Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Présent à Dijon, la semaine dernière lors de la signature de la convention de partenariat avec la Région Bourgogne Franche-Comté, le numéro un du groupe EDF a salué l’opportunité heureuse de cette initiative bipartite. Celle-ci permettra d’accélérer la transition énergétique au cœur des territoires ruraux de notre contrée. Développée dans un esprit de fraternité et de solidarité territoriale, cette stratégie représente l’une des thématiques chère à la culture d’entreprise véhiculée par le biais de ses engagements par le producteur et distributeur d’énergie.

DIJON (Côte d’Or) : Promouvoir des solutions sobres et bas carbone dans l’intérêt général du territoire. Limpide et illustré d’exemples, le message du président-directeur-général du groupe EDF, Jean-Bernard LEVY aura été compréhensible de tous. C’est-à-dire d’une assistance composée d’élus et de représentants institutionnels à l’écoute attentive de l’explication de texte, constructive autour de la transition énergétique, prononcée par le dirigeant du groupe leader de la production et distribution d’énergie.

S’exprimant à la tribune de l’hémicycle du Conseil régional, Jean-Bernard LEVY commenta longuement la genèse de ce texte qui accroît le partenariat, signé aux côtés de la présidente de Région, Marie-Guite DUFAY.

Premier producteur d’électricité régional à partir d’énergies locales et renouvelables, EDF fournit aujourd’hui 100 % d’électricité de manière « décarbonée » à notre territoire. Une identité décisionnelle qui devrait perdurer dans le temps.

« Dans le cadre du Plan solaire qu’EDF a annoncé fin 2017, nous allons continuer à développer sur le territoire de Bourgogne Franche-Comté ces énergies renouvelables, précisa le PDG LEVY.

Ainsi, trois nouveaux projets de fermes photovoltaïques, des dossiers encore à l’étude à l’heure actuelle, devraient se finaliser dès 2019. Avant que d’autres concepts de cette même typologie ne viennent s’agréger aux projets initiaux.

La Bourgogne Franche-Comté : un territoire à énergie positive et zéro déchet d’ici 2050

Adhérent aux actions prioritaires menées par la Région (l’emploi, l’environnement et la fraternité), EDF désire à son tour contribuer à la mise en œuvre de cet essor. Comment ? En développant l’activité économique et l’attractivité des territoires qui composent la Bourgogne Franche-Comté.

« Ces items représentent les possibles champs de coopération définis par la convention que nous venons de parapher, argumente le PDG du groupe EDF, il nous faut mener en partenariat des opérations concrètes visant à promouvoir des solutions sobres, performantes et bas carbone dans tous les secteurs : les bâtiments résidentiels ou tertiaires, les activités industrielles, mais aussi les transports en favorisant le rayonnement de la mobilité électrique et/ou hydrogène… ».

Une série de projets répondant à l’optimisation de la meilleure efficacité énergétique.

A son actif, le groupe national développe déjà différents modes de production d’énergie novateurs, à l’instar de la valorisation des déchets ménagers ou la production de chaleur à partir de biomasse, notamment le bois.

« A titre d’exemple, ajoute Jean-Bernard LEVY, je citerai le rôle essentiel joué par notre filiale DALKIA qui, exploite aujourd’hui sur la Bourgogne Franche-Comté, quatorze réseaux de chauffage urbain, vingt-six chaufferies biomasse et huit cogénérations. Raccordés aux réseaux de chaleur, ces bâtiments réduisent le Co2 de près de 3 000 tonnes annuellement… ».

Autre volet devenu incontournable dans le mix énergétique préconisé par EDF et l’encouragement accordé aux énergies renouvelables : la voie conduisant à la méthanisation.

« Nous avons instruit plusieurs projets en ce sens et réalisé, en partenariat avec la Région, nos premiers dossiers de récupération d’énergie auprès d’industriels, confie le PDG du groupe, ce qui nous prouve l’efficience de notre complémentarité… ».

milieu articles

Favoriser le développement de l’activité économique et de l’emploi local…

Affirmant son ancrage territorial, suivant ainsi une politique efficace orientée vers l’emploi, EDF génère aujourd’hui plus de 700 millions d’euros d’achats auprès des entreprises de la région.

