contrats d’apprentissage sont signés. Le différentiel se faisant en défaveur de l’employeur…

 

 

Ironie du sort : là, où les choses deviennent cruelles dans ce type d’exemple, c’est que les frais de formation sont intégralement pris en charge par les entreprises même quand les apprentis se rendent dans les centres de formation pour y suivre leur période d’alternance pédagogique.

 

 

Quant au vivier de jeunes apprenants, il s’amenuise d’année en année. La plupart des centres de formation n’ont toujours pas atteint leurs quotas de remplissage prévus en début de saison scolaire ; ainsi, il manquerait entre 250 et 350 jeunes par établissement. Un paradoxe quand on sait que des milliers de jeunes gens pointent toujours au chômage.

Un autre problème, connexe, fut également abordé : celui des conditions offertes pour rejoindre un établissement situé en zone rurale. Problématiques du transport, du logement, des salaires intègrent le paramètre des difficultés dont il sera nécessaire de résoudre dès que possible afin de pérenniser les futurs emplois sur ces secteurs géographiques dépourvus de candidats.

Alors, l’image renvoyée par « Top Chef » autour de cette profession serait-elle un tantinet galvaudée dans la réalité ?

Changer les clichés, liés à cette filière, entre pénibilité et bas salaire (ce qui est loin d’être le cas parmi les exemples réunis sous le ciel parisien ce jour-là) mettra encore beaucoup de temps.

Les professionnels, par manque de personnel, sont contraints de plus en plus de refuser de la clientèle. Ainsi, une restauratrice d’Avallon s’est même privée de 30 500 euros de rentrée d’argent, faute de main d’œuvre qualifiée ! Un fait préjudiciable, à la limite du scandale pour l’honorable maison.

 

 

Quelques pistes à approfondir en guise de solutions ?

 

Au gré des exemples, abondamment donnés, qu’espèrent au final ces professionnels en proie à de sérieux doutes quant à la pérennité de leur outil de travail ? Quelques pistes furent ainsi glissées parmi cet inventaire à la Prévert de ce qui ne fonctionne vraiment plus en France, côté emplois, et dans cette filière. Faudrait-il accentuer les manifestations qui permettent de sensibiliser les familles et leur progéniture aux vertus positives de ces métiers de bouche ? Faudra-t-il créer une opération pilote que l’Etat viendrait soutenir et appuyer dans l’Yonne afin de revaloriser l’artisanat et ses nobles valeurs autour de métiers ayant un avenir, y compris à l’international ?  

Une chose est apparue évidente au terme de ces entretiens : remettre le mot travail au goût du jour semble être aujourd’hui l’impérieuse obligation aujourd’hui.

Sinon, au-delà de cette sonnette d’alarme qui a été tirée à Matignon avec cette visite, la filière peut s’attendre si rien n’est fait à des lendemains qui déchantent. De manière inéluctable…Ce qui n’arrangerait pas les affaires du gouvernement.

 

 


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Coutumier des interventions radiophoniques sur les ondes de France Culture, l’économiste et urbaniste, qui enseigne à l’Université de Lille 1, donnera un aperçu de son talent oratoire et de ses réflexions abouties, jeudi 06 février, lors d’une conférence-débat, articulée autour du devenir des transports et de la mobilité. Un exercice de style passionnant pour celles et ceux qui se projettent sur la réalisation d’une politique de déplacements urbains en cohérence avec les besoins d’une ville comme Auxerre et sa périphérie. A l’instar de la candidate EELV Maud NAVARRE…

AUXERRE: Maître de conférences pour l’un des centres universitaires de la métropole lilloise, Frédéric HERAN possède la double casquette d’être, à la fois, un économiste et un urbaniste hors pair, reconnu dans le sérail de la recherche et des sciences sociologiques.

Ses travaux portent principalement sur l’étude et l’analyse des déplacements urbains et leur insertion dans le système codifié par la ville selon son schéma traditionnel

Or, ce jeudi soir aux alentours de 19 heures, salle Vaulabelle, c’est bien d’Auxerre dont il s’agira en matière d’exemple de cité urbaine à analyser afin d’en tirer de précieuses suggestions devant alimenter les débats et nourrir le programme électoral. Notamment celui à la cause de la candidate Europe Ecologie Les Verts (EELV), Maud NAVARRE.

