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Les Icaunais aiment les circuits courts. Ils ne sont pas les seuls, évidemment, à privilégier cette filière de consommation qui aura fait florès au plus fort de la crise sanitaire l’an dernier. Avec plus de 12 200 connexions obtenues au terme de 2021, la plateforme « J’veux du Local » promue par la Chambre d’Agriculture de l’Yonne a répondu à leurs attentes. Ce n’est sans doute pas fini…

 

AUXERRE : L’alimentation reste l’une des priorités essentielles de la Chambre départementale d’Agriculture au plan stratégique avec cette nouvelle année qui débute. De la pure logique quand on sait ce qu’apportent la filière et ses diverses composantes dans notre paysage sociétal.

Aussi, le développement des circuits courts, ceux qui permettent de mettre en relation directe producteurs et consommateurs dans leurs échanges, fait partie intégrante des axes de réflexion et de concrétisation du vénérable organisme. Cela ne devrait pas déroger en 2022.

Surtout à l’annonce des résultats de la fréquentation de la plateforme « J’veux du local » qui est fonctionnelle depuis le mois de mai 2020.

Obtenant plus de  12 200 connexions depuis son lancement, le support est sur de bons rails. Lancé au summum de l’épidémie de COVID-19 au printemps dernier, l’outil s’est petit à petit imposé comme une référence incontournable auprès d’internautes en quête de renseignements utiles sur les lieux leur permettant d’acheter des produits de qualité.

 

Un potentiel d’une centaine de nouveaux producteurs d’ici fin 2022…

 

Désormais, le site élaboré avec le concours du Conseil départemental et soutenu par la Région regorge d’adresses indispensables à connaître presque par cœur.

Attention, toutefois, il y en a, à date, déjà 253 ! Ce chiffre fait référence au nombre de professionnels issus de diverses filières agricoles et viticoles qui commercialisent une production au-dessus de tout soupçon. Côté qualitatif et traçabilité, il va de soi !

Toujours aussi enthousiaste quand il en évoque les fondements, Arnaud DELESTRE, président de l’organe consulaire qui en assure la promotion, trace la feuille de route de ce concept, répandu aujourd’hui à l’ensemble de la contrée régionale, pour les douze prochains mois. L’objectif est simple : atteindre, voire dépasser les trois cents adresses de contacts d’ici la fin 2022. Autant dire que cela est du domaine du réalisable pour ses services qui animent le support.

« Le potentiel pour pouvoir intégrer de nouveaux adhérents à ce dispositif est important, précise-t-il, pas moins d’une centaine de représentants de la filière agricole… ».  

Une filière qui devra se rajouter à la viticulture encore peu présente sur cette vitrine du made in Yonne. Signalons que les marchés figurent sur le site. L’ajout de restaurateurs s’approvisionnant en produits locaux pourrait suivre d’ici peu.

Récemment, Arnaud DELESTRE a rencontré la plupart des présidents des EPCI de l’Yonne afin de s’entretenir avec ces derniers sur le développement des circuits courts au service des collectivités. L’une des priorités du Conseil départemental. Sans doute, aura-t-il fait allusion au site « Agrilocal 89 », favorisant la relation entre les gestionnaires de la restauration collective, les cuisiniers et les producteurs. Une rencontre entre ces différents acteurs est d’ailleurs inscrite au planning du président de la chambre consulaire, le 30 mars prochain à Tonnerre.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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En voilà un qui se frotte les mains pour l’abondante publicité faite autour de sa commune sans bourse déliée ! Mieux : le président de la CC Serein Armance et maire de Saint-Florentin Yves DELOT a eu les faveurs des médias nationaux qui l’ont longuement interviewés. L’organisation d’une rave party où devaient converger plus de mille cinq cents participants peut parfois s’avérer bénéfique !

 

SAINT-FLORENTIN: Que ce soit sur France Inter, RTL, RMC, Europe 1 ou France Info : pas une radio nationale n’aura oublié de relater lors de ses flashs informatifs les péripéties vécues dans la localité de l’Yonne ce week-end. Une manière insolite de se rappeler au bon souvenir de nos compatriotes, pour celles et ceux qui auraient eu du mal au préalable à situer sur la carte de France la commune de Saint-Florentin.

De surcroît, l’information ne pouvait manquer de passer inaperçue puisque se déroulant pile poil au cœur du passage au Nouvel An. Il y avait donc nécessairement des auditeurs, voire des téléspectateurs en nombre une fois que les chaînes en boucle prirent le relais.

Bref : Saint-Florentin faisant la une de l’info en France, cela n’arrive pas tous les jours ! Même si l’angle choisi n’avait rien de très touristique ni de véritablement culturel encore moins de gastronomique. Un fait divers, somme toute de plus à mettre dans l’escarcelle de l’Yonne qui a connu bien pire par le passé. Mais, un fait divers, tout de même.

 

 

Un peu de tolérance et pas de véritable casse à l’issue…

 

Illégal, ce rassemblement de « teuffeurs » fut lui plutôt mal perçu par les services de la préfecture qui se sont appuyés sur les forces de l’ordre afin d’y mettre un terme dès que possible.  

