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Propriété de 110 Bourgogne, le « BATARDEAU », cet ensemble de silos placés telle une verrue gênante aux abords du centre-ville, est à vendre. Si des investisseurs sont intéressés par ce site, idéalement bien placé à proximité du cœur d’Auxerre et une fois rendu propre à la construction, un ensemble de logements pourrait en sortir de terre. Oui mais, voilà, tout est désormais une question de prix pour accélérer la transaction que beaucoup espèrent…

AUXERRE : Dans la continuité de la politique de rénovation et d’aménagement de ce quartier de la capitale de l’Yonne poursuivie par la Ville, l’urbanisme pourrait présenter une toute autre physionomie d’ici quelques mois.

L’édifice à l’aspect si incongru et tellement décalé dans ce paysage urbain (un ensemble de silos à grains toujours fonctionnel en limite du centre-ville) pourrait être cédé à moyenne échéance.

A la condition sine qua non que les parties en présence s’accordent enfin sur le prix réel de cette transaction plutôt insolite !

D’ici peu, un établissement public régional devrait prendre attache avec les propriétaires du lieu, en l’occurrence la coopérative « 110 Bourgogne ». La teneur de la conversation concernerait alors les modalités pratico-pratiques d’une future cession ainsi que les tarifs du bien à négocier.

L’entrepôt de grains auxerrois, vestige du temps jadis où l’agriculture était encore partie prenante de l’activité économique intra-muros de la ville, deviendrait alors obsolète. Et disparaitrait de nos regards, après démolition.

A la plus grande joie de nombreux habitants qui en déplorent l’existence et veulent s’affranchir de sa vision peu académique, malgré la présence d’une monumentale fresque artistique qui en recouvre la façade.

 

 

Se mettre d’accord sur le prix de cession…

 

Originellement, le BATARDEAU permit le stockage de céréales dont les Moulins DUMEE avaient besoin avec abondance à la fabrication de leurs différentes variétés de farines. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Visiblement, tous les acteurs de ce dossier semblent convenir de la nécessité de céder le site à vocation agricole. Il faudra dorénavant procéder aux âpres négociations en matière de prix.

Il y a peu, lors d’une conférence de presse, Guy FEREZ, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, précisait que « les partis devaient se mettre d’accord sur les prix ».

Autrefois estimée dans une fourchette comprise entre 5,5 et 6 millions d’euros, l’infrastructure agricole du BATARDEAU pourrait se vendre dans un rapport tarifaire moindre. L’estimation accrédite une cession du complexe entre 1,2 et 1,5 million d’euros.

Le désir de Guy FEREZ serait d’attirer des investisseurs sérieux, munis d’un vrai projet urbain qui permettrait à ce quartier de changer du tout au tout. Depuis la zone des MONTARDOINS jusqu’aux abords de l’Yonne sur plusieurs hectares…

 

Acheteur et vendeur doivent y trouver leur compte…

 

 

Interrogé, le président de la coopérative « 110 Bourgogne », Gérard DELAGNEAU, a confirmé qu’il était temps effectivement de se mettre autour de la table afin d’étudier la question. Mais, attention, prévient-il : « les négociations doivent satisfaire l’acheteur et le vendeur… ».

En filigrane, la coopérative ne vendra pas à n’importe quel prix ce bâtiment si décrié et convoité pour l’aménagement logique de cette zone urbaine.

Et de conclure sous forme d’une boutade : « Sinon, on remettra les tracteurs dans la ville dès les moissons revenues ou nous construirons nos propres logements coopératifs pour y installer nos retraités qui ne peuvent s’installer en Suisse ! ».

Dans l’art de l’humour qui fait mouche, le sémillant président de 110 Bourgogne sait manier la litote à la perfection !

 

 

Quant à Guillaume LARRIVE, il devait aussi réagir à cette actualité qui refait surface. S’insurgeant contre la municipalité de ne pas avoir su procéder à la vente de ces silos et à leur destruction depuis si longtemps.

« Un million d’euros avait été budgété d’ailleurs sous la mandature du préfet Pascal LELARGE, explique-t-il, les acteurs de ce dossier n’ont pas su saisir l’opportunité qui s’offrait à eux en ce temps-là. Conséquence : dix ans ont été perdus dans l’opération ! ».

Et le député des Républicains d’ajouter que « l’’intérêt des acteurs actuels est de ne pas laisser en état cette friche qui occulte la vision panoramique de la ville et de ces édifices historiques… ».