« Nos activités de production et d’ingénierie nous permettent de répondre présent en toute circonstance, avec l’appui de nos 5 000 collaborateurs, et par le biais de toutes les entités du Groupe confondues, ajoute Jean-Bernard LEVY, une chose est sûre : avec la signature de cette convention, EDF demeurera un contributeur majeur de l’industrie régionale en Bourgogne Franche-Comté ».

Expliquant que l’insertion professionnelle des jeunes constituait une priorité essentielle à ses yeux, le PDG du groupe s’est engagé ouvertement en faveur de l’emploi. Citant, en qualité de principal donneur d’ordres du pôle de compétitivité national pour le nucléaire (« NUCLEAR VALLEY »), basé à Chalon-sur-Saône, que cette filière générait sur le territoire 45 000 emplois directs et indirects.

« Nous avons à renforcer une ambitieuse politique de formation, et d’aide à l’emploi, pour permettre aux entreprises de recruter des personnels qualifiés. Nous avons une approche identique pour les nouveaux métiers du solaire, ou de l’éolien. Pour ne citer que deux exemples : cela se concrétise grâce à la mise en place d’une formation dédiée à l’exploitation des parcs photovoltaïques au lycée de Montbard ou le lancement de l’école de production de Chalon-sur-Saône. L’objectif étant de former des jeunes aux métiers de l’usinage. Mais, dans tous les cas, il s’agit pour notre groupe de développer résolument l’emploi local pour répondre aux besoins de la filière énergie et plus largement de la filière industrielle, en favorisant l’insertion professionnelle des jeunes… ».

La fraternité, le troisième axe prioritaire de cette convention…

Comme devait le rappeler le président directeur général du groupe EDF dans ses propos, « la solidarité intègre la notion culturelle de service publique de l’entreprise. C’est notre ADN historique ! Fort de cela, aucun territoire ne doit être négligé, aucun habitant ne doit être exclu de cette démarche de transition énergétique.

Dans le cadre de cette convention, nous nous efforcerons de rechercher avec l’ensemble de nos partenaires des complémentarités entre l’urbain et le rural. Afin que personne ne soit laissé de côté, et que chacun puisse contribuer, avec ses capacités, à cette évolution sociétale… ».

C’est dans cet esprit consensuel et positif que ce partenariat prend donc forme dorénavant. Au bénéfice de toutes les personnes qui résident en Bourgogne Franche-Comté.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Associée à son partenaire WIZBII, plateforme professionnelle spécialiste de l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes, la Banque Verte reconduit le judicieux concept « Premier stage, premier job ». Une nouvelle déclinaison de ce dispositif se déroulera le 11 décembre à Dijon, sous la forme d’un job dating. Lors de sa première édition, l’année dernière, l’initiative a fait largement ses preuves. 83 % des entreprises participantes ont envisagé, voire entamé, depuis un processus de recrutement. Tandis que 71 % des jeunes gens sensibilisés par cette mise en relation directe avec les services RH des entreprises, devaient la trouver fort utile dans leur recherche d’emploi…

DIJON (Côte d’Or) : Initié à l’échelle de l’hexagone, le concept « Premier stage, premier job » se révèle être un réel succès pour ses organisateurs. Traduite par le déroulement de 80 opérations de « job dating », déclinées entre septembre 2017 et juin 2018, l’initiative portée conjointement par le Crédit agricole et WIZBII, a fait ses preuves.

L’animation a su séduire à la fois les jeunes en quête d’un précieux sésame leur permettant d’intégrer la vie active mais aussi les entreprises. Par le biais de leurs responsables des ressources humaines qui n’ont jamais boudé leur plaisir d’assister à ce type de rencontres.

A chaque rendez-vous, ce sont entre 60 et 80 candidats qui se réunissent dans un lieu convivial autour d’un apéritif dînatoire pour échanger avec les dirigeants et cadres d’entreprises. Des moments privilégiés qui permettent aux jeunes d’obtenir des contacts directs avec les recruteurs de la région.

milieu articles

Briser le cadre traditionnel d’un entretien classique

Ce travail de proximité et de réseau comporte de sérieux avantages pour les interlocuteurs des deux parties. Les codes ordinaires des entretiens professionnels volent en éclat. Réunis dans des lieux insolites (musées, bars, opéras, châteaux, stades de football et même aquarium !), les participants se déconnectent avec volontarisme d’un protocole cérémonial superfétatoire pour présenter leurs arguments en toute convivialité. Le bilan est plutôt surprenant : cela fonctionne parfaitement bien !

