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Foisonnante. C’est le qualificatif de circonstance qui résume le mieux la riche actualité de l’édifice érigé à la Renaissance par des bâtisseurs inspirés des vertueux principes mathématiques du nombre d’Or. Financé par le loto du Patrimoine, cher à Stéphane BERN, bénéficiant d’une délégation de service public qui échoie à la société ALFRAN (voire notre article), l’infrastructure pentagonale, unique en France, fait l’objet d’une campagne de souscription. Celle-ci a été actée ce jeudi 12 décembre grâce aux paraphes du Département et de la Fondation régionale du Patrimoine…

AUXERRE : C’est l’un des cent-vingt sites de l’Hexagone à pouvoir bénéficier du soutien de la mission patrimoine qui a été confiée à l’animateur Stéphane BERN par le chef de l’Etat.

La singulière silhouette de l’édifice du Tonnerrois, joyau de l’architecture né de cette période si prolifique en termes de créativité, la Renaissance, est au centre de beaucoup d’intérêts en cette fin d’année 2019.  

Non seulement, la construction pentagonale intègre le cercle restreint des dix-huit sites emblématiques nationaux à être aidé en priorité. Mais en outre, elle est la raison d’être d’une campagne de souscription dont les principes opératoires ont été validés par le Conseil départemental de l’Yonne et la Fondation du Patrimoine.

C’est un grand appel à la générosité populaire mais aussi au mécénat d’entreprise qui a été doublement lancé afin de contribuer à la sauvegarde de ce bijou patrimonial de Bourgogne d’exception.

 

 

Une construction bâtie avec le chiffre 5 et le nombre d’Or…

 

Dans l’absolu, chaque donateur profitera de déductions fiscales incitatives après son geste altruiste à la suite d’un don réalisé par chèque ou en ligne sur le site sécurisé de la Fondation. C’est ce que devait expliquer avec moult détails le délégué régional de la fondation, Guy BEDEL.

« Maulnes représente le fruit d’une aventure architecturale exceptionnelle où l’homme a su ériger un bâtiment avec intelligence… précisa le président de la structure. Saluant ce symbole de la tolérance né d’une culture humaniste, Guy BEDEL livra ensuite ses théories sur ce chiffre, le 5, creuset fertile de l’imaginaire des bâtisseurs de ce site dont le pendant existe en Italie à Pouilles où furent tournées les scènes de l’adaptation cinématographique de l’ouvrage d’Umberto ECCO, « Le nom de la rose ».

« Ce chiffre cinq dont Léonard De Vinci s’inspira pour concevoir l’une de ses plus célèbres esquisses, « l’Homme de Vitruve », exprime le savoir et l’intelligence de l’être. Il en est de même pour le nombre d’Or qui n’est ni plus ni moins que la divine proportion des choses de tout ce qui est et ce depuis la période de l’Antiquité… ».

Des éléments informatifs ajoutés par Guy BEDEL dont se délectèrent avec savante curiosité les participants à cette cérémonie protocolaire, Patrick GENDRAUD, président du Département, la sénatrice Dominique VERIEN qui aura été l’une des instigatrices de ce rapprochement entre les deux structures, et les élus du Conseil départemental, Anne JERUSALEM, également présidente de l’agence Yonne Tourisme et de la CC du Tonnerrois, Isabelle FROMENT-MEURICE, cheville ouvrière également du projet sur la délégation de service public, Maurice PIANON, Jean MARQUAND et Gérard ANDRE.

 

 

Une aide de 430 000 euros grâce au loto du Patrimoine…

 

Satisfait de la tournure des opérations, le président du pouvoir exécutif territorial ne pouvait que se réjouir des circonvolutions faites autour de ce dossier. Rappelant l’aspect collectif mis en place autour du projet.

« J’ai foi en de belles espérances quant à la réalisation de ce projet qui va servir à valoriser le Tonnerrois, une contrée où il y a plus de richesses patrimoniales et culturelles qu’ailleurs… ».

Autre motif de satisfecit : l’aide financière globale obtenue par le loto du patrimoine et accordée au Département, propriétaire du site. Elle s’élèvera à 430 000 euros pour une dépense hors taxes de travaux estimés à ce jour à 1,6 million d’euros.

L’enveloppe budgétaire sera affectée à la restauration des deux derniers pans de toitures et façades correspondantes en 2020 et 2021. Pour mémoire, la remise symbolique de ce chèque eut lieu le samedi 21 septembre à l’occasion des Journées européennes du patrimoine.