La vente du BATARDEAU sera-t-elle le feuilleton à multiples épisodes à suivre au cours de ce premier semestre ? Allez, c'est un thème dont pourrait s'emparer la plateforme NETFLIX si le manque d'inspiration lui arrivait...

 

 

 


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L’organisme d’animation et de formation de l’Yonne proposera une session thématique le 05 février prochain à la Scène des Quais consacrée à la confiance parentale. Un exercice réalisé sous la forme coutumière de saynètes, propres à la pratique du théâtre interactif...

AUXERRE : Invitée à prendre la parole avant que ne débute la cérémonie des vœux de la BGE Nièvre Yonne, Valérie OUEDRAOGO, l’une des deux cheffes de file de l’organisme pédagogique EXPONENS, a incité l’assistance, plutôt copieuse, à venir nombreuse le 05 février en ce même lieu : la péniche qui accueille La Scène des Quais.

Grâce à la participation de sa complice de toujours, Nicole CHOTARD, avec laquelle elle a créé cette structure éducative en 2007, la professionnelle de l’animation organisera ce jour-là un atelier interactif autour d’un item se rapportant à la parentalité et à la confiance à apporter dans sa relation avec l’enfant.

Selon les vertus du théâtre forum, les duettistes d’EXPONENS aborderont ce thème très intéressant à partir de saynètes élaborées selon les aspirations du public.

Précisons que ce concept vise à informer, sensibiliser et faire prendre conscience à celles et ceux qui y participent des différents enjeux comportementaux et relationnels de notre existence. Des saynètes qui sont le reflet de notre quotidien et qui induisent nécessairement un échange direct par la suite concrétisé par un débat…

 


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Sélectionnés par une centaine de jurés présents à la salle des fêtes de BEINES ce jeudi 23 janvier, les nectars de toutes les appellations millésimées 2018, sauf exception qui auront obtenu les accessits requis, concourront lors de la finale nationale organisée porte de Versailles au Salon international de l’agriculture de Paris le 23 février prochain…

AUXERRE : Voilà une présélection qui ne manque pas d’être biffée chaque année sur les agendas des amateurs de la chose vineuse. La Chambre départementale d’agriculture accueillera ce jeudi à partir de 9h30, et ce pour la matinée entière, une centaine d’aficionados de la dive bouteille pour qu’ils puissent exercer leur talent de dégustateurs hors pair d’échantillons représentatifs du millésime 2018. Sauf pour les grands crus, les Irancy millésimés 2017 et les crémants.

Ce sont en effet quatre-et-vint un viticulteurs de l’Yonne dont trois jeunes néophytes béotiens en la matière mais aussi des coopératives et négociants qui soumettront leurs produits de conception artisanale à la sagacité d’un jury éclectique mais connaisseur !

Créé en 1870 par le ministère de l'Agriculture, le Concours Général Agricole est la seule manifestation de ce type à être organisée sous le contrôle de l'État.

Attendu des professionnels comme du grand public, sa notoriété est tangible en France comme à l’étranger.

Ce concours est le rendez-vous annuel incontournable pour la viticulture icaunaise. Il permet de valoriser les productions, de mieux faire reconnaître les terroirs et de se faire référencer sur un marché de produits de haute qualité.

Quant aux enjeux économiques pour le département, ils restent incontestables. Ce concours représente une vitrine de la qualité des vins de notre terroir auprès d'une clientèle française et internationale.

 

 

 


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C’est presque devenu une vérité digne de LA PALICE ! Pour se développer et optimiser leur chiffre d’affaires, les entreprises se doivent de trouver de nouveaux financements. Toutefois, il existe un sérieux bémol à l’exercice. Au-delà d’un certain niveau de risque, le dirigeant n’a plus la faculté de pouvoir solliciter les établissements bancaires. Outre de puiser dans son bas de laine personnel, l’entrepreneur peut alors s’en remettre à des particuliers ou des entreprises locales désireuses d’investir et de demeurer au capital de la société durant un temps limité. Comme le préconise de manière officielle KUB…

AUXERRE : Un chiffre, de prime abord pour mieux appréhender le sujet. Chaque année, ce sont au moins une centaine d’entreprises, toute typologie sectorielle confondue, qui sont en quête du Graal suprême afin de pouvoir accomplir leur développement en Bourgogne Franche-Comté. Leur précieux sésame qui ne sort pas de la lampe d’Aladin se nomme les investisseurs !