La saison dernière, à l’échelon national, 102 manifestations ont ainsi été proposées. Elles ont permis l’accueil de plus de 6 600 candidats, préalablement sélectionnés, et 825 entreprises. Le nombre de postes à pouvoir s’élevait, quant à lui, à 1 800 offres.

Alors que 34 caisses régionales du Crédit agricole ont rejoint l’initiative, celle de Champagne Bourgogne a opté dès 2017 son choix d’être un acteur essentiel de ce concept dynamique.

Trois opérations de job dating ponctuèrent le calendrier 2017/2018, à Auxerre, Dijon et Troyes. 170 candidats y prenaient part. Ils ont eu l’opportunité de pouvoir rencontrer 25 entreprises de la région.

Le 11 décembre, la capitale de Bourgogne Franche-Comté accueillera le premier des rendez-vous proposés cette saison. Une dizaine d’entreprises ont déjà confirmées leur présence. Parmi celles-ci, Super U ou le Crédit agricole. Elles y dévoileront leur stratégie en matière de recrutement, recherchant de futurs collaborateurs.

Des postes de développeurs informatiques, responsables HSE, responsables achats, responsables communication et marketing, attachés commerciaux, mais aussi de commerciaux de terrain, conseillers commerciaux, managers et employés commerciaux ou hôtes de caisse seront à pourvoir.

Les candidats doivent obligatoirement s’enregistrer sur le lien suivant (https://bit.ly/2Pm8x25) pour y prendre part. Il est possible de contacter la plateforme WIZBII (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.) ou le lien téléphonique, 06.69.67.10.87.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Proposée par l’Association française des dépendants en rétablissement (AFDER) en partenariat avec le Réseau de santé mentale de l’Yonne (RSMY) et l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), cette intervention grand public aura pour socle informatif la découverte des multiples dommages occasionnés par le cannabis sur les personnes qui en sont dépendantes. Cette conférence verra la présence sur scène de Sandra MARCELLIN, psychologue au RSMY et Julien CHARTIER, président national de l’AFDER, réunis à l’amphithéâtre de l’IFSI à Auxerre ce mardi 04 décembre à 20 heures pour une séance explicative… 

AUXERRE : La consommation de cannabis connaîtra-elle un jour la voie de la démocratisation dans notre pays ? A l’instar de plusieurs états européens, dont les Pays-Bas et l’Espagne qui ont déjà statué en ce sens, d’aucun pense en France qu’il est grand temps de vulgariser l’usage de ce produit illicite, bien au-delà de son emploi à des seules fins thérapeutiques.

Pourtant, c’est un tout autre signal d’alarme qui sera tiré mardi soir dans le vaste amphithéâtre de l’IFSI, l’Institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier d’Auxerre.

Ce lieu d’enseignement pédagogique pour les futures professionnelles de santé accueillera une conférence publique passionnante, consacrée à cette substance. Ce sera aussi une excellente opportunité de mieux en appréhender les effets insidieux sur le comportement de ses consommateurs.

D’ailleurs, l’envie grandissante de socialisation de cette résine néfaste au psychisme humain inquiète de plus en plus les spécialistes de la question. Par exemple : le directeur de la résidence Mémoires de Bourgogne, un EHPAD qui accueille des personnes âgées sur la commune de Perrigny, Philippe WATTECAMPS.

milieu articles

Sensibiliser l’opinion publique avec le concours des réseaux influents

Sensibilisé à ce problème, il s’est mobilisé en sa qualité de professionnel du milieu sanitaire et social pour faire partager ses craintes sur la banalisation du cannabis en France.

Au même titre que l’alcool et le tabac, le cannabis est considéré comme une plaie béante dans la société contemporaine. Le responsable de l’établissement de gérontologie n’a pas hésité à prendre l’initiative de porter ce projet de causerie officielle.

En l’espace de quelques semaines, et avec la complicité de partenaires sérieux du sérail sanitaire dont l’Agence régionale de Santé (ARS), le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse primaire de l’Assurance maladie, il a monté de toute pièce ce projet qui a pris échos auprès du président national de l’AFDER, Julien CHARTIER.