Quant à la souscription qui démarre, ses cosignataires en espèrent une collecte de 70 000 euros sous forme de dons. Sachant que les particuliers, les entreprises et les associations sont ciblées par cette campagne volontariste et des dépliants qui circuleront en abondance par les relais de renseignements touristiques habituels.

 


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Le rêve de gosse devient donc réalité pour la jeune éleveuse à peine trentenaire. Elle a touché du doigt le « Graal » de l’entrepreneuriat, encouragée par ses pairs du réseau Entreprendre Bourgogne et bien d’autres personnes issues de l’économie participative qui ont cru en elle. Si les fromages blancs et les yaourts égayeront sa gamme de nouveautés à partir de 2020, il n’empêche que les premiers produits à base de  lait de chèvres se dégustent goulûment depuis peu dans sa ferme modèle, résolument environnementale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le bio, rien que du bio ! C’est l’essence même de cette foi inébranlable qui anime la jeune femme dans sa quête professionnelle, elle qui n’a pas hésité à passer outre son poste de commerciale spécialisé dans la nutrition animale qu’elle tenait à bout de bras depuis huit ans. Elle l’exerçait dans la région de Niort.

Mine de rien : il y a de la pugnacité et une volonté farouches dans ce petit bout de fille qui gère aujourd’hui un troupeau de soixante-dix biquettes ! Sa mûre réflexion qu’elle avait entamée il y a déjà quelques temps s’est muée aujourd’hui en parfaite concrétisation. Son projet, ULTERIA, a donc vu le jour.

Après moult péripéties, il va s’en dire ! Après les instants de doutes inavouables qui sont le lot quotidien de celles et ceux qui entreprennent et veulent porter haut leur projet de vie.  

Ces adorables bestioles à la frimousse si maline sont devenues son sacerdoce au jour le jour. Une fièvre s’est-elle emparée de Claire GENET qui cherche à accomplir son chef d’œuvre avec cette réalisation ?

Que nenni : la jeune femme a les pieds bien enfoncés dans la terre. Comme ses chèvres qui se meuvent dans un complexe moderniste à la sauce environnementale.

Ici, comme le dirait Dieu le père, « l’animal est roi dans son royaume ». Rien que la configuration architecturale du bâtiment faisant office d’étable amélioré rappelle que la condition animale n’est pas un leurre pour celle qui doit en produire la quintessence des produits.

 

Même les chèvres mangent bio !

 

Ventilé, lumineux, éclairé par des LED automatisés, l’édifice qui accueille le cheptel est conçu pour économiser l’énergie nécessaire à une telle exploitation.

Quant à la nourriture des chèvres, c’est le nec plus ultra ! Au menu du jour, et ce chaque jour, des pois, des lentilles, des tourteaux de colza, du bio et du local. Le meilleur en somme, et quand on aime, on ne compte pas !

La jeune fille n’est pas une idéaliste. Ni une marginale, loin s’en faut. Elle a su s’entourer de solides compétences (celles des chefs d’entreprises expérimentés du réseau Entreprendre Bourgogne) pour l’aider à débloquer les chausse-trappes qui auraient pu entraver son sillage.

D’ailleurs, c’est grâce à deux spécimens rares de l’entrepreneuriat, Alexis NOLLET et Sébastien BECKER, le génial tandem de MOBIL WOOD (concepteur d’ameublement en bois et agenceur), que Claire GENET aura pu mener à terme son projet. Dans l’écosystème ambiant qui l’accueille, seront érigés progressivement le nouveau site de l’usine MOBIL WOOD, une école Montessori, une crèche, une exploitation maraîchère, et une maison éco citoyenne. Bref : tout un programme dédié à la mise en lumière de l’homme dans sa phase la plus subtile de la création et du vivant.

Un sacré patchwork qui n’est pas pour déplaire à la jeune femme qui propose à la vente ses premières productions depuis la mi-novembre.

 

 


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Le Conseil départemental de l’Yonne est précurseur dans le domaine. Il sera en effet le premier organe institutionnel de l’Hexagone à décliner ce dépistage cardio-vasculaire auprès de jeunes collégiens. Seuls les élèves de sixième de deux collèges volontaires seront concernés par cette expérimentation originale mais ô combien importante qui devraient se généraliser à l’ensemble des établissements scolaires de notre territoire…

AUXERRE : On se remémore tous notre entrée en classe de sixième. Etape charnière de l’existence d’un jeune adolescent qui change de pallier éducatif. C’est également à ce niveau de la scolarité que s’effectuent les premiers tests de la médecine scolaire qui portent leurs fruits. Dépistage de la vision, contrôle des malformations potentielles qui surviennent au niveau de la colonne vertébrale et tutti quanti !