Mais, ceux-ci ne sont pas légion. Ou plus vraisemblablement assez difficile à détecter. Seuls 10 % de ces dirigeants de société trouveront réellement chaussure à leurs pieds en bout de course.

Or, si le chef d’entreprise soucieux de renforcer ses fonds propres ne possède pas de deniers personnels à injecter dans son affaire, c’est la garantie assurée de rester à quai côté développement. Ou pire encore, de voir disparaître à brève échéance son outil de travail.

Aujourd’hui, un constat est observé par les exégètes en la matière : c’est-à-dire les investisseurs eux-mêmes, réunis dans des structures formalisées. Pour les entreprises à fort potentiel de croissance, il existe une absence quasi-totale de solution en phase d’amorçage pour des besoins inférieurs qui oscillent entre 300 000 et 500 000 euros.

 

Première levée de fonds dès 2016…

 

Depuis quelques années, des pistes opportunes existent. Y compris dans l’Yonne pour subvenir aux besoins des patrons ayant de réelles velléités émancipatrices. L’appel à des particuliers ou aux entreprises locales s’est donc fait grand jour. Avec plus ou moins de bonheur, par ailleurs.

Les prémices d’un tout premier club d’investisseurs, Yonne Business Angels, n’auront durée qu’un temps. Avant que le projet ne s’étiole au gré des doutes et des envies de chacun. S’employant à déployer ce que la structure sœur de « Dijon Angels » avait décliné, Yonne Business Angels aura eu le mérite de poser les jalons initiaux de cette économie participative ouverte vers des poches d’investisseurs non rebutés par le gain de perspectives financières audacieuses et solidaires, novatrices.

Puis, il faudra patienter jusqu’en 2016 pour que le concept d’un agglomérat de bonnes volontés ressurgisse sur la place de l’Yonne. Une soirée de présentation concoctée avec le concours du MEDEF eut tôt fait de sensibiliser près de cent-vingt investisseurs potentiels. Une réussite qui débouchera sur une première levée de fonds permettant à une jeune PME (ROND HOME et ses habitats circulaires insolites) de trouver ses marques. Sur les quinze donneurs de fonds, treize n’avaient jamais réalisé ce type de placement auparavant.

L’idée a depuis fait son chemin. En démontrant qu’il était possible de multiplier les investisseurs potentiels et offrir des solutions de sortie aux entreprises financées dès que la base de projets d’investissement s‘élargissait.

Dès lors, le groupe informel multiplie les rendez-vous. Il analyse les dossiers en présence des chefs d’entreprise. Il se projette sur leur avenir, pesant le pour et étudiant le contre. Rien n’est laissé au hasard.

Conséquence : une dizaine de projets retiennent l’attention de ces investisseurs en herbe qui épaississent leur cuir en matière de prise de risque et d’expériences.

Hormis un seul dossier qui sera passé aux fourches caudines de l’insuccès, toutes les autres candidatures recevront la bénédiction urbi et orbi de ce petit groupe de femmes et d’hommes qui maîtrisent à la perfection la gestion du haut de bilan.

Une de leur plus belle réussite à mettre à leur palmarès s’appelle PAPY HAPPY. La société de Joachim TAVARES vient aujourd’hui de bénéficier d’une levée de fonds d’un million d’euros en ayant créé une dizaine d’emplois et exporte désormais son savoir-faire vers l’Espagne !

 

Officialiser la démarche pour recruter des investisseurs qui s’ignorent !

 

Une assemblée générale constitutive, le 13 décembre, a validé les objectifs à poursuivre pour cette entité qui sort de l’ombre. Nom de baptême : KUB ! Pour Kick Up Business.

Outre la mise en place de circuits courts, la jeune structure qui n’a rien d’une néophyte entend apporter sa pierre à l’édifice du développement économique local. Via l’aide à la création d’emplois, d’une part ; mais surtout par le biais de la démocratisation de l’investissement en entreprise. Une aubaine dont pourrait profiter beaucoup de personnes après la connaissance du nouveau taux (crépusculaire) du livret A à 0,5 % !

A ce jour, quarante-cinq investisseurs constituent déjà le premier carré de KUB. Quelles en sont leurs motivations ?