Ce dernier effectuera le déplacement depuis l’Ile de France mardi soir pour expliquer ce qu’est la structure associative qu’il préside en présentant son programme d’aides.

Le choix de l’IFSI s’imposait en parfaite logique. Le centre de formation prépare les futures infirmières.

Premiers temps fort de l’intervention, les commentaires de la psychologue Sandra MARCELLIN, du RSMY, rappelleront les interactions positives et négatives de la substance dans ses cadres préventifs et curatifs. Les effets délétères de la résine sur ces utilisateurs y seront expliqués.

Puis, Julien CHARTIER séquencera son propos en deux items : la présentation et le rôle de l’AFDER avant d’aborder dans le détail les programmes d’aides existants pour arriver à décrocher totalement de ce fléau. Il devrait évoquer également les protocoles mis en place par deux cliniques en France qui ont adopté des techniques particulières importées des Etats-Unis.

Ouvert à tout public, l’entrée de cette conférence est gratuite. La capacité d’accueil de l’amphithéâtre étant de deux cents places, il est recommandé de réserver en se manifestant auprès de la référence suivante : 06.61.66.40.33.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Inscrit dans sa politique de gestion du risque, le déploiement de services d’accompagnement en santé pour favoriser la prévention et l’organisation du parcours de soins est devenu l’un des axiomes essentiels de la Caisse primaire de l’assurance maladie en France. Près de 15 millions de personnes souffrent aujourd’hui de pathologies chroniques, dont plusieurs milliers sur le seul département de l’Yonne. En s’engageant aux côtés des patients, l’organisme veut apporter une aide tangible aux assurés afin qu’ils deviennent les véritables acteurs de leur santé…

AUXERRE : Depuis une décade, l’engagement mené par les services de la C.P.A.M. n’a jamais faibli d’un iota. Au contraire. Face à la hausse croissante des maladies chroniques observées à travers l’Hexagone et les risques de complication inhérents à ces pathologies, l’Assurance maladie ne cesse d’intervenir auprès des assurés pour les alerter sur les dangers bien réels qu’ils encourent en cas de manquements.

Plusieurs programmes de santé sont ainsi déclinés désormais. De prime abord, ils favorisent la prévention. Mais, surtout, ils facilitent l’organisation du parcours de soins. En garantissant une pérennisation de celui-ci aux assurés bénéficiaires tout au long de leur existence.

Dix ans après la mise en exergue des premiers accompagnements, l’Assurance maladie renforce son dispositif. Elle l’a élargi à la prévention primaire. La grippe, le diabète, l’asthme, les problèmes bucco-dentaires sont autant de thématiques importantes qui ont complété le nécessaire dépistage du cancer, le retour à domicile après une hospitalisation, l’aide au sevrage tabagique ou la vaccination.

SOPHIA diabète : des répercussions positives sur le suivi des  patients…

Apparu en 2008, le programme d’accompagnement des personnes diabétiques SOPHIA recense à ce jour 4 627 adhérents. Soit plus d’une personne sur trois concernées sur le territoire de l’Yonne par cette insidieuse pathologie. Ce service offre un bilan positif de son action. Non seulement, le suivi de la patientèle a gagné en efficience, mais en outre, le coût de sa prise en charge pour la collectivité est moindre.

Ombre au tableau sur un aspect purement statistique, on est encore loin du compte au niveau de la mobilisation globale des malades. 12 031 personnes sont éligibles à ce service. Il reste encore un long travail d’information et de sensibilisation pour la C.P.A.M. qui se veut philosophe vis-à-vis de cette situation.

Ces efforts de communication se muent par un élargissement des canaux. Les inscriptions en ligne, par le biais des outils numériques, se sont multipliées après juin 2017 grâce au support, ameli.fr.

SOPHIA asthme : des débuts prometteurs dans l’Yonne

Etendu aux patients asthmatiques dès le printemps dernier, le service SOPHIA asthme enregistre 196 bénéficiaires. Pour un total de 2 263 personnes éligibles. Optimistes, les responsables de la Caisse primaire de l’assurance maladie s’attendent à une recrudescence des adhésions dans les mois à venir. Notamment, auprès de la tranche d’âge des 18/44 ans.