A l’occasion de cet échange public, s’inscrivant parmi les rendez-vous rendus nécessaires avec l’amorce de la campagne, les Auxerrois auront l’opportunité de comprendre ce qui pourrait se préfigurer demain en cas de victoire de la liste, « Les Printemps pour Auxerre ».

 

Ne pas tomber dans le piège du « tout transport en commun »…

 

Le chercheur au CLERSE (Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques) puisera sans doute parmi le contenu de ses deux ouvrages de référence, « La Ville morcelée, effets de coupure en milieu urbain » paru en 2011 chez « ECONOMICA » et celui de 2014, « Le Retour de la bicyclette, une histoire des déplacements urbains en Europe de 1817 à 2050 », aux éditions « La Découverte » pour brosser les grands axes de sa causerie.

L’objectif étant de ne pas proposer des solutions pour sortir du tout automobile en tombant dans le piège inextricable du « tout transport publics » qui n’est pas plus réaliste.

Au contraire, pour se dégager de cette approche sectorielle, Frédéric HERAN suggère plutôt une approche intelligente et mesurée qui prend en compte l’ensemble des modes de déplacement possibles (transports en commun, cycle, marche, ...), en évitant que certains modes se concurrencent les uns les autres et génèrent in fine des effets négatifs.

 

 


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Quand deux ferventes dames de la chanson française traditionnelle se croisent, de quoi voulez-vous qu’elles parlent ? De ce patrimoine si riche à la propagation de notre langue à travers le monde et de l’impact que certains interprètes ont eu sur la découverte culturelle de notre pays à l’international ! C’est le cas de la Russie qui, lors d’un récital du Chœur de l’Armée Russe à Paris, a favorisé cet échange inattendu entre deux étoiles de la ritournelle hexagonale : l’indémodable Mireille MATHIEU et notre ambassadrice de l’Yonne, Christelle LOURY…

 

PARIS : L’échange a eu lieu dans un cadre insolite et d’exception. Dans les travées, puis sous les ors du salon d’honneur du théâtre de l’ambassade de Russie, boulevard Lannes à Paris.

Ayant noué des liens d’amitié avec ce pays-continent qui s’étale entre l’Asie et l’Europe, l’artiste icaunaise voue une admiration sans borne pour cette contrée qui le lui rend si bien !

Plusieurs tournées ont déjà eu lieu dans l’ex-Union Soviétique qui a fait aujourd’hui de la « Marianne » de l’Yonne l’une de ses vedettes françaises préférées. La jeune femme jouit d’une véritable notoriété auprès des instances suprêmes de la nation. Y compris en haut-lieu à Moscou !

Mais, c’est bel et bien dans le cadre d’un concert donné par le Chœurs de l’Armée Russe récemment, auquel la chanteuse était invitée par Son Excellence l’ambassadeur Alexeï MECHKOV, en compagnie de son producteur et manager Pierre (son époux dans le civil) que Christelle LOURY a eu la surprise de pouvoir disserter longuement avec une autre grande dame de la chanson française, Mireille MATHIEU.

Une star éternelle qui brille toujours sous la voûte céleste de la culture francophone aux quatre coins de la planète.

 

 

Un théâtre de l’ambassade porte-bonheur pour la vedette de l’Yonne…

 

Cet échange intergénérationnel aura permis de discuter des valeurs de la chanson française, de l’un de ses pygmalion en la personne de l’inoubliable Edith PIAF, et de cette Russie, si admiratrice de ces talents venus de l’Hexagone.

Ce n’est pas la première fois que Christelle LOURY discute avec des célébrités au détour de ses pérégrinations artistiques. Récemment, la native de l’Yonne s’était entretenue de manière inopinée avec Gérard DEPARDIEU ou le fils de Marcel CERDAN.

La jeune femme a par ailleurs interprété l’un des titres de Mireille MATHIEU, « Paris en colère », par le passé dans l’un de ses spectacles, « Paris Broadway ».

Pour l’anecdote, c’est dans cette même salle, un complexe théâtral accueilli dans l’enceinte de l’ambassade à Paris, que devant cinq cents spectateurs enthousiastes la chanteuse au répertoire composé de standards immortels de la chanson française avait effectué ses grands débuts nationaux. C’était en 2015.

On ne sait en revanche si Christelle LOURY profitera de cette opportunité avec Mireille MATHIEU pour espérer travailler avec elle…

 

 


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