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Quelle est la place actuelle de la ruralité face à l’hégémonie constante exercée par les grandes métropoles ? Partant du simple postulat que bon nombre de domaines ordinaires de la vie quotidienne ne cessent de migrer des campagnes vers ces zones d’influence puissantes (santé, éducation, culture, économie…), le député du Loiret et ancien maire de Montargis, Jean-Pierre DOOR, a évoqué ce sujet ô combien inquiétant pour la pérennité et l’autonomie des zones rurales. Invité dans le cadre de la quatrième journée des Entretiens de Champignelles, l’élu Les Républicains en appelle à la résistance. Celle des territoires ruraux qui devraient se fédérer autour de ses atouts et de pôles économiques à développer afin de pouvoir subsister face à la centralisation à outrance, préconisée par l’Etat…

CHAMPIGNELLES : Le maire rural face à la métropolisation. Voilà, une manière concrète, autour de cet énoncé liminaire, de mettre les pieds dans le plat de la réflexion constructive alors qu’une frange importante d’élus ne souhaite pas reconduire leur mandat à l’horizon des municipales de 2020 ! Lassés par tant d’incertitudes et de minimalisation de leur rôle premier…

Pourtant, cette thématique, déclinée lors de la quatrième journée de ces 29èmes Entretiens, interpellait une majorité d’édiles de Puisaye-Forterre, conviés à ce rendez-vous. D’autant que plusieurs interlocuteurs de poids devaient s’exprimer sur la nature profonde d’un sujet opportun qui embarrasse aux entournures les acteurs des territoires ruraux et urbains.

Car, derrière ce terme technocratique de « métropolisation », les effets induits commencent à se faire cruellement ressentir dans les campagnes. Département semi-rural, l’Yonne ne déroge pas à la règle dans sa globalité géographique. Que dire du territoire de Puisaye-Forterre !

Pas un jour ne s’écoule en effet sans que l’on constate que les services publics et les différentes strates opérationnelles de la sphère économique ne quittent ces zones devenues quasiment blanches de toute espérance de développement futur. Malgré les efforts méritoires d’une poignée de quarterons de la vie politique et institutionnelle locale.

Les exemples abondent. Santé, école, enseignement supérieur, culture, économie, numérique, transport…autant de pôles fondamentaux pour le devenir de la territorialité qui échappent petit à petit au contrôle des zones rurales pour se diriger de facto vers les grandes métropoles.

Que va-t-il rester à la campagne et aux structures de développement des zones rurales ? La question a eu le mérite d’être posée en guise de préambule de ces travaux réunissant les maires et leurs conseillers municipaux. Pour y répondre, entre autre, Jean-Pierre DOOR, député du Loiret et ancien maire de Montargis, venu en voisin.

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Le trop-plein de métropoles en France par rapport à l’Europe…

Apportant son propre éclairage sur le rôle de la métropolisation dans notre environnement, l’élu LR a rappelé les origines de ce regroupement. Il a été adossé à l’application de la loi NOTRe, promulgué le 01er janvier 2016, et assorti à un texte législatif portant sur la modernisation des territoires.

« Si à l’origine de ce projet de loi, asséna-t-il, seuls huit grandes métropoles étaient concernées par ces décisions, il en existe aujourd’hui vingt-deux ! Cette course à l’échalote encouragée par les maires de ces grandes villes a conduit à la création de communautés urbaines qui oscillent entre 200 000 et 400 000 habitants. Outre, Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille, Lille, Strasbourg, Toulouse, Montpellier, voire Nice et Clermont-Ferrand, des villes à dimension plus réduite en termes de densité de population à l’instar de Dijon, Tours ou Orléans leur ont emboîté le pas. Aujourd’hui, force est de constater que la France possède un nombre de métropoles beaucoup plus élevés que dans les autres pays européens. Trop, c’est trop ! Conséquence directe : cela induit un déséquilibre latent avec en toile de fond, l’interrogation suivante : existera-t-il un salut hors des métropoles ? ».

Derrière cette observation, appuyée par les travaux de certains géographes et démographes, le risque d’éloignement des territoires ruraux de ces zones hyper concentrées est dorénavant palpable. Ils risquent de tomber dans l’oubli de manière irrémédiable. Un véritable paradoxe alors que 81 % des Français considèrent la vie à la campagne comme le mode de vie idoine.

Halte aux métropoles qui siphonnent les potentialités offertes par les zones rurales

« Une métropole est faite pour rayonner. Pas pour siphonner les atouts de la ruralité, devait renchérir Jean-Pierre DOOR, à la tribune face à une assistance qui devait l’écouter religieusement, en pratiquant de la sorte, on exclut les petites villes. Celles comprises entre 20 000 et 50 000 habitants comme les nôtres qui existent sur nos territoires. N’oublions jamais qu’un quart de nos compatriotes vivent et travaillent dans les zones rurales. Sans parler des personnes qui y coulent leurs jours de retraite… ».