Repérés parmi les fichiers de santé, les inscriptions, sous le sceau du volontariat, demeurent gratuites pour les assurés.

milieu articles

Grâce à la structure TAB’AGIR, l’accompagnement au sevrage tabagique permet d’obtenir également de bons résultats parmi la population icaunaise. L’opération « Mois sans tabac », relayée par les médias, contribue à la réussite de ces animations.

Conséquence, plus de 400 personnes ont été ainsi sensibilisées aux accueils de la C.P.A.M. et du C.E.S. (le centre d’examens de santé) de l’Yonne à Auxerre. Une soixantaine d’entre elles se sont inscrites à une consultation formelle de lutte contre les effets tabagiques.

Une nouvelle phase a d’ailleurs été franchie en 2018 avec le passage du forfait d’aide au sevrage de 150 euros par an et par assuré, à une prise en charge de droit commun des traitements nicotiniques de substitution.

Le retour à domicile soutenu par le programme PRADO

Depuis 2010, il existe trois volets à ce programme. Ils ont été mis en place pour accompagner le retour des personnes après une hospitalisation. Ainsi, les jeunes mamans après leur séjour à la maternité.

1 578 bénéficiaires de ce service ont pu profiter de cet accompagnement dans l’Yonne à fin septembre. Dont 157 mères qui ont pu être suivies dans le cadre d’une sortie précoce. PRADO concerne les jeunes mamans ayant accouché par césarienne depuis 2014.

Qu’il s’agisse d’opérations orthopédiques, digestives, gynécologiques ou autres, les interventions chirurgicales entrent dans le champ d’application de ce programme. 195 personnes ont été concernées cette année dans ce cadre précis.

On peut y ajouter aussi les pathologies chroniques (insuffisance cardiaque, bronchopneumopathie, plaies…) : elles se sont rapportées à 132 patients.

Grâce à ce système qui favorise le maillage territorial et la complémentarité offerte par l’ensemble des professionnels de santé, PRADO obtient des résultats très encourageants. Le taux de mortalité est d’ailleurs impacté et ramené à 2,9 % au lieu de 3,5 % dans le cas où on s’approprie ce programme de reconduction à domicile dans un cadre largement optimisé.

Dans l’Yonne, 2 062 assurés avaient bénéficié de ce processus à fin septembre.

Le Centre d’examens de santé (C.E.S.) : le bras armé de la C.P.A.M.

Complémentaire à la médecine de ville, le rôle du C.E.S., opérationnel depuis 1968, est de préserver la santé des personnes fragiles et précaires. Si la structure réalise plus de 8 400 bilans annuels, elle assure en parallèle des contrôles habituels le rattrapage vaccinal, opération qui est proposée dans le cadre du bilan de santé depuis cette année.

L’éducation thérapeutique des personnes vulnérables s’inscrit parmi ses priorités. Le centre travaille en s’appuyant sur des unités mobiles (celles d’Avallon, de Sens et de Tonnerre) afin de renforcer son action.

Enfin, pour être tout à fait sur ses missions, le C.E.S. est également intégré dans le dispositif de dépistage du renoncement aux soins.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Encore auréolée de sa série de concerts qu’elle a donnés au Théâtre des Muses dans la principauté monégasque, la chanteuse icaunaise clôt l’année 2018 de la plus belle manière qu’il soit. Elle invite ses fidèles mélomanes à la suivre dans son cheminement artistique lors de deux ultimes prestations, proposées dans sa ville natale de Sens.  Les 15 décembre, sur la scène du coquet théâtre local, l’interprète des œuvres éternelles de Piaf et de Barbara offrira un florilège de morceaux, issus du répertoire éclectique de la chanson française. Cerise sur le gâteau : la « jolie fleur » de ce « Jardin de soi » hétéroclite dévoilera ses compositions personnelles. Immortalisés, les récitals seront captés en perspective d’un premier opus en live…

SENS : Samedi 15 décembre à 16 heures et à 20h30. Ce sera un ultime tour de piste à honorer pour l’artiste sénonaise, avant qu’elle ne tire le rideau sur une année particulièrement dense. Ces deux récitals qu’elle accorde à son public originel, celui de sa ville natale qui l’a toujours suivi depuis ses débuts, ne devraient pas être dépareillés des autres rendez-vous scéniques qui caractérisent ses remarquables prestations.

Chaleureux, enthousiastes, enivrants, magiques. En communion fusionnelle avec son public, l’ambassadrice de charme de cette terre de l’Yonne, dynamique et lyrique, exporte les facettes protéiformes de son talent au-delà des frontières de l’hexagone.

