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L’infrastructure médicale, prolongement logique des activités de la Caisse Primaire d’Assurance maladie de l’Yonne, détient un joli record, démontrant l’excellence de son efficacité. Avec près de 8 500 bilans réalisés par an, le CES dépasse de deux mille consultations ce qui se pratique d’ordinaire dans d’autres établissements de l’Hexagone. Un chiffre significatif de la dynamique dans laquelle s’inscrit l’action de ce centre qui requiert un budget de fonctionnement annuel de l’ordre de 2,5 millions d’euros…

AUXERRE : Cinq décades après ses débuts, on ne peut que constater l’évidence : l’efficience de cette structure médicale tournée pour l’essentiel vers les personnes en situation de précarité. Le Centre d’examens de santé (CES) incarne à lui seul le symbole abouti de politiques nationales en matière de prévention et de soins qui répondent aux réels besoins de la société.

A commencer par celles et ceux qui n’y avaient pas droit ou s’en étaient trop éloignés du fait de leur situation personnelle au fil des années. Bénéficiant d’une gestion saine et rigoureuse, au cordeau comme le stipuleraient certains économistes aguerris, l’établissement piloté par la CPAM de l’Yonne réalise un important travail préventif ; bien en amont de la découverte des pathologies. Une anticipation salutaire pour l’humain qui y est pris en charge, une anticipation salvatrice pour l’institution sanitaire qui peut ainsi concevoir une économie de plusieurs millions d’euros chaque année dont profite la collectivité.

 

 

Un établissement qui bénéficie des ultimes technologies préventives…

 

Bref : on l’aura compris l’outil est bénéfique à moult égards dans notre paysage social actuel. Chaque bilan de santé ne revient qu’à un coût modique de 226 euros par personne/assuré/consultant selon les ultimes évaluations datant de 2018.

Chaque campagne de sensibilisation assure, au-delà des soins que l’établissement peut prodiguer, un suivi de la bonne santé sur un territoire dont le quotient économique n’est pas orienté résolument vers l’optimisme du fait de ses lacunes structurelles. Mais, qu’importe, le Centre d’examens de santé de l’Yonne agit en tout état de cause pour le bien de son prochain, avec altruisme, pugnacité et enthousiasme.

Il suffit de s’intéresser de près aux résultats des récurrentes campagnes de sensibilisation, propres au « rattrapage vaccinal », pour s’en convaincre. Un succès auprès des assurés ? Non, plutôt un plébiscite tant l’opération a été couronnée de réussite auprès des personnes qui en avaient le plus besoin.

Illustration sociétale de sa légitimité, le CES de la CPAM avance au quotidien en s’adaptant aux attentes de la société, proposant une adaptabilité technologique toujours plus grande, gérant un système d’information numérique de plus en plus spécifique et pointu dans ses exigences.

Son rôle n’est pas de se substituer à la médecine générale en pleine phase évolutive, elle-aussi. Complémentaire au travail des praticiens, le Centre d’examens de santé de l’Yonne représente un sas, une véritable porte d’entrée utile et facilitatrice dans l’orientation du patient vers un généraliste ou un spécialiste si le besoin médical s’en fait ressentir.

 

 

Plus de 700 000 bilans de santé en cinq décennies !

L’une de ses spécificités n’est-elle pas, par ailleurs, de disposer d’un laboratoire intégré. Un gain de temps appréciable pour la patientèle qui en apprécie la réactivité, l’efficacité et surtout l’ensemble des normes de qualité qui en découlent.

Dans cet édifice où la place de l’humain demeure primordiale et la relation à l’autre ne se départit jamais d’un sourire, la confiance règne. La CPAM qui en détermine l’évolution stratégique, lui a intégré de nouveaux publics, en particulier les étudiants cette année, avant que prochainement ne viennent s’ajouter les travailleurs indépendants à horizon 2020.

On est d’ailleurs passé progressivement de l’axiome suivant : du bilan de santé, le CES de l’Yonne opte désormais dans sa ligne déontologique de conduite vers « l’examen de prévention de santé ». Une approche bien différente et qui augure de cette volonté implicative d’intervenir bien en amont de la déclaration d’une pathologie.

En cinquante ans de bons et loyaux services envers la population icaunaise qui le lui rend bien par sa fréquentation exponentielle , le personnel, hautement qualifié de la structure, aura réalisé la bagatelle de 700 000 bilans médicaux !

Ne se coupant pas de sa proximité avec le territoire, le centre sanitaire a développé un système d’équipe mobile qui rayonne à Avallon, Sens et Tonnerre.

La création d’ateliers spécifiques (ceux consacrés à certaines pathologies comme le diabète sous la responsabilité du docteur Corinne MAURICE) représente un point d’ancrage fondamental auprès de la population affectée par cette maladie. D’autres items sont apparus depuis dans cet état d’esprit similaire dans sa phase d’appréhension : les maladies cardio-vasculaires et l’éducation en santé.