Enchaînant avec l’avènement de la paupérisation qui ne cesse de progresser, l’élu du Loiret constate avec amertume les effets de la disparition des services publics et leur centralisation vers les capitales régionales.

Citant le terme désertification, il précise que « ce mot de désert ne lui sied pas à l’esprit ».

Puis de poursuivre ses propos, « je préfèrerai avoir du développement sur ces secteurs où il existe un bassin d’emploi. Je milite pour conforter les petites villes, leur reconnaissance, leur cœur d’activité, en défendant les intérêts de ces communes et de leurs habitants. Curieusement, les métropolitains nous envient. Ils viennent nous visiter dès qu’ils le peuvent en s’éloignant de la pollution, du bruit et de l’insécurité. Mais, c’est à nous semi-ruraux et semi-urbains de faire valoir nos atouts multiples auprès de ces personnes. Afin de ne pas perdre ni notre identité, ni notre âme, et en sachant défendre la richesse, le patrimoine et la convivialité de nos terroirs… ».

Réclamant de vrais choix politiques à l’avenir pour ne pas sacrifier la vie quotidienne et les vitalités des acteurs de ces territoires ruraux, Jean-Pierre DOOR rappelle que les métropoles ne possèdent pas le monopole de la modernité.

« Les petites villes existent bel et bien et intègrent ce nouveau monde, celui des technologies à outrance. Notre enjeu majeur pour assurer notre sauvegarde est de se regrouper avec des communes qui gardent leur autonomie. Nous devons favoriser ces bassins de vie et d’emploi à taille humaine. En formant un PETR et en créant des associations d’intercommunalités. Cela a été le cas sur le bassin de Montargis qui accueille après la mise en place de ce dispositif, un potentiel de 136 000 habitants. Aujourd’hui, il nous faut résister face aux métropoles qui pourraient manger les zones rurales, voire les départements. Ne soyons plus aspiré par ces mégastructures qui nous entourent… ».

Une intervention qui restera sans doute longtemps dans les mémoires des participants de cette session.

 


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Conçue à partir d’un matériau qualitatif, une série de deux mille récipients, façon gobelet, vient d’être réalisée dans la commune périphérique d’Auxerre. Sa sérigraphie représentative de la localité est l’œuvre de l’un des conseillers municipaux, l’entrepreneur Alvaro de CARVALHO…

VENOY : L’objet a été officiellement présenté par l’édile de la localité, Christophe BONNEFOND, lors de la soirée inaugurale de la fresque qui habille désormais le préau de la cour de l’école primaire (voir notre article).

Œuvre de l’un des conseillers municipaux pour sa partie illustrative, il a été fabriqué en petite série par la municipalité.

Dans le souci, d’une part, de disposer d’un produit qui sera utile à la célébration de cérémonies qui nécessitent le sacro-saint partage du verre de l’amitié.

D’autre part, de disposer de cet objet pour pouvoir communiquer intelligemment et de manière subliminale autour des valeurs de la localité en le faisant circuler.

Une première série de deux mille récipients a donc été réalisée en ce mois de novembre. Ces gobelets seront mis à la disposition des associations qui en auraient usage et en feraient la demande auprès de la mairie. Engendrant de facto un judicieux système de consigne.

Il n’est pas exclu en cas de désir d’appropriation de ce produit par les habitants de la commune que la municipalité procède à d’autres tirages à l’avenir si le besoin s’en faisait réellement ressentir…


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Satisfecit pour le chef d’entreprise Icaunais, Denis PETIT. Deux de ses recettes à base d’escargots ont été distinguées au terme de la récente Foire internationale et gastronomique de Dijon. Les produits commercialisés sous l’égide de la SARL « L’Escargot Roulant » ont retenu l’intérêt des membres d’un jury, structuré autour du Groupement régional des héliculteurs, à l’origine de ce concours culinaire très prisé.

DIJON (Côte d’Or) : Elevés par Dominique ROUYER, gérant de la société « Les Escargots d’Armeau », les gastéropodes savamment cuisinés et préparés par l’entreprise de Denis PETIT ont su conquérir par la qualité de leur texture et la succulence de leurs recettes les membres du jury de ce challenge annuel.

A l’issue de l’épreuve, fleurant bon le terroir de Bourgogne, « L’Escargot Roulant » glane deux médailles d’argent. L’entreprise les obtient dans deux catégories respectives où les produits étaient soumis à l’appréciation et à la sagacité du jury.

Cet accessit sur le podium récompense ainsi le travail qualitatif fourni depuis une vingtaine d’années par Denis PETIT. Celui-ci commercialise de manière itinérante, grâce à son camion food truck, les incontournables vecteurs de la gastronomie régionale. A consommer sans l’once d’une modération !