La tessiture de sa voix, cristalline, mêlant puissance et douceur, joue sur les octaves et la respiration. Elle se pose délicatement sur les textes écrits par des auteurs qui ont su servir avec panache les plus grands noms de la chanson et variété françaises.

« Jardin de soi » : un voyage intimiste parmi l’univers de l’artiste

Barbara, Piaf, Greco, mais aussi Dalida, Jeanne Moreau ou encore Françoise Hardy s’invitent avec délectation sous la lumière des projecteurs dès que la « Môme » Christelle entre dans la danse.

Le set se déroule ainsi pendant près de deux heures avec bonheur, grâce à l’interprétation sensible d’une artiste qui ne triche pas avec ses émotions. Ni avec celles et ceux qui l’apprécient.

Nous conviant à un voyage intimiste dans ce « Jardin de soi », la chanteuse, devenue mâture et ultra professionnelle jusqu’au bout des ongles depuis qu’elle promène sa silhouette sur des scènes internationales (Pologne, Russie, Etats-Unis…), grâce au travail dévoué de son époux, Pierre, manager, producteur et organisateur de concerts parfois improbables, baisse la garde.

milieu articles

Déjà à travers le sens déontologique de ce double récital, baptisé « Jardin de soi ». Une subtile référence littéraire qui se joue de l’étymologie autour du jardin secret (celui que l’artiste porte bien ancrée en elle), du jardin d’Eden (ce côté paradisiaque qu’elle souhaite procurer à ses aficionados lors de ces précieux instants partagés sur scène) et du simple jardin botanique, où éclosent de belles pépites, ces pétales de roses qui prennent l’apparence de chansons superbement distillées, formant d’incomparables bouquets de fleurs à l’envoûtante beauté.

Ensuite, parce que pour la première fois, la chanteuse se met à nue. Par le truchement de ses textes et compositions. Christelle LOURY, femme rebelle mais aussi femme conquérante dans ce milieu artistique parfois machiste revendique les atours de la féminité. Les conditions de celles-ci au cœur d’une société où elles sont de plus en plus malmenées…

Fraîches, incisives, narratives : ces chansons qu’elle a su élaborer patiemment en prenant le  temps de la réflexion et du phrasé juste évoque l’amour, le quotidien de l’existence, la vie, tout simplement. L’auteure flirte aussi avec des thèmes plus actuels comme l’environnement.

Le calibrage hors pair d’instrumentalistes de métier

L’inaltérable compagnon de route musicale, pianiste et arrangeur de son état, François MAGNIER officiera de manière prépondérante derrière le piano. Lui, le musicien qui a collaboré avec Michel LEGRAND, Robert HOSSEIN et Luciano PAVAROTTI. Excusez du peu, mais l’artiste de l’Yonne sait s’entourer de réelles pointures pour porter haut son niveau de prestation scénique. Christelle a choisi de confier les notes de basse à un ancien partenaire du regretté Didier LOCKWOOD, Flavio PERRELLA.

Leader du groupe « BUZZTOWN », le guitariste Hugues RENAULT régalera le public de sa virtuosité, en égrenant les notes avec dextérité technique. Quant au batteur et percussionniste, qui complète ce quatuor, Jean-Baptiste PINET, il est issu de la grande famille des musiciens de jazz. Autant le dire : c’est  un surdoué des fûts et des toms.

Et le public, dans tout cela ? Outre le principe naturel de venir applaudir l’artiste pour la qualité de sa prestation, il aura lui aussi un rôle essentiel à interpréter. En parfaite osmose avec la philosophie et le concept participatif de ce spectacle.

Une petite carte lui sera remise avant le show. Ce document servira à cocher les préférences musicales de chacun. Les morceaux les plus plébiscités par l’auditoire devant constitués ensuite la liste de chansons qui figurera sur l’enregistrement public. L’album, soit sous la forme d’un CD, soit disponible en téléchargement sur le numérique, permettra de prolonger ces instants de magnificence culturelle dont on ne se lasse jamais.

Christelle LOURY en concert au théâtre de Sens le 15 décembre 2018 à 16 h et à 20h30.

Réservation : 03.86.83.81.00.

Site : www.theatre-sens.fr

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil