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La sécurité, on le sait, n’a pas de prix. Ni la protection de la ressource humaine sur le lieu de l’emploi. En l’espace d’une petite décennie, le nombre d’accidents au travail a chuté de façon vertigineuse pour la filiale icaunaise du groupe MICHELIN. Une division par dix ! Quant à la cohabitation, d’ordinaire si problématique entre les chariots élévateurs à fourche et les salariés qui évoluent à pied parmi les ateliers, elle n’apparaît désormais plus une problématique ingérable. Grâce à une approche intelligente, ordonnée et pédagogique applicable au quotidien…

AVALLON: Certes, on ne peut se déplacer au cœur de l’immense site industriel de rechapage de pneumatiques qu’en ayant pris au préalable un minimum de précautions lorsque l’on est un visiteur externe. Logique, en somme ! Mais, aujourd’hui, les collaborateurs de Pneu LAURENT qui s’affairent au quotidien sur leurs postes de travail se sentent également en parfaite sécurité.       

La mise en place d’un certain nombre d’initiatives adaptables à la configuration du site industriel aura permis de résoudre un vrai sujet de fonds : celui des risques d’accident. Non seulement, la préservation du personnel est assurée mais en outre les résultats de la structure s’en sont trouvés améliorer. Une forme de pratique de l’excellence, profitable à tous.

Chantre de cette optimisation de la sécurité à ne jamais négliger, Arnaud MALECAMP, directeur du site avallonnais, se dit satisfait par les résultats engrangés de ces expériences positives.

Le premier item dont il fallait en priorité résoudre les effets négatifs se rapportait à la circulation des fameux chariots élévateurs à fourche au sein des ateliers. Indispensables auxiliaires de locomotion pour éviter le poids de charges trop lourdes à l’humain, ces petits engins à la motricité très versatile peuvent parfois se mouvoir sans que les piétons s’en aperçoivent réellement, concentrés sur leurs opérations professionnelles.

 

 

Le piéton est prioritaire sur l’engin dans les règles de circulation…

 

Des cycles de formation à la sécurité ont ainsi vu le jour dans l’entreprise. Les 420 salariés ont pu prendre pleinement conscience des dangers pouvant exister en cas de négligence.

Un plan de circulation a été instauré dans les ateliers avec une signalétique spécifique au sol. Chose paradoxale et contraire à certaines autres habitudes industrielles : le piéton est, ici, prioritaire par rapport à la mobilité de l’engin. Celui-ci ne peut par ailleurs pénétrer sur des secteurs clairement identifiés tant que le personnel à pied s’y trouve.

Sans doute, la direction générale du groupe MICHELIN s’est-elle appuyée dans ses préconisations sur les conclusions alarmantes de deux rapports d’enquête émanant de la CNESST, la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail.

Ces études font état d’accidents graves survenus dans le milieu industriel à la suite du renversement d’un chariot élévateur, d’une part, et de la cohabitation difficile entre piétons et engins, d’autre part.

 

 

 

Depuis, les caristes ont reçu de nombreuses consignes sécuritaires dans le cadre de leur travail. Dans le cas de collision avec du personnel à pied où les informations divulguées ont été très précises.

Par exemple, il faut savoir que le poids d’un chariot élévateur équivaut à environ six voitures automobiles. Conséquence : si un piéton est heurté par ce type d’engin très mobile, il y a peu de chance pour qu’il puisse s’en sortir indemne. Sans omettre que la charge transportée par l’appareil risque aussi de tomber sur le salarié.

Chez Pneu LAURENT, comme devait le préciser Arnaud MALECAMP lors d’une visite du site par les entrepreneurs du réseau Entreprendre Bourgogne, différentes solutions ont été ainsi déclinées pour réduire les risques au maximum.

Ainsi, dans les ateliers, des zones de travail ont été dédiées à la circulation des chariots élévateurs. Laissant le passage aux piétons par le biais de corridors. Ces mesures se sont accompagnées d’installation de barrières de sécurité facilitant la diminution des dommages.

Bref, tous les vecteurs favorables à la sécurité ont été développés. Ils sont complétés par des séances régulières de rappel informatif des normes spécifiques. Pour que l’humain et les machines cohabitent du mieux possible. Et sans aucune anicroche…

 

 

 


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Aujourd’hui en France sont fonctionnels moins de 52 000 distributeurs automatiques de billets pour moins de 37 000 agences bancaires. Sans compter, les 8 000 bureaux de La Poste. GAB ou DAB ? Le DAB permet le retrait d’espèces alors que le GAB (Guichet automatique de banque) autorise des retraits, la consultation des comptes et d’effectuer des virements. Les espèces ne représentent plus que 5 % des transactions en valeur. Il est vrai que les cartes bancaires sont devenues le moyen de paiement préféré des français. Quant au fameux « sans contact » : la progression du paiement par carte s’accélère depuis la possibilité d’effectuer des achats de moins de trente euros sans taper son code…

TRIBUNE : La France de la monétisation évolue. S’il y a moins de paiements en espèces, cela entraîne par ricochet qu’il y ait moins de retraits dans les DAB. Hors, s’il y a moins de DAB, cela devrait diminuer le nombre d’agences bancaires, voire réduire le personnel…

Les guichetiers d’accueil (encore appelé, avec les administratifs, « les manœuvres à col blanc ») qui œuvraient autrefois dans les agences bancaires ont disparu depuis des lustres !