Différentes réponses s’entrecroisent : la nature de l’activité, la localisation du projet, la fiscalité, la plus-value intéressante in fine, la participation et le soutien à un projet entrepreneurial, l’apport de l’expérience, l’aide à apporter avec ses réseaux d’affaires, la liberté totale sur la décision d’investissement et son montant…

D’autant que sur ce dernier aspect, les mises de fonds minimales débutent dès mille euros. Au cours du dernier quadrimestre, trois levées de fonds ont eu lieu pour 700 000 euros avec de jolis projets (METIS, FORMA COMPOST et La Poterie NORMANDE). Quant aux perspectives, elles augurent déjà d’une certaine réalité positive avec de quatre à six projets devant être présentés d’ici les prochaines semaines.

Géographiquement, KUB entend bien ne pas se limiter au seul territoire de l’Yonne. De deux à trois poches d’investisseurs ont été identifiées dans la Nièvre. La Côte d’Or se présente déjà dans la ligne du viseur de ce collectif.

Bref : l’heure est à l’investissement dans les entreprises en entrant au capital des sociétés. Une vraie bouffée d’air pur pour celles et ceux qui croient en un demain ambitieux…

 


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Michelin siffle-t-il la fin de l'ère BOCUSE ? Pas si simple ! Comme autrefois, pour « La Pyramide » à Vienne, où le fameux guide attendit le décès de l'emblématique Mado POINT pour rétrograder la maison à deux étoiles en 1987. Là aussi, c'est après le décès du « Général de GAULLE » de la gastronomie française, puis de son épouse Raymonde, que la sanction est tombée. MICHELIN aurait-il osé le faire du vivant de M. Paul ? On peut en douter...

TRIBUNE : Mais, procédons à un petit retour en arrière. Nous sommes début 1965. Le président de la République est le Général de Gaulle, Premier ministre se nomme Georges POMPIDOU. Quant aux BEATLES, ils sont encore en noir et blanc !

Quelques mois plus tôt, les services du guide, installés boulevard Pereire à Paris, reçoivent un jeune chef provincial, assuré et sûr de lui. C'est qu'il vient d'être titré MOF (Meilleur ouvrier de France). Il est déjà détenteur de deux étoiles. Le MICHELIN demande alors au cuisinier si les travaux dans son établissement ont avancé et si enfin les WC vont quitter le fond de la cour, pour se retrouver à l'intérieur du restaurant !

Le chef répond de façon affirmative, en montrant des photos du chantier. Il n’est autre que Paul BOCUSE !

En cette année 1965, le guide lui attribue ses convoitées triples étoiles pour la terrine de grives au baie de genièvre, la mousse de truite à la Constant Guillot, ainsi que le carré d'agneau à la broche aux herbes de Provence. Le repas y coûte 34/38 francs de la radio et l'usage de la radio est interdit en salle !
Cette proximité avec le MICHELIN sera une des particularités de ce cuisinier entreprenant et visionnaire !

 

 

Et pourquoi pas la sanctification du maître ?

 

On ne se rendait pas au restaurant chez lui ; non, on allait chez Paul BOCUSE ! La façade est clinquante couleur framboise et pistache, les plaques rappellent les crues de la Saône (1955/83).

Entrez donc : tout y brille de mille feux ! Le spectacle peut commencer dans le temple de la Gastronomie française : soupe aux truffes, filet de sole nouille Fernand Point, loup en croûte à la sauce Choron, poularde de Bresse en vessie et autres chariots de dessert...

 

 

Tous ces mets ne méritent peut-être plus les triples étoiles en 2020. C'est vrai, bien que...! Mais, le MICHELIN aurait pu (aurait dû) statufier par une distinction particulière cette maison mythique de la Gastronomie française !
Gageons cependant que Vincent LE ROUX, directeur de la maison et ses équipes truffées de MOF, sauront dans un établissement récemment rénové, se battre pour retrouver cette triple distinction.

 

 

 

Celle qui dès lors deviendra, sous l'œil taquin du Commandeur, la référence éternelle de la cuisine française. 

Pour conclure, trois citations de ce dernier : « j'ai deux bacs : un pour l'eau chaude, un pour l'eau froide ! » ou encore « Quand je vois une bonne idée,  je ne copie pas mais je fais pareil… ». D’ailleurs, il ne s'en privera pas !
Et puis cette dernière : « Il n'y a qu'une cuisine : la bonne ! ».

Ce sera le mot de la faim, « F A I M », à l'approche peut-être de l'heure du repas quand vous lirez ces lignes.

Et comme il est inscrit sur les menus de cette mythique auberge lyonnaise : « bon appétit et large soif ! ».


Gauthier PAJONA

 

 


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