La nouvelle initiative prise par le Conseil départemental de l’Yonne se situerait presque dans cette droite ligne, instaurée en France depuis des lustres. Mais, là où brille son originalité, c’est qu’elle se place sur un tout autre registre en matière pathologique : la détection des troubles du rythme cardiaque.

Alors que la chose se pratique depuis longtemps en Scandinavie et chez nos voisins allemands, personne n’avait pensé jusque-là en France vulgariser ce contrôle du rythme cardiaque auprès de cette typologie de la population. Soit les ados âgés de 10 à 12 ans.

Ceux qui pratiquent de manière intensive du sport à longueur de journée (on ne parle pas naturellement des épreuves virtuelles derrière l’écran d’un ordinateur !) mais bel et bien de disciplines où il faut courir, sauter, grimper et s’adonner à l’art de l’endurance pour tenir le choc.

L’élément moteur de ce projet, l’homme de la situation en vérité, n’est autre que le médecin référent auprès des services du Département, le docteur Bernard CHARDON.

 

 

Etendre la mesure dans les 31 collèges de l’Yonne…

 

C’est ce dernier qui a pris l’initiative de proposer à l’institution présidée par Patrick GENDRAUD ce nouveau projet qui sera mis en place à la rentrée de septembre 2020. Bien sûr avec l’absolution de l’inspection d’académie, il va s’en dire.

Deux établissements du secondaire, celui de Tonnerre et celui de Villeneuve-la-Guyard, se prêteront d’ailleurs les premiers aux tests. Ainsi, ce sont 240 potaches qui subiront un examen de contrôle indolore, sous la forme d’un électro-cardio-gramme.

Dans l’absolu, ledit examen sera assuré par l’infirmière scolaire qui aura été formée au préalable à l’utilisation de l’appareillage de mesure. L’analyse des résultats sera, quant à elle, assurée par un cardiologue.

Naturellement, les enfants ne pourront subir ce test qu’une fois l’accord parental donné. L’expérience qui a été approuvée par l’ordre départemental des médecins a pour objectif de s’étendre in fine aux trente-et-un autres établissements du territoire icaunais. Sous le sceau d’une éthique préventive

 

 

 

 


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Depuis sept ans, le producteur d’énergie exploite une des plus puissantes installations solaires en France. Sur une zone de plusieurs hectares qui est située sur la commune de MASSANGIS dans l’est de l’Yonne. Equipé de 700 000 panneaux photovoltaïques, le site produit l’équivalent annuel à la consommation électrique de 26 000 habitants. Soit 56 MW. D’ici 2021, sept éoliennes devraient compléter ce dispositif…

DIJON : D’une capacité de production de 25,2 MW, les sept nouvelles éoliennes, érigées par le groupe EDF sur le territoire de l’Yonne, devraient être opérationnelles d’ici la fin de l’année 2021.

L’ensemble des structures faites de métal et de béton sera réparti sur les communes de MASSANGIS et de GRIMAULT. Dans un secteur où le vent est propice à se manifester avec relative constance.

La filiale du producteur/distributeur d’électricité, EDF Renouvelables, a par ailleurs confirmé avoir d’autres projets de développement de parcs éoliens et de centrales photovoltaïques dans la région.

Sachant en filigrane que le groupe porte l’éolien parmi ses priorités de développement à moyenne échéance.

Depuis 2015, EDF Renouvelables exploite le parc à base d’éoliennes de LOUMONT dans le Doubs. Sa puissance s’élève à 25 MW. Ce site comprend une dizaine d’appareillages de deux mégawatts chacun. Ils occupent un espace géographique compris entre Besançon et Belfort.

Chaque année, la production de ce complexe énergétique représente l’équivalent de la consommation électrique d’environ vingt mille personnes. Toutefois, comme le précisa le directeur EDF Bourgogne Franche-Comté, Yves CHEVILLON, en conférence de presse, « nous sommes en capacité d’installer des machines encore plus puissantes sur site… ».

 

 

Lancement de deux nouveaux projets de centrales solaires…

 

Début mars, deux nouvelles possibilités d’exploitation ont été retenues par la Commission de régulation de l’Energie (CRE). La reconversion de la friche industrielle du quartier de Valmy à Dijon servira de judicieux prétexte à l’implantation de l’une des deux futures centrales solaires de Bourgogne Franche-Comté à l’estampille EDF.

L’ancienne décharge accueillera une zone de production électrique de 16 MW. Elle desservirait les besoins de 8 000 habitants et ce, pour une durée d’une trentaine d’années.

Un autre secteur de Côte d’Or, toujours situé à la périphérie de l’agglomération dijonnaise, est aussi concerné. Celui où l’ancien centre d’enfouissement de Lux se métamorphosera en une centrale solaire de 8,6 MW.

