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Investir en faveur de l’éducation et miser sur le devenir de la jeune génération : tel est le credo de l’institution départementale avant la rentrée scolaire qui frappera ses trois coups ce mercredi. Dans un exercice oratoire dont il est coutumier à pareille époque, le Conseil départemental par la voix de son président, Patrick GENDRAUD, a brossé dans le détail les grandes lignes de son projet 2021/2022…

 

AUXERRE: L’avenir de la jeunesse et la pérennité de son éducation scolaire ? Ce n’est pas un leurre au Conseil départemental de l’Yonne ! Rien que pour cette nouvelle saison qui s’amorce à grand pas, c’est un budget destiné à la réalisation de travaux et pour le fonctionnement des établissements de trente-trois millions d’euros qui a été inscrit sur les lignes budgétaires du vénérable organisme ! Une enveloppe en hausse, il va de soi, votée à la quasi-unanimité.

Côté réfections, réaménagements et adaptations en tout genre, le Département a sensiblement augmenté sa manne financière, accordée à ce poste clé pour valider une pédagogie probante qui doit s’exercer dans un cadre propice, moderne et accueillant.

Quinze millions d’euros en lieu et place de la petite dizaine de millions d’euros qui étaient jusque-là consentis d’ordinaire les années antérieures. D’ailleurs, ce n’est qu’un début.

 

 

 

La progressivité de cette enveloppe vitale à l’enseignement du second degré ne devrait pas se cantonner à la seule saison nouvelle qui nous incombe. Une moyenne de 20 millions d’euros de budget destinés aux travaux de rénovation de la trentaine de collèges sous la coupe du Département serait allouée à l’avenir.

Une logique implacable pour le président de l’exécutif. Celui-ci veille à l’optimisation qualitative de l’accueil des 14 043 collégiens, répartis parmi les différents établissements publics implantés sur le territoire et la constante modernisation de ces derniers. Rappelons que les deux mille élèves fréquentant le privé intègrent également ce choix politique.

L’aide au fonctionnement entre groupes scolaires issus du public et du privé s’effectue de la manière suivante : 4,5 millions d’euros sont ainsi attribués aux établissements publics, tandis que ceux à l’estampille du privé perçoivent plus d’1,6 million d’euros.

 

 

Un ticket repas au prix modéré de 3,82 euros…

 

Une autre caractéristique de cette stratégie favorable à l’épanouissement des élèves prend forme avec la restauration. 1,6 million de repas ont été distribués au cours de l’exercice précédent dans les restaurants scolaires de notre territoire. Sachant que dix mille élèves bénéficient de la demi-pension. Quant au prix du ticket journalier, il n’est que de 3,82 euros à la charge des familles alors que le coût de revient s’élève à 8 euros.

Mais, comme devait le rappeler le président GENDRAUD face à la presse ce mardi en milieu de matinée, « il n’y a pas que l’aspect financier de la restauration qui nous interpelle, la qualité des repas que nous devons servir à nos enfants reste primordiale… ».

Et de citer la relation avec les producteurs du cru en phase de développement, identifiée par la plateforme AGRILOCALE. Un outil qualitatif se situant tout à fait dans l’esprit du bien mangé, cher à l’esprit de l’ancien maire de Chablis, pour nourrir les jeunes ouailles de l’enseignement.

« Nous sommes une collectivité de proximité, justifie le président de l’organe départemental, donc à ce titre, il faut en tirer les avantages… ».

Au-delà du simple contenu au fond de l’assiette, le bien mangé puise ses bienfaits dans la volonté de décliner des actions purement éducatives.

 

 

Cent mille euros par an consacrés au volet du numérique…

 

C’est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Région, le rectorat et le Département qui est à l’origine de la mise en exergue de l’ENT, l’environnement numérique de travail. Conséquence : une ligne budgétaire de 100 000 euros est dédiée annuellement à l’essor de ces technologies au sein des collèges de l’Yonne. Des sites devant être raccordés à la fibre optique qui ne cesse son déploiement.

Exprimant sa reconnaissance envers les 315 agents départementaux qui exercent leurs activités au service de l’éducation, Patrick GENDRAUD leur tire son chapeau, selon la formule consacrée.