On retiendra de cet épisode « musical » improvisé et original sur les terres de l’Yonne la bienveillance de l’édile de Saint-Florentin Yves DELOT à l’égard de la jeunesse.

Même si les forces de l’ordre ont procédé à plus de deux mille contrôles et rédigé deux cent cinquante procès-verbaux pour de multiples infractions, force est de constater qu’il n’y a pas eu de véritable casse ou de faits dramatiques durant cette ruée vers l’or où des sonorités furent balancées dans les oreilles par de puissantes enceintes. Elles-mêmes saisies par l’autorité de l’Etat, par ailleurs !

 

 

De là à ce que Saint-Florentin obtienne un blanc-seing pour accueillir régulièrement de tels évènements illicites à l’avenir n’intègre pas les priorités de la municipalité. On s’en doute !

Mais, Yves DELOT, magnanime, a fait part de son étonnement sur les ondes radiophoniques de nos confrères, rappelant que « la jeunesse n’avait d’autre objectif que de vivre un 01er janvier entre eux, dans la joie et l’allégresse ».

Un bon point pour lui et son esprit de tolérance qui atteste que les jeunes savent encore s’amuser, même en très grand nombre, sans provoquer qui que ce soit et déranger on ne sait qui ! Ne serait-ce pas là les ferments de la démocratie ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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On ne badine pas avec le respect à l’ordre public ! Les « teuffeurs » de ce week-end festif vécu contre toute attente à Saint-Florentin s’en souviendront longtemps au terme de ces soixante-douze heures épiques. Les forces de l’ordre sollicitées par les services de l’Etat ont procédé à plus de 2 000 contrôles tout au long de ce rassemblement. Sans compter quelques prises de « guerre » symboliques…

 

SAINT-FLORENTIN : Le bilan comptable est le suivant au terme de la rave party organisée de manière illégale sur un site désaffecté de cette ville industrielle. Quatorze enceintes, trois groupes électrogènes et quatorze jerricans d’essence ont été saisis par les forces de l’ordre. Auxquels il faut ajouter 900 contrôles de véhicules, 1 200 personnes dans l’obligation de présenter leur pièce d’identité et pas moins de 250 infractions qui ont été constatées au final !

Bref : pour le premier week-end devant faire la transition entre 2021 et 2022, les forces de l’ordre de l’Yonne, missionnées par les services de l’Etat, n’ont donc pas chômé.

Si la manifestation musicale s’est soldée dans le calme au terme de ce week-end si particulier, il n’empêche que les investigations judiciaires se poursuivent toujours sous l’autorité du procureur de la République près le Tribunal d’Auxerre.

 

 

Objectif : établir les responsabilités des organisateurs de ce rassemblement impromptu et illicite afin d’étudier en parallèle les suites à donner aux différentes  infractions relevées.

Rappelons qu’au plus fort de la manifestation, plus de 1 500 personnes étaient présentes sur le site, dans la nuit du réveillon.

Dès le début de la manifestation, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST avait ouvert un centre opérationnel départemental. Pour mémoire, tous les évènements de type rave party et teknival sont à proscrire des agendas, en vertu d’un arrêté préfectoral spécifique.

 

Thierry BRET

 


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Une chose semble déjà évidente : la consultation engagée par le Département de l’Yonne depuis le 01er décembre sur le possible retour à la normale, soit 90 km/h sur certaines routes départementales, mobilise les internautes de notre territoire. Même s’il reste encore quelques jours d’ici le 31 décembre pour répondre au questionnaire figurant sur le site de l’organe institutionnel, les Icaunais ont un avis et le font savoir !

 

AUXERRE: Visiblement, la prise de pouls des citoyens par le Conseil départemental de l’Yonne sur l’épineuse question de la remise aux normes de la vitesse autorisée à 90 km/h sur nos routes passionne les internautes icaunais. Débuté au premier jour de décembre, via le site numérique de l’organisme, celle-ci s’achèvera le 31 de ce mois, le jour de la Saint-Sylvestre. Peut-être sera-ce l’occasion d’aborder la question entre la dinde et le fromage lors du traditionnel réveillon, susceptible d’être agrémenté par ce genre de propos ! Il faut bien trouver des sujets de discussion divertissants en cette période de rebond de la pandémie !

Toujours est-il que l’hypothétique retour à une vitesse plafonnée à 90 km/h ne concernerait pas la totalité des 4 875 kilomètres de routes départementales que compte notre territoire. Qui plus est, si cela venait à se réaliser en 2022, la décision ne s’appliquerait que sur quelques tronçons clairement identifiés.

  

Patrick GENDRAUD, l’un des 36 signataires à l’époque du refus…

 

L’idée de cette consultation populaire ne correspond pas au fruit du hasard. Que nenni ! On se souvient que l’item était au centre de la dernière campagne électorale des départementales de juin. Notamment des candidats de la liste majoritaire, « Unis pour l’Yonne », conduite par le président Patrick GENDRAUD.