Dans l’absolu, ses recettes d’escargots à la Bourguignonne et les escargots préparés au court bouillon se classent parmi les meilleures références de l’année.

A quelques semaines de la période des fêtes, ces deux médailles honorifiques augurent d’agréables perspectives pour l’entrepreneur Icaunais.

Rappelons que les plus grandes maisons de la gastronomie hexagonale s’approvisionnent chez lui : Ducasse, Loiseau, le Georges V, le Bristol ou le Prince de Galles…


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Dans le cadre des XXIXèmes Entretiens de Champignelles, une délégation d’élus, composée d’une soixantaine de maires et conseillers municipaux de l’Yonne, à forte majorité de Puisaye-Forterre, a séjourné en Roumanie lors d’un voyage d’étude début novembre. La thématique de ce déplacement concernait surtout la décentralisation et ses multiples effets applicatifs. A travers une analyse comparative et pertinente de cette méthode de gouvernance qui a été observée dans un autre pays de l’Union européenne. Lors d’une réception donnée à l’ambassade de France à Bucarest, les élus icaunais purent réaffirmer leur foi profonde en la construction européenne et en apprécier la richesse des relations humaines…

BUCAREST (Roumanie) : C’est sous les ors du cossu immeuble de l’ambassade de France à Bucarest que la délégation des élus de Puisaye-Forterre a pu se réapproprier le temps d’une soirée solennelle une petite partie de notre territoire en terre étrangère. Avec ses fastes de préséance et ses traditions protocolaires. Les hôtes de Bourgogne Franche-Comté devaient profiter de l’accueil chaleureux de ressortissants français, expatriés loin de chez eux et servant les intérêts et le bien-fondé de la nation.

Reçus dans les salons d’honneur de son Excellence l’ambassadrice, Michèle RAMIS, les élus de l’Yonne ont pu apprécier le degré de relation existant avec les autorités roumaines. La présence d’une secrétaire d’Etat et de plusieurs dignitaires de l’état-major gouvernemental conférèrent un crédit supplémentaire à cette initiative annuelle, à savoir une immersion dans l’un des pays européens afin de découvrir lors d’un court séjour les rouages fonctionnels du territoire d’accueil.

D’ailleurs, le choix de la Roumanie n’a finalement pas été laissé au hasard pour l’accomplissement de ce énième voyage automnal hors des frontières de la Bourgogne septentrionale. Sans doute, l’observance du calendrier a dû inciter les concepteurs de ces Entretiens de Champignelles à biffer sur leur agenda la destination de Bucarest. Par pure logique, en somme.

Une méconnaissance de ce territoire vue de France…

En effet, le vaste pays des Balkans accèdera à la présidence de l’Union européenne au 01er janvier 2019. Une présidence de six mois, avant de passer le relais à un autre membre de l’Union, mais qui permettra d’apporter un éclairage supplémentaire sur ce pays, bordé par l’Ukraine, la Hongrie, la Moldavie, la Serbie et la Bulgarie. Sa partie orientale étant largement baignée par les eaux chaudes de la Mer Noire.

Mais depuis notre jardin, que sait-on réellement de ce pays des Carpates, et du comte Dracula, pour l’évocation mystique à la limite de la légende ? Bien peu de choses, en vérité.

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Les récentes phases évolutives de cet état, placé il y a encore une quarantaine d’années sous le joug de la dictature totalitaire imprimée par Nicolae CEAUCESCU et sa muse, ne sont peut-être pas si éloignées que cela. Si ces références idéologiques ne figurent plus dans les esprits d’une large frange de la population, les stigmates de la sanglante révolution de 1989 sont, elles, bien visibles parmi les artères principales d’une capitale, parfois défigurée par l’imposante cohorte de bâtiments à la grandiloquence soviétique. Les impacts de balles sur les murs des immeubles et autres habitations rappellent qu’ici, dans ses rues, des femmes et des hommes se sont battus pour recouvrer leur envie de vivre. En toute liberté.

Les échéances européennes en toile de fond…

Nul ne pouvait ignorer parmi l’assistance que l’année 2019 renverrait les peuples d’Europe vers le chemin des urnes. Un scrutin majeur dans la construction et le renforcement de ces liens indéfectibles qui créent le sentiment de fraternité et de paix retrouvés. Afin de contrer tous les populismes qui s’éveillent de part et d’autre du Vieux Continent. Des faits troublants, comme devaient le signaler plusieurs intervenants lors de la prise de parole.

Certes, les propos officiels, exprimés par les uns, et tenus par les autres, traduisirent tour à tour ce besoin d’unité et de cohésion inéluctable. Révélant ainsi que cette amitié franco-roumaine est plus sous-jacente que jamais.