« Ces travailleurs de l’ombre ont droit à la lumière, devait-il ajouter avant que ne soit projetée une courte vidéo conçue par le service communication traduisant le travail de ce personnel ô combien capital.

Avant de clore son intervention, Patrick GENDRAUD mit l’accent sur la réalisation de quelques opérations majeures sur 2020/201 dont la livraison du nouveau gymnase au collège Albert-Camus à Auxerre (1,8 million d’euros) ; le programme d’amélioration thermique de deux bâtiments et projet de modernisation de la demi-pension au collège des Champs-Plaisants à Sens (une enveloppe de 2,4 millions d’euros pour un chantier qui débutera en 2022) ; la restructuration du collège Restif de la Bretonne à Pont-sur-Yonne en 2023 (du petit lait pour le premier vice-président et maire de la localité Grégory DORTE attentif aux propos) ; l’inauguration prochaine de la demi-pension du collège de Villeneuve-la-Guyard pour 3 millions d’euros ; celle du collège d’Avallon pour 6,5 millions d’euros ; les travaux énergétiques du collège Châteaubriand de Villeneuve-sur-Yonne (2,5 millions d’euros), etc.

Autant d’éléments tangibles démontrant que le Conseil départemental de l’Yonne a vraiment fait de l’avenir de la jeunesse et de la pérennité de son éducation l’une de ses principales priorités.

 

Thierry BRET

 

 


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L’exercice est habituel. Il revient en amont de chaque rentrée scolaire. Notamment celle qui concerne les collèges, niveau pédagogique du domaine de compétence du Département. Avant de visiter plusieurs établissements, Patrick GENDRAUD, président de l’institution, dévoilera les enjeux et nouveautés d’une rentrée toujours entachée par la présence du virus…

 

AUXERRE : L’heure de la rentrée a sonné pour le président de l’exécutif départemental. Il se prêtera au jeu de la conférence de presse, mardi 31 août depuis son bureau, place de la préfecture à Auxerre, en milieu de matinée. Une rencontre officielle avec les journalistes du cru. Objectif : leur présenter la politique du Conseil départemental en matière d’éducation. Un thème cher aux yeux de l’ancien maire de Chablis.

Lors de ce rituel oratoire dont il a la maîtrise, Patrick GENDRAUD expliquera les grandes lignes stratégiques et budgétaires de ce poste, l’un des plus importants gérés par l’organisme.

Dès l’après-midi, il entamera une série de visites lui permettant de sillonner le territoire, allant à la rencontre des équipes éducatives, en présence des élus départementaux et locaux.

 

 

Une série de six visites programmée jusqu’au 08 septembre…

 

Parmi les temps forts de ce copieux programme, réparti sur la semaine à venir, on notera notamment l'inauguration du gymnase Albert-Camus à Auxerre, le mardi 31 août à 14h30. La visite à Avallon, le 02 septembre du collège Jeanne d'Arc. Ou encore le déplacement effectué à Migennes, le vendredi 03 septembre, en présence de Nathalie ALBERT-MORETTI, rectrice de l'Académie de Dijon, au collège Jacques-Prévert.

Notons, pour être tout à fait complet, que Patrick GENDRAUD ira au collège Le Gâtinais-en-Bourogne le 03 septembre à Saint-Valérien. Avant de poursuivre sa tournée, le 08 septembre, au collège des Champs-Plaisants à Sens.

Enfin, il terminera cette immersion au cœur de l’institution pédagogique le mercredi 08 septembre à 14 heures, avec l'inauguration de la demi-pension du collège Claude-Debussy, à Villeneuve-la-Guyard.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Choqué, scandalisé par les images insupportables relayées par plusieurs vidéos de l’association de défense animale, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien DENORMANDIE s’insurge contre « les pratiques inacceptables » d’un élevage porcin qui sévit dans l’Yonne. Un établissement ayant fait l’objet le 01er juin d’un signalement auprès de la gendarmerie après un dépôt de plainte.

 

TONNERRE : « On n’achève bien les chevaux », disait le film. On maltraite aussi les cochons, répond en écho L214. La fameuse association de défense animale vient de balancer un nouveau pavé dans la mare, et de taille encore une fois, qui éclabousse la pratique de l’élevage intensif et ses méfaits dans le registre de la cruauté ordinaire.