Les études de rentabilité menées par les établissements financiers pointent du doigt tout ce qui n’est pas rentable : DAB, GAB, agences bancaires, services, produits proposés… Tout ce qui ne rapporte rien doit disparaître !

Pour calculer la rentabilité, on fait appel dorénavant à la comptabilité analytique. Nous verrons dans un prochain article comment ce système d’informations, largement utilisé par le pouvoir politique et les grandes entreprises, pipe les dés en manipulant citoyens et salariés ! Une justification partiale de la suppression des postes !

 

Les pouvoirs publics espèrent l’avènement du zéro cash dès 2022

 

Quelles conséquences ? Pour les habitants des zones rurales, la suppression des DAB est encore plus problématique. D’autant que de nombreux commerçants refusent le paiement par carte car il est trop coûteux en matériel et facturation de commissions.

Il faut parfois parcourir de longues distances pour trouver un distributeur de billets. La monnaie fiduciaire, c’est aussi la liberté de donner et de recevoir… Adieu, à titre d’exemple, aux étrennes vertueuses faites aux petits enfants. Rangez vos tirelires et ouvrez des comptes !

Adieu également aux « petites souris » qui déposent une pièce afin de récupérer la dent de lait du gamin le lendemain sous l’oreiller !

Adieu les boites à sel ou à sucre des grand-mères qui thésaurisaient patiemment pour prévoir le règlement de leurs impôts…

Le système bancaire vous accordera, peut-être, un découvert et vous grossirez les rangs des possibles surendettés !

Une société « zéro cash » met en exergue une atteinte aux libertés. C’est une société sous contrôle avec la mainmise absolue sur nos comptes. D’ailleurs, en cas de faillites d’un établissement, hormis les cent mille euros de garanties (pour combien de temps encore ?) l’Etat n’aura plus qu’à se servir.

Plus de possibilité de passer outre dans ses règlements directs avec les artisans et les commerçants : on estime à plus de 20 milliards d’euros les montants réglés en espèces de la main à la main !

L’absence de liquidité pourrait s’avérer préjudiciable pour les plus pauvres de nos travailleurs indépendants. C’est factuel.

Même les multinationales et les grands trusts seraient pénalisés sur certains marchés « exotiques » où le bakchich est une pratique rendue obligatoire dans de nombreux cas pour décrocher les affaires.

Du côté de l’argent qui circule via la drogue, les revendeurs se sont déjà organisés. Les gros cartels pourront toujours inonder le monde avec leurs narcodollars - on est rassuré !

 

Vers un développement de nouvelles pratiques financières ?

 

Toutefois, pour celles et ceux qui se trouvent dans une situation d’interdit bancaire, il n’y aura pas de changement. Le compte bancaire reste obligatoire. Les personnes « interdits bancaires » recevront toujours une carte de paiement restreinte avec la possibilité d’un règlement chez tous les commerçants jusqu’au solde zéro du compte. L’usage de cette carte est très limité : pas de paiement envisageable sur les autoroutes ou les dépôts de garanties chez les loueurs de voitures.

Une suggestion à l’adresse de Bercy : offrir aux SDF un terminal de paiement afin qu’ils reçoivent l’aumône du passant.

Pour la quête du dimanche ? C’est déjà organisé dans bon nombre de pays : les quêteurs passent dans les rangs avec leur terminal et grâce au « sans contact », le bon chrétien fait un geste de charité et gagne ainsi sa place au paradis…

EINSTEIN avait raison sur notre évolution : « Je ne sais pas avec quoi on fera la troisième guerre mondiale, mais la quatrième je peux vous prédire qu’on la fera avec des cailloux et des bâtons ! ».

Quant à nos règlements financiers de demain ? Peut-être, qu’ils s’effectueront avec des coquillages, des lingots de thé, voire des échanges entre collectionneurs à l’instar de deux vieilles cartes bleues contre une ancienne « Mastercard ».

Vive l’aire du troc, qui nous reviendra bientôt, c’est certain  !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Présente au Salon international de Genève qui ouvre ses portes du 05 au 15 mars, LEXUS y dévoilera l’une de ses grandes nouveautés qui devrait attirer les regards des aficionados de véhicules hors pair. Un prestigieux cabriolet qui incarne la pratique de l’art de vivre chère à ce constructeur…

GENEVE (Suisse) : Beaucoup de passionnés d’automobile sont impatients de le découvrir. Et pourquoi pas de le tester ?! La marque présentera pour la première fois en Europe l’un de ses nouveaux modèles devant être commercialisés d’ici quelques semaines.