Rappelons, enfin, que le Centre d’examens de santé auxerrois est largement impliqué dans la mise en place du DMP, le fameux « Dossier médical partagé », l’une des articulations pédagogiques primordiales qui est déclinée par la Caisse Primaire d’Assurance maladie envers nos concitoyens.

 

 


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Samedi 02 novembre à 17 heures sera la première soirée débat de ce type proposé à l’initiative de la représentante de l’Etat sur le secteur de l’Avallonnais et du Tonnerrois. D’autres rendez-vous similaires sont d’ores et déjà prévus à compter du 20 novembre. Mobilisée à 100 % en faveur de la cause sécuritaire sur les routes de notre territoire, la sous-préfète Cécile RACKETTE entend bien faire bouger les lignes et surtout les consciences de ces automobilistes irrespectueux du Code de la route. Pour que l’irréversible ne se produise plus et ne se traduise plus en nouveaux drames…

AVALLON: L’Yonne conserve malheureusement toujours son atypisme peu glorieux. Celui de se distinguer par le mauvais bout de la lorgnette sur un sujet très préoccupant ; celui de l’accidentologie qui ne cesse de faire de nouvelles victimes chaque année au détour d’une nationale ou d’une départementale. Le secteur de l’Avallonnais et du Tonnerrois ne déroge pas à la tendance meurtrière qui caractérise la circulation sur nos routes depuis de longues années.

Si la qualité de nos axes de communication n’est pas remise en cause, il existe néanmoins une vraie problématique sur ce territoire de la Bourgogne septentrionale.

A l’automne 2019, la barre des trente décès survenus tragiquement dans ces accidents de la circulation était déjà dépassée ; au grand dam des représentants de la Préfecture, des forces de l’ordre et du SDIS, le Service départemental d’incendie et des secours.

A l’analyse de ces raisons, ce sont les sempiternels constats : l’alcool au volant, assorti à l’excessivité de la vitesse, et à la prise de stupéfiants provoquent nécessairement le cocktail explosif de trop. Mais, ces faits révèlent une autre problématique beaucoup plus pernicieuse qui se joue au quotidien sur les douze mille kilomètres de routes de notre territoire : les déviances comportementales de l’humain.

 

 

Mobilisation de l’ensemble des acteurs de la sécurité pour faire de la pédagogie…

 

En parfaite connaissance de cause et dans l’irrespect absolu du Code de la route et des précautions d’usage à prendre lorsqu’il s’agit de se déplacer au volant d’une automobile. Le hasard n’est donc pas imputable à toutes ces catastrophes. Seule subsiste la responsabilité de conducteurs qui circulent parfois sans assurance ni permis de conduire, et qui pour certains, ont une profonde méconnaissance de la moindre signalétique aux abords des routes.

Fustigeant cette situation inqualifiable à l’éthique de notre société, Cécile RACKETTE a donc décidé de reprendre le flambeau de la sensibilisation et de la communication pour tenter de stopper l’hémorragie ; à défaut essayer de faire prendre conscience de la réalité à ses concitoyens.

En présence de plusieurs représentants des forces de l’ordre (le commandant Tristan MATOREZ, l’adjudant-chef Bruno DELCROIX qui dirige le peloton motorisé d’Avallon, l’adjudant Stéphane PLOTTON (adjoint de la brigade de proximité de Tonnerre) et la maréchale des logis chef de la commune de Villon, Marine JACQUES, la sous-préfète qui espère aussi la participation des sapeurs-pompiers de ce secteur géographique, passe à l’offensive. A Villon, de prime abord, où la municipalité, favorable à ce genre d’initiative citoyenne, a même réalisé l’affiche de la manifestation.

Le combat contre l’obscurantisme des excès de la route ne fait que commencer. Gageons qu’il puisse infléchir les comportements irresponsables de certains d’entre nous qui confondent la route et ses principes vertueux (la mobilité offerte à chacun en toute sécurité sur le papier)  en un véritable exutoire implacable où certains se défoulent sciemment derrière le volant, sans aucun respect pour la vie d’autrui. Ni pour la leur, par effet gigogne. Pitoyable…

 

 

 


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La structure associative nationale ayant pour objectif de lutter contre les dérives de la corruption dans la sphère politique fait des émules dans l’Yonne. Bien qu’elle n’en soit encore qu’aux prémices de sa constitution officielle, déjà de truculents dossiers garnissent le fond de sa besace. Prises d’intérêts illégales dans des projets d’implantation de parcs éoliens, anomalies observées dans la gestion de certaines associations, voire abus de clientélisme sur l’attribution de marchés économiques au plan local pourraient déjà donner du grain à moudre aux promoteurs de cette campagne de sensibilisation « mains propres » à l’échelle du département…Tremblez fraudeurs, l’heure des comptes est enfin venue !