Circulant sur les réseaux sociaux, ces images, innommables, sont à la limite de la barbarie dont sont victimes aujourd’hui bon nombre d’espèces animales.

Certes, l’opprobre ne doit en aucun cas être jeté sur l’ensemble de la filière qui exerce son travail avec professionnalisme et dans le respect des règles pour la plupart de ses représentants. Comme le précisent par ailleurs des représentants de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, offusqués par ces pratiques ignobles.

Pour autant, il existe toujours des brebis galeuses, non respectueuses des règlements en vigueur dans les élevages, qui se croient bien au-dessus des lois.

Ce sont ces structures-là, inqualifiables au plan de la probité morale que vise le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien DENORMANDIE remonté comme un coucou suisse après avoir visionné les images odieuses fournies par L214.

 

 

La préfecture va poursuivre ses investigations et ses contrôles…

 

Dans un communiqué de presse, le membre du gouvernement condamne avec la plus grande fermeté ces pratiques d’un autre âge. Diligentée en juin, une enquête concerne depuis  l’établissement visé par les protecteurs de la cause animale. Une entité qui se situe à Annay-sur-Serein dans le Tonnerrois dont la gestion est assurée par le groupe PROVENT-SDPR, implanté en Savoie.

Ce dernier possède une centaine de porcheries industrielles réparties à travers l’Hexagone. Toujours d’actualité, l’enquête devra déterminer les dérives ou manquements avérés aux règlements afin de les mieux sanctionner.

Une inspection de cet élevage avait été réalisée de manière inopinée par les services vétérinaires de santé protection animales et environnement de la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de Protection des Populations de l’Yonne (DDETSPP) après un signalement déposé en gendarmerie.

Des non-conformités ont pu y être relevées après que les inspecteurs aient contrôlé l’ensemble des salles, des cases de maternité et d’engraissement de ce site, depuis dans l’œil du cyclone ministériel.

Si l’inspection assurée en juin n’avait pas mis en évidence de situation ou de comportement inacceptable tels que ceux illustrés dans les vidéos de L214, insistant sur les multiples actes de cruauté animale (coups et blessures portés avec des tournevis et matadors, utilisation abusive de piles électriques, réduction des coins à la tenaille sans prise en charge de la douleur…), la préfecture de l’Yonne entend bien poursuivre des investigations complémentaires pour en avoir le cœur net.

La DDETSPP a informé l’exploitant qu’une nouvelle inspection serait menée par les services vétérinaires pour vérifier la mise en conformité de son élevage, une structure qui accueille aujourd’hui près de 1 800 truies.

 

 

L’horreur dans tous ses états avec le claquage des porcelets…

 

A l’origine de cette nouvelle affaire : un employé, ayant exercé plus de deux ans dans la porcherie, qui a tiré la sonnette d’alarme. Prises à partir de son téléphone portable, les images filmées par ses soins sur le site sont proprement accablantes.

On y voit des truies recevoir de multiples coups de tournevis dans la chair pour les faire avancer plus vite. Certaines, tuméfiées sur tout le corps, agonisent sur le sol en béton de l’établissement.

D’autres, plus jeunes, ont les dents coupées à la tenaille. Parmi les autres sévices insoutenables : la coupe des queues à vif des porcelets, une pratique interdite selon L214 dans l’arrêté datant du 16 janvier 2003 ou encore le claquage des porcelets.

Les animaux jugés les moins rentables sont violemment assommés tout juste après leur naissance (bienvenue dans le monde des humains !). Une opération sensée les tuer sur le coup ; ce qui est loin d’être le cas, en vérité…

Le porte-parole et directeur des enquêtes de L214, Sébastien ARSAC, a précisé que l’association avait porté plainte auprès du procureur de la République d’Auxerre, dénonçant de « nombreuses infractions à la réglementation ». Espérant en filigrane de dures sanctions contre l’éleveur industriel…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est la consternation dans le milieu cycliste de l’Yonne. L’une de ses figures les plus attachantes, le président du Vélo-Club de Toucy (Team Elite Restauration-Louault 89) et vice-président du Comité départemental Philippe GERBAULT vient de succomber à 63 ans des suites du tragique accident de la route survenu jeudi après-midi alors qu’il circulait à bicyclette sur l’un des parcours qu’il affectionnait tant en Puisaye. Les adeptes de la « petite reine » perdent l’un de ses meilleurs porte-étendards…