A l’époque de l’application de ce texte de loi en 2018, l’ancien maire de Chablis s’était opposé à sa mise en forme. Il s’était offusqué de ce passage en force et sans consultation au 80 km/h qui avait pris tout le monde de court, suite aux préconisations du Premier ministre d’alors, Edouard PHILIPPE. Rappelons pour mémoire que Patrick GENDRAUD est l’un des 36 signataires d’une tribune rendue publique rédigée par des présidents de département insatisfaits par la tournure des évènements.

 

 

Rendre sa vitesse normale à cinq cents kilomètres de routes…

 

Mis en ligne sur le site de l’organe institutionnel, un questionnaire comprenant quelques réflexions fondamentales sur l’appréciation des Icaunais vis-à-vis de la route permet durant ce dernier mois de l’année de recueillir de précieuses indications, sans doute déterminantes sur le verdict qui sera rendu par la suite.

Grâce à la promulgation du texte législatif du 24 décembre 2019, offrant l’opportunité aux départements de revenir à la vitesse antérieure, le Conseil de l’Yonne a pu se saisir de l’occasion afin de consulter les citoyens. Dans un véritable esprit participatif.

S’appuyant sur ces retours informatifs avant d’entériner leurs décisions, les élus devront tranchés pour que 500 kilomètres de routes départementales, dites pénétrantes (celles en liaison avec les territoires limitrophes) et qui les traversent de part en part, soient concernées par ce retour au 90 km/h.

Dans les faits, cela supposerait le changement de près de 500 panneaux de signalisation, la logique, et le coût de 110 000 euros à la charge du Département pour le faire. Une somme, certes, appréciable pour revenir en marche arrière mais qui ne semble pas être un frein…

 

En savoir plus :

Rappel : l’Yonne reste un département où l’accidentologie est élevée. De juillet 2016 à juin 2018 inclus (soit 24 mois), on dénombre ainsi 225 blessés et 32 tués sur le réseau routier départemental.

De juillet 2018 à juin 2020 inclus, après la mise en place du 80 km/h, ces statistiques s’établissent à 277 blessés et 38 tués sur une période identique.

Aujourd’hui, environ 1/3 des départements métropolitains a fait le choix de revenir, généralement partiellement, à 90 km/h. C’est notamment le cas du Loiret, de la Seine-et-Marne, de l’Aube et de la Côte d’Or, départements limitrophes de l’Yonne, qui ont repassé en moyenne 13 % de leur réseau routier à 90 km/h, en ciblant les axes pénétrants et structurants.

Le réseau routier départemental Icaunais représente environ 4 875 km de chaussée. L’installation, nécessaire, de panneaux de limitation de vitesse à 90 km/h est, en cas de souhait de déroger à la réglementation nationale, à la charge de la collectivité locale gestionnaire du réseau.

 

Thierry BRET

 


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Par essence, qu’elle est la mission réelle du service téléphonique « 36 46 » au sein de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne ? Un jeu d’enfant, en vérité, puisque c’est un service gratuit, assorti du coût de l’appel, qui a pour vocation d’honorer tout ce qui concerne de loin ou de près les remboursements de prestations des assurés. En aucun cas, il ne traite de sujets liés à la COVID. Or, le service est à l’heure actuelle à saturation !

 

AUXERRE : La plateforme téléphonique, baptisée « 36 46 » de la CPAM de l’Yonne, est au bord de l’apoplexie depuis plusieurs jours. Saturée d’appels en tout genre se rapportant aux nombreuses problématiques de la crise sanitaire et de ses questionnements qui y sont affectés, le service ploie sous les coups de boutoirs insistants des téléphones d’assurés qui ne cessent de sonner de façon répétitive.

Un renseignement sur le passe sanitaire à résoudre par ici, une interrogation sur l’injection de la troisième dose par là et le tour est joué : le « 36 46 » ne souhaite plus répondre à ces sollicitations pour cause de surchauffe !

« Notre plateforme téléphonique reçoit actuellement beaucoup d’appels d’assurés qui ont eu leur troisième injection, précise la direction de la communication, et cette troisième injection ne figure pas sur leur passe sanitaire… ».

Diverses origines peuvent ainsi expliquer cette absence d’annotation dans le dossier. Un problème informatique, un retard, voire un  oubli. Or, la situation est telle depuis plusieurs jours que les opérateurs de la plateforme croulent sous des demandes qui ne les concernent pas.

 

 

Le « 36 46 » ne peut rien faire en guise de réponse concrète puisque ne s’occupant que de problématiques inhérentes aux remboursements des prestations.

Le message transmis par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie est d’ailleurs sans équivoque sur la démarche à suivre : pour obtenir les réponses adéquates à leurs interrogations, les assurés doivent retourner au centre de vaccination ou revoir le professionnel de santé ayant vacciné la personne.

Apparemment, les assurés ne sont pas les seuls à s’être posé ces questions en sollicitant la plateforme téléphonique de la CPAM. Des professionnels de santé, tels que des médecins, ont fait de même sur ce fameux numéro 36 46. Qui aujourd’hui ne peut plus répondre !

 

Thierry BRET

 


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