AUXERRE : Organisme ayant souvent maille à partir avec les différentes strates de la nébuleuse politique en France, ANTICOR (pour anti-corruption) pose enfin ses jalons sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne. 

L’entité associative nationale ne cesse de croître, en effet, essaimant de nouveaux groupes de travail, composés de citoyens lambda qui souhaitent assainir un milieu politique parfois tenté de mettre les doigts, si ce n’est la main entière, dans le pot de confiture.

Partant du simple postulat que les habitants de ce pays ont le droit d’exiger une totale transparence dans la gestion des fonds publics, le chantre collectif de la lutte contre la corruption multiplie à travers l’Hexagone les actions pour faire connaître sa voix ; et surtout, ses orientations auprès d’un large public.

Ces défenseurs de l’éthique en politique ont pris soin de proposer une première séance publique dans l’un des quartiers d’Auxerre, Rive Droite, afin de faire le point sur un thème récurrent : la structuration d’un groupe de travail local.

C’est à ce titre que le référent départemental de la structure, Laurent DUBLET, a expliqué lors de sa phase introductive les intentions premières de cette soirée.

Identifiée par le nombre 89 qui accolera dorénavant sa raison sociale, ANTICOR a surtout sensibilisé le premier cercle présent aux subtilités de la chose politique et à ses pratiques parfois peu vertueuses, qui peuvent partir en quenouilles côté déontologie et principe.

Le conseil national de l’organisme ayant donné son blanc-seing, l’administrateur icaunais de ce collectif qui ne subsiste que par la somme de ses cotisations envisage de constituer un groupe officiel ayant voix au chapitre sur le département. Le tout servi par des campagnes de sensibilisation auprès des élus eux-mêmes qui ne se forment pas assez aux moyens de lutter avec efficience contre la corruption.

En quête de bénévoles, mais attention celles et ceux qui possèdent des appétences bien ancrées en matière juridique, fiscale, en communication ou en connaissances numériques, ANTICOR 89 interviendra dès que des signalements lui seront transmis par des lanceurs d’alerte.

 

 

Déjà des premiers signalements sont parvenus à la jeune structure…

 

Analysés, étudiés, supposant des enquêtes plus approfondies, ces signalements pourraient ensuite faire l’objet d’une transmission officielle des éléments à charge au procureur de la République. Il semblerait que les lanceurs d’alerte aient déjà anticipé la tenue de cette réunion. Puisque trois signalements ont déjà fait l’objet d’un enregistrement sur les tablettes de la jeune structure icaunaise. Les suites à donner à propos de ces trois dossiers devraient être formulées dans les semaines à venir…

Précisons que la structure vient de lancer une procédure au plan hexagonal à l’encontre du président de l’Assemblée nationale, Richard FERRAND, suspecté de prise illégale d’intérêts dans le cadre du dossier des « Mutuelles de Bretagne ».

La seule et unique association française à être titulaire d’un agrément lui permettant de se constituer partie civile dans ces dossiers spécifiques de corruption, ANTICOR agit également en direction des scolaires et des étudiants dans le cadre d’une réserve citoyenne.

 


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Intervention remarquée lors du dîner de gala, proposé par le réseau Entreprendre à Auxerre en milieu de semaine dernière. Celle d’un jeune dirigeant de société, Maxime VIAUT, dont le projet CERES (Centrale d’énergie renouvelable écologique et solidaire) prend forme à Germigny avec les bases d’une première unité. Expert de la méthanisation de déchets organiques depuis une quinzaine d’années, cet ingénieur agronome entend bien apporter sa pierre à l’édifice de la transition énergétique dans le microcosme icaunais. Avant de conquérir l’Hexagone. Explications…

AUXERRE : Fruit d’une réflexion parfaitement mûrie il y a deux ans à peine, le projet CERES arrive à mi-parcours de sa conceptualisation définitive aux dires de son instigateur, Maxime VIAUT.  

Alors que son usine de méthanisation est en phase de construction à quelques kilomètres de Saint-Florentin, le porteur de projet a précisé devant un parterre d’une quarantaine d’entrepreneurs réunis par le réseau Entreprendre que le bio-méthane y sera injecté dès le début de 2020.

L’objectif de la SAS est de promouvoir très largement cette énergie propre, issue de la transformation des cultures agricoles, dans le but de baisser l’empreinte écologique totale.

Soutenue depuis 2006 par l’Etat, la filière enregistre un bel essor depuis plusieurs années. En l’espace de quinze ans, ce sont plus de cinq cents centrales de méthanisation qui ont ainsi éclos à travers l’Hexagone.