 

TOUCY : La tristesse et un sentiment d’injustice dominent ce vendredi matin bien au-delà des milieux sportifs de notre département et de notre région. Qui parmi les institutionnels, les élus et les entrepreneurs de notre territoire n’a pas eu un jour des contacts directs ou indirects avec ce héraut de la « petite reine » qui en assurait avec volontarisme accru la promotion sans borne ?

Philippe GERBAULT disparaît tragiquement au sommet de son art. Celui où il vantait avec force de conviction tout en y mettant les formes relationnelles les qualités intrinsèques de cette discipline difficile, parfois entachée de zones d’ombre dont il combattait lui-même les incidences avec une rare  pugnacité.    

Aux manettes managériales de l’un des clubs les plus flamboyants de notre contrée (le Vélo Club de Toucy, devenu entre-temps le Team Elite Restauration Louault 89 du fait de l’importance du soutien de deux de ses sponsors, évolue en Nationale 2), le regretté responsable se préparait à vivre des moments exaltants.

Une nouvelle épreuve, la course de Puisaye-Forterre, était sur les rails pour le mois de septembre. Le 26, précisément. Courant mai, Philippe GERBAULT avait pris attache avec bon nombre de partenaires, tout acquis à la cause du club de Puisaye, mais aussi de bien d’autres, en quête de soutien.

Objectif : revaloriser ce sport populaire jamais en manque de supporters au bord des routes mais plutôt d’épreuves dignes de cette appellation en inscrivant dans le marbre une compétition nouvelle au calendrier.

 

 

Une terrible malchance sur une route de Puisaye…

 

Bénéficiant d’un partenaire de choix, la Communauté de communes de Puisaye-Forterre et le soutien inconditionnel de son président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI qui avait accueilli dans sa localité dont il est le maire, Moulins-sur-Ouanne les championnats régionaux 2020, Philippe GERBAULT peaufinait les contours logistiques et financiers de cette course, prétexte à l’organisation d’une conférence de presse prévue le 16 septembre à Saint-Sauveur-en-Puisaye.

Récemment, Philippe, optimiste de nature, lâchait au détour d’une anodine conversation qu’il « espérait que la crise sanitaire s’éloigne de notre environnement… ». Pour reprendre le cours de l’existence, sans trop d’aléas.  

Las, le hasard de la vie et une terrible malchance ne lui auront pas laissé le temps d’apprécier le retour en grâce vers cette normalité.

Un stupide accident de la circulation, survenu jeudi après-midi aux alentours de 15 heures entre Treigny et Sainte-Colombe après des ennuis mécaniques sur son vélo, lui aura été fatal. Le poids lourd arrivant en sens inverse n’aura pu l’éviter…

Dès qu’ils ont appris la nouvelle, les dirigeants et coureurs du Vélo Club de Toucy ont relayé par le compte Facebook de l’association sportive un message de condoléances à l’épouse, aux enfants et à la famille du regretté Philippe.

 

 

Entre le chagrin et l’incompréhension…

 

Les coureurs se refusent, quant à eux, de participer à l’une des épreuves de la Coupe de France de Nationale 2 disputée ce samedi 21 août, le trophée Gustave BEIGNON courue dans les Pays de Loire.

Au-delà du chagrin, c’est la surprise qui prévaut aujourd’hui. Avec son lot d’interrogations et d’incompréhensions. Des questions auxquels beaucoup d’interlocuteurs se relayant la terrible nouvelle par coups de fil interposés jusque tard dans la soirée ne possèdent pas de réponses…

Une seule certitude : la mémoire de Philippe GERBAULT perdurera à jamais dans les esprits attristés de celles et ceux qui ont eu le privilège de l’avoir côtoyé…

 

Thierry BRET

 


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Les HLM (habitation à loyer modéré) ne s’évitent plus. Bien au contraire, ils se visitent, faisant même la fierté de leurs habitants. Surtout de ceux qui résident dans les bâtiments « Chardonnay » et « Le Pressoir », érigés à Chablis. En rénovant 54 appartements de manière optimale, le bailleur social DOMANYS a fait des heureux dans ce quartier de la cité vigneronne icaunaise…

 

CHABLIS : Du flambant neuf ou presque qui égayent les locataires de deux immeubles de la capitale vigneronne de l’Yonne. Du cousu main, assuré par des artisans du cru qui ont su répondre au cahier des charges initial du donneur d’ordre, le bailleur social, DOMANYS.