Pétri de design et de technologie, ce cabriolet baptisé sobrement LC 500 s’ajoute à la déjà longue liste de produits possédant les caractéristiques indissociables qui ont forgé le succès du fabricant japonais.

 

 

Le véhicule dévoilé en première mondiale sur l’un des événementiels incontournables à la cause automobile s’ajoute au coupé. Ainsi, LEXUS illumine sa gamme de deux modèles particulièrement attrayants.

Le conduire ne peut que stimuler les sens, de l’avis des spécialistes qui s’y sont déjà essayés !

 

 


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Agé de 45 ans, le nouveau directeur du secteur Grand Nord-Est du spécialiste des télécommunications vient de prendre ses fonctions avec de réelles ambitions. Celles de booster la présence du groupe sur les nouveaux territoires de croissance que sont la cyber-sécurité, la banque mobile ou la télésurveillance. Un challenge à la portée de ce Breton qui bénéficie de la culture d’entreprise depuis 2012…

DIJON : Bourgogne Franche-Comté, Hauts-de-France, Grand-Est. Le secteur géographique est important : il incombe désormais au nouveau directeur du groupe ORANGE qui sera à la tête d’un ensemble professionnel rassemblant plus de dix mille collaborateurs.

Le successeur d’Olivier MAST, promu directeur des opérations au niveau national, nouvellement arrivé, aura pour objectifs de maintenir le leadership de l’opérateur dans des domaines aussi variés que complémentaires de la modernisation du réseau fixe, du déploiement des réseaux THD (fibre) et mobile (4G) tout en préparant l’avènement de la 5 G à brève échéance.

Ex-directeur adjoint des ressources humaines dans le groupe, Ludovic GUILCHER, originaire de Bretagne mais ayant des attaches familiales en Lorraine, s’est ensuite dirigé vers le commerce en tant que directeur de l’agence entreprises de Paris. Il devint peu après directeur clients de la direction Orange Ile-de-France.

Engagé pour valoriser le numérique inclusif, le nouveau dirigeant de l’un des leaders mondiaux des télécommunications (41 milliards de chiffre d’affaires en 2018 pour 148 000 salariés dans le monde), le professionnel aura à cœur de faciliter l’accès aux nouvelles technologies pour tous via des dispositifs d’accompagnement et de sensibilisation dans le cadre de la RSE (Responsabilité sociétale d’entreprise) du groupe.

 

 


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Le moyen-métrage se nomme « Sur les pas de Gérard-André à la Closerie ». D’une durée de quarante-deux minutes, ce document signé d’un professionnel de l’audio-visuel présente avec sensibilité et humanisme l’autre facette de cet artiste iconoclaste de notre territoire. Celui qui enchante depuis des lustres grâce à sa programmation éclectique proposée dans son théâtre champêtre les férus des arts vivants et de la chanson à texte. Un film à apprécier ce mardi soir à 19 heures du côté du passage Soufflot…

AUXERRE : La silhouette débonnaire du compositeur-interprète crève l’écran. Outre les séquences captées sur scène, le lieu de prédilection qu’il affectionne, on y voit de nombreux témoignages d’amis et de fidèles de toujours. Dont celui de Patrick GENDRAUD, le président du Conseil départemental de l’Yonne.

Tourné entre Auxerre (la Maison d’écrivain de Marie NOEL) et Etais-la-Sauvin, bourgade fleurant bon les traditions rurales en Puisaye-Forterre où l’artiste a su remettre les prestations artistiques de talent au goût du jour, le document se visionne avec grand intérêt.

Auteur d’une quarantaine de films (« Guédelon vingt ans déjà », « La légende de l’Escale » où il narre les débuts de Johnny HALLYDAY…), Claude ROUTHIAU aime profondément ce territoire. Il le fait savoir en promenant sa caméra.

Collaborateur plus de trois décennies pour TF1 (« 1 Rue Sésame » pour les nostalgiques de l’enfance), le vidéaste-réalisateur est un touche-à-tout talentueux : communication, transmission, production, programmateur de télévision…

Il travaille avec les plus grands, de Jacques PRADEL (« Perdu de Vue ») à Jean-Marc MORANDINI. Sans oublier les duettistes du PAF : Laurent FONTAINE et Pascal BATAILLE. Sa collaboration avec TF1 se termine pourtant avec Sébastien CAUET au début des années 2000.

Passionné de chansons et de musique, Claude ROUTHIAU s’adonne à une autre de ses innombrables passions : celle du portrait documentaire. Il en consacre un à son ami, l’artiste Gérard-André, adorateur de BREL et de FERRE, digne héritier de BRASSENS et de FERRAT. Ou de Jean-Roger CAUSSIMON.

L’occasion était trop belle de projeter ce travail de très belle facture en séance publique et de le commenter. Avec à la clé, une belle rencontre autour de gens passionnés et heureux de ce qu’ils sont…

« Sur les pas de Gérard-André à La Closerie »  ce mardi 11 février à 19 heures à Auxerre Passage Soufflot, salle Surugue. Sur réservation au 03.86.47.28.16.

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