Quant à la mise en place de ces deux structures, elle est prévue pour la fin 2020/début 2021.

Mais, d’autres réalisations pointent déjà le bout de leur nez à brève échéance. Demeurant quelque peu évasif sur les lieux exacts où seront construites ces réalisations, Yves CHEVILLON a précisé toutefois que plusieurs dizaines de projets pourraient voir le jour en Bourgogne Franche-Comté en matière d’éolien et de centrales solaires, à base de panneaux photovoltaïques.

En considérant que le producteur d’électricité souhaite développer à terme un maillage global de 30 000 hectares sur l’Hexagone. Un volume considérable qui représente quatre fois les capacités actuelles de production d’énergie solaire en France.

Précisons pour conclure qu’un projet de construction de quatre éoliennes est dans les starting-blocks du côté de Vermenton à l’orée de 2021. Les machines qui y seraient posées devraient y produire 14,4 MW.

 

 

 


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L’emploi, essentiel à l’essor de ce secteur artisanal, représente un réel motif d’inquiétude pour le parlementaire de l’Yonne. Déjà à l’initiative d’une rencontre novatrice avec les professionnels de la filière en début de semaine afin de leur présenter les solutions existantes en matière de formation et de recrutement, le député de la deuxième circonscription a décidé de prendre le taureau par les cornes. Il vient de solliciter le Premier ministre Edouard PHILIPPE pour que ce dernier lui accorde une audience. Histoire de porter ce récurrent sujet problématique le plus haut possible vers les sommets de l’Etat…

CHABLIS : Dans la catégorie « je pratique l’art et la manière de la langue de bois », pas la peine de rechercher la carte qui identifierait le député de l’UDI de la seconde circonscription de l’Yonne dans ce jeu plutôt trouble et abscons de la scène politique ordinaire.

Adepte coutumier du leitmotiv, « on le dit, on le fait » tout en disant ce qu’il y a à dire, l’élu de l’Yonne le démontre une fois de plus, après son initiative prise, ce lundi 25 novembre, de vouloir rencontrer des entrepreneurs de la filière hôtelière et restauration.

Thématique retenue ce jour-là : l’emploi dans un secteur corporatiste qui peut en proposer à la pelle. Mais, faute de candidats motivés et sérieux, la filière souffre de mille maux à ne plus savoir que faire.

Pour aller encore plus loin dans sa quête altruiste envers ces artisans qui endurent leur quotidien avec grande difficulté, le pensionnaire de l’Assemblée nationale a décidé de pousser le bouchon à son avantage.

C’est-à-dire en prenant la main sur ce dossier délicat et en demandant une audience auprès du Premier ministre afin de s’entretenir avec lui de la pertinence des réflexions qui lui ont été faites durant ce débat de près de deux heures, intense et riche d’enseignements.

Les services d’Edouard PHILIPPE ont pris bonne note de la requête effectuée par le représentant du palais Bourbon. Il ne reste plus qu’à fixer la date et l’horaire du rendez-vous.

 

 

 

Des contrats en alternance qui se résilient en nombre chaque année…

 

Le souhait d’André VILLIERS est de faire toute la lumière avec le Premier ministre sur les raisons de ce manque d’appétence chronique des candidats potentiels à répondre de manière positive aux offres d’emploi (très nombreuses) qui existent. Comble de paradoxe, sur un secteur d’activité, fer de lance de la gastronomie et du tourisme vécu dans l’Hexagone à l’international !

Certes, la filière n’attire plus les jeunes. Et André VILLIERS a su noter toutes les dichotomies et autres dysfonctionnements qui prévalaient depuis des lustres dans le modèle actuel qui aboutit à une parfaite hérésie.

Un seul chiffre en résume la teneur : 28 % des contrats d’alternance vécus dans les hôtels et restaurants de France ont été résiliés au cours de cette saison par les jeunes gens malgré la bonne volonté de leurs tuteurs !

Un chiffre qui ne s’applique pas, malheureusement, aux seuls apprenants de cette filière. Tous les métiers de la branche artisanale sont gangrénés par cette attitude négativiste qui pollue de manière virale une frange importante des apprentis

Fort de ses arguments, et désireux d’obtenir des réponses concrètes de la part du chef du gouvernement, André VILLIERS attend désormais la date et l’horaire de l’audience avec impatience.

Il aura peut-être la possibilité de deviser d’un jour à l’autre avec le Premier ministre sur les causes de ce fléau qui mine aujourd’hui l’économie française : l’inertie inacceptable qui ne cesse de s’accentuer dans le recrutement.

 


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