Toutefois, les chiffres sont à relativiser car ils demeurent encore faibles et très éloignés de la réalité que connaissent depuis longtemps nos voisins allemands. Ils ont déjà installé plus de dix mille centrales de méthanisation !

Mais, qu’importe ! Le souhait de Maxime VIAUT est précisément de pouvoir développer autant que se peut des structures analogues à CERES dans la majeure partie de l’Hexagone, Yonne et Bourgogne Franche-Comté comprises.

 

 

Un projet bénéficiant de précieux auxiliaires…

 

Le jeune entrepreneur ne s’aventure à la légère sur ce chemin. Le projet a été créé en lien avec plusieurs partenaires issus de l’agriculture locale. Cette alliance favorisera la production du biogaz qui sera ensuite injecté dans le réseau de GRDF.

Son rapprochement avec la Chambre de Commerce et d’Industrie, mais aussi les pouvoirs publics et surtout le réseau Entreprendre lui aura donné des ailes. Cornaqué par l’un des stratèges de cette structure, l’expérimenté Alain BOUNON, le dirigeant de la SAS a pu faire une formation de cédant repreneur d’affaires profitables pour parfaire ses connaissances en matière de gestion.

Au passage, il aura pu glaner auprès d’une douzaine de chefs d’entreprise, membres du réseau bourguignon, de précieux renseignements lui permettant de garder le cap et de conserver toute l’humilité requise pour mener à terme la feuille de route.

Sa rencontre avec Christophe CHARBONNIER, patron de la société de transport PICQ ET CHARBONNIER, aura été déterminante à plus d’un titre.

Ce dernier est déjà très investi dans l’approche de la transition énergétique des poids lourds, de la mobilité et de la sauvegarde de l’environnement. Avec son appui (Christophe est associé au projet), Maxime VIAUT a espoir de développer à brève échéance une filière de biocarburant spécifique pour alimenter les camions.

D’autres soutiens, et de taille, sont déjà dans les starting-blocks : TOTAL, ENGIE, AIR LIQUIDE, GRDF/GRT.

Pour produire ce gaz, CERES mobilise environ 700 hectares de terrain et, nous l’avons dit, une vingtaine d’agriculteurs, inféodés au concept. Séduits, ils ne pouvaient que répondre par l’affirmative devant l’ingéniosité de ce programme, similaire au commerce équitable, et réalisé en circuit-court. Cette opportunité heureuse représente à leur échelle de pouvoir valoriser leurs terres à faibles rendements. Tous les ingrédients sont donc réunis pour couronner de succès ce concept CERES qui devrait faire parler de lui dans les mois à venir…

 

 

 


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L’occasion était trop belle pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, de célébrer le mariage gustatif entre la fameuse boisson extraite de ses vignes et l’un des fruits préférés des consommateurs de l’Hexagone. Le parterre d’invités (plus de 80 convives) ayant investi son domaine viticole aura pu profiter à bon escient de ce coup de projecteur judicieux décliné avec le concours d’une jeune structure agricole, EARL BETHERY, productrice de fraises 100 % locales…

CHABLIS : Effervescence sympathique au Domaine de VAUROUX pour l’un des rendez-vous incontournables de la saison qui est perpétré chaque année à pareille époque. La dégustation du bourru, vieille tradition locale, s’inscrit parmi les animations conviviales célébrées par la CPME, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne.

Logique quand on sait que le président du syndicat patronal n’est autre que le responsable de ce domaine viticole, Olivier TRICON qui ceci dit est toujours en quête d’un successeur comme il se plaît à le formuler !

Plus de quatre-vingt personnes, adhérentes de la CPME mais également personnalités de la sphère politique (la conseillère départementale Isabelle JOAQUINA, le député André VILLIERS…) participèrent à ces retrouvailles festives où il fut question de découvrir les productions du cru. Dans une ambiance conviviale.

 

 

La Fraise d’Enfer, vedette de la soirée…

 

Olivier TRICON rappela en quelques mots pour les profanes ce que représente aujourd’hui la confédération départementale au niveau de ses mandats électifs. Avant d’accueillir à ses côtés, le jeune céréalier Antoine BETHERY, qui dans un souci de diversification de ses activités produit depuis peu au sein de sa ferme à Aigremont des fraises made in Yonne aux variétés multiples et savoureuses sous la marque, « La Fraise d’enfer ». Une appellation aux accents insolites, convenons-en !

Chantre de la production locale et des circuits courts de la distribution, le président de la CPME invita ensuite ses hôtes à déguster le contenu de succulentes barquettes de fruits qui circulaient parmi l’assistance.

Il proposa aussi à ses invités quelques crus de sa production dont il a le secret de fabrication, notamment un chablis Premier cru Montmains et un chablis Montée de Tonnerre des plus agréables en bouche…

 

 

 


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