Ayant rejoint l’Union européenne en 2007, la Roumanie veut y jouer un rôle prépondérant. A l’identique d’autres nations de l’ex-bloc de l’Est, autrefois sous influence nocive du communisme : la Pologne, la République tchèque, la Hongrie.

Prêter vie à une reconnaissance universelle par le biais de ces échanges constructifs aura été l’un des leitmotivs entendus et partagés au cours de cette soirée si particulière au charme suranné.

Dans le respect et l’écoute de l’autre. Dans l’échange des présents et de souvenirs immuables. Avant que le groupe d’élus ne se prête au jeu de l’immortalisation de leur image, séance photographique à l’appui.

Début avril, un nouvel épisode de cette amitié franco-roumaine s’organisera dans l’ancienne capitale des Gaules, à Lyon. Via la coopération entre les organismes institutionnels et politiques de ces deux états qui se retrouveront lors d’assises internationales visant à optimiser des liens déjà très ténus.

Quant aux élus de Puisaye-Forterre, ils auront eu, eux-aussi, grâce à ces rencontres opportunes et réussies le sentiment d’avoir pu contribuer à leur manière, par leur écoute attentive et l’intérêt accordé à ces échanges à caractère officiel, au renforcement de ces liens de coopération si utiles et tangibles que rien ne viendra altérer.


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Concocté en partenariat avec le Bottin Gourmand et le Crédit agricole Champagne Bourgogne, le concours des Talents Gourmands joue avec les nerfs des candidats. Ces derniers devront se disputer le titre suprême de l’édition 2018…au premier trimestre de l’année prochaine. A la suite du report, non imputable aux organisateurs de l’évènement. Dès lors, la pression psychologique est maintenue pour les finalistes régionaux qui sont répartis dans trois catégories : agriculteurs, artisans des métiers de bouche et restaurateurs.

DIJON (Côte d’Or) : Les futurs prétendants aux Talents Gourmands 2018 doivent encore s’armer d’un peu de patience avant de toucher le Graal. Les neuf finalistes du terroir de Bourgogne Franche-Comté devaient en découdre lors des finales âprement disputées le 19 novembre. Mais, le sort en a été autrement. Les organisateurs devant se résoudre à bouleverser leur agenda et à annuler sine die la manifestation prévue dans l’Aube.

Mais, cela n’est que partie remise. Comme devait le confirmer le service communication du Crédit agricole Champagne Bourgogne, via un communiqué de presse diffusé la semaine dernière.

Proposé dans de nombreux territoires de l’hexagone, ce challenge n’a d’autres objectifs que de valoriser et mettre à l’honneur les professionnels de la filière artisanale.

Ainsi, des centaines de candidats s’inscrivent en tentant leur chance et en comptant sur leur savoir-faire pour séduire le jury, composé de spécialistes. Rien que dans notre contrée : ce sont près de 40 agriculteurs/viticulteurs, mais aussi des artisans de métiers de bouche et des restaurateurs qui se sont référencés.

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Des récompenses numéraires et de la publicité pour les lauréats…

Puis, la sélection s’est faite par terroir. Neuf finalistes ont donc été sélectionnés pour leurs aptitudes et qualités professionnelles, et leur capacité à travailler et à sublimer les produits régionaux. Parmi lesquels, trois agriculteurs/viticulteurs, trois artisans des métiers de bouche et trois restaurateurs.

Une fois la nouvelle date connue, le jury sera à pied d’œuvre pour départager ces valeureux concurrents. Les trois vainqueurs, issus de cette sélection régionale, recevront une récompense appréciable de la part du Crédit agricole Champagne Bourgogne.

L’établissement bancaire remettra aux lauréats une enveloppe de 3 000 euros et leur offrira des encarts publicitaires dans la presse régionale. Mais, un bonheur ne venant jamais seul, d’autres dotations, fournies par les différents partenaires liés au concept, viendront grossir le bas de laine des heureux vainqueurs de l’édition 2018. Les autres finalistes n’y perdront pas au change puisqu’ils repartiront avec une récompense de mille euros.

Parmi la liste des neuf finalistes, figurent trois entrepreneurs de l’Yonne : Alexandre RIVALLAIN, de la confiserie « Maison GRAMM’S » à Auxerre et Aymeric LUCZKIEWICZ, artisan à la tête de la SARL PYNEAU PRUNUTZ à Chablis (spécialité de gougères). Tous deux concourront dans la même catégorie : les artisans des métiers de bouche.

Quant à Jean-Raphaël PERSANO, restaurateur de la « Table du Martin Bel Air » à Saint-Martin du Tertre, il affrontera d’autres confrères dans la catégorie propre à sa filière professionnelle. A contrario, aucun candidat icaunais n’a été retenu dans la catégorie des agriculteurs…

 


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