Ce dernier avait pour objectif de relooker extérieurement les deux petits édifices à dimension humaine et de réaménager leurs espaces intérieurs, offerts par les 54 logements.

Le seul mot d’ordre à ces travaux de belle amplitude, réalisés entre septembre 2019 et juillet 2021, se nomme le confort !

Avec son corollaire évident : l’optimisation énergétique qui se traduit dans les faits par l’apport d’isolants externes, la réfection des toitures, la pose de ventilation, des fenêtres en double vitrage, une menuiserie et une électricité refaites à neuf.

Bref, un relookage de bon ton qui se voit et s’affiche grandeur nature avec des décorations débridées et chatoyantes, sorties de l’imaginaire fertile des créatifs de la société lyonnaise, CITE CREATION. Une société coopérative et participative (SCOP) dont on vous reparlera dans un prochain article.

 

 

Un particularisme remarquable : une colocation pour seniors…

 

Cuisines et salles de bains ont bénéficié de ce tour de main salvateur de la part d’artisans performants qui ont su enjoliver à leur manière ces pièces essentielles de l’habitat.

Pour évoquer les tenants et aboutissants de ce double chantier : Wilfrid BELLEVILLE. Le directeur du patrimoine de DOMANYS expliquera avec moult détails le déroulé de ces travaux qui ont couru sur près de vingt-trois mois du fait de la COVID.

Mais, qu’à cela ne tienne : le résultat définitif est à la hauteur des espérances et comble de joie, visiblement, les riverains, très satisfaits de ce rendu final.

A leurs côtés, les représentants de DOMANYS. Karine LASCOLS, la directrice du bailleur social, qui en rappelle les priorités. Faire de ces logements des lieux de vie convenables où le confort est optimal.

 

 

 

Mais, aussi, Patrick GENDRAUD. Certes, le président du Conseil départemental aurait pu assister à la cérémonie inaugurale de ces deux bâtiments, appelés si joliment d’une référence vineuse, en sa qualité intrinsèque. Mais, c’est au titre de président de DOMANYS que l’ancien maire de Chablis tenait à participer à cette célébration quelque peu festive.

Un Patrick GENDRAUD content du résultat qui « honore le fleuron de l’Yonne que représente Chablis ! ». Mais, le président du bailleur social mettra plutôt l’accent dans ses propos sur le particularisme de cette réhabilitation immobilière. Notamment la présence dans l’un des deux bâtiments d’une colocation senior, offre de service spécifique novatrice qui est portée par l’association « Vivre l’Yonne », conduite au plan décisionnel par Jean-Louis DRUETTE.

 

 

Une enveloppe budgétaire de 3,2 millions d’euros HT pour gagner en confort…

 

Présente au moment de dévoiler les plaques identifiant l’appellation de ces deux bâtiments dont les sept portes d’entrées correspondent à un cépage local, Marie-José VAILLANT, première élue de Chablis, se montre ravie de l’opération.

D’autant que d’autres immeubles gérés par DOMANYS devraient passer sous les mains expertes des artisans spécialistes ès rénovation dans les mois à venir.

D’ailleurs, la résidence des Lys à Tonnerre, comprenant quatre bâtiments pour 106 logements, figure elle-aussi au planning des futures rénovations. A l’identique de sept bâtiments aux 124 logements implantés à Joigny.

Les travaux de réfection des deux structures de Chablis ont nécessité une enveloppe budgétaire globale s’élevant à 3,2 millions d’euros hors taxes. Mais, DOMANYS n’a pas peur de casser sa tirelire pour apporter davantage de confort à ses locataires. Un confort, procurant du bien-être, qui n’a pas de prix…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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